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58 Babushka et les Babushka boyz Slav à tout faire Boris ne meurt jamais, Boris quicksave toujours avant.
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Boris ne meurt jamais, Boris quicksave toujours avant.
[T1 : Speed-Dating ] Un seul ticket ? Pizdec !
Dim 12 Juil - 19:02
Encore une magnifique soirée pour Boris, de l'air frais, de l'ambiance, que demander de plus. Mais malheureusement, pas grand-chose à faire et un portefeuille vide faisait que je devais rentrer à la maison. Alors que je monte de ma voiture pour pouvoir rentrer, je vois qu'un Mudak a collé un prospectus sous mon essuie-glace. Blyat ! Il a cru que c'était une poubelle ? Un peu de respect, pour la Blyatmobile.
Je sors donc de ma voiture pour retirer ce déchet et le prenant en main, je m'aperçois qu'il est déjà tout abimé par la pluie. Tout ce qui en reste c'est une phrase et une adresse est OO Oooopa ! Buffet et boisson gratuite pour Boris !
Je remonte à la vitesse de l'éclair dans ma voiture et Davai Davai pour manger gratuit !
Arrivé sur place, je peux voir qu'il y a du beau monde, me garant tout prêt, voyant plein de gens sur leur 31. Je sens bien que, cette soirée va être mémorable pour moi, mais aussi Kakadu, car que serait Boris sans Kakadu pour juger de la qualité d'un restaurant ? Eh bien, je vous le donne en mille, pas grand-chose.
Je sors donc de la voiture, Kakadu sous le bras et fermant à clef la Blyatmobile.
Une fois à l’intérieur, eh bien, c'était très joli, accueillant et il y avait quand même pas mal de monde. C'est alors qu'un monsieur assez original se mit à parler alors que j'étais en train de chercher où se trouvait le buffet. Quoi ? Comment ça l'amour ? C'était pour ça la soirée . Oh Blyn, Boris est tombé dans un piège. Mais bon, il y a toujours cette histoire de buffet, donc bon, je vais rester un peu, qui sait, peut-être que ce sera Amusant.
Là je vois des gens nous remettre des numéros et moi, je me retrouve avec le sept et je vais donc de ce pas, vers la table en question. À ce moment-là, je peux apercevoir la personne avec qui je vais discuter tout en buvant. Une jolie femme du type asiatique, mais que je ne donnerais pas de pronostique pour dire ses origines. Je m'assieds, retirant Kakadu de mon dos pour l'installer donc et poliment je me présente
" Bonjour et enchanté de vous rencontrer ! je me présente, je m’appelle Boris et ici présent, mon fidèle compagnon Kakadu. À qui ai je le plaisir de parler ?"
Je sors donc de ma voiture pour retirer ce déchet et le prenant en main, je m'aperçois qu'il est déjà tout abimé par la pluie. Tout ce qui en reste c'est une phrase et une adresse est OO Oooopa ! Buffet et boisson gratuite pour Boris !
Je remonte à la vitesse de l'éclair dans ma voiture et Davai Davai pour manger gratuit !
Arrivé sur place, je peux voir qu'il y a du beau monde, me garant tout prêt, voyant plein de gens sur leur 31. Je sens bien que, cette soirée va être mémorable pour moi, mais aussi Kakadu, car que serait Boris sans Kakadu pour juger de la qualité d'un restaurant ? Eh bien, je vous le donne en mille, pas grand-chose.
Je sors donc de la voiture, Kakadu sous le bras et fermant à clef la Blyatmobile.
Une fois à l’intérieur, eh bien, c'était très joli, accueillant et il y avait quand même pas mal de monde. C'est alors qu'un monsieur assez original se mit à parler alors que j'étais en train de chercher où se trouvait le buffet. Quoi ? Comment ça l'amour ? C'était pour ça la soirée . Oh Blyn, Boris est tombé dans un piège. Mais bon, il y a toujours cette histoire de buffet, donc bon, je vais rester un peu, qui sait, peut-être que ce sera Amusant.
Là je vois des gens nous remettre des numéros et moi, je me retrouve avec le sept et je vais donc de ce pas, vers la table en question. À ce moment-là, je peux apercevoir la personne avec qui je vais discuter tout en buvant. Une jolie femme du type asiatique, mais que je ne donnerais pas de pronostique pour dire ses origines. Je m'assieds, retirant Kakadu de mon dos pour l'installer donc et poliment je me présente
" Bonjour et enchanté de vous rencontrer ! je me présente, je m’appelle Boris et ici présent, mon fidèle compagnon Kakadu. À qui ai je le plaisir de parler ?"
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Re: [T1 : Speed-Dating ] Un seul ticket ? Pizdec !
Dim 12 Juil - 20:19
Akemi s'était fendu un sourire immense en sortant de la voiture lorsque Ryuuji lui avait ouvert la porte, tournant la tête vers Usui qu'i avait invité. Le Red Light de Chicago était suffisamment dangereux pour qu'il prétende qu'ils accompagnait le petit brasseur pour sa sécurité. Avec une joie énigmatique, il avait repris le col d'Usui et vérifié la coiffure de Ryuuji avant de leur souhaiter "Ganbarimashou" ; faisons de notre mieux. L'instant d'après, il avait disparu, louvoyant entre les badauds en attendant de recevoir son numéro de tablée qui serait le sept. Un chiffre porte-bonheur ! Il s'assit doucement à la place qui lui fut réservée durant ce premier tour, posant un petit pochon de soie où il se trouvait quelques petits présents - politesse oblige - destinés aux participants ; rien de fou, mais l'intention faisait plus que l'objet dans la tradition japonaise.
Akemi était un individu flamboyant qu'il était difficile de louper. Avec ses vêtement traditionnels un peu ostentatoires - un hakama de coton gris satiné et un kosode en soie damassée vert et or, les cheveux détachés bordant ses épaules, il portait des vêtements masculins cependant ajusté à sa taille particulière, pour mettre l'emphase sur son élégance tout comme sur sa finesse ; tout était pensé. C'est alors que son interlocuteur du tour fit son entrée, personnage pour le moins singulier qu'il avait le souvenir d'avoir déjà vu quelque part tout en ne fréquentant jamais les russes.
"Kakadu ?", s'étonna le jeune homme, se remémorant soudain ses récentes discussions virtuelles.
Un sourire illumina son visage, amusé de la coïncidence. Il parlait d'une voix claire mais masculine, ne travestissant aucun de ses aspects ce soir. Faisant poliment signe de la main à l'homme à l'ushanka de s’asseoir en face de lui, il demeura tout sourire tout en se souvenant que dans un speed dating, le temps était un peu compté et il fallait aller à l'essentiel. Mais que c'était drôle ! Et qu'il était poli ! Etait-il gay, lui aussi ? L'idée lui semblait un peu surprenante, mais pourquoi pas.
"Konbanwa Boris-san, Kakadu-san", il se permit un petit rire étouffé sous sa main, "Je m’appelle Mishima, Akemi Mishima. Mais nous nous sommes déjà parlé, je suis Hanaogi, l'homme aux tatouages de chrysanthèmes. Je vous ai reconnu parce que vous aviez mis des photos sur votre profil.... et grâce à Kakadu !"
Il se garda poliment de tout autre commentaire, comme de demander son orientation directement à l'intéressé ou même de savoir ce qu'il y avait sous l'anonymat de ce visage masqué. C'était original et amusant, et cela mit le yakuza d'excellente humeur.
"Quelle délicieuse coïncidence !", dit-il en riant.
Akemi était un individu flamboyant qu'il était difficile de louper. Avec ses vêtement traditionnels un peu ostentatoires - un hakama de coton gris satiné et un kosode en soie damassée vert et or, les cheveux détachés bordant ses épaules, il portait des vêtements masculins cependant ajusté à sa taille particulière, pour mettre l'emphase sur son élégance tout comme sur sa finesse ; tout était pensé. C'est alors que son interlocuteur du tour fit son entrée, personnage pour le moins singulier qu'il avait le souvenir d'avoir déjà vu quelque part tout en ne fréquentant jamais les russes.
"Kakadu ?", s'étonna le jeune homme, se remémorant soudain ses récentes discussions virtuelles.
Un sourire illumina son visage, amusé de la coïncidence. Il parlait d'une voix claire mais masculine, ne travestissant aucun de ses aspects ce soir. Faisant poliment signe de la main à l'homme à l'ushanka de s’asseoir en face de lui, il demeura tout sourire tout en se souvenant que dans un speed dating, le temps était un peu compté et il fallait aller à l'essentiel. Mais que c'était drôle ! Et qu'il était poli ! Etait-il gay, lui aussi ? L'idée lui semblait un peu surprenante, mais pourquoi pas.
"Konbanwa Boris-san, Kakadu-san", il se permit un petit rire étouffé sous sa main, "Je m’appelle Mishima, Akemi Mishima. Mais nous nous sommes déjà parlé, je suis Hanaogi, l'homme aux tatouages de chrysanthèmes. Je vous ai reconnu parce que vous aviez mis des photos sur votre profil.... et grâce à Kakadu !"
Il se garda poliment de tout autre commentaire, comme de demander son orientation directement à l'intéressé ou même de savoir ce qu'il y avait sous l'anonymat de ce visage masqué. C'était original et amusant, et cela mit le yakuza d'excellente humeur.
"Quelle délicieuse coïncidence !", dit-il en riant.
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Re: [T1 : Speed-Dating ] Un seul ticket ? Pizdec !
Dim 12 Juil - 22:15
Cette personne connaît Kakadu . C'est ce que je me dis quand elle dit son nom, me disant que, elle ne peux pas être trop vieille pour comprendre ce que je dis, je sais que j'ai un accent très prononcé, mais quand même.
Et tien, un nouveau truc intrigant, elle avait une drôle de voix pour une femme.
La politesse de sa part ne tarda pas et cela me réjouissait dans ce monde si froid et en proie à la violence, mais elle avait quand même une drôle de voix pour une femme, dans d'autre circonstances j'aurais dit que c'était un homme, mais bon, peut être une grosse fumeuse qui sait.
Mais c'est là qu'elle me révéla sa véritable identité et que OOooopa je m'étais trompé, mais était-ce si important pour Boris ? Non. C'était une personne à qui j'avais parlé sur internet, la dame au tatouage, enfin le monsieur au tatouage finalement. Je ne peux m’empêcher de rire sur le fait que Kakadu m'ait trahi, mais ce n'est pas grave, son charme fonctionne sur tout le monde et se serait bete de lui en vouloir pour un don qu'il ne peut s'empêcher d'avoir. Je tapotais donc gentiment la tette de Kakadu en disant avec joie
" Xaxaxa Kakadu superstar ! Je suis content de te rencontrer alors ! Toi aussi tu es venu pour le buffet à volonté ?"
Sur ses mots et voyant que les présentations étaient faite, j'ouvris ma sacoche bananée, sortant un premier verre à shot, puis un deuxième, ensuite je sortis ma flasque de vodka pour servir les deux verres, poussant le premier vers elle enfin lui, je pose la flasque sur le côté pour sortir un sachet en plastique et je lui en propose tout sourire.
" Semechki ?"
Je l'avais dit que cette soirée sentait bon l'amusement, Boris à toujours raison, enfin presque, mais la j'ai raison.
Et tien, un nouveau truc intrigant, elle avait une drôle de voix pour une femme.
La politesse de sa part ne tarda pas et cela me réjouissait dans ce monde si froid et en proie à la violence, mais elle avait quand même une drôle de voix pour une femme, dans d'autre circonstances j'aurais dit que c'était un homme, mais bon, peut être une grosse fumeuse qui sait.
Mais c'est là qu'elle me révéla sa véritable identité et que OOooopa je m'étais trompé, mais était-ce si important pour Boris ? Non. C'était une personne à qui j'avais parlé sur internet, la dame au tatouage, enfin le monsieur au tatouage finalement. Je ne peux m’empêcher de rire sur le fait que Kakadu m'ait trahi, mais ce n'est pas grave, son charme fonctionne sur tout le monde et se serait bete de lui en vouloir pour un don qu'il ne peut s'empêcher d'avoir. Je tapotais donc gentiment la tette de Kakadu en disant avec joie
" Xaxaxa Kakadu superstar ! Je suis content de te rencontrer alors ! Toi aussi tu es venu pour le buffet à volonté ?"
Sur ses mots et voyant que les présentations étaient faite, j'ouvris ma sacoche bananée, sortant un premier verre à shot, puis un deuxième, ensuite je sortis ma flasque de vodka pour servir les deux verres, poussant le premier vers elle enfin lui, je pose la flasque sur le côté pour sortir un sachet en plastique et je lui en propose tout sourire.
" Semechki ?"
Je l'avais dit que cette soirée sentait bon l'amusement, Boris à toujours raison, enfin presque, mais la j'ai raison.
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Re: [T1 : Speed-Dating ] Un seul ticket ? Pizdec !
Dim 12 Juil - 23:54
Akemi était agréablement surpris et ne le cacha pas, se fendant d'un sourire immense en accueillant chaleureusement l'homme masqué à leur table. Au détour d'un regard balayant la salle, il aperçut un visage familier qui le salua d'un geste de la main qu'il lui rendit avec entrain - celui du bel Alaric Constantine, ami de Lex et maintenant le sien dont il n'avait pas oublié la petite aventure amusante qui les avaient fait se rencontré il y avait un an. Offrant un clin d’œil malicieux à son ami, il retourna à son compagnon de Speed dating parce que ce n'était pas poli de sa part, d'autant plus que Boris avait l'air fort poli et accueillant ; c'était rare chez les russes, de son humble avis. Il avait un côté énergique et amical qui lui donnait un certain charme, il fallait bien le reconnaître. Il rit à la remarque du russe, toujours discrètement.
"C'est une jolie rencontre", il se redressa sur sa chaise, décidant de passer au tutoiement pour accompagner Boris, "tu sais des choses sur moi mais je ne sais rien de toi encore. Me parlerais-tu un peu de toi ? Ce que tu veux, je ne forces à rien."
Il lui sourit gentiment, s'installant plus confortablement sur sa chaise pour prendre son temps. Peu lui importait pour ce tour d'emballer ce pauvre Boris qui ne devait certainement pas être de ce bord. Peut-être était-ce une erreur ?
"C'est très aimable de ta part, merci", dit-il en se penchant en avant pour prendre le verre proposé, "comment dit-on en russe ? Chez moi on trinque en disant kampaï !", il regarda le petit sachet en plastique offert, et déclina très poliment, "c'est très généreux, mais je suis allergique aux fruits secs et à coques."
Comme aux graminées et aux arachides, pas de bol. Comprenant alors que Boris était surement venu pour le buffet à volonté et non pour la base du speed dating, Akemi réfléchit quelques secondes avec un air absorbé, en déduisant qu'il n'était probablement pas du même bord que lui. Pour en être sûr, il fut franc et totalement transparent.
"Oh, non : je suis venu rencontrer des hommes", sans se sentir gêné de ses choix, ni de sa légèreté et pour briser tout ce qui pouvait entraver une discussion saine et amusante, il continua sur sa lancée , "je suis gay, mais j'imagine que toi non, n'est-ce pas ? Je pose la question parce qu'on a peu de temps et que je veux être sûr. Désolé si ça peut sembler déplacé, loin de moi l'idée de vouloir te mettre mal à l'aise."
Il sourit avec malice, mais sincèrement. La personnalité de Boris était agréable, malgré ses dehors un peu... trop russes pour le yakuza. Mais ce devait être un formidable ami, de ce qu'il en devinait. Autant ne pas perdre la chance de lui parler avec de la séduction malvenue. Ou pas ?
"On trinque ?", dit-il finalement en levant son shot, "à quoi ?"
"C'est une jolie rencontre", il se redressa sur sa chaise, décidant de passer au tutoiement pour accompagner Boris, "tu sais des choses sur moi mais je ne sais rien de toi encore. Me parlerais-tu un peu de toi ? Ce que tu veux, je ne forces à rien."
Il lui sourit gentiment, s'installant plus confortablement sur sa chaise pour prendre son temps. Peu lui importait pour ce tour d'emballer ce pauvre Boris qui ne devait certainement pas être de ce bord. Peut-être était-ce une erreur ?
"C'est très aimable de ta part, merci", dit-il en se penchant en avant pour prendre le verre proposé, "comment dit-on en russe ? Chez moi on trinque en disant kampaï !", il regarda le petit sachet en plastique offert, et déclina très poliment, "c'est très généreux, mais je suis allergique aux fruits secs et à coques."
Comme aux graminées et aux arachides, pas de bol. Comprenant alors que Boris était surement venu pour le buffet à volonté et non pour la base du speed dating, Akemi réfléchit quelques secondes avec un air absorbé, en déduisant qu'il n'était probablement pas du même bord que lui. Pour en être sûr, il fut franc et totalement transparent.
"Oh, non : je suis venu rencontrer des hommes", sans se sentir gêné de ses choix, ni de sa légèreté et pour briser tout ce qui pouvait entraver une discussion saine et amusante, il continua sur sa lancée , "je suis gay, mais j'imagine que toi non, n'est-ce pas ? Je pose la question parce qu'on a peu de temps et que je veux être sûr. Désolé si ça peut sembler déplacé, loin de moi l'idée de vouloir te mettre mal à l'aise."
Il sourit avec malice, mais sincèrement. La personnalité de Boris était agréable, malgré ses dehors un peu... trop russes pour le yakuza. Mais ce devait être un formidable ami, de ce qu'il en devinait. Autant ne pas perdre la chance de lui parler avec de la séduction malvenue. Ou pas ?
"On trinque ?", dit-il finalement en levant son shot, "à quoi ?"
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Re: [T1 : Speed-Dating ] Un seul ticket ? Pizdec !
Lun 13 Juil - 0:32
Alors que je sortais tout mon nécessaire pour faire une bonne rencontre, je l'entendais me poser des questions, chose tout à fait normale et donc que j'allais répondre tant que je le pouvais.
" Eh bien je m'appelle Boris, j'ai 25 ans, je vis avec toute ma famille et nous sommes très nombreux. Je suis un slav à tout faire, cuisine, ménage, mécanique, danse. Tu appelles Boris, Boris est là."
Bon il ne fallait pas non plus que j'en dise trop sinon c'était dangereux, surtout si Babushka l'apprend. C'est ensuite tout sourire que je pus voir qu'il ne refusait pas du tout son verre de vodka, ce qui, Kakadu et moi, réchauffait notre cœur. En plus il était sympa, il m'apprit quelque mot de sa langue, campai pour boire, et je hochais donc la tete pour mémoriser cela.
" Chez nous on dit NA ZDROVIA !"
Mais malheureusement il refusa les semechki, mais pas grave, le pauvre avait une bonne excuse. Pizdec que je ne pourrais pas vivre sans ça. Mais après ma question sur sa raison d'Etrre là, l'écoutant attentivement comme toute personne polie qui se respecte, je pus savoir que ce n'était pas pour le buffet qu'il était là. Pour rencontrer des hommes ? Il gere une agence d'intérim ? Ooopa ça peut être intéressant pour se faire un peu d'argent. C'est donc tout enthousiaste que je l'écoute, glissant une poignée de Semichki dans ma bouche sous ma cagoule. Mais là il me posa une colle. Il me dit qu'il était gay. Qu'est-ce que c'est que ça ? Un métier ? un groupe ? Mmmmmh inspecteur Boris est sur l’affaire.
Je me frotte donc le menton en y réfléchissant et en écoutant.
" Mmmmmmmh et c'est une bonne situation ça Gay ? "
Oui bon, je montrais que je ne connaissais pas, mais qui peut prétendre tout savoir ? Oui Babushka, mais c'est Babushka. Mais là n'était plus à la réflexion, le voyant prendre son verre et me demander joyeusement à quoi nous trinquons. Mmmmh bonne question, mais rapidement répondu quand même xaxa. Je prenais donc aussi mon verre en main, plaçant mon index sur le bout de ma cagoule prête à boire et je lui dis avec entrain en levant mon verre vers lui.
" À Decay !!!"
" Eh bien je m'appelle Boris, j'ai 25 ans, je vis avec toute ma famille et nous sommes très nombreux. Je suis un slav à tout faire, cuisine, ménage, mécanique, danse. Tu appelles Boris, Boris est là."
Bon il ne fallait pas non plus que j'en dise trop sinon c'était dangereux, surtout si Babushka l'apprend. C'est ensuite tout sourire que je pus voir qu'il ne refusait pas du tout son verre de vodka, ce qui, Kakadu et moi, réchauffait notre cœur. En plus il était sympa, il m'apprit quelque mot de sa langue, campai pour boire, et je hochais donc la tete pour mémoriser cela.
" Chez nous on dit NA ZDROVIA !"
Mais malheureusement il refusa les semechki, mais pas grave, le pauvre avait une bonne excuse. Pizdec que je ne pourrais pas vivre sans ça. Mais après ma question sur sa raison d'Etrre là, l'écoutant attentivement comme toute personne polie qui se respecte, je pus savoir que ce n'était pas pour le buffet qu'il était là. Pour rencontrer des hommes ? Il gere une agence d'intérim ? Ooopa ça peut être intéressant pour se faire un peu d'argent. C'est donc tout enthousiaste que je l'écoute, glissant une poignée de Semichki dans ma bouche sous ma cagoule. Mais là il me posa une colle. Il me dit qu'il était gay. Qu'est-ce que c'est que ça ? Un métier ? un groupe ? Mmmmmh inspecteur Boris est sur l’affaire.
Je me frotte donc le menton en y réfléchissant et en écoutant.
" Mmmmmmmh et c'est une bonne situation ça Gay ? "
Oui bon, je montrais que je ne connaissais pas, mais qui peut prétendre tout savoir ? Oui Babushka, mais c'est Babushka. Mais là n'était plus à la réflexion, le voyant prendre son verre et me demander joyeusement à quoi nous trinquons. Mmmmh bonne question, mais rapidement répondu quand même xaxa. Je prenais donc aussi mon verre en main, plaçant mon index sur le bout de ma cagoule prête à boire et je lui dis avec entrain en levant mon verre vers lui.
" À Decay !!!"
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Re: [T1 : Speed-Dating ] Un seul ticket ? Pizdec !
Lun 13 Juil - 13:55
Ce premier tour était agréable et Akemi ne chercha ps plus loin. Il ne connaissait Boris ni d'Eve ni d'Adam mais le trouvait sympathique et limpide à comprendre. Le slave avait une sorte de candeur qui avait quelque chose d'attendrissant et d'un peu charmant au delà des apparences et il devait faire un formidable ami. La joie qu'il exprime quand le yakuza accepte de boire est adorable et contaminante et le japonais se sent encore de meilleure humeur que lorsqu'il était arrivé. Il écouta attentivement les explications de son interlocuteur, découvrant quelques détails sur lui.
"Oh, tu sais en faire des choses ! Je suis admiratif, parce que moi je ne sais rien faire du tout !", il rit avant d'admettre sans fard, "j'ai une femme de ménage qui prépare aussi mes repas. C'est bien d'être aussi serviable avec sa communauté, c'est une belle qualité que tu as là, Boris-san. La famille c'est important."
Akemi acquiesça mais demeura un instant silencieux en pensant à sa propre famille, au destin de son père et à son vieux trou du cul de grand-père qui passait son temps à le rabaisser. Mais son trouble ne dura qu'un instant et il se fendit d'un nouveau sourire conquérant, invincible clown triste. Il constata qu'Usui lui jeta un coup d'oeil et s'étonna de le voir encore à table avec l'homme qui lui avait été désigné... seraient-ils en train de... un sourire malicieux se peint sur son visage alors qu'il fixa le brasseur pour l’encourager de manière peur subtile.
"Nasu-doru-biha ! C'est dur à dire pour moi !", sa diction syllabique japonaise rendait certaines association de consonnes difficiles à prononcer mais il fit de son mieux, puis prit la parole pour parler de lui à la suite de Boris, "sooka... je m’appelle Akemi, je vais avoir trente-deux ans - mais je ne les fais pas - et je suis fils unique. Je suis tenancier d'une maison de jeux à Kabukichô ", il réfléchit posément à ses goûts avant de reprendre, se tapotant la joue de l'index d'un geste efféminé, "ce que j'aime... j'adore les jeux d'argent, le whisky, la musique, la peinture, et je jardine un peu pour passer le temps. Je n'ai pas trop le temps en ce moment, avec le travail...", il plaisanta finalement, "et j'adore les hommes, aussi."
Il ne peut s'empêcher de se laisser aller à sa plus franche hilarité lorsque Boris demanda avec un naturel déconcertant si gay était une bonne situation. Essuyant ses yeux en ricanant encore, il lui dit :
"Pardon, je ne me moquais pas rassure-toi", il gloussa un peu, contenant un fou rire, le visage rouge, "je ne crois pas qu'il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Je dirais que c'est d'abord des rencontres", il leva son verre et but d'un trait car il pensait que c'était ainsi qu'il fallait boire, "A Decay !"
Il serra les dents, n'ayant jamais bu de Vodka et trouva le goût fort brut, un peu comme le saké. Ca manquait de la délicatesse du moelleux d'un whisky mais dans le fond, ce n'était pas mauvais. N'étant plus gorge sèche et garda son grand sourire, il se montra comme toujours limpide et direct avec le jeune homme :
"Gay, homosexuel quoi. Je sors et je couche avec des hommes", il s’embarrassa un peu de crainte de se montrer docte ou indélicat, et fit attention à ce qu'il dit pour ne pas mettre son interlocuteur mal à l'aise, "deux types ensemble, quoi... tu as mis quoi dans ton formulaire, mon ami ? Tu sais ce qu'est un speed dating ?"
Akemi avait posé la question avec bienveillance, loin de se sentir vraiment gêné ou agacé par cette candeur qu'il trouvait au contraire ravissante, rafraîchissante dans ce monde de brutes taciturnes et homicides.
"Oh, tu sais en faire des choses ! Je suis admiratif, parce que moi je ne sais rien faire du tout !", il rit avant d'admettre sans fard, "j'ai une femme de ménage qui prépare aussi mes repas. C'est bien d'être aussi serviable avec sa communauté, c'est une belle qualité que tu as là, Boris-san. La famille c'est important."
Akemi acquiesça mais demeura un instant silencieux en pensant à sa propre famille, au destin de son père et à son vieux trou du cul de grand-père qui passait son temps à le rabaisser. Mais son trouble ne dura qu'un instant et il se fendit d'un nouveau sourire conquérant, invincible clown triste. Il constata qu'Usui lui jeta un coup d'oeil et s'étonna de le voir encore à table avec l'homme qui lui avait été désigné... seraient-ils en train de... un sourire malicieux se peint sur son visage alors qu'il fixa le brasseur pour l’encourager de manière peur subtile.
"Nasu-doru-biha ! C'est dur à dire pour moi !", sa diction syllabique japonaise rendait certaines association de consonnes difficiles à prononcer mais il fit de son mieux, puis prit la parole pour parler de lui à la suite de Boris, "sooka... je m’appelle Akemi, je vais avoir trente-deux ans - mais je ne les fais pas - et je suis fils unique. Je suis tenancier d'une maison de jeux à Kabukichô ", il réfléchit posément à ses goûts avant de reprendre, se tapotant la joue de l'index d'un geste efféminé, "ce que j'aime... j'adore les jeux d'argent, le whisky, la musique, la peinture, et je jardine un peu pour passer le temps. Je n'ai pas trop le temps en ce moment, avec le travail...", il plaisanta finalement, "et j'adore les hommes, aussi."
Il ne peut s'empêcher de se laisser aller à sa plus franche hilarité lorsque Boris demanda avec un naturel déconcertant si gay était une bonne situation. Essuyant ses yeux en ricanant encore, il lui dit :
"Pardon, je ne me moquais pas rassure-toi", il gloussa un peu, contenant un fou rire, le visage rouge, "je ne crois pas qu'il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Je dirais que c'est d'abord des rencontres", il leva son verre et but d'un trait car il pensait que c'était ainsi qu'il fallait boire, "A Decay !"
Il serra les dents, n'ayant jamais bu de Vodka et trouva le goût fort brut, un peu comme le saké. Ca manquait de la délicatesse du moelleux d'un whisky mais dans le fond, ce n'était pas mauvais. N'étant plus gorge sèche et garda son grand sourire, il se montra comme toujours limpide et direct avec le jeune homme :
"Gay, homosexuel quoi. Je sors et je couche avec des hommes", il s’embarrassa un peu de crainte de se montrer docte ou indélicat, et fit attention à ce qu'il dit pour ne pas mettre son interlocuteur mal à l'aise, "deux types ensemble, quoi... tu as mis quoi dans ton formulaire, mon ami ? Tu sais ce qu'est un speed dating ?"
Akemi avait posé la question avec bienveillance, loin de se sentir vraiment gêné ou agacé par cette candeur qu'il trouvait au contraire ravissante, rafraîchissante dans ce monde de brutes taciturnes et homicides.
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Re: [T1 : Speed-Dating ] Un seul ticket ? Pizdec !
Lun 13 Juil - 15:51
Boris était fier d'entendre qu'il avait des qualités, c'était toujours agréable ça et Kakadu était d'accord avec lui. Savoir se servir de ses mains, c'est très important dans la vie. Il avait une femme de ménage ! Oooh que ça devait être pratique ça ! Et ça devait faire quand même pas mal gagner de temps. Mais en même temps, je pouvais voir qu'il essayait, de se dévaloriser.
" Oui la famille c'est très important, mais je suis sure que tu as des qualités, tout le monde en a dans la vie."
Bon, certains en ont aussi dans la mort, mais moi je n'avais pas hâte de le savoir, xaxaxa.
Il se mit ensuite à essayer de dire Na zdrovia et eh il n'était pas bien loi hein ! C'était pas mal ! Je me mis donc à rire puis à l'encourager
" C'est très bien déjà ! Et ne t’inquiète pas, après quelques verres de ça, tu parleras aussi bien que Boris."
He he, s'il y a bien une chose que j'ai retenue de tout cela, c'est que l'alcool était un très bon traducteur universel. Mais c'est alors, qu'il me surprit à nouveau, Aurait-il dit Cyka ? Mmmmh peut être, mais je n'avais pas le temps de trop d'y penser, il fallait que je l'écoute. Fils unique ? mais ça devait être ennuyeux ça ? le pauvre, je n'aimerais pas vivre comme ça. Mais heureusement, il y avait toujours les amis pour agrandir sa famille et je ne doutais pas, qu'il devait en avoir, car qui n'en a pas ?
Et c'était donc de surprise en surprise que je découvrais que c'était un sacré monsieur qui se tenait devant moi, gérant d'une maison de jeu. Ça devait en faire des responsabilités quand même. Mais je vois enfin la façade d'une personne qui se dit sans talent, s'écrouler peu à peu, me révélant qu'il sait jardiner, qu'il aime la musique aussi et jouer.
" Tu vois bien que tu sais faire quelque chose au final, sinon tu ne serais pas gérant d'une maison de jeu non . "
Et apparemment il aimait les hommes aussi. Ce devait être un grand humaniste alors et le Kabukicho devait être heureux de l'avoir dans sa communauté, prêt à les aider. C'était une sacrée rencontre qui donnait quand même beaucoup d’énigme à Boris.
Je lui avais donc demandé, si, Gay était une bonne situation et, selon la réponse, j'allais surement demander plus de détails, quitte à me renseigner pour ne devenir un, car Boris est toujours pret pour se faire de nouveaux amis !
Je sortais donc un stylo de ma sacoche, puis je pris une serviette sur la table en l'écoutant. Je me mis alors à noter sur la serviette ** Gay = situation correcte et rencontre** Hochant la tètent après avoir écrit ça et content de mes informations recueillies. Mais pour le moment, le temps n'était plus aux questions, mais à trinquer et Ooopa, Boris sait très bien faire ça !
Je le bois cul sec, puis, comme le veut la tradition, je plaque bruyamment le verre contre la table à l'envers. Le regardant je ne pus m'empêcher de rire en voyant la tete qu'il faisait
" Ah ça réveille hein ? Xaxa "
Mais je me mets à retourner mon verre, pour en resservir un pour moi et un pour lui, car, pourquoi m’arrêter en aussi bon chemin ? Il se mit à continuer ses explications et me donna un drôle de nouveau mot, homosexuel. Mmmmmh qu'est-ce que c'est que ça ? Mais par chance il fut assez gentil de m'expliquer le reste et Blyat ! C'est possible ça .
Mon regard avait beaucoup de questions derrière ma cagoule et mes lunettes de soleil, assez pour que je ressemble sûrement au pruneau en conserve de Babushka. On ne m'avait jamais dit ça que c'était possible ! Et ce que c'était une blague . Il me demanda ensuite ce que j'avais rempli dans le formulaire ainsi que si je savais ce qu'était un speed dating.
Mmmmh, je me frottais le menton à ce moment-là, car, beaucoup de choses s'entrechoquaient dans la tete de Boris.
" Il y avait un formulaire . Et on peut vraiment faire ça entre hommes ?"
Peut-être le papier tout abimé sur le pare-brise de sa voiture qui sait. Mais bon, cette personne était plutôt honnête avec Boris, alors Boris allait être honnête avec lui et ne pas cacher, ne pas savoir ce qu'était réellement un speed dating.
" Je dois t'avouer qu'au début, j'ai cru que c'était un rendez-vous pour les passionnés de voitures ou une course de voitures. "
J'alliais ensuite les gestes à mes paroles.
" Tu vois, Speed, vitesse, dating, rencontre. Donc je me suis dit que ça voulait dire une rencontre de la vitesse."
Je remonte ensuite mes épaules, car, je craque et j'avoue la vérité
" Bon d'accord, Boris a surtout vu marqué Buffet et boisson à volonté."
" Oui la famille c'est très important, mais je suis sure que tu as des qualités, tout le monde en a dans la vie."
Bon, certains en ont aussi dans la mort, mais moi je n'avais pas hâte de le savoir, xaxaxa.
Il se mit ensuite à essayer de dire Na zdrovia et eh il n'était pas bien loi hein ! C'était pas mal ! Je me mis donc à rire puis à l'encourager
" C'est très bien déjà ! Et ne t’inquiète pas, après quelques verres de ça, tu parleras aussi bien que Boris."
He he, s'il y a bien une chose que j'ai retenue de tout cela, c'est que l'alcool était un très bon traducteur universel. Mais c'est alors, qu'il me surprit à nouveau, Aurait-il dit Cyka ? Mmmmh peut être, mais je n'avais pas le temps de trop d'y penser, il fallait que je l'écoute. Fils unique ? mais ça devait être ennuyeux ça ? le pauvre, je n'aimerais pas vivre comme ça. Mais heureusement, il y avait toujours les amis pour agrandir sa famille et je ne doutais pas, qu'il devait en avoir, car qui n'en a pas ?
Et c'était donc de surprise en surprise que je découvrais que c'était un sacré monsieur qui se tenait devant moi, gérant d'une maison de jeu. Ça devait en faire des responsabilités quand même. Mais je vois enfin la façade d'une personne qui se dit sans talent, s'écrouler peu à peu, me révélant qu'il sait jardiner, qu'il aime la musique aussi et jouer.
" Tu vois bien que tu sais faire quelque chose au final, sinon tu ne serais pas gérant d'une maison de jeu non . "
Et apparemment il aimait les hommes aussi. Ce devait être un grand humaniste alors et le Kabukicho devait être heureux de l'avoir dans sa communauté, prêt à les aider. C'était une sacrée rencontre qui donnait quand même beaucoup d’énigme à Boris.
Je lui avais donc demandé, si, Gay était une bonne situation et, selon la réponse, j'allais surement demander plus de détails, quitte à me renseigner pour ne devenir un, car Boris est toujours pret pour se faire de nouveaux amis !
Je sortais donc un stylo de ma sacoche, puis je pris une serviette sur la table en l'écoutant. Je me mis alors à noter sur la serviette ** Gay = situation correcte et rencontre** Hochant la tètent après avoir écrit ça et content de mes informations recueillies. Mais pour le moment, le temps n'était plus aux questions, mais à trinquer et Ooopa, Boris sait très bien faire ça !
Je le bois cul sec, puis, comme le veut la tradition, je plaque bruyamment le verre contre la table à l'envers. Le regardant je ne pus m'empêcher de rire en voyant la tete qu'il faisait
" Ah ça réveille hein ? Xaxa "
Mais je me mets à retourner mon verre, pour en resservir un pour moi et un pour lui, car, pourquoi m’arrêter en aussi bon chemin ? Il se mit à continuer ses explications et me donna un drôle de nouveau mot, homosexuel. Mmmmmh qu'est-ce que c'est que ça ? Mais par chance il fut assez gentil de m'expliquer le reste et Blyat ! C'est possible ça .
Mon regard avait beaucoup de questions derrière ma cagoule et mes lunettes de soleil, assez pour que je ressemble sûrement au pruneau en conserve de Babushka. On ne m'avait jamais dit ça que c'était possible ! Et ce que c'était une blague . Il me demanda ensuite ce que j'avais rempli dans le formulaire ainsi que si je savais ce qu'était un speed dating.
Mmmmh, je me frottais le menton à ce moment-là, car, beaucoup de choses s'entrechoquaient dans la tete de Boris.
" Il y avait un formulaire . Et on peut vraiment faire ça entre hommes ?"
Peut-être le papier tout abimé sur le pare-brise de sa voiture qui sait. Mais bon, cette personne était plutôt honnête avec Boris, alors Boris allait être honnête avec lui et ne pas cacher, ne pas savoir ce qu'était réellement un speed dating.
" Je dois t'avouer qu'au début, j'ai cru que c'était un rendez-vous pour les passionnés de voitures ou une course de voitures. "
J'alliais ensuite les gestes à mes paroles.
" Tu vois, Speed, vitesse, dating, rencontre. Donc je me suis dit que ça voulait dire une rencontre de la vitesse."
Je remonte ensuite mes épaules, car, je craque et j'avoue la vérité
" Bon d'accord, Boris a surtout vu marqué Buffet et boisson à volonté."
160 Yakuza - Clan Minobe. Oyabun du clan Minobe. Not today, Satan~
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Re: [T1 : Speed-Dating ] Un seul ticket ? Pizdec !
Mar 14 Juil - 0:06
Akemi continua de sourire face à cette rencontre aussi étonnante qu'agréable, réalisant qu'il venait de se dévaloriser alors qu'il était habituellement un véritable paon flamboyant et irradiant la confiance en lui ; le fait l'amusa, et il rebondit rapidement avec une demie plaisanterie :
"J'ai plein de qualités, ne t’inquiète pas : je suis beau à tomber et drôle à mourir. Et comme tu vois, la modestie ne fait pas partie du lot malheureusement !"
Il s'avança sur sa chaise, posant ses coudes sur la table pour réunir ses deux mains sous son menton, doigts entrelacés en une attitude féminine. Son sourire amusé mais poli demeurait sur ses traits fins, ravi d'être encouragé par son vis-à-vis si chaleureux. Il serait presque craquant sans sa panoplie de braqueur en jogging trois bandes mais à bien y réfléchir, le visage des hommes n'était pas vraiment ce que regardait en premier Akemi et un petit casse-croûte masqué pouvait être exotique de temps à autre. Mais pas avec la candeur de Boris, oh non. Il rit de bon cœur.
"Fait-il être ivre pour bien parler russe ?", il sourit à nouveau, fermant les yeux avant de se justifier par politesse, "pas d'offense, c'était une plaisanterie", il changea cependant vite de sujet, "ma mère voulait que je soie comptable de notre clan" - il ne se cachait pas d'être yakuza - "je suis plutôt bon pour faire de l'argent, je dois avouer. Et j'adore ça, l'argent !", il eut un rire clair, un peu vain, "je suis très superficiel", et ajouta, "en apparence."
Ils trinquèrent finalement et Akemi se surpris de la force de la Vodka qu'il n'avait jamais goûté, imitant Boris dans le rituel qu'il eut et retournant son verre sur la table. C'était amusant à faire, comme quand on tournait la tasse vers la droite par trois fois durant le chanoyu, la cérémonie du thé - en plus brutal, assurément. Le japonais rit de bon cœur avec Boris, amusé de ses propres découvertes.
"Il faut dire que ça secoue un brin, en effet", admit Akemi prit d'un coup de chaud. C'était fort, la vodka !, "par contre si je ne veux pas finir ivre à la fin de la soirée, je me contenterai d'un second verre, mon ami. Je m'en voudrais de vomir sur mon kosode tout neuf, je l'ai payé une fortune. Cela dit je passe un merveilleux moment, tu es un excellent hôte et je tenais à le souligner."
La politesse lui fit retourner son verre pour se laisser resservir par cet étrange et agréable hôte du moment, qu'il compris songeur sur leur précédent échange qui concernait les goûts de tout un chacun.
"Oui, le formulaire... tu cochais si tu voulais rencontrer des femmes, des hommes, les deux... laisse-moi deviné, tu as tout coché ?", dit le yakuza, un brin crispé sans que cela ne se voit, s'étonnant de la question suivante, "Oh... oui, c'est plutôt facile à faire", il agita sa main devant lui comme pour écarter les sous-entendus qu'il pourrait faire et se montrer honnête, "globalement, et très prosaïque, passe par...", il rit bêtement, perdant un peu ses mots - Boris et sa candeur le gênait, c'était une première pour lui ! "ha, c'est gênant... je vais avoir un fou rire...", il se contint admirablement, "c'est pareil qu'avec une femme, mais par l'arrière en gros. Je ne te proposes pas de démonstration, ce serait indélicat de ma part !"
Et voilà, une bonne blague de cul et l'humeur d'Akemi était reparti sur les grands chemin de la légèreté. Il attrapa la perche - pas de mauvais jeu de mots ou d'image mentale - de Boris au vol et changea de sujet en un clin d’œil.
"Ce n'est pas incohérent...", il se frotta le menton d'un air pensif, "j'ai entendu dire que ça se faisait quelque part en ville... quelque chose qui s'appelle le Track je crois. Pourquoi ne pas te renseigner, si ça te tente ?"
Akemi eut un gentil sourire à l'adresse du slave lorsque ce dernier lui avoue la vérité dont il se doutait un peu. Il ne dit rien tout de suite, sortant le ticket qu'il avait reçu pour consommation et le faisant glisser sur la table jusqu'à son interlocuteur.
"Tiens, je te le donne. Je ne consomme jamais rien dans ce genre de soirée, considère ça comme un cadeau d'un ami. Si on te demande, renvoie la personne vers moi et je lui dirais que je t'ai donné mon ticket. Le pourquoi de ta venue n'est pas si important au final, c'est les rencontres qui le sont. Profite du buffet et des boissons, amuse-toi mon ami. Il y a un proverbe japonais qui dit qu'une rencontre n'est que le commencement d’une séparation", il inclina la tête sur le côté tout en joliesse, son invincible sourire aux lèvres, les yeux fermés sur une expression douce et chaleureuse, "je vais profiter pleinement des quelques minutes qui nous sont allouées ce soir, mais sache que je serais ravi de te revoir. Et Kakadu aussi."
Akemi était un gentil bonhomme, d'une nature placide et sympathisant vite sans se poser trente six milles questions. Il ne croyait pas en la bonté humaine mais s'efforçait de se poser en parangon de cette dernière, même s'il était bourré de défaut. Il apprécia immédiatement Boris pour sa bonhomie et son entrain, et ne chercha qu'à profiter du moment présent. Le yakuza releva son verre et se concentra pour articuler correctement :
"Nas... drovia", il fixa Boris, concentré, "j'ai juste cette fois ?"
"J'ai plein de qualités, ne t’inquiète pas : je suis beau à tomber et drôle à mourir. Et comme tu vois, la modestie ne fait pas partie du lot malheureusement !"
Il s'avança sur sa chaise, posant ses coudes sur la table pour réunir ses deux mains sous son menton, doigts entrelacés en une attitude féminine. Son sourire amusé mais poli demeurait sur ses traits fins, ravi d'être encouragé par son vis-à-vis si chaleureux. Il serait presque craquant sans sa panoplie de braqueur en jogging trois bandes mais à bien y réfléchir, le visage des hommes n'était pas vraiment ce que regardait en premier Akemi et un petit casse-croûte masqué pouvait être exotique de temps à autre. Mais pas avec la candeur de Boris, oh non. Il rit de bon cœur.
"Fait-il être ivre pour bien parler russe ?", il sourit à nouveau, fermant les yeux avant de se justifier par politesse, "pas d'offense, c'était une plaisanterie", il changea cependant vite de sujet, "ma mère voulait que je soie comptable de notre clan" - il ne se cachait pas d'être yakuza - "je suis plutôt bon pour faire de l'argent, je dois avouer. Et j'adore ça, l'argent !", il eut un rire clair, un peu vain, "je suis très superficiel", et ajouta, "en apparence."
Ils trinquèrent finalement et Akemi se surpris de la force de la Vodka qu'il n'avait jamais goûté, imitant Boris dans le rituel qu'il eut et retournant son verre sur la table. C'était amusant à faire, comme quand on tournait la tasse vers la droite par trois fois durant le chanoyu, la cérémonie du thé - en plus brutal, assurément. Le japonais rit de bon cœur avec Boris, amusé de ses propres découvertes.
"Il faut dire que ça secoue un brin, en effet", admit Akemi prit d'un coup de chaud. C'était fort, la vodka !, "par contre si je ne veux pas finir ivre à la fin de la soirée, je me contenterai d'un second verre, mon ami. Je m'en voudrais de vomir sur mon kosode tout neuf, je l'ai payé une fortune. Cela dit je passe un merveilleux moment, tu es un excellent hôte et je tenais à le souligner."
La politesse lui fit retourner son verre pour se laisser resservir par cet étrange et agréable hôte du moment, qu'il compris songeur sur leur précédent échange qui concernait les goûts de tout un chacun.
"Oui, le formulaire... tu cochais si tu voulais rencontrer des femmes, des hommes, les deux... laisse-moi deviné, tu as tout coché ?", dit le yakuza, un brin crispé sans que cela ne se voit, s'étonnant de la question suivante, "Oh... oui, c'est plutôt facile à faire", il agita sa main devant lui comme pour écarter les sous-entendus qu'il pourrait faire et se montrer honnête, "globalement, et très prosaïque, passe par...", il rit bêtement, perdant un peu ses mots - Boris et sa candeur le gênait, c'était une première pour lui ! "ha, c'est gênant... je vais avoir un fou rire...", il se contint admirablement, "c'est pareil qu'avec une femme, mais par l'arrière en gros. Je ne te proposes pas de démonstration, ce serait indélicat de ma part !"
Et voilà, une bonne blague de cul et l'humeur d'Akemi était reparti sur les grands chemin de la légèreté. Il attrapa la perche - pas de mauvais jeu de mots ou d'image mentale - de Boris au vol et changea de sujet en un clin d’œil.
"Ce n'est pas incohérent...", il se frotta le menton d'un air pensif, "j'ai entendu dire que ça se faisait quelque part en ville... quelque chose qui s'appelle le Track je crois. Pourquoi ne pas te renseigner, si ça te tente ?"
Akemi eut un gentil sourire à l'adresse du slave lorsque ce dernier lui avoue la vérité dont il se doutait un peu. Il ne dit rien tout de suite, sortant le ticket qu'il avait reçu pour consommation et le faisant glisser sur la table jusqu'à son interlocuteur.
"Tiens, je te le donne. Je ne consomme jamais rien dans ce genre de soirée, considère ça comme un cadeau d'un ami. Si on te demande, renvoie la personne vers moi et je lui dirais que je t'ai donné mon ticket. Le pourquoi de ta venue n'est pas si important au final, c'est les rencontres qui le sont. Profite du buffet et des boissons, amuse-toi mon ami. Il y a un proverbe japonais qui dit qu'une rencontre n'est que le commencement d’une séparation", il inclina la tête sur le côté tout en joliesse, son invincible sourire aux lèvres, les yeux fermés sur une expression douce et chaleureuse, "je vais profiter pleinement des quelques minutes qui nous sont allouées ce soir, mais sache que je serais ravi de te revoir. Et Kakadu aussi."
Akemi était un gentil bonhomme, d'une nature placide et sympathisant vite sans se poser trente six milles questions. Il ne croyait pas en la bonté humaine mais s'efforçait de se poser en parangon de cette dernière, même s'il était bourré de défaut. Il apprécia immédiatement Boris pour sa bonhomie et son entrain, et ne chercha qu'à profiter du moment présent. Le yakuza releva son verre et se concentra pour articuler correctement :
"Nas... drovia", il fixa Boris, concentré, "j'ai juste cette fois ?"
58 Babushka et les Babushka boyz Slav à tout faire Boris ne meurt jamais, Boris quicksave toujours avant.
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Babushka et les Babushka boyz
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Slav à tout faire
Mort du personnage :
Boris ne meurt jamais, Boris quicksave toujours avant.
Re: [T1 : Speed-Dating ] Un seul ticket ? Pizdec !
Mar 14 Juil - 1:20
La soirée ne faisait que commencer et Boris avait déjà appris beaucoup de choses.
" Ah ça aide beaucoup quelle que soit la langue, mais il n'est vrai que, ça aide beaucoup avec le russe, surtout pour l'accent."
Mais après cela, mon pauvre petit coeur se serra, entendant que, il ne boirait qu'un seul verre de plus. Mais je suis gentil, alors je ne suis pas en veut pas et il est vrai que, se serait dommage de tacher ses vêtements. Je baissai légèrement mes lunettes pour mieu regarder le tissu en me penchant, m'appuyant sur la table quelques secondes avant de me rasseoir et de replacer mes lunettes.
" mmmh Oui, oui, très jolis tissus, se serait bête de l'abimer oui."
Ça avait l'air tout doux en plus, presque aussi doux que Kakadu même, mais bien sûr, rien n'égale Kakadu.
Ce qu'il me dit ensuite fut comme une illumination, me permettant de comprendre certaines choses. apparemment il fallait cocher le formulaire, mais ça, vu son état sur mon pare-brise, je pense que j'allais avoir un peu de mal. C'est pour ça que j'ai fait ça à l'oral quand on m'a demandé ce que j'avais coché et que je me suis empressé de dire tout. Je ne pouvais me retenir de rire, sous mon erreur avant de la partager avec lui
" Xaxa J'ai perdu le papier à cause de la pluie, donc les gens du restaurant me l'ont demandé à l'oral et j'ai juste répondu tout. J'aurais peut-être dû les laisser terminer leur phrase."
Mais après tout ça, la discussion changea et, je pus apprendre ce qu'étaient les gays. Ça ne m'était jamais venu à l'esprit que ce soit possible et de plus Babushka ne m'en avait jamais parlé, ce qui était étrange. J'écoutais donc très attentivement ses explications pour être sure de bien m'instruire et je put découvrir que cela le gênait quelque peu d'en parler, ce qui me faisait sourire d'amusement.
" Rien de gênant dans un fou rire, il vaut mieux le laisser partir que le retenir, comme ça, ça part plus facilement."
Je commençai ensuite à faire le reste du calcul. Donc, c'est comme avec les femmes, mais par-derrière. Mmmmmmh.
" Donc on peut mettre le docteur Sausage dans le Lakomka ? "
C'était quand même bizarre tout ça je trouvais, parce que de ce côté-là, il risquait de tomber sur des surprises quand même non ?
Mais la discussion repartie à nouveau dans un autre sens, ce qui ne me gênait pas du tout, c'était même assez amusant de faire ça, profitant de ça pour manger quelques poignées de Semechki en l'écoutant. J'étais donc ravi de voir qu'il était d'accord avec moi sur le fait que le non speed dating prêtait quand même à confusion, ah ha, Boris n'est pas fou hein !
" Ooopa, tu m'interesse là ! Ou se trouve donc ce track s'il te plait ? "
Il avait touché grandement ma curiosité sur ce point. Pouvoir voir d'autre magnifique voiture et montrer ma merveilleuse Blyatmobile à d'autre passionnés serait pour moi, un grand plaisir, surtout si, pour une fois, cela n'implique pas dans une course-poursuite avec des gens quelque peu malintentionnés.
Mais c'est alors que, même après sa gentillesse de me parler d'un tel endroit, il me fit un autre cadeau. Blyn ! qu'il etait gentil ce monsieur, me donnant alors un deuxième ticket pour les boissons et en plus, j'eus même droit à un proverbe de sa part. Je ne pouvais pas laisser passer ça, alors je me remis à écrire sur ma serviette. ** Une rencontre n'est que le début d'une séparation.**
C'était un peu triste quand même à y penser comme proverbe et il allait falloir que Boris modifie ça, mais pour le moment, il me fallait le remercier, comme il se doit.
" Oyyyy Blin, c'est vraiment très gentil de ta part, Boris et Kakadu n'oublieront jamais cela camarade. Si jamais tu as des problèmes ou que tu as besoin d'aide, appelle Boris et Boris viendra à toi !"
Sur ses paroles, je vins ajouter un geste, d'une grande sincérité, venant me relever, je serrai très fort cette personne si gentille en face de moi pendant un moment avant de le relâcher, je ne voudrais quand même pas abîmer sa tenue ou l’embêter de trop. Après cela, je pris avec gratitude ce ticket et le glissa sous Kakadu, qui allait être le grand protecteur de ce ticket pendant cette soirée.
Après cela, je pus le voir, avec plaisir, lever son verre, puis, trinquer en tentant à nouveau de le dire en russe. Hey, je dus avouer qu'il y arrivait plus tôt bien pour une deuxième fois et c'est donc, en écartant mes bras de joie, que je lui dis gaiement en riant.
" Tu vois ! Qu'est-ce que j'avais dit ! Déjà un verre et tu parles presque parfaitement le russe ! "
Je portai ensuite mon verre vers lui et je dis
" Kampaï !"
" Ah ça aide beaucoup quelle que soit la langue, mais il n'est vrai que, ça aide beaucoup avec le russe, surtout pour l'accent."
Mais après cela, mon pauvre petit coeur se serra, entendant que, il ne boirait qu'un seul verre de plus. Mais je suis gentil, alors je ne suis pas en veut pas et il est vrai que, se serait dommage de tacher ses vêtements. Je baissai légèrement mes lunettes pour mieu regarder le tissu en me penchant, m'appuyant sur la table quelques secondes avant de me rasseoir et de replacer mes lunettes.
" mmmh Oui, oui, très jolis tissus, se serait bête de l'abimer oui."
Ça avait l'air tout doux en plus, presque aussi doux que Kakadu même, mais bien sûr, rien n'égale Kakadu.
Ce qu'il me dit ensuite fut comme une illumination, me permettant de comprendre certaines choses. apparemment il fallait cocher le formulaire, mais ça, vu son état sur mon pare-brise, je pense que j'allais avoir un peu de mal. C'est pour ça que j'ai fait ça à l'oral quand on m'a demandé ce que j'avais coché et que je me suis empressé de dire tout. Je ne pouvais me retenir de rire, sous mon erreur avant de la partager avec lui
" Xaxa J'ai perdu le papier à cause de la pluie, donc les gens du restaurant me l'ont demandé à l'oral et j'ai juste répondu tout. J'aurais peut-être dû les laisser terminer leur phrase."
Mais après tout ça, la discussion changea et, je pus apprendre ce qu'étaient les gays. Ça ne m'était jamais venu à l'esprit que ce soit possible et de plus Babushka ne m'en avait jamais parlé, ce qui était étrange. J'écoutais donc très attentivement ses explications pour être sure de bien m'instruire et je put découvrir que cela le gênait quelque peu d'en parler, ce qui me faisait sourire d'amusement.
" Rien de gênant dans un fou rire, il vaut mieux le laisser partir que le retenir, comme ça, ça part plus facilement."
Je commençai ensuite à faire le reste du calcul. Donc, c'est comme avec les femmes, mais par-derrière. Mmmmmmh.
" Donc on peut mettre le docteur Sausage dans le Lakomka ? "
C'était quand même bizarre tout ça je trouvais, parce que de ce côté-là, il risquait de tomber sur des surprises quand même non ?
Mais la discussion repartie à nouveau dans un autre sens, ce qui ne me gênait pas du tout, c'était même assez amusant de faire ça, profitant de ça pour manger quelques poignées de Semechki en l'écoutant. J'étais donc ravi de voir qu'il était d'accord avec moi sur le fait que le non speed dating prêtait quand même à confusion, ah ha, Boris n'est pas fou hein !
" Ooopa, tu m'interesse là ! Ou se trouve donc ce track s'il te plait ? "
Il avait touché grandement ma curiosité sur ce point. Pouvoir voir d'autre magnifique voiture et montrer ma merveilleuse Blyatmobile à d'autre passionnés serait pour moi, un grand plaisir, surtout si, pour une fois, cela n'implique pas dans une course-poursuite avec des gens quelque peu malintentionnés.
Mais c'est alors que, même après sa gentillesse de me parler d'un tel endroit, il me fit un autre cadeau. Blyn ! qu'il etait gentil ce monsieur, me donnant alors un deuxième ticket pour les boissons et en plus, j'eus même droit à un proverbe de sa part. Je ne pouvais pas laisser passer ça, alors je me remis à écrire sur ma serviette. ** Une rencontre n'est que le début d'une séparation.**
C'était un peu triste quand même à y penser comme proverbe et il allait falloir que Boris modifie ça, mais pour le moment, il me fallait le remercier, comme il se doit.
" Oyyyy Blin, c'est vraiment très gentil de ta part, Boris et Kakadu n'oublieront jamais cela camarade. Si jamais tu as des problèmes ou que tu as besoin d'aide, appelle Boris et Boris viendra à toi !"
Sur ses paroles, je vins ajouter un geste, d'une grande sincérité, venant me relever, je serrai très fort cette personne si gentille en face de moi pendant un moment avant de le relâcher, je ne voudrais quand même pas abîmer sa tenue ou l’embêter de trop. Après cela, je pris avec gratitude ce ticket et le glissa sous Kakadu, qui allait être le grand protecteur de ce ticket pendant cette soirée.
Après cela, je pus le voir, avec plaisir, lever son verre, puis, trinquer en tentant à nouveau de le dire en russe. Hey, je dus avouer qu'il y arrivait plus tôt bien pour une deuxième fois et c'est donc, en écartant mes bras de joie, que je lui dis gaiement en riant.
" Tu vois ! Qu'est-ce que j'avais dit ! Déjà un verre et tu parles presque parfaitement le russe ! "
Je portai ensuite mon verre vers lui et je dis
" Kampaï !"
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Re: [T1 : Speed-Dating ] Un seul ticket ? Pizdec !
Mar 14 Juil - 21:51
Akemi ne réprima pas un rire un peu plus appuyé que ceux qu'il avait eu précédemment à la remarque de Boris sur l'accent slave. Il était distrayant et étonnement bien élevé malgré les apparences ; son énergie était contaminante et il semblait d'une bonne humeur invincible. Ce genre d'individu revigorait le Yakuza qui se sentait bien, tout simplement. Un peu coq de basse-cour, l'asiatique se pencha pour laisser au jeune homme le soin de détailler la fine soie damassé de sa tenue tout en profitant pour essayer d’attraper au vol quelques détails sous les lunettes.
"Ils sont verts !", clama Akemi en désignant les yeux de Boris du regard, "je les ai vus ! Héhé~"
Il s’enthousiasma des petits détails qu'il glana ça et là, dans la joie simple de découvrir une autre personne sans arrière-pensées ; c'était rafraîchissant et il regretta que les tours ne furent plus longs. Mais ainsi étaient les speed dating et son petit doigt - celui qu'il avait encore - lui disait qu'il reverrait ce slave bien assez tôt. L’instant était aux rires et à la bonne humeur et il sourit en entendant Boris confesser son errer ; qui n'ne était pas vraiment une au final. Ce n'était pas bien grave quand on y pensait.
"Peut-être, mais ce n'est pas très important au final comme tu vois", concernant le fou rire, il le remercia de sa gentillesse d'un hochement poli du chef, "c'est vrai, autant rire autant que possible. La vie est trop courte pour se retenir."
Il eut une pensée pur sa propre situation avec Lex qui durait depuis des années de silence. Ce soir était une opportunité de passer à autre chose et d'accepter le caractère aléatoire de la vie ; Boris lui enseignait tant de choses en si peu de temps. Un coup d’œil à la table de ses amis le fit à nouveau sourire : Ryuuji avait perdu sa cravate moche et le binôme d'Usui s'était levé pour lui toucher la main. Le Yakuza eut un moment de surprise en voyant la scène ; ça marchait pour lui ! En plus le jeune homme était loin d'être repoussant... il se fendit d'un sourire immense et c'est l'humeur légère qu'il tapa les mots que dit Boris pour vérifier ce qu'était le Dr. Sausage et la Lakomka... explicite.
"Oui, c'est un peu ça !", acquiesça le japonais sans en rajouter, "le Track ? Hm, voyons voir...", il se frotta la joue du boit des doigts, "vers les docks, mais je n'en sais pas plus. C'est une zone dangereuse. Navré de ne pouvoir être plus précis."
Il le regarda prendre à nouveau des notes sur sa serviette et se retrouva attendri de voir le petit proverbe qu'il lui avait donné si bien qu'il lui offrit son ticket de bon cœur et le résultat le toucha un peu sans qu'il veuille l'admettre. En japonais éduqué de manière traditionnelle, les démonstrations physiques n'étaient pas son fort ; il avait entendu dire que les russes étaient très tactiles mais de le vivre était autre chose. Pris entre les bras de Boris, cet inconnu, ce geste emprunt de grande sincérité le toucha plus qu'il ne le perturba et il préféra faire sauter les convenance pour le serrer en retour, avec vigueur et joie. Si c'était comme ça que les russes se montraient leur amitié, il ferait comme eux. Boris le relâcha finalement et Akemi se passa une main dans les cheveux, craignant toujours d'être décoiffé ; superficiel toujours.
"Je n'oublierai pas non plus, Boris-san. Je n’hésiterai pas, et tu n'auras pas à hésiter non plus si tu as besoin d'aide le jour où tu te retrouves à Kabukichô", lui promit-il sincèrement avant de lever son verre, "cette fois-ci c'est toi qui l'a bien dit ! Aller, cul sec !"
Il prit une grande inspiration et avala la vodka tout rond sans ciller ; la seconde prise était moins forte que la première. Il retourna le verre comme Boris le lui avait appris avant de fouiller dans le petit sac en tissu qu'il avait posé sur la table pour en tirer un petit talisman porte-bonheur qu'il lui fit passer.
"Notre temps sera bientôt écoulé... C'est pour toi, c'est un omamori, un talisman porte-bonheur. Considère toi comme mon nakama. En japonais c'est proche du mot ami ou camarade, mais c'est un peu plus fort."
Il sourit à nouveau avant de se pencher sur la serviette saisir le stylo de Boris et lui griffonner son numéro de téléphone là où il trouva de la place avant de se rasseoir lentement, le cœur léger.
"C'est difficile à expliquer dans une autre langue, mais nakama signifie que je serai toujours là pour toi. Peu importe ton origine ou ton passé."
"Ils sont verts !", clama Akemi en désignant les yeux de Boris du regard, "je les ai vus ! Héhé~"
Il s’enthousiasma des petits détails qu'il glana ça et là, dans la joie simple de découvrir une autre personne sans arrière-pensées ; c'était rafraîchissant et il regretta que les tours ne furent plus longs. Mais ainsi étaient les speed dating et son petit doigt - celui qu'il avait encore - lui disait qu'il reverrait ce slave bien assez tôt. L’instant était aux rires et à la bonne humeur et il sourit en entendant Boris confesser son errer ; qui n'ne était pas vraiment une au final. Ce n'était pas bien grave quand on y pensait.
"Peut-être, mais ce n'est pas très important au final comme tu vois", concernant le fou rire, il le remercia de sa gentillesse d'un hochement poli du chef, "c'est vrai, autant rire autant que possible. La vie est trop courte pour se retenir."
Il eut une pensée pur sa propre situation avec Lex qui durait depuis des années de silence. Ce soir était une opportunité de passer à autre chose et d'accepter le caractère aléatoire de la vie ; Boris lui enseignait tant de choses en si peu de temps. Un coup d’œil à la table de ses amis le fit à nouveau sourire : Ryuuji avait perdu sa cravate moche et le binôme d'Usui s'était levé pour lui toucher la main. Le Yakuza eut un moment de surprise en voyant la scène ; ça marchait pour lui ! En plus le jeune homme était loin d'être repoussant... il se fendit d'un sourire immense et c'est l'humeur légère qu'il tapa les mots que dit Boris pour vérifier ce qu'était le Dr. Sausage et la Lakomka... explicite.
"Oui, c'est un peu ça !", acquiesça le japonais sans en rajouter, "le Track ? Hm, voyons voir...", il se frotta la joue du boit des doigts, "vers les docks, mais je n'en sais pas plus. C'est une zone dangereuse. Navré de ne pouvoir être plus précis."
Il le regarda prendre à nouveau des notes sur sa serviette et se retrouva attendri de voir le petit proverbe qu'il lui avait donné si bien qu'il lui offrit son ticket de bon cœur et le résultat le toucha un peu sans qu'il veuille l'admettre. En japonais éduqué de manière traditionnelle, les démonstrations physiques n'étaient pas son fort ; il avait entendu dire que les russes étaient très tactiles mais de le vivre était autre chose. Pris entre les bras de Boris, cet inconnu, ce geste emprunt de grande sincérité le toucha plus qu'il ne le perturba et il préféra faire sauter les convenance pour le serrer en retour, avec vigueur et joie. Si c'était comme ça que les russes se montraient leur amitié, il ferait comme eux. Boris le relâcha finalement et Akemi se passa une main dans les cheveux, craignant toujours d'être décoiffé ; superficiel toujours.
"Je n'oublierai pas non plus, Boris-san. Je n’hésiterai pas, et tu n'auras pas à hésiter non plus si tu as besoin d'aide le jour où tu te retrouves à Kabukichô", lui promit-il sincèrement avant de lever son verre, "cette fois-ci c'est toi qui l'a bien dit ! Aller, cul sec !"
Il prit une grande inspiration et avala la vodka tout rond sans ciller ; la seconde prise était moins forte que la première. Il retourna le verre comme Boris le lui avait appris avant de fouiller dans le petit sac en tissu qu'il avait posé sur la table pour en tirer un petit talisman porte-bonheur qu'il lui fit passer.
"Notre temps sera bientôt écoulé... C'est pour toi, c'est un omamori, un talisman porte-bonheur. Considère toi comme mon nakama. En japonais c'est proche du mot ami ou camarade, mais c'est un peu plus fort."
Il sourit à nouveau avant de se pencher sur la serviette saisir le stylo de Boris et lui griffonner son numéro de téléphone là où il trouva de la place avant de se rasseoir lentement, le cœur léger.
"C'est difficile à expliquer dans une autre langue, mais nakama signifie que je serai toujours là pour toi. Peu importe ton origine ou ton passé."
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