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Event Hurricane - Groupe 8
Sam 12 Sep - 19:27
Event - Hurricane
L'Orochi
Citoyens ou extérieurs, peu importe, seule la survie compte. Peu au fait des bâtiments ouverts au public, les visiteurs se ruent où ils le peuvent. Non loin de vous, un groupe de yakuzas s'efforce de rétablir l'ordre avant de s'intéresser à votre présence. Sans vous demander votre avis, ils vous guident jusqu'à un petit restaurant dans lequel ils vous enferment, vous conseillant de ne pas quitter les lieux tant que la sécurité ne sera pas rétablie. Par la fenêtre, vous pouvez apercevoir la façade du Sakura's Coffee, intacte.HRP
@Sango Umino @Betty-Lou Bettner @Caterina Lombardi
• N'oubliez le résumé à la fin de vos messages.
• Si pour le premier tour nous ne sommes pas regardants sur la longueur (en raison de la contextualisation), veillez à respecter autant que possible le maximum de mots demandés par la suite.
• Si vous avez des questions, que vous souhaitez demander un délai ou informer le staff et vos coéquipiers que vous sautez votre tour, veuillez le faire dans ce sujet.
• N'hésitez pas à tenter des choses, profiter de cet event pour prendre des risques ! Tout peut arriver, alors amusez vous ! :)
Sango Umino
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Re: Event Hurricane - Groupe 8
Dim 13 Sep - 11:13
Comme à son habitude, Sango venait de se lever pour se préparer à une nouvelle journée de travail. Il était un peu tôt mais elle aimait prendre son temps le matin avant d’aller lever le rideau sur le café. La japonaise était encore en nuisette noir et rouge, elle ne s’habillait que lorsqu’elle avait fini son premier café. Il lui en fallait deux pour être opérationnelle. Elle avait prévu d’aller au Sakura’s un peu plus tôt que d’habitude car elle avait dans le projet de tester une nouvelle pâtisserie et il fallait plus de temps pour la préparer et la cuire. Il était donc à peine 6h30.
Tasse en main, elle entendit au loin des sirènes. Il lui semblait en avoir entendu avant mais elle avait mis ça sur le compte de son sommeil. Elle ouvrit une de ses fenêtres afin de capter au mieux les signaux et se rappela qu’une tempête devait balayer leur territoire. Elle avait complètement oublié de s’intéresser aux dernières nouvelles, trop prise par son café. Le signal ne disait rien qui vaille. Cela n’alla pas en s’arrangeant. Prise de panique pour son établissement, Sango se couvrit les épaules de la première veste qui était à disposition et descendit précipitamment les quelques marches qui séparaient son appartement de son café.
Des bruits de panique, des grondements commençaient à imprégner l’atmosphère et elle-même ressentait la tension qui émanait de la terre et du ciel. Elle vit des yakuzas patrouiller au loin et essaya de repérer Ryuuko. Elle espérait qu’elle puisse se mettre à l’abri malgré tout. Le stress venait de se rajouter à son émoi. Et Usui, était-il à l’abri?
Elle vérifia que les cadenas étaient bien fermés, que ses fenêtres étaient étanches autant que possible mais elle dut se rendre bien vite à l’évidence que des cadenas ne protégeraient pas son établissement si trop de force venait à faire pression.
Serrant sa veste autour d’elle, allait pour rejoindre la rue à la recherche de connaissances -surtout en quête de Ryuuko et Usui- mais un groupe de yakuza la firent entrer dans L’Orochi afin qu’elle soit à l’abri. Elle se retrouva collée à une jeune femme brune, plus grande qu’elle et une autre grande aussi, châtain foncé avec une cigarette à la main. Elle les regarda et leur sourit malgré l’angoisse qui commençait à poindre.
Tasse en main, elle entendit au loin des sirènes. Il lui semblait en avoir entendu avant mais elle avait mis ça sur le compte de son sommeil. Elle ouvrit une de ses fenêtres afin de capter au mieux les signaux et se rappela qu’une tempête devait balayer leur territoire. Elle avait complètement oublié de s’intéresser aux dernières nouvelles, trop prise par son café. Le signal ne disait rien qui vaille. Cela n’alla pas en s’arrangeant. Prise de panique pour son établissement, Sango se couvrit les épaules de la première veste qui était à disposition et descendit précipitamment les quelques marches qui séparaient son appartement de son café.
Des bruits de panique, des grondements commençaient à imprégner l’atmosphère et elle-même ressentait la tension qui émanait de la terre et du ciel. Elle vit des yakuzas patrouiller au loin et essaya de repérer Ryuuko. Elle espérait qu’elle puisse se mettre à l’abri malgré tout. Le stress venait de se rajouter à son émoi. Et Usui, était-il à l’abri?
Elle vérifia que les cadenas étaient bien fermés, que ses fenêtres étaient étanches autant que possible mais elle dut se rendre bien vite à l’évidence que des cadenas ne protégeraient pas son établissement si trop de force venait à faire pression.
Serrant sa veste autour d’elle, allait pour rejoindre la rue à la recherche de connaissances -surtout en quête de Ryuuko et Usui- mais un groupe de yakuza la firent entrer dans L’Orochi afin qu’elle soit à l’abri. Elle se retrouva collée à une jeune femme brune, plus grande qu’elle et une autre grande aussi, châtain foncé avec une cigarette à la main. Elle les regarda et leur sourit malgré l’angoisse qui commençait à poindre.
- Spoiler:
- Sango a les clés de son café au besoin. Elle rejoint les gens dans l'Orochi, poussée par les yakuzas et se retrouve proche de deux jeunes femmes.
Caterina Lombardi
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Re: Event Hurricane - Groupe 8
Lun 14 Sep - 20:29
Première chose que tu as faite une fois sortie du Bleu roi, c’était de t’étirer un bon coup et t’allumer une clope. La soirée avait été intéressante et voilà longtemps que tu n’avais pas fait une nuit blanche. Il te fallait un café et presto pour pouvoir affronter cette journée. Tu vérifias l’heure sur ton téléphone. Il affichait 6 h 30. On t’avait fait récemment l’éloge d’un café dans le quartier japonais. Sakura’s coffee. Autant y jeter un coup d’œil, ça ne coûte rien.
Enfin c’était ce que tu te serais dit si la journée c’était passer sans accros. Mais c’était pile le jour où la météo avait décidé de partir en bad trip. Un ouragan des plus dévastateur s’annonçait. Des alarmes retentissaient dans toute la ville. Et alors que tu approchais des abords du café, une bande de yakuza te força à rentrer dans un bâtiment avec plein d’autres personnes. Protéger du monde, oui, c’était la chose à faire. Sauf que toi, ça ne t’arrangeait pas. Ce n’était pas là que tu devrais te trouver en cette période de crise, mais auprès de la Donna.
Bon première chose, se calmer. Tu sortis ton étui à clope et en sorti une pour l’allumer. Tu jetas des coups d’œil un peu partout pour voir qui t’accompagnait dans ce pétrin. Des gens tous un peu lambda, qui correspondaient bien aux environs. Pourtant une brune attira ton attention. Elle avait un style bien à elle, qui sortait du lot. Il y avait aussi cette Asiatique qui arborait une chevelure rose bonbon. D’ailleurs, elle n’était vraiment pas loin de toi.
Tu sortis ton téléphone et te dirigeas vers les fenêtres du restaurant. Il fallait que tu contactes Livia. Ta première tentative est un appel direct. Cependant l’état du réseau actuel ne te permettait pas de la joindre. Pas le choix, tu essayas de te mettre dans une position des plus inconfortable pour capter la moindre parcelle de connexion et tapas un message à son intention.
« Donna, es-tu en sécurité ? Est-ce que tout va bien ? Où es-tu ? Je fais tout mon possible pour te rejoindre. »
Autant faire court et ne pas perdre le peu de réseau que tu avais. Advenait que pouvait, cela finirait bien par l’atteindre. Tu t’accolas à la fenêtre, portas ta cigarette à ta bouche et réfléchis vite.
— Si nous sommes potentiellement condamnés à rester ici un moment, il faudrait savoir ce qu’il y a comme nourriture à disposition, vous ne pensez pas ? proposas-tu en recrachant ta fumée.
Enfin c’était ce que tu te serais dit si la journée c’était passer sans accros. Mais c’était pile le jour où la météo avait décidé de partir en bad trip. Un ouragan des plus dévastateur s’annonçait. Des alarmes retentissaient dans toute la ville. Et alors que tu approchais des abords du café, une bande de yakuza te força à rentrer dans un bâtiment avec plein d’autres personnes. Protéger du monde, oui, c’était la chose à faire. Sauf que toi, ça ne t’arrangeait pas. Ce n’était pas là que tu devrais te trouver en cette période de crise, mais auprès de la Donna.
Bon première chose, se calmer. Tu sortis ton étui à clope et en sorti une pour l’allumer. Tu jetas des coups d’œil un peu partout pour voir qui t’accompagnait dans ce pétrin. Des gens tous un peu lambda, qui correspondaient bien aux environs. Pourtant une brune attira ton attention. Elle avait un style bien à elle, qui sortait du lot. Il y avait aussi cette Asiatique qui arborait une chevelure rose bonbon. D’ailleurs, elle n’était vraiment pas loin de toi.
Tu sortis ton téléphone et te dirigeas vers les fenêtres du restaurant. Il fallait que tu contactes Livia. Ta première tentative est un appel direct. Cependant l’état du réseau actuel ne te permettait pas de la joindre. Pas le choix, tu essayas de te mettre dans une position des plus inconfortable pour capter la moindre parcelle de connexion et tapas un message à son intention.
« Donna, es-tu en sécurité ? Est-ce que tout va bien ? Où es-tu ? Je fais tout mon possible pour te rejoindre. »
Autant faire court et ne pas perdre le peu de réseau que tu avais. Advenait que pouvait, cela finirait bien par l’atteindre. Tu t’accolas à la fenêtre, portas ta cigarette à ta bouche et réfléchis vite.
— Si nous sommes potentiellement condamnés à rester ici un moment, il faudrait savoir ce qu’il y a comme nourriture à disposition, vous ne pensez pas ? proposas-tu en recrachant ta fumée.
- Actions:
- Est arrivé avec les autres, a envoyé un sms à Livia Lombardi, a proposer de rassembler de la nourriture
Betty-Lou Bettner
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Re: Event Hurricane - Groupe 8
Mar 15 Sep - 13:00
Défoncée, c’est le bon terme. Un bruit lourd retentit dehors, la fille sent bien que cela s’agite autour d’elle. Même dans le fumoir d’opium, elle peut voir que quelque chose ne va pas. En tirant son téléphone de sa poche, elle constate aussi que cela fait presque une journée qu’elle est ici… au moins. Son Sugar-Daddy asiatique du jour est encore plus raide qu’elle à ses côtés et alors que le salon de thé pour camés se vide, la brune erre péniblement à travers le bâtiment. Les Yakuza ne font pas dans la dentelle en débarquant, ils la pressent, la sortent de là. Elle ne comprend pas tout ce qu’il se passe et se demande pourquoi un inconnu l’aide à mettre sa veste tout en la guidant vers l’extérieur.
Dehors, c’est le choc thermique. Une tempête qui martèle autant que le boucan dans sa tête. Mais la fille ne réalise pas vraiment, elle ici et absente à la fois. Ses yeux sont aussi rouges que livides, de grosses cernes vieillissent ses jeunes traits. Néanmoins, elle reconnaît ce quartier où elle fait ses affaires parfois pour le compte des Yakuzas. Ou consomme son opium pour chasser ses démons.
“ Qu’est-ce qui se passe ?... ”
Le comble étant qu’elle a entendu parler de la tempête quelques jours en amont, elle s’était dit qu’elle se mettrait à l’abri chez sa mère à Napoli. mais ses cauchemars l’ont torturés. Ils l’ont usé, abattu et fini par déjouer sa bonne volonté… encore une fois. Puis son addiction l’a rappelé. Elle s’était juré de ne se défoncer qu’une heure ou deux… puis partir. Tu parles.
“ Je suis attendue. “
Protestation vaine. De grès ou de force, elle entrera dans le restaurant où son escorte a décidé de l’enfermer. Et combien même, elle ne comprend pas vraiment le but de la manoeuvre, le résultat est le même. Dans un état un peu second son regard brun s’attarde sur quelques compagnons de fortune. Quasiment tous se sont rués sur leur portable pour appeler un proche. Betty a trop l’esprit flou pour se soucier de quelqu’un d’autre qu’elle même. De plus… La brune à côté de qui elle a atterri attire particulièrement son attention. Un instinct ou un souvenir flou lui dit qu’elle sera la source de futurs ennuis si elles survivent à ça. Son mafieux de père lui arracherait la tête s’il savait comment sa fille occupe ses soirées. Les Lombardi sont à la fois une bénédiction et une malédiction pour notre protagoniste à chaque fois qu’elle les croise sur sa route. Et devant la suggestion de la femme dont la tonalité de la voix elle-même dénonce un certain caractère, Betty répond au tac au tac.
“ Et vous êtes ? “
Sa voix est posée, neutre malgré que la demande est presque agressive au fond. La fille n’aime pas qu’on lui dise quoi faire. Combien même la fermme a raison, son esprit embrumé a rangé sa diplomatie, son mauvais caractère s'exacerbe à cause de son état.
“ Faite ce que vous voulez, moi je me tire d’ici. "
Et va savoir pourquoi, ses iris se perdent dans ceux de la femme aux cheveux roses.
- Résumé:
Peu sympathique, elle annonce qu'elle compte se tirait d'ici en fixant Sango-sûrement à cause de la couleur de ses cheveux qui attire son attention.
Sango Umino
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Re: Event Hurricane - Groupe 8
Mar 15 Sep - 14:24
L’Orochi commençait à se remplir malgré l’heure matinale. Les yakuzas faisaient leur travail, à savoir protéger la population. Le plus gros de la tempête ne semblait pas encore être passé et les bruits au-dehors tendaient à s’intensifier.
Sango regarda alentour et la peur se lisait sur les visages et c’était bien compréhensible. Elle se regarda, elle dans sa petite nuisette et sa veste, sans portable et avec seulement les clés de son café en main.
Une fille à côté d’elle, celle à la cigarette, proposa de savoir combien de vivres étaient disponibles. Sango se prit à espérer qu’ils n’en auraient pas besoin mais ils n'avaient aucune idée de la durée de la tempête. Elle pensa aux denrées disponibles dans son propre café, pas grand chose mais de quoi cuisiner un peu, si tant est qu’il leur était permis et possible.
Elle se tourna donc vers elle et lui répondit: Mon café est juste en face, il y a quelques bricoles à grignoter, d’autres à cuisiner et surtout du café et des bouteilles d’eau. S’il y a besoin et qu’on peut traverser alors ça pourrait nous être utile. Peut-être pourrait-elle parler aux yakuzas qui les avaient enfermées pour négocier une excursion rapide jusqu’à son établissement. Elle se demanda aussi s’il était sage de tout mettre au même endroit car si L’Orochi ne tenait pas le coup, tout serait perdu. Et l’inverse était vrai aussi. Sango espérait tellement que son établissement reste sur pied. Et qu’il ne soit pas pillé. Elle venait juste d’ouvrir.
Elle se fit légèrement bousculée par la masse de personnes et la jeune femme qui était proche et qu’elle avait repéré ne semblait pas vraiment tenir sur ses jambes. Son teint n’était pas sain et ses yeux injectés de sang. L’odeur caractéristique de l’opium flottait tout autour d’elle. Avec la fumée de la brune, elle n’était pas rendue.
Elle déclama alors qu’elle partirait d’ici.
Sango lui mit gentiment la main sur le bras, sans brusquerie. Vous ne semblez pas vraiment en état de lutter contre les éléments. Il serait peut-être raisonnable que vous repreniez vos esprits ici, pendant quelques minutes.
Deux choses se passent simultanément : une énorme bruit se fait entendre contre l’un des murs de l’établissement et une vitre explose.
Plusieurs personnes crièrent de peur. Le coeur de Sango rata un battement. Sa main se serra sur le bras de la brune.
Il faut barricader les fenêtres! Elle regarda sa main et relâcha le bras qu’elle tenait. Excusez-moi.
Sango regarda alentour et la peur se lisait sur les visages et c’était bien compréhensible. Elle se regarda, elle dans sa petite nuisette et sa veste, sans portable et avec seulement les clés de son café en main.
Une fille à côté d’elle, celle à la cigarette, proposa de savoir combien de vivres étaient disponibles. Sango se prit à espérer qu’ils n’en auraient pas besoin mais ils n'avaient aucune idée de la durée de la tempête. Elle pensa aux denrées disponibles dans son propre café, pas grand chose mais de quoi cuisiner un peu, si tant est qu’il leur était permis et possible.
Elle se tourna donc vers elle et lui répondit: Mon café est juste en face, il y a quelques bricoles à grignoter, d’autres à cuisiner et surtout du café et des bouteilles d’eau. S’il y a besoin et qu’on peut traverser alors ça pourrait nous être utile. Peut-être pourrait-elle parler aux yakuzas qui les avaient enfermées pour négocier une excursion rapide jusqu’à son établissement. Elle se demanda aussi s’il était sage de tout mettre au même endroit car si L’Orochi ne tenait pas le coup, tout serait perdu. Et l’inverse était vrai aussi. Sango espérait tellement que son établissement reste sur pied. Et qu’il ne soit pas pillé. Elle venait juste d’ouvrir.
Elle se fit légèrement bousculée par la masse de personnes et la jeune femme qui était proche et qu’elle avait repéré ne semblait pas vraiment tenir sur ses jambes. Son teint n’était pas sain et ses yeux injectés de sang. L’odeur caractéristique de l’opium flottait tout autour d’elle. Avec la fumée de la brune, elle n’était pas rendue.
Elle déclama alors qu’elle partirait d’ici.
Sango lui mit gentiment la main sur le bras, sans brusquerie. Vous ne semblez pas vraiment en état de lutter contre les éléments. Il serait peut-être raisonnable que vous repreniez vos esprits ici, pendant quelques minutes.
Deux choses se passent simultanément : une énorme bruit se fait entendre contre l’un des murs de l’établissement et une vitre explose.
Plusieurs personnes crièrent de peur. Le coeur de Sango rata un battement. Sa main se serra sur le bras de la brune.
Il faut barricader les fenêtres! Elle regarda sa main et relâcha le bras qu’elle tenait. Excusez-moi.
- Spoiler:
- Sango propose de faire de faire une excursion jusqu’au café pour récupérer des vivres. Elle conseille à Betty-Lou de se reposer pour retrouver sa lucidité et s’excuse de lui avoir serré le bras.Une fenêtre explose.
Caterina Lombardi
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Re: Event Hurricane - Groupe 8
Mer 16 Sep - 21:13
Ce n’est qu’une fois que la brune qui se démarquait par son style parla que tu remarquas qu’elle n’allait pas bien. Elle avait les traits tirés, les yeux rougis, bref les dégâts d’une bonne cuite ou d’une défonce. Tu tiquas un peu, ça n’allait pas être simple à gérer. Fort heureusement, la femme aux cheveux couleur de fleur de cerisier prit les choses en main et essaya de la calmer et de la dissuader de partir.
Même si, au final, tu mourais d’envie d’en faire tout autant, il n’était pas sage de le faire maintenant en ce début d’ouragan. Pourtant, il y avait du bon d’avoir cette femme avec vous ici. C’était la propriétaire du café d’en face et elle peut nous apporter des vivres supplémentaires. Encore une fois, tu tiras sur ta cigarette et recrachas une longe bouffée de fumée. Bon, il y avait pire comme situat…
D’un coup, la vitre près de laquelle tu te trouvais explosa, t’envoyant au sol et te déchiquetant ta chemise au passage. Ton premier réflexe fut de te couvrir la tête pour te protéger. Quelle idiote te dis-tu. Évidemment que cela devait arriver, aucun sain d’esprit ne resterait près d’une fenêtre en plein ouragan. Mais vu le choc de la situation, c’était normal qu’une réflexion des plus éclairée ne puisse se faire.
Quand les éclats finirent de se disperser, tu te levas vaille que vaille et sentis une légère douleur au niveau de ta joue. Tu pestas, bien évidemment, ça t’avait coupé. Quand la rose bonbon proposa de façon véhémente de barricader les vitres, tu sortis de ta semi-léthargie. Elle avait raison.
— Le boîtier de fermeture des volets automatiques, vite. En attendant, vous trois avec moi pour bouger des tables, désignas-tu à la hâte des personnes qui avait l’air costaudes.
Au départ un peu ébahi, ils reprirent bien vite contenance et vinrent t’aider à pousser tables et chaises pour consolider les rideaux de fer. Après une poignée de minutes, des monticules s’étaient formés de part et d’autre des montants de la porte. Une fois satisfaite de votre avancée, tu soupiras un bon coup. En espérant que ça tiendrait le coup. Pourtant autre chose allait t’inquiéter. La traînée de sang qui coulait sur ta joue t’indiquait que ta blessure était plus sérieuse que tu ne le pensais. Il faudrait peut-être t’occuper de ça.
Même si, au final, tu mourais d’envie d’en faire tout autant, il n’était pas sage de le faire maintenant en ce début d’ouragan. Pourtant, il y avait du bon d’avoir cette femme avec vous ici. C’était la propriétaire du café d’en face et elle peut nous apporter des vivres supplémentaires. Encore une fois, tu tiras sur ta cigarette et recrachas une longe bouffée de fumée. Bon, il y avait pire comme situat…
D’un coup, la vitre près de laquelle tu te trouvais explosa, t’envoyant au sol et te déchiquetant ta chemise au passage. Ton premier réflexe fut de te couvrir la tête pour te protéger. Quelle idiote te dis-tu. Évidemment que cela devait arriver, aucun sain d’esprit ne resterait près d’une fenêtre en plein ouragan. Mais vu le choc de la situation, c’était normal qu’une réflexion des plus éclairée ne puisse se faire.
Quand les éclats finirent de se disperser, tu te levas vaille que vaille et sentis une légère douleur au niveau de ta joue. Tu pestas, bien évidemment, ça t’avait coupé. Quand la rose bonbon proposa de façon véhémente de barricader les vitres, tu sortis de ta semi-léthargie. Elle avait raison.
— Le boîtier de fermeture des volets automatiques, vite. En attendant, vous trois avec moi pour bouger des tables, désignas-tu à la hâte des personnes qui avait l’air costaudes.
Au départ un peu ébahi, ils reprirent bien vite contenance et vinrent t’aider à pousser tables et chaises pour consolider les rideaux de fer. Après une poignée de minutes, des monticules s’étaient formés de part et d’autre des montants de la porte. Une fois satisfaite de votre avancée, tu soupiras un bon coup. En espérant que ça tiendrait le coup. Pourtant autre chose allait t’inquiéter. La traînée de sang qui coulait sur ta joue t’indiquait que ta blessure était plus sérieuse que tu ne le pensais. Il faudrait peut-être t’occuper de ça.
- Spoiler:
- A subi l’explosion de la fenêtre, a réagi à l’ordre de Sango en barricadant les fenêtres avec des chaises et tables.
Betty-Lou Bettner
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Re: Event Hurricane - Groupe 8
Jeu 17 Sep - 21:08
Attendre ? Conneries. La fille grimace, toise d’un seul oeil son interlocutrice/bienfaitrice. C’est que ses paupières sont lourdes, sa tête est tellement encombrée, que le bruit de la tempête la dérange à peine. Il n’est pas certain que Betty est conscience qu’il y a plus qu’un orage qui s'abat sur eux. Ceci dit, sa léthargie s’évapore un instant quand la vitre explose et que l’inconnue broie son bras…
“ Aieuh… putain. “
Réaction lente et minime, mais tout tourne au ralenti pour la brune actuellement. Son regard se pose alors sur l’ouverture laissant passer le vent. Ses yeux clignent un peu en observant les sanglots de quelques personnes. Son cerveau a manqué d’exploser en subissant le son strident des cris d’angoisse. Puis à nouveau la petite folle s’agite, échange… définitivement sans elle. Tout ce qu’elle voit, c’est les issues qui se ferment, l’oppression la gagne.
“ File moi tes clés. “ Dit-elle à la douce au cheveux rosés. “ Il semblerait que je sois la seule qui est envie de sortir ici. Mais laisse moi te dire une chose. “ Elle se rapproche, attrape le bras de la femme à son tour. “ Qui connais-tu de tous ses gens ? Qui ne dit pas que parmis eux, ou que l’esprit collectif ne leur donnera pas des idées à la moralité étrange. ‘“ Elle hausse les épaules. Relâche la fille. Frotte un peu son visage. “ Ou viens avec moi protéger ton établissement de la tempête. “
En bonne camée, elle négocie pour avoir ce qu’elle veut. Une fois dehors, elle espère bien lui fausser compagnie, mais un certain scrupule la prend, même raide de laisser cette femme seule. De plus, elle ne tient pas non plus à laisser la Lombardi derrière elle, même si elle ne sait pas encore que cela en est une. L’instinct sûrement ou sa mémoire qui l’à déjà vu ou identifier via son mère.
“ N’êtes vous pas d’accord ? Qui va maintenir l’ordre ici ? Nous ne sommes même pas armées… Si ? “
Clairement, elle s’adresse à la brune à la joue blessée.
“ Il va rester une vilaine cicatrice, il faut des soins pour ça. “ Elle montre le comptoir en étirant son bras. “ Mais des abruitis sont déjà en train de tout dévaliser de la trousse de secours. “
Voilà que cela la fait rire. Décidément, Betty n’est pas vraiment dans l’ambiance.
- Spoiler:
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Re: Event Hurricane - Groupe 8
Sam 19 Sep - 9:02
La dame à la cigarette fut soufflée et blessée mais avant de pouvoir faire le moindre geste vers elle pour regarder sa blessure, elle s’élança en apostrophant trois personnes afin de consolider les fenêtres dont les volets s’étaient fermés par des tables et autres choses lourdes.
Sango n’était pas infirmière ou autre mais s’il leur était possible de désinfecter et de panser la plaie, la jeune femme à la cigarette pourrait échapper à une infection. Ce qui était pas mal s’ils en arrivaient à patauger dans une eau boueuse et remplie de particules de cadavres et autres. Sango secoua la tête, ce n’était pas dans ses habitudes d’être si pessimiste. C'était bien de se barricader. Il fallait juste espérer qu’ils ne creusaient pas leur propre tombe. Ils étaient beaucoup. S’il y avait le moindre vent de panique, les gens se marcheraient dessus. Ils pouvaient se faire plus de dégâts que l’ouragan en lui-même.
La jeune droguée lui proposa alors qu’elle lui donne ses clés. Comme si elle allait les lui donner! Et puis quoi encore?! Sango était gentille, pas idiote, même si beaucoup confondaient ces deux traits de personnalité. D’ailleurs, c’était souvent des gens manquant de confiance en eux en en faisant des caisses qui se permettaient de lier ces deux caractéristiques ensemble. Bref. Sango n’allait pas agresser la jeune fille, ce n’était pas le moment et elle avait assez confiance en elle pour éviter de s’offusquer verbalement. Elle la regarda cependant, penchant légèrement la tête, levant gracieusement un de ses sourcils et fit perdre à son visage le sourire qu’elle essayait de garder en lui imprimant une légère bouderie. Elle n’aima pas non plus la façon dont elle s’accrocha à elle. Mais elle laissa couler, elle n’avait pas totalement tort.
Même si elle ne voulait pas abandonner ces gens, Sango voulait retourner à son café. Elle voulait être dans un endroit qu’elle connaissait par coeur. Elle savait où en étaient les issues de secours, la trappe dans le plafond, l’escaliers pour la cave ou son appartement. Elle ne connaissait pas autant L’Orochi et elle ne saurait où se diriger pour sauver sa vie et peut-être quelques unes des autres s’il fallait s’enfuir. Et tel le capitaine d’un navire, si elle devait succomber, si son café devait succomber, alors elle voulait le faire entre ses murs.
Elle prit alors sa décision, même si elle pouvait manquer de sagesse mais un instinct lui étreignait le ventre. Elle voulait être là-bas. Elle devait être là-bas… Et qui sait, peut-être qu’elle retrouverait des connaissances. Elle regarda la jeune droguée et la jeune femme à la cigarette qui était revenue.
J’y vais.
Elle se dirigea alors vers la porte dont les monticules n’étaient qu’autour pour le moment. Elle regarda autour d’elle, les yakuzas s'affairaient ailleurs. Elle ouvrit l’huis et se faufila le plus discrètement possible.
Elle était dehors.
Sango n’était pas infirmière ou autre mais s’il leur était possible de désinfecter et de panser la plaie, la jeune femme à la cigarette pourrait échapper à une infection. Ce qui était pas mal s’ils en arrivaient à patauger dans une eau boueuse et remplie de particules de cadavres et autres. Sango secoua la tête, ce n’était pas dans ses habitudes d’être si pessimiste. C'était bien de se barricader. Il fallait juste espérer qu’ils ne creusaient pas leur propre tombe. Ils étaient beaucoup. S’il y avait le moindre vent de panique, les gens se marcheraient dessus. Ils pouvaient se faire plus de dégâts que l’ouragan en lui-même.
La jeune droguée lui proposa alors qu’elle lui donne ses clés. Comme si elle allait les lui donner! Et puis quoi encore?! Sango était gentille, pas idiote, même si beaucoup confondaient ces deux traits de personnalité. D’ailleurs, c’était souvent des gens manquant de confiance en eux en en faisant des caisses qui se permettaient de lier ces deux caractéristiques ensemble. Bref. Sango n’allait pas agresser la jeune fille, ce n’était pas le moment et elle avait assez confiance en elle pour éviter de s’offusquer verbalement. Elle la regarda cependant, penchant légèrement la tête, levant gracieusement un de ses sourcils et fit perdre à son visage le sourire qu’elle essayait de garder en lui imprimant une légère bouderie. Elle n’aima pas non plus la façon dont elle s’accrocha à elle. Mais elle laissa couler, elle n’avait pas totalement tort.
Même si elle ne voulait pas abandonner ces gens, Sango voulait retourner à son café. Elle voulait être dans un endroit qu’elle connaissait par coeur. Elle savait où en étaient les issues de secours, la trappe dans le plafond, l’escaliers pour la cave ou son appartement. Elle ne connaissait pas autant L’Orochi et elle ne saurait où se diriger pour sauver sa vie et peut-être quelques unes des autres s’il fallait s’enfuir. Et tel le capitaine d’un navire, si elle devait succomber, si son café devait succomber, alors elle voulait le faire entre ses murs.
Elle prit alors sa décision, même si elle pouvait manquer de sagesse mais un instinct lui étreignait le ventre. Elle voulait être là-bas. Elle devait être là-bas… Et qui sait, peut-être qu’elle retrouverait des connaissances. Elle regarda la jeune droguée et la jeune femme à la cigarette qui était revenue.
J’y vais.
Elle se dirigea alors vers la porte dont les monticules n’étaient qu’autour pour le moment. Elle regarda autour d’elle, les yakuzas s'affairaient ailleurs. Elle ouvrit l’huis et se faufila le plus discrètement possible.
Elle était dehors.
- Spoiler:
- Sango reste calme malgré l’attitude de Betty-Lou. Elle refuse de donner ses clés à quiconque. Voyant la foule amassée dans L’Orochi et ne connaissant pas vraiment l’établissement, Sango décide de partir pour rejoindre le Sakura’s. Même si ça l’embête de laisser ces gens, elle veut protéger son café, lier son destin à lui et quelques chose l’y pousse. Elle annonce aux femmes à ses côtés qu’elle part. Elle traverse donc la salle et profite des l’inattention des yakuzas pour sortir. Elle se retrouve à l’extérieur.
Caterina Lombardi
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Re: Event Hurricane - Groupe 8
Dim 20 Sep - 22:45
Impuissante. C’était exactement ça. Tu étais impuissante quand la femme à la crinière rosée affirma qu’elle allait partir. Pire encore quand elle avait franchi la porte et rejoint la tempête. Mais qui étais-tu pour l’empêcher de faire ce qu’elle voulait ?
Le battant se referma sur une demoiselle déterminée, mais en même temps incertain. Bien que cela ne soit pas dans tes habitudes, tu avais peur pour elle. Peut-être les évènements qui voulaient ça. Tu avais des gens qui comptaient sur toi en cet instant. Pourtant tu le savais pertinemment, toi aussi tu finirais par quitter ce lieu.
— Bien, si d’autre veulent partir, libre à eux. Mais, je vous le déconseille, c’est dangereux dehors.
Et comme pour accompagner ta mise en garde, des bruits de tonnerres commencèrent à résonner dehors. Au début, faiblement, ensuite très fort, comme s’ils se trouvaient au-dessus de votre position. Soudainement, une lumière vivace transperça les interstices des volets, des barricades de fortunes et de la porte. Un éclair venait de frapper tout proche. Puis encore un autre. Tu t’approchas d’un espace laissant entrevoir la rue.
En essayant de voir ce qu’il s’était produit, tu déglutis. La façade de l’immeuble jouxtant le café avait été foudroyer. Les fenêtres avaient explosé, une partie du toit était manquant et un feu s’était déclaré. Tu n’espérais que deux choses en cet instant. Que cela n’arrivera pas à votre bâtiment et que la jeune femme soit saine et sauve.
Tu restas prostrée quelques instants. Oui, cette situation exceptionnelle faisait surgir une toi que tu ne connaissais pas. Qui se sentirait vraiment lui-même à ta place ?
—Oui, attendre est vraiment le mieux à faire en ce moment, finis-tu par articuler.
Le battant se referma sur une demoiselle déterminée, mais en même temps incertain. Bien que cela ne soit pas dans tes habitudes, tu avais peur pour elle. Peut-être les évènements qui voulaient ça. Tu avais des gens qui comptaient sur toi en cet instant. Pourtant tu le savais pertinemment, toi aussi tu finirais par quitter ce lieu.
— Bien, si d’autre veulent partir, libre à eux. Mais, je vous le déconseille, c’est dangereux dehors.
Et comme pour accompagner ta mise en garde, des bruits de tonnerres commencèrent à résonner dehors. Au début, faiblement, ensuite très fort, comme s’ils se trouvaient au-dessus de votre position. Soudainement, une lumière vivace transperça les interstices des volets, des barricades de fortunes et de la porte. Un éclair venait de frapper tout proche. Puis encore un autre. Tu t’approchas d’un espace laissant entrevoir la rue.
En essayant de voir ce qu’il s’était produit, tu déglutis. La façade de l’immeuble jouxtant le café avait été foudroyer. Les fenêtres avaient explosé, une partie du toit était manquant et un feu s’était déclaré. Tu n’espérais que deux choses en cet instant. Que cela n’arrivera pas à votre bâtiment et que la jeune femme soit saine et sauve.
Tu restas prostrée quelques instants. Oui, cette situation exceptionnelle faisait surgir une toi que tu ne connaissais pas. Qui se sentirait vraiment lui-même à ta place ?
—Oui, attendre est vraiment le mieux à faire en ce moment, finis-tu par articuler.
- Spoiler:
- Regarda Sango partir impuissante et constata les dégâts causé par un éclair dehors
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Re: Event Hurricane - Groupe 8
Sam 26 Sep - 16:40
Dans la rue séparant le restaurant du café, trois silhouettes encapuchonnées se détachent. Leur anonymat ne reste pas longtemps lorsque les bourrasques reprennent de plus belle et viennent révéler le visage de trois adolescentes au maquillage ostentatoire. Deux d'entre elles sortent de sous leur imperméable des battes en métal, révélant au passage une tenue faite de longues jupes d'un bleu sombre, et des hauts courts rappelant des tenues d'écolières. La troisième, la plus grande des trois, sort une longue barre de fer et fait signe aux deux autres de s'attaquer à l'Orochi. Seule, elle s'avance vers le café en face, et se met à attaquer la porte d'entrée de son arme, poussant de longs grognements rageurs. Lors d'une de ses attaques, elle laisse tomber un sac à moitié ouvert où on peut apercevoir - si on est assez proche - le butin de plus de quelques modestes pillages, sans doute dans les commerces abandonnés par leurs propriétaires.
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