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Re: [T1 : Speed-Dating] Caprice des dieux
Jeu 16 Juil - 20:27
Tout en cherchant maladroitement de l'air, Marie-Anne prêta une oreille attentive à la – longue – réponse de son interlocuteur, tâchant de s'accrocher du mieux qu'elle le put pour ne pas penser à quelque chose qui lui ferait perdre le fil de la conversation. C'était dur, très dur. N'avait-il pas appris à faire concis, à aller droit au but tout en restant pertinent et convaincant ? Bien sûr que non ; les arts et subtilités de l'oration échappaient à la plèbe. Marie-Anne ne pouvait pas en vouloir à son interlocteur d'être né serf. Pourtant, ce dernier n'était pas non plus à côté de la plaque. Même si son discours demeurait des plus inutilement allongés, Sa Majesté sut y déceler l'argument principal auquel elle se contenta de rire doucement, non pas pour se moquer mais plutôt pour l'approuver poliment.
« Si vous saviez à quel point ces gentilshommes, malgré leurs manières raffinées et leur statut prestigieux, ne savent effectivement pas faire la cour de façon plaisante. Ils ne m'arrachent généralement rien de plus que des courbettes et des mots d'excuses avant que je ne m'en aille. »
Sans en dire plus, elle se contenta de reprendre quelques gestes qu'elle avait récemment abandonné, venant de nouveau jouer du pied sous la table dès l'instant où Bruce se mit à parler de porno. Une façon bien directe d'aborder les choses. Pourtant, Marie-Anne ne parut pas plus offusquée que ça. Au contraire, elle laissa un simple geste la trahir ; une discrète morsure de la lèvre inférieure.
« Je ne suis malheureusement pas partageuse. Si nous venions à faire quoi que ce soit, je vous garderais rien que pour moi. Pour souigner son égoïsme et son désir d'être la seule à se l'approprier, elle resserra doucement l'emprise de ses mains autour de celles de l'homme tout en remontant délicatement l'un de ses pieds jusqu'à être en mesure de venir caresser l'intérieur de la cuisse de son vis-à-vis du bout de sa botte. Moi ? Voyons ! Ce sont des secrets qu'une femme ne révéle pas en public. Si vous voulez des réponses, il vous faudra me les arracher dans un contexte plus intime. »
Une invitation sans doute plus subtile que celle envoyée par l'homme, laquelle arracha toutefois un sourire amusé à la française. Eh bien voilà ! Comme quoi, il pouvait réellement se contenter du minimum et ne plus passer par quatre chemins. Alors, en guise de première réponse, Marie-Anne laissa son pied redescendre doucement sans manquer de caresser la jambe de Bruce de tout son long. Puis, après s'être quelque peu redressée et avancée par dessus la table, elle planta ses deux iris dans ceux de l'adonis, en quête de sa détermination, et l'invita à reprendre où il en était.
« Eh bien ? Je pensais les barbares plus prompts à prendre des initiatives. Me serais-je trompée ? »
« Si vous saviez à quel point ces gentilshommes, malgré leurs manières raffinées et leur statut prestigieux, ne savent effectivement pas faire la cour de façon plaisante. Ils ne m'arrachent généralement rien de plus que des courbettes et des mots d'excuses avant que je ne m'en aille. »
Sans en dire plus, elle se contenta de reprendre quelques gestes qu'elle avait récemment abandonné, venant de nouveau jouer du pied sous la table dès l'instant où Bruce se mit à parler de porno. Une façon bien directe d'aborder les choses. Pourtant, Marie-Anne ne parut pas plus offusquée que ça. Au contraire, elle laissa un simple geste la trahir ; une discrète morsure de la lèvre inférieure.
« Je ne suis malheureusement pas partageuse. Si nous venions à faire quoi que ce soit, je vous garderais rien que pour moi. Pour souigner son égoïsme et son désir d'être la seule à se l'approprier, elle resserra doucement l'emprise de ses mains autour de celles de l'homme tout en remontant délicatement l'un de ses pieds jusqu'à être en mesure de venir caresser l'intérieur de la cuisse de son vis-à-vis du bout de sa botte. Moi ? Voyons ! Ce sont des secrets qu'une femme ne révéle pas en public. Si vous voulez des réponses, il vous faudra me les arracher dans un contexte plus intime. »
Une invitation sans doute plus subtile que celle envoyée par l'homme, laquelle arracha toutefois un sourire amusé à la française. Eh bien voilà ! Comme quoi, il pouvait réellement se contenter du minimum et ne plus passer par quatre chemins. Alors, en guise de première réponse, Marie-Anne laissa son pied redescendre doucement sans manquer de caresser la jambe de Bruce de tout son long. Puis, après s'être quelque peu redressée et avancée par dessus la table, elle planta ses deux iris dans ceux de l'adonis, en quête de sa détermination, et l'invita à reprendre où il en était.
« Eh bien ? Je pensais les barbares plus prompts à prendre des initiatives. Me serais-je trompée ? »
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Re: [T1 : Speed-Dating] Caprice des dieux
Jeu 16 Juil - 22:57
Vu le côté tactile de la demoiselle en face de lui, Bruce était maintenant certain qu’elle était en période de rut qu’elle soit vierge ou non. On peut dire qu’elle a été terriblement chanceuse de tomber sur notre héro adoré, héro qui n’allait pas hésiter une seule seconde à sauver cette femme de ce terrible incendie qui la détruit de l’intérieur. Heureusement pour elle, Monsieur Holyman a toujours une lance de pompier prête à être déployer pour venir en rescousse aux jeunes femmes.
Bruce n’aurait aucun mal à faire atteindre à Marie le septième ciel. A lui donner un avant goût du paradis ou même à lui prouver sa fertilité mais… L’acte charnel ne se fait pas seul. Bruce était confiant de ses capacités, il l’avait prouvé plus d’une fois, plus d’une dizaine de fois, plus d’une centaine de fois. Avec des femmes de toutes origines, de tout caractères, des femmes de son âge, des femmes légèrement plus jeunes et des femmes ayant du vécu mais qu’en est-il de mademoiselle gothique dans tout ça ? Il allait devoir s’assurer de deux ou trois choses si elle souhaitait avoir la chance de devenir le réceptacle au divin liqueur de Bruce pour le temps d’une nuit. Coucher avec une princesse est un rêve mais subir ses caprices est autre chose.
Il fuit tendrement les mains de la demoiselle avant de se replacer de manière nonchalante sur sa chaise. Un bras derrière le dossier et un pied sur la chaise.
« - Un barbare sera toujours prêt à prendre des putains d’initiative pour avoir une princesse plus bonne que son voisin ou son meilleur pote. Moi, j’crois en mes capacités et une centaine d’autres femmes y croient aussi après avoir passé une ou plusieurs nuits avec moi et putain, t’as bien raison de pas vouloir me partager, ta pote aurait tout fait pour m’arracher à tes griffes et me garder rien que pour elle.»
Il sourit en imaginant cette scène, enfin en « repensant » à cette scène puisqu’elle était arrivée plusieurs fois au cours de la vie de Bruce. Deux meilleures amies qui finissent par « s’entretuer » pour avoir les faveurs de Bruce.
« - Bref, j’vais arrêter de tourner autour du cul de la cremière. Avec moi, tu vas vivre une putain de nuit, t’auras du mal à te relever le lendemain tellement tu vas trembler mais… Moi, dans tout ça ?»
Il se mit à son tour, à fixer la gothique dans l’iris de ses yeux.
« - Tu es peut-être une vierge inexpérimentée et ça serait certes un honneur d’être le premier chien errant à pouvoir tremper mon pinceau dans l’un de tes pots de peintures mais il y a une chose que j’deteste po mal dans l’cul. Tu vois, franchement, t’es une princesse pas mal, bien mieux gaulé que la plupart ici mais… Ce speed-dating est un peu comme la caverne d’ali-baba, avec un tas de trésors à découvrir donc tu vois, t’es vraiment pas mal mais…. On va inverser les rôles quelques minutes et tu vas me prouver que t’es le meilleur trésor ici car ça me ferait vraiment chier de te ramener à l’hôtel pour une partie de jambes en l’air et de me retrouver en réalité face à une étoile de mer qui fait rien d’autres que de se plaindre à base de « Bruce, tu vas trop vite », « Bruce, je suis bien cambré là ?», « Bruce, ça fait mal, on fait une pause » et j’en passe des plus belles qui vont m’emmerder encore plus. Alors princesse ? Qu’est-ce que tu comptes faire pour me prouver que t’es un putain de coup ? »
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Re: [T1 : Speed-Dating] Caprice des dieux
Ven 17 Juil - 2:00
Un mouvement de retrait. Si Marie-Anne commença par arquer un sourcil, elle n'en perdit néanmoins pas son sourire à l'entente des propos de Bruce. À en croire les paroles de ce dernier, il serait donc l'un des meilleurs coups de Decay, si ce n'était pas le meilleur. Au moins, il n'avait pas peur de vanter ses prouesses. Cependant, aussi tentatrices soient-elles, elles n'étaient que de simples paroles. Comment s'y fier pleinement ? Simple question de foi, de curiosité et peut-être un peu d'honnêteté de la part des locuteurs. Et en cas d'arnaque, la demoiselle se savait capable de riposter, de faire vivre un enfer à ses amants en cas de publicité mensongère ; elle pouvait être sacrément capricieuse lorsqu'elle le souhaitait. Sans doute avait-elle pesé ses mots afin de ne pas effrayer Bruce. Mais puisqu'on lui demandait à présent de vanter ses exploits, de se mettre en valeur, Marie-Anne se recula à son tour, cessa tout jeu de jambes pour revenir les croiser naturellement et ensuite ajuster la position de son buste.
« Très bien. Cessons de jouer et parlons sérieusement, ne serait-ce qu'un peu. Premièrement, je suis une véritable princesse. Une héritière, tout du moins. Mon acte de naissance m'en soit témoin. Quel que soit votre palmarès, je doute que vous ayez côtoyé beaucoup de dames nimbées d'un tel prestige. Qu'il y en ait une autre dans cette pièce relèverait du miracle. Deuxièmement, j'ai conscience de mes capacités et limites, et sais par conséquent que vos singeries ne s'appliquent guère à mon cas. De plus, mes caprices s'étendent également à ce domaine-ci. Je serais tout à fait capable de vous renvoyer d'où vous venez en cas de déception. Troisièmement, enchaîna-t-elle tout en posant ses mains sur la table our s'y appuyer avant de se relever et la contourner, je n'ai pas la moindre crainte de m'imposer, de définir les règles du jeu. Est-ce là le comportement d'une étoile de mer ? Et quatrièmement, poursuivit-elle tout en s'avançant vers lui. Puis, une fois suffisamment proche, elle se pencha vers l'avant et vint s'emparer de la cheville reposant sur la chaise pour la virer sans sommation. Après quoi, Marie-Anne pivota légèrement et posa son fessier sur la jambe de Bruce pour s'y asseoir. Je prends et obtiens ce que je désire. »
Passant alors une main dans la chevelure du prétendu barbare, Sa Majesté prit les devants et l'incita à relever la tête pour ensuite venir poser ses lèvres colorées sur celles de Bruce, scellant cette proximité par un baiser empoisonné et tentateur qu'elle n'hésita pas à faire passer au stade supérieur ; loin d'être prude, Marie-Anne se permit d'inviter sa langue à la fête. Avant même d'être un simple argument, ce baiser n'était qu'une mise en bouche, une entrée pour la faire patienter alors que tout ce qu'elle pouvait faire face à un tel public, c'était d'attirer les regards et sifflements en se montrant aussi entreprenante. Ce contact ne fut toutefois prolongé que pour quelques maigres secondes. Après tout, le temps commençait à leur manquer et ils auraient bientôt à se décider. Cependant, Marie-Anne ne daigna pas quitter son nouveau trône, à présent trop bien installée pour s'en séparer de si tôt.
« Ce geste n'a pas qu'une seule vocation, vint-elle murmurer au creux d'une oreille de Bruce. Il est aussi adressé à toutes les femmes de basse naissance ici présentes. Il est témoin de votre appartenance. Je refuse qu'une de ces plébéiennes vous subtilise. Est-ce suffisamment clair ? »
« Très bien. Cessons de jouer et parlons sérieusement, ne serait-ce qu'un peu. Premièrement, je suis une véritable princesse. Une héritière, tout du moins. Mon acte de naissance m'en soit témoin. Quel que soit votre palmarès, je doute que vous ayez côtoyé beaucoup de dames nimbées d'un tel prestige. Qu'il y en ait une autre dans cette pièce relèverait du miracle. Deuxièmement, j'ai conscience de mes capacités et limites, et sais par conséquent que vos singeries ne s'appliquent guère à mon cas. De plus, mes caprices s'étendent également à ce domaine-ci. Je serais tout à fait capable de vous renvoyer d'où vous venez en cas de déception. Troisièmement, enchaîna-t-elle tout en posant ses mains sur la table our s'y appuyer avant de se relever et la contourner, je n'ai pas la moindre crainte de m'imposer, de définir les règles du jeu. Est-ce là le comportement d'une étoile de mer ? Et quatrièmement, poursuivit-elle tout en s'avançant vers lui. Puis, une fois suffisamment proche, elle se pencha vers l'avant et vint s'emparer de la cheville reposant sur la chaise pour la virer sans sommation. Après quoi, Marie-Anne pivota légèrement et posa son fessier sur la jambe de Bruce pour s'y asseoir. Je prends et obtiens ce que je désire. »
Passant alors une main dans la chevelure du prétendu barbare, Sa Majesté prit les devants et l'incita à relever la tête pour ensuite venir poser ses lèvres colorées sur celles de Bruce, scellant cette proximité par un baiser empoisonné et tentateur qu'elle n'hésita pas à faire passer au stade supérieur ; loin d'être prude, Marie-Anne se permit d'inviter sa langue à la fête. Avant même d'être un simple argument, ce baiser n'était qu'une mise en bouche, une entrée pour la faire patienter alors que tout ce qu'elle pouvait faire face à un tel public, c'était d'attirer les regards et sifflements en se montrant aussi entreprenante. Ce contact ne fut toutefois prolongé que pour quelques maigres secondes. Après tout, le temps commençait à leur manquer et ils auraient bientôt à se décider. Cependant, Marie-Anne ne daigna pas quitter son nouveau trône, à présent trop bien installée pour s'en séparer de si tôt.
« Ce geste n'a pas qu'une seule vocation, vint-elle murmurer au creux d'une oreille de Bruce. Il est aussi adressé à toutes les femmes de basse naissance ici présentes. Il est témoin de votre appartenance. Je refuse qu'une de ces plébéiennes vous subtilise. Est-ce suffisamment clair ? »
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Re: [T1 : Speed-Dating] Caprice des dieux
Ven 17 Juil - 22:38
Bruce papillonna plusieurs fois des yeux suite à ce doux « french-kiss ». C’était impossible qu’une vierge puisse embrasser comme ça, elle avait obligatoirement pratiquer déjà sur d’autres cibles. M’enfin, ça lui déplaisait pas plus que ça, si elle savait aussi bien utiliser sa langue, il allait pouvoir lui présenter autre chose que ses lèvres.
« - Hey bah putain, on m’avait pas fait une galoche comme ça depuis un bout de temps… C’est pas pour me déplaire mais j’espère que ta langue est pas ton seul atout. Les prélis, c’est cool, mais bordel, je peux t’assurer que t’avoir en plat de résistance sera encore mieux ! Tu sais quoi ? J’ai une faim de Loup, on va aller régler ça rapidement.»
Il prit la jeune gothique dans ses bras avant de bondir hors de la chaise.
« - On va faire un deal, j’serai tien pour cette nuit et tu seras mienne aussi. Le hasard fait vraiment bien les choses ! Car t’es peut-être vierge mais on peut dire que c’est aussi ma première fois ! Première fois que j’vais pouvoir remplir une princesse !»
Maintenant debout, il en profita pour serrer sa conquête encore plus fort contre son torse, pour qu’elle puisse à la fois sentir la chaleur qui allait lui servir de couverture le soir même mais aussi sentir les muscles qui allaient lui servir d’oreiller.
« - Donc… Je t’emmène chez toi ou à l’hôtel ? J’t’aurai bien emmené chez moi mais j’vais t’avouer qu’étrangement, j’ai plus envie de m’occuper de ton cas plutôt que de celui de ma toiture. Bon, par contre, on est d’accord, on est bien parti pour une bonne baise et on va pas juste enfiler des perles en se regardant dans le blanc des yeux, hein ?»
La princesse était maintenant libre d’accepter cette union ou bien de prendre ses jambes à son cou. Si elle acquiesce, les deux tourtereaux s’en iront découvrir le corps de l’un et de l’autre. Des rumeurs racontent que les draps vont s’en souvenir plusieurs mois.
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Re: [T1 : Speed-Dating] Caprice des dieux
Sam 18 Juil - 3:45
Il semblait satisfait et au moins assez convaincu pour accorder le bénéfice du doute à la princesse. Cette dernière, ravie, laissa son sourire mutin s'étirer alors qu'elle prit place dans les bras de Bruce une fois que l'espace lui fut réservé. Elle se priva d'un geste théâtral envers l'assemblée, estimant qu'il n'y avait nul besoin de saluer la plèbe maintenant que son objectif avait été atteint. Tout le reste ne lui importait que peu.
« Je dois l'avouer, je n'ai pas joué cartes sur table. Il se peut que je vous réserve bien d'autres surprises. »
Loin d'elle l'envie de résister, elle se blottit contre lui tout en tâchant de ne pas lui rendre la marche difficile, cela malgré ses observations approfindies du torse découvert et de la main qui s'y pousait pour le caresser et en décrire les détails. Même si elle aura tout le temps pour cela une fois dans un lieu plus intime, Marie-Anne n'était pas du genre à se priver de ce qu'on lui offrait gracieusement, encore moins si l'offrande dont il était question répondait parfaitement à ses critères. Superficielle au possible, elle ne pouvait qu'être contentée par la présence d'un tel parti à ses côtés. Heureusement qu'elle n'avait pas cherché un partenaire avec lequel converser, auquel cas Bruce n'aurait même pas passé les qualifications. Il parlait trop. Comme un rustre, de surcroît. L'incarnation parfaite de la maxime « on ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre ».
« Trouvons-nous un hôtel. Il y a une certaine marche à faire jusqu'à chez moi, et je n'ai certainement pas envie de perdre mon humeur en chemin. Ou plutôt ne voulait-elle pas prendre le risque de se faire repérer par ses domestiques, lesquels iraient ensuite propager les rumeurs à son sujet. D'ailleurs, elle balaya les témoins actuellement présents dans la salle puis se détacha un instant de Bruce pour fouiller dans son sac à main duquel elle sortit ce qu'elle considérait comme des petites coupures ; en réalité, il y avait bien de quoi payer une dizaine de loyers. Des loyers à Neo-Atlantis. L'avantage d'avoir le contrôle sur les espèces circulant à Decay résidait dans le fait de toujours en avoir à disposition. Vous ne me connaissez ni d'Adam ni d'Eve, je suis ressortie seule, adressa-t-elle aux autres individus présents. Prenez tout. »
Une fois ceci fait, elle recentra son attention sur la damoiseau présent à ses côtés, non pas sans arquer un sourcil et en faisant tout son possible pour étouffer son début de rire moqueur au fond de la gorge. Après tant de mots et d'actes, il se montrait encore incertain quant à la conclusion de leur rencontre ? À quel point pouvait-il être simplet ? Soit. Sa Majesté daigna lui confirmer la chose d'un petit hochement de tête suivi d'une nouvelle réplique, laquelle se voulait la plus claire possible. Ne sait-on jamais, avec lui.
« Évidemment. À quoi pensiez-vous ? »
Enfin, quelques instants après, la fin du premier tour fut annoncée ; la fin de cet événement pour Marie-Anne, très probablement.
« Je dois l'avouer, je n'ai pas joué cartes sur table. Il se peut que je vous réserve bien d'autres surprises. »
Loin d'elle l'envie de résister, elle se blottit contre lui tout en tâchant de ne pas lui rendre la marche difficile, cela malgré ses observations approfindies du torse découvert et de la main qui s'y pousait pour le caresser et en décrire les détails. Même si elle aura tout le temps pour cela une fois dans un lieu plus intime, Marie-Anne n'était pas du genre à se priver de ce qu'on lui offrait gracieusement, encore moins si l'offrande dont il était question répondait parfaitement à ses critères. Superficielle au possible, elle ne pouvait qu'être contentée par la présence d'un tel parti à ses côtés. Heureusement qu'elle n'avait pas cherché un partenaire avec lequel converser, auquel cas Bruce n'aurait même pas passé les qualifications. Il parlait trop. Comme un rustre, de surcroît. L'incarnation parfaite de la maxime « on ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre ».
« Trouvons-nous un hôtel. Il y a une certaine marche à faire jusqu'à chez moi, et je n'ai certainement pas envie de perdre mon humeur en chemin. Ou plutôt ne voulait-elle pas prendre le risque de se faire repérer par ses domestiques, lesquels iraient ensuite propager les rumeurs à son sujet. D'ailleurs, elle balaya les témoins actuellement présents dans la salle puis se détacha un instant de Bruce pour fouiller dans son sac à main duquel elle sortit ce qu'elle considérait comme des petites coupures ; en réalité, il y avait bien de quoi payer une dizaine de loyers. Des loyers à Neo-Atlantis. L'avantage d'avoir le contrôle sur les espèces circulant à Decay résidait dans le fait de toujours en avoir à disposition. Vous ne me connaissez ni d'Adam ni d'Eve, je suis ressortie seule, adressa-t-elle aux autres individus présents. Prenez tout. »
Une fois ceci fait, elle recentra son attention sur la damoiseau présent à ses côtés, non pas sans arquer un sourcil et en faisant tout son possible pour étouffer son début de rire moqueur au fond de la gorge. Après tant de mots et d'actes, il se montrait encore incertain quant à la conclusion de leur rencontre ? À quel point pouvait-il être simplet ? Soit. Sa Majesté daigna lui confirmer la chose d'un petit hochement de tête suivi d'une nouvelle réplique, laquelle se voulait la plus claire possible. Ne sait-on jamais, avec lui.
« Évidemment. À quoi pensiez-vous ? »
Enfin, quelques instants après, la fin du premier tour fut annoncée ; la fin de cet événement pour Marie-Anne, très probablement.
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Re: [T1 : Speed-Dating] Caprice des dieux
Dim 19 Juil - 21:26
Bruce ne pu s’empêcher d’avoir un rictus au visage en la sentant approfondir la découverte de son torse. C’est qu’elle semblait aimer et bien curieuse de déballer ce cadeau de Noël avant l’heure. Qu’importe, cette petite chanceuse allait avoir la chance de vivre le réveillon en avance et d’en prendre plein les yeux, dans tous les sens du terme. Toujours les yeux rivés sur sa nouvelle dulcinée, il pu la remarquer sortir des liasses de billets. Devant un tel paquet de fric, le séduisant jeune homme ne mit à siffler.
« - Hey bah dit donc, c’est que tu te trimballes avec un paquet de pognons, toi ! Au moins, on aura droit à un bon petit dej l’lendemain… Ah oui, merde ! Où ai-je mis mes bonnes manières ! »
Il tendit sa main à la jeune gothique, un sourire aux lèvres, attendant que celle-ci lui saisisse pour l’emmener ailleur.
« - Dans tous les cas, comme j’l’ai dit, je suis nouveau dans cette putain de ville et j’ai fichtrement aucune idée où j’peux trouver un hôtel de ton calibre. Donc t’auras la chance de pouvoir dominer un jolie gaillard comme moi jusqu’à la chambre avant qu’on inverse les rôles !
Tic-tac, le gong avait déjà sonné depuis un petit moment, c’était la fin du premier tour mais aussi du speed-dating pour Bruce ainsi que pour la charmante demoiselle qui allait avoir la chance de pouvoir passer toute une nuit avec lui.
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