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Event Hurricane - Groupe 1
Sam 12 Sep - 19:05
Event - Hurricane
Captain White - Docks
Dans la zone la plus exposée offrant ses flancs à la tempête, les abris sont durs à trouver. La majorité des habitants ont déjà quitté les lieux, mais le passage se retrouve bloqué par les véhicules encombrant le Track. Dans le chaos ambiant, une petite boutique qui ne paye pas de mine mais dispose cependant de murs apparemment solides attirent votre attention. Captain White est un magasin spécialisé dans les articles de pêche, mais peut-être est-ce également votre seule chance d'échapper à la tempête. Sans plus réfléchir, vous vous engouffrez à l'intérieur, alors qu'un fracas épouvantable retentit dehors. Des gravats viennent de s'écrouler devant l'entrée, vous enfermant dans la boutique.HRP
@Lucyle Ydillya @Bijou @Hana Cross
• N'oubliez le résumé à la fin de vos messages.
• Si pour le premier tour nous ne sommes pas regardants sur la longueur (en raison de la contextualisation), veillez à respecter autant que possible le maximum de mots demandés par la suite.
• Si vous avez des questions, que vous souhaitez demander un délai ou informer le staff et vos coéquipiers que vous sautez votre tour, veuillez le faire dans ce sujet.
• N'hésitez pas à tenter des choses, profiter de cet event pour prendre des risques ! Tout peut arriver, alors amusez vous ! :)
102 Devil's Guns - Alliance Masseuse / Cambrioleuse Yah Yah
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Yah Yah
Re: Event Hurricane - Groupe 1
Dim 13 Sep - 21:34
Qu’est-ce que je foutais là ? Bravant une tempête comme si elle était une occasion bénite. Mais pourquoi au juste ? Et au final, j’avais sous-estimé les risques. Sondant les environs qui se dévastaient doucement, mais sûrement, j’hésitais encore à poursuivre l’idée folle de rejoindre le groupe de mon gang qui devait me rencontrer ici aujourd’hui. Et s’ils m’attendaient ? Peut-être qu’ils auraient été plus sages que moi, de toute façon c’était fuir ou mourir maintenant, cela semblait une évidence. Mais plus aucune voiture ne pourrait me porter hors d’ici et je ne courais pas assez vite. La seule option viable semblait un abri et ici ce n’était pas gagné, il ne devait plus y avoir une âme qui vive.
“ Putain de merde. “
Et alors que le vent soufflait si fort dans mes oreilles que je n’entendais plus rien, la poussière qu’il soulevait gêner de plus en plus ma vue, cela relevait de la chance d'atterrir devant cette pitoyable boutique. Mais je pensais que je ne trouverais pas mieux de toute façon.
Voilà comment j’en étais arrivée là. Que je les avais rencontrées “elles” dans cette boutique pour pêcheurs abandonnée à son sort. Et ainsi, nous étions piégées comme des rats dans cette prison de béton menaçant de s'effondrer sur nos petites têtes imprudentes. Calée sous l’encadrement d’une porte, avec une lampe dynamo retrouvé sur le comptoir de la boutique, j'essayais de repérer toutes planches ou truc du genre qui nous permettrait de construire une fondation de sécurité, bien que minime au-dessus de nous si le bâtiment venait à s'effondrer. Même si… je doutais sérieusement que des secours viennent nous sauver. Quelle mort était la mieux ? Enterrée vivante ou écrasée ?
Foutu instinct de survis.
“ Au fait…” Si jamais l’une d’elle me survivait et que mon fils se posait la question si je disparaissais… “ Moi c’est Hana. Il me semble que se planquer dans les toilettes est la meilleure option. “
Vu la structure et mes restes d'ingénierie, plus la pièce était restreinte en espace, plus ses murs et son plafond surtout auraient des chances de résister.
“ Je ne pense pas que le pire de la tempête soit passé. Bien au contraire. “
Et sur cette note, je déboitais la porte de la réserve pour l’amener vers ma planque toute désignée. C’était une bonne base pour créer un second plafond de renfort dans le cas où. Se barricader, mis à part ça, que pouvait-on faire d’autre ?
- Résumé:
Hana avait un RVD dans le coin.
Elle finit par se résoudre à se cacher dans la boutique.
Elle y rencontrera ses partenaires d'infortune (pendant ou après son arrivée au choix).
Prudente, elle propose de se barricader dans la plus petite pièce du bâtiment (les toilettes) et réfléchit à la façon de renforcer le plafond.
Elle a trouvé une lampe dynamo sur le comptoir...
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Re: Event Hurricane - Groupe 1
Lun 14 Sep - 13:42
HURRICANE GRP. 1
♫ Running away ♪
Bijou avait vite entendu les annonces sur Isaac. Ni une ni deux, en débrouillarde qu’elle était, elle avait dévalisé son propre casier pour revendre toutes ses affaires : vêtements et bijoux de luxe, maquillage, tout butin accumulé ces derniers mois. Mieux valait avoir du liquide dématérialisé que du matos hors de prix envolé elle ne savait où. Restée debout jusqu’à tard, la blonde n’avait eu d’autre choix que de se crasher au premier endroit disponible, aux docks.
Elle se réveilla le matin au son des sirènes, paumée dans un vieille bicoque qui, elle en était sûre, n’allait pas tenir le coup. Promptement Bijou revêtit la seule tenue qu’elle possédait dorénavant, un long imperméable irisé aux coutures similaires à un trenchcoat par-dessus un pantacourt de sport, un pull moutonneux rose poudré, une bonne paire de baskets étanches et une banane bien accrochée sous sa veste avec quelques affaires : des barres alimentaires, son portable. Une fois dans la rue Bijou constata avec désarroi les voitures agglutinées, leurs portières ouvertes pour certaines. Les véhicules bloquaient jusqu’aux trottoirs et la peste n’avait pas du tout envie de jouer les cascadeuses surtout avec le vent qui manquait de la décoller du sol à chaque seconde. Ses yeux cherchèrent désespérément un lieu sûr tandis qu’elle s’accrochait d’une voiture à une autre, la capuche battue par le vent et ses songes martelés par la peur. Elle pensait à Bijou et à Ace principalement, sa main la démangeant de dégainer son portable au plus vite mais elle attendit de trouver refuge dans une boutique qui, visiblement, vendait des articles de pêche. Il y avait d’autres personnes ici et profitant de l'attroupement, se sentant bêtement plus en sécurité au milieu de gens, la blonde composa frénétiquement le numéro de sa soeur. Une fois, deux fois, une troisième fois quand enfin sa ligne parvint à se connecter à celle de sa soeur :
« Salome ? Tu vas bien ? » Elle l’entendait à peine, sa voix entrecoupée par des grésillements, laissant davantage celle du vent s’exprimer. Bijou cru comprendre la question posée et elle répondit en même temps que le téléphone coupa : « Oui, je suis à l’abri ! »
Soudain, des gravats s’amoncelèrent à l’entrée. La peste cria, paniquée, et recula de quelques pas par réflexe. Les larmes lui montèrent aux yeux mais elle ne se laissa pas abattre : elle avait toujours été une survivante. Un ouragan ne ferait que valider ce fait. Reniflant et fronçant les sourcils, se cachant une fois de plus derrière un air dur pour se donner du courage, Bijou s’approcha d’une fille débrouillarde qui semblait déjà agir. Elle vint l’aider à tenir une planche, voulant apporter son aide malgré ses yeux plissés de mépris comme d’habitude.
« Bijou. » répondit-elle laconiquement avant de se tourner vers la deuxième fille. « Et toi ? » Puis elle virevolta vers Hanna. « Les toilettes, vraiment ? » Difficile de cacher son dégoût tandis qu’elle faisait la moue. « Pourquoi ? Genre à trois dans le même chiotte ou juste planquées sous un lavabo ? »
Elle baissa ses yeux sur son portable, plus abattue. Elle soupira. De quelques mouvements de doigts elle mit son portable en économie d’énergie, coupa toutes les données superflues pour économiser de la batterie.
« Récupérons un peu de matos. Il doit bien y avoir du fil ou ce genre de conneries utiles. » Elle sourit, fiérote avec un regard espiègle. « Et probablement quelques vers à bouffer si ça vous tente. »
♫ Running away ♪
Bijou avait vite entendu les annonces sur Isaac. Ni une ni deux, en débrouillarde qu’elle était, elle avait dévalisé son propre casier pour revendre toutes ses affaires : vêtements et bijoux de luxe, maquillage, tout butin accumulé ces derniers mois. Mieux valait avoir du liquide dématérialisé que du matos hors de prix envolé elle ne savait où. Restée debout jusqu’à tard, la blonde n’avait eu d’autre choix que de se crasher au premier endroit disponible, aux docks.
Elle se réveilla le matin au son des sirènes, paumée dans un vieille bicoque qui, elle en était sûre, n’allait pas tenir le coup. Promptement Bijou revêtit la seule tenue qu’elle possédait dorénavant, un long imperméable irisé aux coutures similaires à un trenchcoat par-dessus un pantacourt de sport, un pull moutonneux rose poudré, une bonne paire de baskets étanches et une banane bien accrochée sous sa veste avec quelques affaires : des barres alimentaires, son portable. Une fois dans la rue Bijou constata avec désarroi les voitures agglutinées, leurs portières ouvertes pour certaines. Les véhicules bloquaient jusqu’aux trottoirs et la peste n’avait pas du tout envie de jouer les cascadeuses surtout avec le vent qui manquait de la décoller du sol à chaque seconde. Ses yeux cherchèrent désespérément un lieu sûr tandis qu’elle s’accrochait d’une voiture à une autre, la capuche battue par le vent et ses songes martelés par la peur. Elle pensait à Bijou et à Ace principalement, sa main la démangeant de dégainer son portable au plus vite mais elle attendit de trouver refuge dans une boutique qui, visiblement, vendait des articles de pêche. Il y avait d’autres personnes ici et profitant de l'attroupement, se sentant bêtement plus en sécurité au milieu de gens, la blonde composa frénétiquement le numéro de sa soeur. Une fois, deux fois, une troisième fois quand enfin sa ligne parvint à se connecter à celle de sa soeur :
« Salome ? Tu vas bien ? » Elle l’entendait à peine, sa voix entrecoupée par des grésillements, laissant davantage celle du vent s’exprimer. Bijou cru comprendre la question posée et elle répondit en même temps que le téléphone coupa : « Oui, je suis à l’abri ! »
Soudain, des gravats s’amoncelèrent à l’entrée. La peste cria, paniquée, et recula de quelques pas par réflexe. Les larmes lui montèrent aux yeux mais elle ne se laissa pas abattre : elle avait toujours été une survivante. Un ouragan ne ferait que valider ce fait. Reniflant et fronçant les sourcils, se cachant une fois de plus derrière un air dur pour se donner du courage, Bijou s’approcha d’une fille débrouillarde qui semblait déjà agir. Elle vint l’aider à tenir une planche, voulant apporter son aide malgré ses yeux plissés de mépris comme d’habitude.
« Bijou. » répondit-elle laconiquement avant de se tourner vers la deuxième fille. « Et toi ? » Puis elle virevolta vers Hanna. « Les toilettes, vraiment ? » Difficile de cacher son dégoût tandis qu’elle faisait la moue. « Pourquoi ? Genre à trois dans le même chiotte ou juste planquées sous un lavabo ? »
Elle baissa ses yeux sur son portable, plus abattue. Elle soupira. De quelques mouvements de doigts elle mit son portable en économie d’énergie, coupa toutes les données superflues pour économiser de la batterie.
« Récupérons un peu de matos. Il doit bien y avoir du fil ou ce genre de conneries utiles. » Elle sourit, fiérote avec un regard espiègle. « Et probablement quelques vers à bouffer si ça vous tente. »
- Spoiler:
- Aussitôt réfugiée, Bijou tente d'appeler sa soeur mais la ligne est coupée. Elle porte sur elle une banane qui contient quelques rations et son portable. Elle se présente puis demande le nom de la troisième malheureuse, avant de se plaindre de la suggestion de Hanna. Les toilettes ? Ça pue et c'est grossier. Enfin, elle coupe tout ce qu'elle peut de son smartphone pour économiser sa batterie.
79 Aucune ! Tatoueuse. Quand elle finira folle
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Re: Event Hurricane - Groupe 1
Lun 14 Sep - 22:59
Alors là, c’était la merde pour Lucyle. Dans quoi s’était-elle fourrée cette fois ? Elle aura beau avoir entendu les annonces concernant Isaac. Mais son salon été perdu. Il venait sûrement d’être ravagé. Son projet de devenir la gérante de cet endroit était tombé à l’eau. La seule chose qui la passionnait réellement avait sûrement été ravagé par la foule qui cherchait un endroit sûr. A ce moment-là, l’italienne était partie pour prendre un ou deux petits jours de vacances. Elles les avaient bien mérités ! Quelques petits jours de « repos » et se balader dans Decay, en tant que belle insouciante qu’elle était. Elle pensait qu’il ne s’agissait que d’un simple exercice lorsqu’elle avait entendu l’alarme nucléaire, il faut croire qu’elle n’aurait pas dû le prendre à la légère ! Pourtant la météo avait tout pour paraître, voire extrêmement, dangereuse. Et c’était lorsqu’elle était partie vers sa voiture pour fuir à son tour, qu’elle se rendit compte que la situation était critique. Elle était complètement détruite. Avant qu’elle n’ait pu constater le reste des dégâts, on l'avait poussé dans tous les sens au point qu'elle en perde l'équilibre, et il lui fallut un certain temps avant de réagir. C’était chacun pour soi visiblement. Les gens qui passaient à côté d'elle lui donné le tournis. Luce avait besoin de partir, et sortir de ce troupeau de buffles.
Elle s’était alors relevée, et avait couru comme tout le monde, n’hésitant pas à en pousser certains qui lui gênait le passage pour son propre intérêt. Et par elle ne sait quel passage elle avait pu emprunter, elle s’était retrouvée aux Docks. Elle aurait voulu faire demi-tour mais c’était trop risqué. Les chances qu’elle se mange un parpaing dans la figure étaient grandes. Une chose était sûr, on pouvait dire qu'elle affrontait vents et marais ! Et il valait mieux pour elle de se mettre sagement à l’abri en attendant que tout ceci se calme. C’était donc dans une petite boutique de pêche qu’elle avait fini par trouver refuge. Son sac à la main, avec quelques babioles à l’intérieur, notamment un briquer, son petit carnet de croquis et des affaires à elle. Son portable n’avait plus de réseau et impossible d’appeler qui que ce soit. Peut-on dire que c’est un bon début de vacances ? Sûrement. Elle aurait pu demander à Akemi de l’abriter, ou même à Keenan, s’ils étaient encore en vie.
« Quel déluge dehors ! On pourrait presque croire que c’est la fin du monde ! » Sa voix déraillait par moments et l’heure n’était pas à la plaisanterie mais c’était sorti tout seul. Elle avait galéré à rentrer dans ce fichu bâtiment, le vent n’avait pas arrêté de lui fouetter le visage accompagné de son amie la pluie. Mais c’était sa façon à elle pour ne pas paniquer. Intérieurement, elle avait déjà hurlé quatre ou cinq fois, s’était mise en position latérale de sécurité, les larmes perlant le coin de ses yeux.
« Je… Je vais vous aidez ! Attendez ! » Puis elle les avait suivies pour essayer de leur filer un coup de pâte comme elle le pouvait, bien qu’elle eût plus l’impression qu’elle ne servait à rien. « Luce. » Disait-elle simplement lorsque la blonde à l’imperméable s’était retournée vers elle. « Si t’as une meilleure idée que des chiottes, je t’écoute. » Ce n’était pas une vilaine pique, elle était sérieuse et avait prononcé sa phrase sans la moindre once d’animosité ou de sarcasme. Elle haussait ensuite des épaules, prête à suivre les directives sans broncher. « T’as raison, tu nous diras quel goût ça aura n’est-ce pas ? » Elle avait imité le sourire espiègle de Bijou. « Il nous faudrait donc des trucs pour nous barricader c’est ça ? » Lucyle était déjà prête à aller chercher ce dont il fallait, écoutant attentivement les autres si elles avaient une idée des objets convoités.
- Spoiler:
- Lucyle n'a plus de voiture, et aucun échappatoire. Après un retour à la réalité et une bonne bousculade, elle finit par bouger ses fesses et trouver un abri pour s'abriter du déluge. Elle y fait la rencontre des partenaires de mésaventures, venant ensuite aider comme elle peut. Elle n'a qu'un sac avec quelques affaires personnelles, et se prépare à partir à la recherche de ce dont il faut pour pouvoir se barricader.
102 Devil's Guns - Alliance Masseuse / Cambrioleuse Yah Yah
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Re: Event Hurricane - Groupe 1
Jeu 17 Sep - 20:49
Je n’avais nullement l’intention de débattre, je proposais, elles disposaient. Une sur deux paraissait être plus censée. Faut dire aussi, que je n’étais plus réellement d’humeur à plaisanter. Ceci dit, miss lavabo avait raison sur un point…
“ Trouver des vivres semble une bonne idée. Un job fait pour toi. ”
Et sur cette note, qu’importe qu’elle partage ensuite ou non, je reportais mon attention sur la dite Luce pleine de bonne volonté.
“ On récupère les portes, les étagères solide, toutes barres en fer ou poteau en tout genre pouvant servir de pilier. L’idée étant que si le toit cède on ne finisse pas écraser. “ Une grimace dénaturait mon visage. “ Par contre si le toit s’arrache, je ne garantis pas qu’on ne s’envolera pas avec… “
Haussement d’épaules et ne perdant pas plus de temps, je ramenais ma porte démontée vers le point de sûreté improvisé. Après quelques virevoltes dans tous les sens, elle finissait par arriver à passer dans la pièce étroite et finalement, en viais, les murs la retenait pour le moment.
“ Faut trouver des supports de renfort à mettre contre les murs pour la maintenir en hauteur au cas où. “ L’indication était pour ma collègue de travaux évidement, pour la contre-maître, j’avais une autre mission. “ Quant à notre chère Bijou, peut-être devrait-on la charger de signaler notre position à quelqu’un au cas où. “
Même si j’avais de sérieux doute sur le réseau actuel. Certes, le plan n’était reluisant, à choisir, j’aurais préféré un beau gars-ou deux pour m’envoyer en l’air en passant le temps. Mais faudrait faire avec.
“ Est-ce qu’il y aurait des soins quelconque aussi dans ce taudis ? “
D’avoir les fondations, ensuite on verrait pour les détails. Je n’étais pas certaine du temps dont on disposait actuellement. Mon tél quant à lui était éteint et rangé sagement pour préserver son utilité future au maximum. Mon regard se portait sur Luce alors que j’étais encore à la recherche de fondation. Peut-être valait-il mieux dédramatiser un peu la situation. Car même si j’avais l’air relativement calme, cette dernière cachait une peur de mourir évidente. Couplée à une vie de regret. Mieux valait être concentrée sur mes objectifs. Au moins, mon fils n’était plus dans cette ville maudite, il ne risquait rien.
“ Tu sais ce que me disait ma mère quand j’étais enfant ? “ Mes mains se posaient sur mes hanches. “ Que le tonnerre ne grondait que lorsque les anges jouaient au bowling. S’il pleut, c’est qu’il y avait parmis eux un mauvais perdant. Si c’est le chaos, comme maintenant… C’est que cela à fini en baston générale du coup ? “ Petit sourire mutin. Certes, c’était de la merde que je venais de dire, mais ça valait mieux que’augmentait la pression...
- Résumé:
Hana place la porte en pente dans les toilettes, comme un faux plafond. Elle explique à Luce ce qu'elle veut faire et suggère à Bijou de chercher à bouffer ou se charger de signaler leur position. Le tout, avant de raconter de la merde pour dédramatiser un peu.
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Re: Event Hurricane - Groupe 1
Ven 18 Sep - 21:03
HURRICANE GRP. 1
« Je préfère bouffer des vers que crever comme une conne. » répondit séchèment la blonde à l’intention d’Hana. Elle n’appréciait guère son ton, surtout après sa tentative - altruiste ! - d’avoir essayé d’illuminer leurs humeurs en plaisantant. Elle se força à sourire malgré à tout à la seconde femme qui avait étiré les mêmes traits espiègles sur son visage. Elle revint à la première femme :
« J’ai pas plus de réseaux que toi. Mais je surveille si jamais ça revient, t’inquiètes. »
Bijou décida de prendre sur elle-même : elle devait survivre avant tout. Si elle devait tuer l’une des deux autres pour se nourrir, elle n’hésiterait pas à le faire. Ou tout de moins s’en convainquait-elle en déglutissant difficilement tandis qu’elle commençait à fouiller les étals. Chapardeuse de nature la peste n’hésita pas une seconde à se servir éhontement. Elle revint au comptoir pour récupérer un sac plastique puis y engouffra du fil de pêche, une trousse de premiers secours, du scotch étanche, une petite sangle, une pince et une paire de ciseaux, des élastiques. Enthousiaste la blonde lâcha un cri excité alors qu’elle dérobait de l’eau de survie en sachets ; elle n’en avait jamais vu néanmoins le nom sur l’étiquette était assez explicite.
La peste abandonna son conteneur plastique en chemin pour un sac à dos certes peu esthétique mais très pratique vu les circonstances. Elle rangea le tout à l’intérieur.
Soudain, une bourrasque frappa le vitrage anti-effraction du magasin ; Bijou s’écria de peur en ramenant ses mains contre son cœur. La surprise passée, elle soupira. Elle était déjà fatiguée de cette situation. Elle tendit une oreille pour écouter ses congénères puis cria pour se faire entendre de là où elle était :
« Y’a pire comme taudis, meuf. On a des soins, de l’eau... » Elle sourit en arrivant face à un frigo éteint. « Et quelques vivres à consommer rapidement. »
Elle attrapa les barres énergétiques qu’elle enfonça en quantité dans son sac à dos puis tourna les talons. Revenant dans les toilettes elle ne sourit pas, bien qu’elle se prit au jeu d’Hana.
« Bah tes anges ils sont pas très sympas. Ils ont pas l’air de faire gaffe à nous en se bastonnant comme ça. » Elle eut un rire jaune et revint à un sujet qui lui semblait plus important. « C’est pas encore assez pété, dieu merci, pour trouver des barres de fer. Mais y’a des sangles et des crochets, on peut tendre des trucs ? J’y connais rien en physique, j’suis pas ingénieur. »
« Je préfère bouffer des vers que crever comme une conne. » répondit séchèment la blonde à l’intention d’Hana. Elle n’appréciait guère son ton, surtout après sa tentative - altruiste ! - d’avoir essayé d’illuminer leurs humeurs en plaisantant. Elle se força à sourire malgré à tout à la seconde femme qui avait étiré les mêmes traits espiègles sur son visage. Elle revint à la première femme :
« J’ai pas plus de réseaux que toi. Mais je surveille si jamais ça revient, t’inquiètes. »
Bijou décida de prendre sur elle-même : elle devait survivre avant tout. Si elle devait tuer l’une des deux autres pour se nourrir, elle n’hésiterait pas à le faire. Ou tout de moins s’en convainquait-elle en déglutissant difficilement tandis qu’elle commençait à fouiller les étals. Chapardeuse de nature la peste n’hésita pas une seconde à se servir éhontement. Elle revint au comptoir pour récupérer un sac plastique puis y engouffra du fil de pêche, une trousse de premiers secours, du scotch étanche, une petite sangle, une pince et une paire de ciseaux, des élastiques. Enthousiaste la blonde lâcha un cri excité alors qu’elle dérobait de l’eau de survie en sachets ; elle n’en avait jamais vu néanmoins le nom sur l’étiquette était assez explicite.
La peste abandonna son conteneur plastique en chemin pour un sac à dos certes peu esthétique mais très pratique vu les circonstances. Elle rangea le tout à l’intérieur.
Soudain, une bourrasque frappa le vitrage anti-effraction du magasin ; Bijou s’écria de peur en ramenant ses mains contre son cœur. La surprise passée, elle soupira. Elle était déjà fatiguée de cette situation. Elle tendit une oreille pour écouter ses congénères puis cria pour se faire entendre de là où elle était :
« Y’a pire comme taudis, meuf. On a des soins, de l’eau... » Elle sourit en arrivant face à un frigo éteint. « Et quelques vivres à consommer rapidement. »
Elle attrapa les barres énergétiques qu’elle enfonça en quantité dans son sac à dos puis tourna les talons. Revenant dans les toilettes elle ne sourit pas, bien qu’elle se prit au jeu d’Hana.
« Bah tes anges ils sont pas très sympas. Ils ont pas l’air de faire gaffe à nous en se bastonnant comme ça. » Elle eut un rire jaune et revint à un sujet qui lui semblait plus important. « C’est pas encore assez pété, dieu merci, pour trouver des barres de fer. Mais y’a des sangles et des crochets, on peut tendre des trucs ? J’y connais rien en physique, j’suis pas ingénieur. »
- Spoiler:
- Bijou n'apprécie guère la manière dont Hana lui parle et la prend en grippe. Malgré tout elle fait de son mieux pour assurer leur survie, bien qu'elle pense à la sienne avant tout. Elle récupère pas mal de matériel : du fil de pêche, une trousse de premiers secours, du scotch étanche, une petite sangle, une pince et une paire de ciseaux, des élastiques, des barres énergétiques et un sac à dos dans lequel elle stocke son butin. Ne sachant trop comment se barricader davantage, elle propose de tendre des sangles pour utiliser les lois de la physique mais ne comprend absolument pas comme ça marche.
79 Aucune ! Tatoueuse. Quand elle finira folle
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Re: Event Hurricane - Groupe 1
Mar 22 Sep - 2:22
Sans vraiment prêter attention au décor, Lucyle avait simplement suivi les indications plutôt que d’en proposer. Elle était loin d’être quelqu’un qui devait commander dans un groupe car si tout le monde venait à l’écouter, ce serait la fin pour eux. Elle aurait demandé des choses impossibles à faire, et elles seraient déjà toutes les trois mortes ou en train de faire du surf sur la tempête « pour le fun ». La tatoueuse hausse simplement des épaules en écoutant Hanna. Trouver tout ça dans un lieu si petit ? Pourquoi pas, ça fera un joli Tetris pour permettre aux trois blondes de survivre un peu plus longtemps.
« Ok, je devrai pouvoir trouver quelques trucs. » Disait-elle simplement avant de se mettre à chercher un peu partout. « C’est déjà un miracle si on arrive à survivre avant que la tempête ne se déchaîne un peu plus. » Puis elle se mit à chercher avec sa compagne.
Elle avait réussi à décrocher quelques planches en bois, sûrement des restes d’étagères qui se sont effondrées, des babioles par-ci par-là qui pourraient peut-être leur servir pour renforcer la fondation qu’elles vont fabriquer au-dessus des toilettes. Elle avait aussi trouvé des cordes, elles n’étaient pas épaisses mais elles pouvaient toujours servir. Et alors qu’elle était partie dans son monde, en train de s’imaginer à tatouer quelqu’un puisque c’était la seule façon pour elle de ne pas penser au déluge de l’extérieur, Luce releva la tête vers Hanna qui s’était mise à parler.
« Hm ? Ah ! Peut-être bien. Dommage qu’on ne soit pas là-haut pour les assommer un bon coup et nous laisser vivre. » Luce ne savait pas vraiment ce qu’elle racontait, elle avait laissé son cerveau parler à sa place, sans réellement donner sens à sa phrase. « Et je suis pas plus douée que vous niveau fondation. Mais je pense qu’on peut essayer de poser les barres en métal au-dessus, et poser des planches par-dessus ? » Elle s’était redressée, aillant réuni un tout ce qu’elle avait pu trouver d’utile et surtout d’utilisable pour se barricader. « Vous pensez qu’on a de quoi faire là ? »
« Ok, je devrai pouvoir trouver quelques trucs. » Disait-elle simplement avant de se mettre à chercher un peu partout. « C’est déjà un miracle si on arrive à survivre avant que la tempête ne se déchaîne un peu plus. » Puis elle se mit à chercher avec sa compagne.
Elle avait réussi à décrocher quelques planches en bois, sûrement des restes d’étagères qui se sont effondrées, des babioles par-ci par-là qui pourraient peut-être leur servir pour renforcer la fondation qu’elles vont fabriquer au-dessus des toilettes. Elle avait aussi trouvé des cordes, elles n’étaient pas épaisses mais elles pouvaient toujours servir. Et alors qu’elle était partie dans son monde, en train de s’imaginer à tatouer quelqu’un puisque c’était la seule façon pour elle de ne pas penser au déluge de l’extérieur, Luce releva la tête vers Hanna qui s’était mise à parler.
« Hm ? Ah ! Peut-être bien. Dommage qu’on ne soit pas là-haut pour les assommer un bon coup et nous laisser vivre. » Luce ne savait pas vraiment ce qu’elle racontait, elle avait laissé son cerveau parler à sa place, sans réellement donner sens à sa phrase. « Et je suis pas plus douée que vous niveau fondation. Mais je pense qu’on peut essayer de poser les barres en métal au-dessus, et poser des planches par-dessus ? » Elle s’était redressée, aillant réuni un tout ce qu’elle avait pu trouver d’utile et surtout d’utilisable pour se barricader. « Vous pensez qu’on a de quoi faire là ? »
- Spoiler:
- Lucyle suit simplement les instruction données par Hanna et se met à la recherche de matériaux et d'objets qui pourraient leur servir pour survivre. Elle rigole un peu à la blague d'Hanna, puis semble prête à passer à la suite du plan de survie.
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Re: Event Hurricane - Groupe 1
Sam 26 Sep - 16:16
Poc. Poc. Poc.
Un long grincement se fait entendre dans les profondeurs de la boutique, malgré le brouhaha à l'extérieur.
Poc. Ca-poc. Ca-poc. Un bruit de bois approchant, résonne des profondeurs qu'émerge d'une trappe jusque là bien cachée sous une épaisse couche de poussière et de crasse un homme qui a tout d'un stéréotype.
Augustus-Ephraim White est un homme connu pour son manque d'hygiène, ses dents manquantes, et son âge impossible à cerner sous ses traits gonflés par l'alcool. Sa voix grasse mais également faible vient caresser vos oreilles alors qu'il approche. "V'la t'y pas qu'y'a des huîtres fraîches dans l'coin !" Une toux secoue sa large carrure en forme de pot à tabac, lequel ne semble jamais quitter ses gencives. "Alors les med'moiselles" ajoute-t-il en sortant de son pantalon rafistolé tant et plus un revolver vieillot mais à priori fonctionnel. "J'suppose qu'une de vous va s'porter volontaire pour payer en nature ? Heh heh !" Il lève alors son arme, menaçant. Il n'a plus l'air de plaisanter.
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Re: Event Hurricane - Groupe 1
Dim 27 Sep - 17:42
HURRICANE GRP. 1
« On peut déjà essayer de caler les planches. » répondit la blonde en saisissant avec difficulté l’une d’elles.
Elle galéra à la poser par-dessus le cabinet, se demandant si finalement elle était assez solide pour ne pas s’effondrer quand soudain, quelqu’un sortit d’une trappe au milieu de la poussière.
Bijou fixa l’homme. Elle ne savait pas qui il était mais la peste savait une chose : elle le trouvait dégueulasse, selon ses propres mots gardés en son for intérieur. Elle se pinça la lippe et eut un mouvement de recul inconscient, le visage déformé par une aversion qu’elle ne cherchait même pas à cacher.
La blonde s’était attendue à de tels événements dans une ville aussi pourrie que Decay en plein chaos. Néanmoins, appréhender les choses ne les rendaient pas plus facile à vivre. Bijou était effrayée. Elle pensa à sa sœur, à Ace, et se rendit compte qu’il y aurait bien peu de personnes pour la pleurer. Ace serait-il triste de sa disparition ? Elle baissa les yeux un instant, pensive.
Elle survivrait quand même.
Qu’on l’aime ou non.
Elle releva la tête avec un sourire forcé, ses yeux plissés de mépris comme à son habitude. Non pas pour dégager de l’hostilité bien qu’un peu, mais surtout pour se rendre intimidante. Dominante. Il ne fallait surtout pas se montrer faible, même face à un flingue. Bijou croisa les bras pour cacher ses mains tremblantes de peur. Ensuite elle lança un regard furtif à ses acolytes. Elle doutait que de parfaites inconnues puissent se comprendre sans parler pour autant, les yeux affolés qu’elle leur accorda ne laissaient pas à douter quand à la comédie qu’elle s’apprêtait à jouer. Elle espérait que les deux autres filles trouveraient un moyen de désarmer le dégoûtant inconnu pendant qu’elle l’occuperait.
« Payer quoi ? Qu’a-t-on à gagner en échange ? » Elle augmenta son sourire ; difficile de savoir s’il s’agissait d’une plaisanterie ou si elle était sérieuse. « On est seules, et on s’ennuie. Enfin, moi, je sais pas pour elles, mais j’ai pas besoin d’avoir un flingue braqué sur moi pour avoir envie de m’amuser un peu, tu vois ? » Elle grimaça. « Je suis même prête à passer outre les règles d’hygiène, c’est dire. »
Elle maintenait son sourire avec difficulté. Les larmes nouaient ses cordes vocales et il devint de plus en plus difficile pour la peste de garder un ton neutre, presque distant. Appelant tout son courage elle décroisa ses bras pour afficher la paume de ses mains désarmées sans trembler. Elle s’approcha lentement vers l’étranger.
« Ne soyons pas pressés, d’accord ? On a tout le temps. On est tous coincés ici, après tout, non ? »
Elle espérait que son baratin puisse le distraire ou, à défaut, faire baisser sa garde. Il lui serait bien difficile de la peloter avec une arme en main, après tout.
« On peut déjà essayer de caler les planches. » répondit la blonde en saisissant avec difficulté l’une d’elles.
Elle galéra à la poser par-dessus le cabinet, se demandant si finalement elle était assez solide pour ne pas s’effondrer quand soudain, quelqu’un sortit d’une trappe au milieu de la poussière.
Bijou fixa l’homme. Elle ne savait pas qui il était mais la peste savait une chose : elle le trouvait dégueulasse, selon ses propres mots gardés en son for intérieur. Elle se pinça la lippe et eut un mouvement de recul inconscient, le visage déformé par une aversion qu’elle ne cherchait même pas à cacher.
La blonde s’était attendue à de tels événements dans une ville aussi pourrie que Decay en plein chaos. Néanmoins, appréhender les choses ne les rendaient pas plus facile à vivre. Bijou était effrayée. Elle pensa à sa sœur, à Ace, et se rendit compte qu’il y aurait bien peu de personnes pour la pleurer. Ace serait-il triste de sa disparition ? Elle baissa les yeux un instant, pensive.
Elle survivrait quand même.
Qu’on l’aime ou non.
Elle releva la tête avec un sourire forcé, ses yeux plissés de mépris comme à son habitude. Non pas pour dégager de l’hostilité bien qu’un peu, mais surtout pour se rendre intimidante. Dominante. Il ne fallait surtout pas se montrer faible, même face à un flingue. Bijou croisa les bras pour cacher ses mains tremblantes de peur. Ensuite elle lança un regard furtif à ses acolytes. Elle doutait que de parfaites inconnues puissent se comprendre sans parler pour autant, les yeux affolés qu’elle leur accorda ne laissaient pas à douter quand à la comédie qu’elle s’apprêtait à jouer. Elle espérait que les deux autres filles trouveraient un moyen de désarmer le dégoûtant inconnu pendant qu’elle l’occuperait.
« Payer quoi ? Qu’a-t-on à gagner en échange ? » Elle augmenta son sourire ; difficile de savoir s’il s’agissait d’une plaisanterie ou si elle était sérieuse. « On est seules, et on s’ennuie. Enfin, moi, je sais pas pour elles, mais j’ai pas besoin d’avoir un flingue braqué sur moi pour avoir envie de m’amuser un peu, tu vois ? » Elle grimaça. « Je suis même prête à passer outre les règles d’hygiène, c’est dire. »
Elle maintenait son sourire avec difficulté. Les larmes nouaient ses cordes vocales et il devint de plus en plus difficile pour la peste de garder un ton neutre, presque distant. Appelant tout son courage elle décroisa ses bras pour afficher la paume de ses mains désarmées sans trembler. Elle s’approcha lentement vers l’étranger.
« Ne soyons pas pressés, d’accord ? On a tout le temps. On est tous coincés ici, après tout, non ? »
Elle espérait que son baratin puisse le distraire ou, à défaut, faire baisser sa garde. Il lui serait bien difficile de la peloter avec une arme en main, après tout.
- Spoiler:
- Alors qu'elle parvient difficilement à poser une planche pour les barricader, Bijou avise avec dégoût le nouvel arrivant. Elle est complètement effrayée mais veut survivre avant tout. Comprenant qu'elle ne parviendrait pas à survivre seule, elle décide de servir d'appât et approche Augustus en se montrant désarmée. Elle prie pour que ses compagnons l'assoment ou le désarment a minima, ne voulant certainement pas subir le moindre attouchement. En attendant, elle baratine.
79 Aucune ! Tatoueuse. Quand elle finira folle
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Aucune !
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Tatoueuse.
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Quand elle finira folle
Re: Event Hurricane - Groupe 1
Lun 28 Sep - 1:14
Alors qu’elle faisait sa petite séance de bricolage, Lucyle regardait les autres avant de se tourner vers le vieux grincheux qui venait de sortir de la poussière. De la poussière ? Depuis combien de temps était-il ici ? Est-ce qu’il les épiait comme le vieux pervers qu’il était depuis qu’elles étaient arrivée ? Ça expliquerait sa façon de surgir de l’ombre comme il vient de le faire. C’est quoi ce vieux croûton ? Il était loin d’être le genre de la tatoueuse en tout cas. Elle aurait voulu le dire à voix haute, mais ce n’était clairement pas le moment de jouer avec le feu.
Elle regardait ses compagnes, et surtout Bijou parler. C’était une blague hein ? Elle ne comptait pas réellement se le faire n’est-ce pas ? En tout cas, la tatouée ne l’entendait pas de cette oreille. Elle ne savait pas si c’était un signal quelconque lorsque la blonde avait commencé son charabiât, mais elle ne comptait pas rester immobile bêtement pendant que l’une jouait la comédie afin que les autres puisse agir sans attirer l’attention du vieux plouc. Luce s’était doucement écartée, voyant que l’inconnu avait concentrée son attention sur Bijou, cherchant le moindre objet qui puisse être une solution. Un tuyau ! Un vieux tuyau en métal qui devait sûrement provenir d’une tuyauterie quelconque, mais ça marchait quand même ! Luce se baissa doucement, sans faire le moindre bruit et attrapa le morceau de métal pour s’en armer. Elle n’avait pas le droit à l’erreur.
Pendant un instant, elle s’était mise à jouer le jeu pour éviter d’éveiller tout type de soupçon, même si ça l’écœurait de jouer ce rôle. Non mais sérieusement, qui voudrait de ce crouton poilu et qui puait par-dessus le marché. Déjà que sa voix n’était pas une belle mélodie, son odeur n’était pas un régal pour ses narines.
« Puisqu’on est seules… C’est vrai que ce serait dommage de ne pas en profiter. » Puis elle glissait derrière lui avec une démarche féline, avant de brandir son arme et prendre de l’élan pour le frapper un bon coup derrière la tête.
Le coup était assez fort pour que le vieillard tombe d’un coup au sol. Il ne bougeait plus. Certes il y avait un peu de sang au bout de son tuyau, mais elle avait été incapable de mesurer sa force. Elle lâcha le tuyau d’un coup, s’écartant au passage du corp inconscient.
« Oh merde.... Bordel ! » Elle tentait de garder son calme et ne pas paniquer tout en respirant un bon coup, avant de s’approcher de Bijou. « E-Est-ce que ça va… ? Tu n’as rien… ? Au moins, là il ne touchera personne. C'était très courageux ce que t'as fait. » Elle posait sa main sur son épaule, comme si elle essayait de la rassurer.
- Spoiler:
- Lucyle découvre avec autant de dégoût que Bijou qu'elles n'étaient pas seules dans cette boutique de pêche. Comprenant qu'elle n'avait pas beaucoup de temps devant elle pour agir, la tatoueuse profite du moment où Bijou arrive à capter l'attention d'Augustus pour chopper un vieux tuyau en métal. profitant du fait qu'il ait baissé sa garde pendant que Bijou baratinait, elle frappe August en pleine tête, l'assommant sur le coup. Luce se dirige ensuite vers Bijou après s'être calmée, comme pour tenter de la consoler face à cette épreuve.
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