Decay
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Aux abords du checkpoint et servant d'antichambre à l'enfer de Decay se trouve le quartier de Napoli. Territoire contrôlé par la famille Lombardi, c'est un endroit plein de vie qui se veut un peu plus distingué que les autres quartiers. Nommé en référence à la ville d'origine des Lombardi, le quartier n'a pas grand chose de typiquement italien dans sa structure ou son architecture plus proche du modèle new-yorkais. Cependant, on remarque de nombreux magasins de marques italiennes de luxe sur la Quinta Strada, et les restaurants de spécialités d'Europe du sud et de l'Ouest pullulent dans le coin. A l'image du gang qui le gère, le quartier ne semble pas coller à l'image que l'on aurait de l'italie ou de la pègre. Mais à bien regarder, le nom de Lombardi semble apparaître bien trop souvent pour que ce soit anodin.
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Mis à mal par le passage d'Isaac, les Docks présentent les squelettes des anciens entrepôts, désormais à ciel ouvert. Toute la zone Nord est sinistrée, abandonnée pour l'heure, alors qu'une reconstruction timide se déploie sur les ruines laissées par la tempête. Le marché existe toujours, bien qu'amputé d'une part de sa superficie originelle, mais les rares hangars encore disponibles sont désormais loués à prix d'or, la Triade réclamant un tribut conséquent à quiconque souhaite disposer d'une place sur les quais restants.
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Territoire administré par les Yakuza, Kabukicho est comme un petit morceau de métropole japonaise au coeur d'une île cosmopolite. S'il n'y a pas de frontière à proprement parler en entrant dans le quartier, toutes les enseignes y sont à minima bilingue, voir totalement en japonais. Les commerces autant que les habitations se sont mués pour correspondre aux standards des grandes villes japonaises tant en terme de superficie que d'aménagement. A priori plus propre que les autres territoires, Kabukicho en est presque accueillant, les commerçants se montrant plutôt avenants avec les clients de toutes provenances mais il ne faut pas s'y tromper : venir vivre dans le quartier est bien plus complexe que de s'y promener, et les Yakuza surveillent chaque âme errant dans le coin.
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Mal famé, c’est le moins qu’on puisse dire. Le quartier russe rassemble une population qui parle peu anglais, refermée sur elle-même et avec laquelle il est souvent compliqué de communiquer. Le troc est la monnaie d’échange principale ici, et la méfiance règne envers tous ceux qui n’ont pas les bons codes. L’arène est un bon moyen de se faire un nom, de gagner une forme de respect, ou simplement d’assister à des spectacles brutaux qui sauront satisfaire le sadisme des organisateurs. De nombreux bâtiments sont abandonnés, offrent aux regards curieux la vision apocalyptique de leurs grandes structures éventrées, mais ne sont pas inhabités pour autant. Prudence, dans les ombres stagnante règne toute une faune rompue à la survie.
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Zone dangereuseLieux et PNJ
Dès la création de Neo-Atlantis, la zone connue aujourd'hui comme Medellin n'était pas faite pour être réputée. Gros quartier dortoir sans attrait culturel ou commercial, c'était surtout un territoire grouillant de population tel une fourmilière bouillonnante des allées et venues de ceux qui s'y étaient établi à priori provisoirement. Au final, s'il a été réquisitionné par le Cartel Polvo Blanco, c'est essentiellement parce qu'il ne paie pas de mine et peut cacher aisément n'importe quelle activité dans les murs vétustes de ses nombreux immeubles. Depuis l’installation de l'Église de l'Union au nord, il reprend néanmoins de plus en plus vie, voyant fleurir quelques initiatives citoyennes surveillées par le Cartel d'un oeil méfiant.127
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Territoire le plus étendu, Chicago doit son intérêt et sa puissance à la grande variété de ce qu'il contient. Zone la plus cosmopolite, c'est un quartier qui s'enrichit des dissemblances de tous les groupes qui le composent autant qu'il souffre des quelques échauffourées de gangs mineurs. Parti de loin, se construisant petit à petit sur les ruines d'un quasi no-man's land victime des affrontements permanents de clans qui ne pouvaient s'entendre, il commence à s'élever petit à petit pour tenir tête aux autres territoires tout en attirant les déçus qui fuient leurs déconvenues auprès des autres mafias. Grâce à l'hôpital central, Chicago est de toute façon un passage obligé à la neutralité toute relative pour la majorité des habitants de Decay. Mais avec le développement progressif de son Red Light District, le quartier commence aussi à se faire un nom pour lui-même.
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