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Re: Event Hurricane - Groupe 1
Jeu 1 Oct - 12:03
HURRICANE GRP. 1
Il approchait ses mains. C’en devenait insoutenable pour Bijou qui dû fait appel à toutes ses qualités de comédienne pour maintenir un sourire fallacieux. Ses tripes se tordaient dans tous les sens et son coeur battait vite. Concentrée sur l’homme aux allures de clochard, Bijou ne put pas voir Lucyle s’armer avant de se glisser derrière l’étranger. Aussi, lorsqu’elle l'assomma, la jeune fille cria tout en reculant de plusieurs pas, sa poitrine barrée par son bras. Elle baissa les yeux sur le corps inerte.
« Il… Il est mort ? » demanda-t-elle sans avoir le courage de vérifier elle-même.
Son regard resta vague sur cet inconnu immobile. Le son du métal fracassant le crâne de l’agresseur résonnait dans la tête de la jeune femme. Lorsque l’autre vint vers elle, inquiète, Bijou semblait revenir d’un autre monde. Ses yeux devinrent ronds et, enfin, elle réalisa les événements. Aussitôt des larmes s’empressèrent de monter à ses yeux affolés, ses lèvres tremblant autant que ses mots :
« Oui… Non ? Euh… » balbutia-t-elle avant de, finalement, fondre en larmes. Elle ne geignit pas cependant, souhaitant rester forte. Elle renifla. « M-Merci… » articula-t-elle difficilement, peu habituée à remercier qui que ce soit, « Toi aussi. J’aurais jamais réussi à le frapper… »
Les bras ballants elle resta un instant droite comme un piquet, ses yeux obsédés par le corps inerte. Quand soudain elle lâcha un « Ah ! » plein d’illumination, son esprit redevenant enfin lucide. Bijou se hâta jusqu’au sac à dos qu’elle avait volé et en retira les sangles qu’elle avait également dépouillé plus tôt. « Tu as l’air d’avoir plus de force que moi, dit-elle en tournant sur ses talons, tu saurais faire des noeuds solides ? »
En revenant, elle dégagea avec son pied l'arme encore tenue dans la main de l'agresseur. Ensuite, non sans grimaçer de dégoût, Bijou attrapa les bras de l’étranger pour que Lucyle l’aide à les nouer. Elle voulait le neutraliser : au moins il ne pourrait pas leur faire du mal les mains attachées.
« Beurk, il est dégueulasse ! » se plaignit-elle. « Je veux me laver les maiiins ! » renchérit-elle avant de gonfler ses joues de dépit. « L’une de vous sait se servir d’une arme à feu ? On devrait la prendre avec nous, au cas où. »
Cela impliquait de leur faire confiance. Mais après tout Lucyle venait de lui sauver la vie, ou, au moins, le corps. Tandis qu’elle s’attelait à sa besogne, le regard de la blonde chercha du regard l’endroit d’où l’inconnu était apparu.
« Vous croyez qu’elle mène où, cette trappe ? On sera plus en sécurité sous terre si c’est solide, non ? »
Il approchait ses mains. C’en devenait insoutenable pour Bijou qui dû fait appel à toutes ses qualités de comédienne pour maintenir un sourire fallacieux. Ses tripes se tordaient dans tous les sens et son coeur battait vite. Concentrée sur l’homme aux allures de clochard, Bijou ne put pas voir Lucyle s’armer avant de se glisser derrière l’étranger. Aussi, lorsqu’elle l'assomma, la jeune fille cria tout en reculant de plusieurs pas, sa poitrine barrée par son bras. Elle baissa les yeux sur le corps inerte.
« Il… Il est mort ? » demanda-t-elle sans avoir le courage de vérifier elle-même.
Son regard resta vague sur cet inconnu immobile. Le son du métal fracassant le crâne de l’agresseur résonnait dans la tête de la jeune femme. Lorsque l’autre vint vers elle, inquiète, Bijou semblait revenir d’un autre monde. Ses yeux devinrent ronds et, enfin, elle réalisa les événements. Aussitôt des larmes s’empressèrent de monter à ses yeux affolés, ses lèvres tremblant autant que ses mots :
« Oui… Non ? Euh… » balbutia-t-elle avant de, finalement, fondre en larmes. Elle ne geignit pas cependant, souhaitant rester forte. Elle renifla. « M-Merci… » articula-t-elle difficilement, peu habituée à remercier qui que ce soit, « Toi aussi. J’aurais jamais réussi à le frapper… »
Les bras ballants elle resta un instant droite comme un piquet, ses yeux obsédés par le corps inerte. Quand soudain elle lâcha un « Ah ! » plein d’illumination, son esprit redevenant enfin lucide. Bijou se hâta jusqu’au sac à dos qu’elle avait volé et en retira les sangles qu’elle avait également dépouillé plus tôt. « Tu as l’air d’avoir plus de force que moi, dit-elle en tournant sur ses talons, tu saurais faire des noeuds solides ? »
En revenant, elle dégagea avec son pied l'arme encore tenue dans la main de l'agresseur. Ensuite, non sans grimaçer de dégoût, Bijou attrapa les bras de l’étranger pour que Lucyle l’aide à les nouer. Elle voulait le neutraliser : au moins il ne pourrait pas leur faire du mal les mains attachées.
« Beurk, il est dégueulasse ! » se plaignit-elle. « Je veux me laver les maiiins ! » renchérit-elle avant de gonfler ses joues de dépit. « L’une de vous sait se servir d’une arme à feu ? On devrait la prendre avec nous, au cas où. »
Cela impliquait de leur faire confiance. Mais après tout Lucyle venait de lui sauver la vie, ou, au moins, le corps. Tandis qu’elle s’attelait à sa besogne, le regard de la blonde chercha du regard l’endroit d’où l’inconnu était apparu.
« Vous croyez qu’elle mène où, cette trappe ? On sera plus en sécurité sous terre si c’est solide, non ? »
- Spoiler:
- Bijou est encore sous le choc : elle a eu très peur. Elle revient à elle, pleure, mais retrouve rapidement ses esprits. Elle souhaite attacher les mains d'Augustus et demande à Lucyle de l'aider pour ça. Elle demande au groupe si l'une d'elles sait se servir d'une arme et suggère de la garder avec elles. Enfin, non sans se plaindre de l'état du corps inerte, Bijou propose de manière indirecte de descendre par là d'où est venu Augustus.
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Re: Event Hurricane - Groupe 1
Ven 2 Oct - 18:02
Lucyle tente un petit sourire réconfortant pour que la blonde qui a servi de « distraction », puisse s’en remettre. Même si au fond, elle était aussi paniquée qu’elle. Encore une fois, même si elle avait pris son courage à deux mains pour pouvoir frapper l’inconnu en pleine tête, son esprit était parti dans une autre dimension, quittant le corps de la jeune femme. Luce avait eu le temps de faire trois nouveaux arrêts cardiaques, une dépression et vider un pot de glace. Enfin… Dans sa tête, bien sûr. Et pourtant, même si elle n’avait rien montré, elle en avait juste la chair de poule.
« Je… Je sais pas… Et je pense que je préfère ne pas savoir ! » Fit-elle tout en posant ses mains sur ses propres bras pour les frotter, comme pour enlever les frissons qui lui ont parcouru tout le corps. Elle lâche un petit gloussement de dégoût en voyant le corps immobile, avant de reporter son attention sur Bijou. « Euh.. Ouais
Enfin.. Je crois..? Enfin, pour la force. » Elle prit les sangles avant de regarder une nouvelle fois le corps. « Ok Luce… Tu peux y arriver sans gerber... »
Gloups.
Elle s’en approche doucement et prends une grande inspiration. La tatoueuse remercie Bijou d’un signe de la tête, arrivant à l’attacher et l’immobiliser pour de bon. Une fois que c’était fait, Luce s’était relevée et mise à sautiller doucement en jurant, pleine de dégoût. Quelle horreur ! Elle tira même la langue pour bien exprimer son dégoût. Elle s’était permise de lui donner un léger coup de pied dans la jambe du vieillard avant de regretter amèrement son geste. Cela impliquerait qu’elle allait devoir désinfecter ses bottes si elles parviennent à sortir de ce pétrin, vivantes.
La blonde regardait l’arme à feu, l’examinait, hésitant à la prendre.
« Hum… Je peux la prendre si vraiment personne ne peut s’en charger. » Elle jette un dernier regard à la petite troupe, guettant la moindre réaction qui pourrait indiquer que l’une d’entre elles souhaiterait manipuler cet objet. « Et je sais pas où elle peut mener, mais quitte à ce qu’elle nous abrite en laissant l’autre dehors. » Il valait mieux penser à une chance de survie plutôt que ce qu’il pouvait s’y trouver à l’intérieur. C’était très probable de retrouver des insectes rampants, des rats, et des, potentiellement, morts.
Cette pensée lui provoqua encore un frisson désagréable le long de la colonne vertébrale. Urg.
- Spoiler:
- Luce tente un acte de réconfort envers Bijou avec un simple sourire. Elle accepte de prendre les sangles et d'attacher le vieux plouc avec son aide, non sans exprimer son dégoût envers cette personne. Une fois ceci fait, elle jette un oeil à la trappe, non sans demander à qui souhaiterai porter l'arme pour se défendre.
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Re: Event Hurricane - Groupe 1
Lun 5 Oct - 19:22
HURRICANE GRP. 1
Bijou songea qu’elle s’était donnée le mauvais rôle, à devoir tenir les poignets de l’homme dégoûtant pendant que Lucyle le nouait. Si elle avait tenu les sangles probablement aurait-elle pu éviter un maximum de toucher cette peau collante. La vue des ongles encrassés lui donna un haut-le-cœur et la princesse tourna d’un coup la tête sur le côté, n’arrivant plus à regarder.
« Ça me va de prendre le flingue mais je sais pas tirer… J’ai peur que ce soit dangereux… Quelqu’un sait mettre la sécurité sur ce truc ? » demanda-t-elle.
Quand enfin la besogne fut achevée la peste ne se fit pas prier pour recula d’un bond, marmonnant des « beurk, beurk, beurk » d’aversion. Une fois un peu plus calmée, après avoir vainement secoué ses mains comme pour les sécher, Bijou s’approcha de la trappe.
« Aussi dégueulasse que lui... » laissa-t-elle s’échapper avant de s’agenouiller. « Y’a une échelle en fer. On descend, alors ? »
Bijou hésita un instant. Comme pour la presser, une bourrasque qui dû emporter quelque chose de lourd avec elle frappa fort la vitrine du magasin. Le bruit fut fracassant : la blonde n’avait pas envie d’aller constater les dégâts, le son des bris de verre et du vent hurlant lui suffisait. Utilisant l’envers de ses mains pour ne pas salir son manteau, elle mit sa capuche, pour se rassurer.
« Bon, faut y aller ! »
Si l’ouragan n’avait pas frappé, jamais la peste ne serait partie devant. Cependant, paniquée, elle prit son courage à deux mains et se mit en arrière et commença sa descente. Elle avait peur de glisser en descendant en avant ; et puis, elle n’était plus une enfant. Probablement.
Bijou songea qu’elle s’était donnée le mauvais rôle, à devoir tenir les poignets de l’homme dégoûtant pendant que Lucyle le nouait. Si elle avait tenu les sangles probablement aurait-elle pu éviter un maximum de toucher cette peau collante. La vue des ongles encrassés lui donna un haut-le-cœur et la princesse tourna d’un coup la tête sur le côté, n’arrivant plus à regarder.
« Ça me va de prendre le flingue mais je sais pas tirer… J’ai peur que ce soit dangereux… Quelqu’un sait mettre la sécurité sur ce truc ? » demanda-t-elle.
Quand enfin la besogne fut achevée la peste ne se fit pas prier pour recula d’un bond, marmonnant des « beurk, beurk, beurk » d’aversion. Une fois un peu plus calmée, après avoir vainement secoué ses mains comme pour les sécher, Bijou s’approcha de la trappe.
« Aussi dégueulasse que lui... » laissa-t-elle s’échapper avant de s’agenouiller. « Y’a une échelle en fer. On descend, alors ? »
Bijou hésita un instant. Comme pour la presser, une bourrasque qui dû emporter quelque chose de lourd avec elle frappa fort la vitrine du magasin. Le bruit fut fracassant : la blonde n’avait pas envie d’aller constater les dégâts, le son des bris de verre et du vent hurlant lui suffisait. Utilisant l’envers de ses mains pour ne pas salir son manteau, elle mit sa capuche, pour se rassurer.
« Bon, faut y aller ! »
Si l’ouragan n’avait pas frappé, jamais la peste ne serait partie devant. Cependant, paniquée, elle prit son courage à deux mains et se mit en arrière et commença sa descente. Elle avait peur de glisser en descendant en avant ; et puis, elle n’était plus une enfant. Probablement.
- Spoiler:
- Bijou finit sa besogne avec Alyce. Augustus bien ligoté, elle hésite à descendre par la trappe mystère. Un bruit fracassant suggérant que la vitrine de la boutique ait été cassée, le son du vent confirmant l'hypothèse, Bijou ne cherche pas à vérifier quoi que ce soit et emboîte le pas pour descendre voir ou la trappe peut la mener.
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Re: Event Hurricane - Groupe 1
Lun 5 Oct - 19:39
La première chose qui vous frappe, quand vous commencez à descendre les escaliers de vieux bois bouffé par l'humidité, c'est l'odeur. Un mélange de poisson et autres crustacés aux fraîcheurs variables, et d'autre chose, difficile à discerner ou même identifier au milieu de tout ça. Ce qui est certain, c'est que ça vous prend le nez autant que les tripes, et qu'il y a fort à parier que vous trouvez là l'explication de l'odeur d'Augustus lui-même.
Lorsque vous arrivez tout en bas, vous découvrez une pièce assez grande - probablement de la même taille que le commerce lui-même. Elle est mal éclairée, les murs sont tout aussi sales l'escalier, mais bien épais, et isolé. Une large table divise l'espace en deux, sur laquelle sont entassés ossements et tripes de tailles variables. Si certains poissons partiellement découpés sont aisément identifiables comme l'origine de tout cela, le doute reste permis quant au reste. Contre les murs, vous trouvez des étagères en métal sur lesquelles s'alignent des boîtes en plastique semi-transparent d'où débordent ce qui semble être les articles vendus par le vieux Capitaine White. Et, au fond, tout à côté d'une porte blindée dont l'accès est bloqué par un container à ordures, se trouvent deux larges congélateurs de type coffre, aussi vieux que bruyants, mais toujours fonctionnels.
Derrière vous, calés dans un renfoncement jouxtant l'escalier, un vieux canapé en cuir élimé sur lequel est roulée en boule une grande couverture de laine aux mailles larges. Au sol, vous remarquez une glacière ouverte - débordant de bouteilles diverses - un réchaud à gaz au moins deux fois plus vieux que le Capitaine lui-même, et deux colonnes de boîtes de conserves de haricots blancs et flageolets. De toute évidence, le Capitaine avait de gros projets pour sa journée Ouragan.
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