Chapitre 2 : La Corporation
Decay
Decay, destination de tous les possibles, terre en friche où fourmillent les possibilités et l'argent facile, où chaque vice est accessible, chaque désir libre d'être comblé. L'île prospère, se vautre dans sa propre réussite, quand l'ouragan Isaac survint, balayant sur son passage les installations des gangs comme leurs prétentions. Et un nouveau groupe émerge des brisures laissées par la tempête, la Corporation. Forte de son budget, celle-ci s'invite en sauveuse, promet à tous une aide financière et humaine, des avancées conséquentes, pour une vie meilleure. Avides de pouvoir ou simples fantoches, qui sont vraiment les acteurs de cette entité inédite qui prétend étendre son influence à tout Decay.
11/10/2020 HRP
La Newsletter est sortie ! Beaucoup de changements au programme, par ici
11/10/2020 RP
Quelques semaines après la fin de l'ouragan, la Corporation dévoile son visage ! A lire par ici
12/09/2020 RP
L'ouragan Isaac s'abat sur l'île ! Pour en savoir plus, par ici
12/09/2020 HRP
L'event Hurricane est lancé ! Vous pouvez toujours le rejoindre par ici.
27/08/2020 HRP
Nouvelle newsletter ! La lire ici.
05/07/2020 HRP
Nouvelle newsletter et nombreux changements ! La lire ici.
30/05/2020 HRP
Nouvelle newsletter en cette fin de mai ! La lire ici.
30/05/2020 RP
Un nouveau système de réalité augmentée sort au Space Station Bar ! Participer ici
5/04/2020 RP
Le Carnaval de Napoli est lancé ! Extravaganza
8/04/2020 HRP
Nouvelle newsletter ! La lire ici.
18/03/2020 HRP
Ajout des missions et petite update de l'index !
28/02/2020 HRP
Deuxième newsletter ! La lire ici.
28/02/2020 RP
La Milice redouble de violence et est plus présente sur le territoire de Decay !
31/01/2020 HRP
Première Newsletter, bébé forum deviendra grand ! La lire ici.
31/01/2020 RP
L'intrigue "Paranoïa" a été lancée ! Par ici.
17/01/2020 HRP
Ouverture du forum ! N'hésitez pas à rejoindre le Discord !
Il parait qu'une jeune fille a été aperçue allant dans les égouts. Depuis, elle n'a plus donné aucune nouvelle d'elle. Une nouvelle victime des monstres vivant dans les égouts ?Une vingtaine de serpents en liberté auraient été aperçus sur les Docks. La Triade en sueur.On déplorerait trois morts suite au dernier barathon de la rue de la soif.À Kabukicho, des rumeurs sur l'affaiblissement des effectifs du clan Oni commencent à poindre. L'absence de Yokai se fait-elle enfin ressentir ou cela n'est-il que le fruit de l'imagination de quelques résidents ?Une certaine Shrimpette serait en train d'écrire une fan-fiction sur certains membres de Decay.On dit que l'ensemble du corps d'un certain mercenaire travaillant pour la Triade serait entièrement recouverts de ses nombreux crimes. Une dizaine de cadavres auraient été découverts, au cours du mois de Janvier, sur les Docks. Certains évoquent un règlement de comptes. Un tout nouveau malware parcourrait la toile, déguisé sous la forme d'un logiciel à première vue inoffensif. Il installerait une backdoor sur les machines infectées. Pour quelle raison ? Cela reste un mystère. Une femme vagabonde à la chevelure d'un noir profond et aux yeux écarlates prendrait en charge des malades et blessés au travers de Decay pour une misère, offrant une alternative médicale à celle dispensée par l'Église. Fin Janvier/Début Février, une course de rue, en pleine nuit, aurait conduit certains hommes hors des pistes. Plusieurs voitures seraient sorties de la route suite à un « conducteur fantôme ».
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C’est vrai que ce n’est pas super évident à partager des pâtes mais ce fut une tentative plaisante malgré la présence de la télévision qui avait absorbé ton attention un moment. Bien que tu lui présente tes excuses cette dernière te rassure en confirmant qu’il n’y a pas lieu de pardon. C’est normal visiblement d’avoir envie de quitter ce trou pourri ! Tu n’as d’ailleurs jamais compris comment certaines personnes peuvent venir ici par choix ? Car oui, il t’est arrivé de croiser des gens venant de l’extérieur, des gens qui ne sont pas née ici. C’est ainsi que tu réussis à trouver de nouveau livre, venant de l’extérieur. Imaginer une vraie bibliothèque te fait rêver. Vraiment.

Marcher sur le bord de l’eau, il est vrai que cette image de pied dans le sable est un délice. Pourquoi se contenter de simplement s’étendre sur la plage alors que tu pourrais t’y déplacer ? En même temps, si ce n’est pas ton autre jambe ce serait quoi ? Tes mains ? Mais ça, c’est pour toi impensable. Tu réussis à vivre grâce à ton adresse manuelle, grâce a ses mains qui te permettre d’opérer mais aussi de lire. C’est que tu n’es pas encore prêt à tout sacrifier pour cette journée à la plage. Oh, toi aussi tu as imaginé ce moment en agréable compagnie, tu as pensé à ton ex pour la peine, supposant que si la réalité serait différente, ça aussi ça le serait.

« Uhm… c’est vrai… Ça me plairait de marcher sur le bord, sentir les vagues se glisser entre mes orteils. »

Quoi qu’il en soit, tu poussas un petit rire plein de malice quand elle vint frapper ta main tandis que tu tentais un vol de salade. Tu n’es pas assez discret et tu as complètement échouer ta tentative. Ce n’est pas très grave après tout, ce n’est qu’un morceau de salade. La mine de Magnolia t’arrache un nouveau rire. Elle est charmante cette petite bouille ! Sans parler que cette dernière viens se venger en venant à ton plat mais le truc, c’est que t’es complètement coopératif et que tu approches même l’assiette de la demoiselle pour facilité le vol. T’aime bien ce genre d’échange, ce partage des goûts et puis il faut avouer que le visage de Magnolia quand elle mange est vraiment radieux. Elle a ce plaisir dans la nourriture que tu aimerais pouvoir partager un peu plus avec elle. Toi qui ne se nourrit que de cochonnerie en tout genre. Un restaurant n’est certainement pas à la hauteur d’un plat fait maison.

Puis, la mine surprise, tu la regarde dans les yeux alors que son index se pose sur ton front, puis se glisse sur tes lèvres comme pour te faire taire. Tu remarque alors votre proximité, contrairement à la jeune femme, tu ne rougis pas, bien trop curieux de connaitre le fond de sa pensée et elle a bien raison. Ce n’est pas l’endroit ni le moment d’être dans cet état d’esprit un peu maussade. Ici, c’est davantage un endroit où passer un moment agréable en bonne compagnie. Alors tu hoche la tête, non sans lui offrir ton sourire ainsi qu’un bon accès a ton plat, profitant de sa distraction pour venir lui voler des feuilles de salades.

« Je suis de retour sur terre. »

Cette terre sale et crade sur laquelle vous devez vivre, ce petit morceau qui appartient à la sous race de l’humanité. Cette race qui tente de survivre par tous les moyens possibles. Les rats. Ce n’est pas sans raison que tu sois fasciné par les romans fantastiques. Il est étonnant que tu ne sois pas un consommateur de drogue en fait. Ton coté positif te fait tenir sur tes deux jambes et avancer sans tomber.

« J’aime bien ta salade. »

Que tu lâche tout en mâchant les morceaux que tu lui as voler alors qu’elle était occupée avec les pâtes.

« Je repense à ta proposition… J’aimerais vraiment que tu me montre un peu de ta cuisine. »

Des plats fraichement préparer avec ‘’amour’’ ce doit être agréable ! C’est que tu as l’habitude de bien des types de nourriture sans avoir vraiment eu accès a un truc personnel. Oui, ton ex faisait à manger mais c’était assez sommaire et franchement pas toujours réussi même si tu lui disais à chaque fois ‘C’est super bon chérie’. On ne crache pas sur l’amour. Penser à la bouffe quand on mange, ce n’est pas si mal. Tu apprécie le moment et la compagnie. Après quelques bouchées tu lève les yeux vers la télévision. Ouais, d’accord, tu pige que dalle a ce qui se passe dans le film, ce dernier agis comme bruit de fond plus qu’autre chose…

« Je me demandais… est-ce que nos rendez-vous seront toujours au Dvorets ? »

Simple curiosité. Car après tout, il te semble l’avoir déjà vu sortir aux bras de quelques hommes mais toi, c’est ici que ça se passe et tu te demande bien pourquoi… Il te semble qu’il était question de confiance, non ? N’as-tu pas pu prouver que tu n’étais pas un mec horrible, dangereux et dégoutant ?

« Car j’aimerais bien venir avec toi pour acheter les trucs à cuisiner… »

Pas que tu ne lui fasses pas confiance sur la chose mais que tu ne veux pas risquer de trouver des poivrons dans son panier. Tu as horreur de ses légumes difformes, qu’il soit vert, jaune ou rouge, c’est immonde.

« Comme ça je pourrais t’aider et trainer quelques sacs, choisir aussi ça serait bien… »

On dirait que tu tente de la convaincre alors tu commence à penser qu’il faudrait bien te taire et simplement écouter sa réponse. Oui, ça c’est une bonne idée.
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Vos rêves d’évasions prennent fin…
Après tout, vous ne pouvez que rêver de cette plage, ce sable entre vos doigts de pieds, ce soleil qui brûle la peau, l’odeur de l’eau salé, le couché de soleil. Oui c’est beau, c’est vraiment un beau voyage pour la pensée mais tu es bien heureuse qu’il prenne fin car il assombrit l’esprit et le cœur de ton client. Tu n’aimes pas vraiment ce sentiment de solitude qui vient d’envahir le cœur et les yeux de Bazil, il n’est pas ici pour s’égarer dans les tréfonds de sombres pensées. Il est là pour profiter d’un moment agréable. Enfin, peut-être est-ce agréable pour lui de s’offrir ce genre de rêveries avec quelqu’un à ses côtés pour les écouter ? S’il replonge, tu le laisses s’enfoncer dedans, comme ses pieds dans le sable. Pour l’heure tu es bien heureuse que ta petite manigance pour le ramener à la surface marche. Il est de nouveau avec toi, tu pouffes même de rire quand il te le confirme.

Il te vole ta salade pendant que tu lui piques ses pâtes…
Un échange de bons procédés qui te donne le sourire. Tu te dis que ce n’est pas cher payé pour te faire pardonner de l’avoir ramener de ses pensées qui font tomber le sourire. Tu manges donc, offrant sans résistance ton assiette s’il veut encore en piquer quelques bouchées, toi aussi tu précises la voix rieuse : « Et moi, j’aime beaucoup tes pâtes … » Voilà, vous avez vraiment retrouvé toute votre légèreté. C’est si bon, c’est si simple. Il revient même sur l’idée de cuisiner à deux. C’est certainement l’une de tes activités préférées. Elle est idéale pour venir te lier un peu plus avec quelqu’un, elle t’offre le plaisir de créer des souvenirs bercés pas le sentiment de complicité et de satisfaction des papilles. Alors quand il te dit qu’il aimerait vraiment tenter l’aventure avec toi, ton visage s’illumine. Tu te vois déjà demander une chambre avec un belle cuisine, forcément, tu lui feras payer aucun supplément, il ne mérite pas d’user son argent pour ce genre de petites choses. Bazil, c’est vraiment un client plaisant…

Sauf que Bazil, il a de la suit dans les idées…
Et forcément cette demande vient en entraîner une autre qui te fait perdre ton sourire presque instantanément. Il veut que vous sortiez de l’hôtel. Il veut que vous alliez dehors tout les deux. Tu serres légèrement la mâchoire, déglutissant difficilement. Tu n’es pas forcément à l’aise avec idée. Bazil précise ses intentions, ses motivations face à cette demande mais tu n’arrives pas à décrocher le moindre mot. Tu es figée… Il a beau enchaîner les arguments, certainement pour te convaincre, tu n’as pas décroché un mot. La seule chose que tu peux faire c’est baisser les yeux vers ton assiette. Tu ne pensais pas que ça arriverait si vite, cette demande. Tu pensais avoir plus de temps pour le découvrir, tu pensais sincèrement que tu pourrais y échapper encore pour deux ou trois visites, tu soupires. Doucement tu te relèves pour aller poser ton assiette sur le chariot, cela te permet surtout d’être dos à lui. Tu prends une grande inspiration pour lui répondre : « En vérité, je ne sais pas réellement quoi et répondre… » Tu te retournes, tes mains l’une dans l’autre, tu malmènes pas ton pouce, faisant tourner ta bague pour canaliser ta gêne, tu as l’air si timide et fragile en cet instant. Tu aurais pu te la jouer froide et distance comme avec certains clients louches mais Bazil, tu n’as pas envie de venir mettre distance entre vous alors tu t’exprimes sans filtre :

- « Normalement, les rendez-vous hors de l’hôtel sont vraiment plus cher car je n’aime pas sortir. A mes yeux, c’est une grosse prise de risques, qui sait ce qui peut se passer avec un client en dehors des murs de l’hôtel… » Tu t’avances vers lui, toujours aussi hésitante, tu replaces tes cheveux derrière ton oreille et tu reprends avec ton air si douce et gêné : « Et normalement, je refuse cette idée jusqu’à avoir pleinement confiance en mon client… » Tu pinces les lèvres, tu hausses les épaules, serrant toujours ta bague et ton pouce dans ton autre main. « Ce n’est pas que ce j’ai pas confiance en toi Bazil, mais je me dois d’être prudente pour préserver ma vie, car même si tu as l’air d’un ange, ici les apparences sont souvent trompeuses… » Tu te sens vraiment désolée de lui dire cela, tu te sens mal de refuser comme ça. Tu as le cœur qui frappe contre ta culpabilité, ça te fait vraiment de la peine de lui dire tout ça.Tu restes debout, plantée devant comme une enfant qu'on viendrait de gronder et tu rajoutes ce petit « J'suis désolée... Bazil... »
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Cette complicité toute douce que vous partagés est des plus agréable et savoureuse. Tu as besoin de ce genre de moments tendres, de ses souvenirs agréables pour venir remplacer les mauvais qui grattent le fond de ton cœur tous les jours. Rien que ce partage de nourriture est quelque chose de frais et ça te plait énormément. C’est si simple. Son sourire, ses grands yeux qui se plonge parfois dans les tiens, ce petit rire que sort de ses lèvres. Magnolia est vraiment une perle au milieu de la bouse. Oui, tu préfère croire qu’elle est sincère, que tout ça c’est vrai et qu’il ne s’agit pas seulement d’un jeu malsain parce que tu la paye… qui pourrais mentir et te manipuler aussi bien ? Ce serait assez gênant que ce soit le cas… Il y a des limites à se moquer de toi.

Puis tout dérape. Le ton change, tu vois carrément son visage se changer quant à ta demande. Le sourire disparait, si facilement ? Que tu te trouble. Tu as frappé un mur, c’est certains et chaque mot qui sortent de ta bouche enfonce un clou à ton cercueil. C’est une bien jolie tombe que tu as creusée là.  Aussi bien fermer le couvercle et rester cacher. Tu sens bien le malaise que cette proposition vient de créer et tu ne sais pas trop comment y réagir. Tu pourrais facilement prendre les nerfs, être en colère et agacé. Hurler que c’est injuste, que dépenser ton argent enfermer ça ne te plait pas. Tu n’aime pas non plus les environnements extérieurs que tu ne peux pas contrôler pleinement. Et pourtant…

« Tant pis. Je demandais juste. »

Oui, c’est décevant. Mais en voyant la tête de la jeune femme tu te dis qu’insister ne ferrais que mettre plus de terre sur le cercueil. Tu tapote le lit doucement à coté de toi pour l’invité à revenir à sa place initiale. Tu inspire un bon coup afin de rester calme et serein. Ne soit pas acide, ça ne sert à rien, tu vois bien à quel point elle se sent coupable de te répondre tout ça. Doucement, tu lève ta main vers elle puis tu viens caresser sa tête.

« Tu n’as pas à t’inquiéter, je n’en parlerais plus. »

Voilà que tu te ferme complètement à l’idée de la voir sous un autre jour. Ce qui te fou le plus à mal c’est de l’avoir vu avec d’autres clients qui te semble milles fois plus louche que toi. Des types qui te semblaient vraiment crade et sale. Tu te dis qu’a eu, c’est la confiance et à toi c’est une chambre d’hôtel. Cool. Vraiment cool. Enfin, tu soupire lentement tout en venant terminer ton assiette de pâtes. Là, tu es curieusement plus attentif à la télévision. Après ça, tu n’as pas forcément envie de parler. Bien sûr, tu respecte son choix et ses motivations mais c’est franchement chiant. Ton petit coté impulsif bouillonne, se bâillonne par ta grande patience.

« Je te laisserais te débrouiller avec les courses donc… mais pas de poivron. » Que tu lâche d’une voix assez normale, assez douce.

Tu n’es plus un gosse qui pète sa crise quand on lui dit non. À toi de faire ton deuil. Ton assiette enfin terminé, tu vas la poser sur le plateau avec le plat de la demoiselle en revenant vers le lit par contre… Tu n’as pas fait attention et tu cogne sur la tasse de thé de Magnolia poser sur le sol. Ce qui parviens à te faire changer de note. Non seulement car tu sursaute mais plutôt parce que tu panique de ta maladresse.

« Merde !... Pardon ! »

Sans réfléchir, tu t’accroupis maladroitement pour venir redresser la tasse dont le contenu est déjà partout sur le sol… Merde, vraiment. Quel con. Les yeux relever vers la demoiselle, tu demande ;

« Tu as quelque chose pour éponger ? »

Le Bazil normal est de retour. Ce petit incident à changer ton état d’esprit, comme quoi ta déception n’était pas siiii profonde que ça. Encore quelques petits jurons de cet affront débile… gaspiller du thé, quelle tristesse.

« Je t’en ferrais une autre… »
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Il te dit qu’il demandait juste…
Mais tu ne l’entends pas du tout de cette oreille, ce n’est pas compliqué de voir qu’il est déçu. Une profonde déception face à ta réponse. Il te fait signe d’approcher, de revenir prendre place à ses côtés sur le lit. Oui, tu hésites. Juste quelques secondes puis tu t’avances pour te poser là où il te l’indiquait. Tu as le cœur lourd, tu te sens coupable mais tu ne peux pas te croire seulement à ses beaux yeux, tu ne peux pas lui offrir ta confiance comme ça. Pourtant, dans le fond, c’est un peu ce que tu as voulu faire, tu voulais lui montrer la vraie réponse, tu ne voulais pas te contenter du travail, cette version de toi qui demande juste d’aligner la somme pour dissuader le client d’avoir ce genre d’idée. Tu voulais qu’il te comprenne… Et finalement, il se contente de ce silence pesant et la promesse de ne plus jamais demander. C’est douloureux, finalement. Tu aurais dû te contenter de l’argent pour qu’il s’étouffe devant une somme astronomique et qu’il oublie l’idée. Car tu ne penses vraiment pas que Bazil puisse avoir les moyens pour se payer réellement ce genre de services. Evidemment c’est souvent à la gueule du client, là encore, il aurait eu certainement un rabais, car c’est Bazil…

Tu ne sais pas quoi ajouter de plus…
Ce n’est peut-être pas la peine de répéter que tu es désolée, tu es dans le fond, tout aussi déçue que lui… Vraiment, il voulait de la franchise et tu ne reçois qu’un refus sans issus. Tu soupires légèrement, les yeux posés sur la télévision alors que tes pensées s’évadent. Tu réfléchis à ce que tu aurais pu dire ou ajouter, la manière de l’aborder ? Et si tu lui proposais d’en reparler quand tu te sentiras en confiance ? Et si tu lui confiais ce que tu as fait comme choix vis-à-vis de sa question ? Est-ce-qu’il aurait l’air moins fermé ? Presque en colère sous le poids de la déception ? Car tu sais que c’est ton refus qui a rendu l’ambiance si lourde. Il finit son regard, il te reparle des courses et tu hoches la tête, pas de poivrons. Ce n’est pas ton aliment préféré non plus, tu devrais peut-être rebondir sur la cuisine ? Prévoir le menu d’une possible autre soirée ? S’il y en a une… Car tu commences même à en douter…

Et le rythme change du tout au tout en quelques secondes…
Il suffit d’une tasse qui se déverse sur tes pieds pour que tout s’envole. Tu l’entends jurer, tu l’entends pester mais surtout ? Tu le vois précipiter sur le sol pour espérer réparer son erreur. C’est presque libérateur pour vous deux, cette tasse qui se renverse. Il te demande si tu as un truc pour éponger alors qu’il est déjà proche du sol, tu te relèves : « J’ai une idée… Laisses-moi faire Bazil ! » Tu vas à la salle de bain, l’avantage d’être dans un hôtel c’est qu’il est facile de trouver une serviette pou servira pour tout absorber. Tu reviens en posant ta main sur son épaule pour murmurer : « J’vais le faire, relève-toi s’il te plait… » Et tu ne lui laisses pas réellement le choix, tu viens te mettre genoux au le sol avec ta serviette pour éponger tout le liquide. Après avoir déposer la tasse dans ses grandes mains : « Je serais ravie d’avoir une autre tasse de thé. » C’est juste pour l’occuper le temps que tu t’occupes du sol. Tu fais le ménage assez grossièrement, ce n’est que de l’eau un peu coloré par l’infusion, rien de grave. Il n’y avait même pas de sucre dedans, demain les femmes de ménages viendront finir ce que tu as commencé. Tu te redresses pour aller déposer la serviette à sécher sur la vitre de la douche puis tu reviens dans la chambre, sauf que dans l’encadrement de la porte, tu t’arrêtes pour regarder Bazil et quand vos regards se croisent, tu rougies et tu viens lui sourire :

- « Bazil, je suis désolée pour tout à l’heure, je sais que je t’ai probablement déçu par ma réponse, mais je crois que je me suis mal exprimée… »

Oui, tu vas porter la responsabilité de cet instant, cette étrange tension. Tu te décolle du chambranle de la porte pour revenir vers lui, tu viens délicatement prendre sa main dans la tienne. Car tu es une femme tactile, surtout quand tu es portée par la bienveillance et l’envie de soulager les cœurs : « Normalement, je ne refuse pas de cette manière… Je me contente de répondre en parlant d’argent. Je m’assure de donner au client avec un prix complètement exorbitant, histoire de lui enlever complètement l’envie de me faire sortir d’ici… » Tu pinces les lèvres et tu viens t’avancer encore d’un pas. Tu lui fais un petit sourire doux et tu remontes ta main sur sa joue. Qu’est-ce-qu’il est beau cet homme quand même. Tu souris et rajoutes : « Je ne voulais pas te laisser croire que… J’ai moins confiance en toi qu’en un autre de mes clients, car c’est même l’inverse, je me suis permise d’être transparente sur mes craintes, mes sentiments, je me suis sentie coupable de te dire non car justement je commence à te faire confiance, alors… Penses-tu pouvoir me laisser un peu de temps avant que nous sortions loin d’ici ? » Tu restes ainsi avant de pouffer de rire en ajoutant :

- « Et je te promets que tu ne paieras pas de supplément, je me sens déjà suffisamment mal de te faire payer autant pour le temps qu’on passe ensemble… » Car il est attachant, Bazil. Il arrive toujours à faire renaître ton sourire.
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Tu avais senti cette hésitation quand tu lui as proposé de revenir s’assoir mais tu ne l’as pas souligné. Dans le fond, t’es pire qu’un gosse et t’aime pas qu’on te dise non. Alors tu boude. C’est ça d’avoir été élevé dans une famille pleine de fric, t’es un peu pourrit quand même. Mais oui, voilà que le silence un peu malaisant s’est installé. Tu te sens mal et elle aussi. Il va de soi que tu n’aurais pas les moyens de cette somme dont tu ignore tout, car après tout, tes clients te payent bien plus souvent en objet qu’en argent… Tu perds beaucoup au change dans les pawn shop et venir ici c’est une petite gâterie, un spécial que tu aimes t’offrir par moment, alors tu boude quand ça ne va pas dans le sens que tu aimerais. Si Magnolia t’aurait parler de ce genre de montant particulier, tu aurais naturellement refusé de toi-même en grimaçant.

Bien sur que la franchise est essentielle mais tu n’es pas toujours capable de l’entendre et tu tends à te faire des petits films dans ta tête. Imaginer le pire. Non, elle n’a pas vraiment de clients crades, c’est toi qui essayes de trouver des raisons et de justifier ce que tu ne comprends pas très bien. Ce petit coté très maladroit et cette impulsivité te causent bien des soucis ! Et c’est sans parler de l’anxiété qui viens ronger tes esprits assez régulièrement. En gros, tu t’sens comme un con et t’es pas capable de l’avouer. Pas encore.

Cette maladresse déclenche le reste. Oui tu as tenté d’arrêter le liquide avec tes mains ? C’est un peu idiot quand même mais tu t’es laisser surprendre par l’évènement. Alors qu’elle va à la salle de bain pour récupérer je-ne-sais-quoi, tu fais ton gros possible pour… empêcher le liquide d’aller plus loin ? Tu grimace sous la douleur de ton genou quand tu t’écartes, te redresse, pour la laisser gérer la gaffe que tu as provoqué. Machinalement, tu prends la tasse qu’on te tend. Obéis, ça tu sais faire ! Donc tu retourne à la bouilloire que tu vas remplir d’eau pour la faire chauffer, tu prépare l’infusion sans réfléchir, comme une habitude de toujours. Tu t’es même permis de prendre une autre saveur pour le lui faire gouter. Puis quand elle revient et que ce croise vos regards, toi aussi tu rougis, tu tends même à regarder ailleurs sur le coup. Mais tu lèves les yeux vers elle a ses paroles, trop curieux.

« Non, c’est moi qui ai agi en con… »

Oui, tu regrette d’avoir pris la grippe comme ça. Que ça te soit encore une fois monter à la tête. Tu te rends compte qu’une fois de plus tu as laissé tes défauts prendre le pas sur le reste. C’est gênant mais tu peux admettre une fois de plus avoir réagit comme un con. Tes doigts se glisse dans sa main, tu regarde deux secondes et reviens à son visage. Oui, ce petit geste te met en confiance. Elle t’explique autrement ce qu’il en est et tu ne l’interromps pas, tu écoutes sagement. C’est gênant. Vraiment. En plus, il y a cette autre main qui viens à ton visage, caresser ta joue et les poiles de cette barbe que tu as taillée avant de venir. C’est doux, c’est chaud et agréable que tu croirais presque avoir le droit à un baiser.

Et si c’était une manipulation ? C’est fou comme ton cerveau t’exaspère parfois, ne peux-tu pas tout simplement te dire que tout va bien ? Qu’elle n’est pas une mauvaise fille ? Tu inspire doucement, pressant un peu ton visage contre cette main à la manière d’un chat cherchant amour et caresse de son maitre. Ainsi tu parviens à garder l’esprit claire, te concentrant sur ses paroles bien plus que sur ce qui se passe dans ta tête. Tu dois lui faire confiance si tu veux qu’elle te fasse le même cadeau.

« Oui, c’est bon… C’est que je manque d’idée enfermer dans une chambre… »

Son rire attire ton sourire alors qu’elle précise qu’elle ne compte pas te soumettre à un paiement plus élevé. Ce qui forcément te rassure. Mais cette fois tu dénote mieux la suite. Celle où elle te dit se sentir mal de te faire payer votre temps ensemble ? Bravo champion ! T’as capté un détail pas mal important là. Un truc qui demande beaucoup plus d’approfondissement.

« Mais… c’est normal, non ? »

Que tu paie pour ses services. C’est avec un brin d’innocence que tu ne comprends pas forcément le sens profond de ses mots. Tu as la tête du mec avec plein de point d’interrogation autour.

« J’veux dire… Tu passerais du temps… avec moi… comme ça ?»

Félicitation, vous êtes capable de voir plus loin que le bout de votre nez et des conceptions préétablis ! Une médaille pour toi Bazil, tu évolue ! Non sans blague, ça ne t’est jamais passer à l’esprit ? Visiblement pas. Car tu tends à croire qu’il te faut payer pour garder une personne à tes côtés, sans quoi elle se casse en te laissant a peine un canapé.
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Une fois encore il se dénigre…
Une fois encore il porte sur le dos, tout le poids de cette situation. Tu ne trouves pas qu’il agisse comme un con toi, tu réalises surtout qu’il a une fâcheuse tendance à se dévaloriser. Il voit le pire alors qu’il semble plein de belles choses. Il n’est pas l’un des monstres que Decay peut porter, non ? Ce n’est qu’un gentil garçon, maladroit, un peu trop brisé pour se faire confiance. Ce n’est pas un mauvais bougre comme disait souvent ta mère. Elle précisait que ce sont eux, les plus fidèles. Mais tu n’es pas certaine de vouloir de cette fidélité, tu ne désires pas utiliser ses faiblesses, tu aimerais au contraire renforcer sa confiance pour qu’il arrête de baisser la tête. Il mérite de la porte droite et haute.

Pour le moment, le plus important à tes yeux,
C’est de l’apaiser du bout de tes doigts, tu aimes la manière dont il se rattache à ta main, tu peux le sentir répondre à ta caresse comme s’il désirait qu’elle reste plus longtemps, beaucoup plus longtemps. C’est assez touchant et flatteur, ça veut dire que tu as aussi ce pouvoir sur sa pensée et son cœur, non ? Tu le laisses exprimer sa gêne. Oui, quand on ne sait pas ce qu’on veut réellement de la part de son escorte, les soirées finissent vite par être répétitives. Vous n’avez pas réellement d’idée car vous pourriez tout faire… Non ? C’est bien pour cela que tu as essayé encore et encore de savoir ce qu’il aimait, ce qu’il voulait. Tu n’as trouvé qu’une personne cherchant une… Amie. Et tu n’as pas le cœur de faire payer quelqu’un pour de l’amitié et de la compagnie aussi « innocente » Oui à tes yeux, il y a vraiment un côté innocent dans sa démarche, dans sa demande. Tu as essayé sincèrement de creuser pour trouver le sombre de ces attentes, ces espoirs honteux sur votre contrat mais tu n’as trouvé qu’un homme en demande d’attention et très sympathique.

C’est pire encore quand il te questionne….
Tu as la confirmation qu’il doute vraiment de sa capacité simple à se lier avec quelqu’un, non ? Tu n’en reviens pas. C’est vraiment attendrissant… Tu t’avances alors un peu plus pour venir pincer son nez. Tu as le regard pétillant de malice et la voix rieuse quand tu lui réponds après ce petit éclat de rire : « Mais enfin Bazil, tu es vraiment un cas désespéré, tu le sais ça ? » C’est pourtant lui qui t’a demandé de te comporter naturellement, d’être franche, sincère. De devenir son amie tout simplement… Tu libères son nez, tu retires ta main de la sienne. Tu secoues la tête et tu croises les bras. Dans un soupire et un petit rire tu réponds :

- « Tu es quelqu’un de très intéressant et agréable, évidemment que je pourrais passer du temps avec toi… »

Tu lui fais signe de venir avec toi, tu sais qu’il a du se faire mal à la jambe en voulant rattraper le thé, alors vous serez bien mieux sur le lit, c’est à ton tour de le tapoter pour l’inviter à s’installer une fois que tu t’es mise dessus en tailleur. Un coussin posé sur les jambes, que tu malmènes de tes petites mains comme si tu le pétrissais, c’est le temps des grandes prises de consciences qui sonnent pourtant comme des évidences à tes yeux :

- « C’est pas bon pour mes affaires ce que je te dis là… » Un petit rire, tu viens te perdre à nouveau dans ses yeux, tu as cet air doux et tendre : « Mes clients paient pour des services qu’ils ne peuvent pas réellement trouver ailleurs, souvent ils ont des préférences disons… Un peu inattendu, par peur du regard des autres, ils s’offrent ma compagnie car ils voient en moi l’occasion d’avoir ce qu’il désire sans subir le regard plein de jugement de la personne en face. C’est une relation de confiance qui s’établie aussi à travers cela… » Tu ne désires pas réellement rentrer dans les détails car Bazil fait partis de ces clients. Mais tu dois tout lui expliquer pour qu’il comprenne tout comme il faut. Tu reprends :

- « C’est ce qui vient justifier l’achat. Hors toi, la seule que tu n’as demandé c’est d’être moi et de devenir ton amie… Alors est-ce-que tu penses qu’une amie ferait payer le temps qu’on passe ensemble ? Je ne pense pas… Tu comprends pourquoi ça me mets presque mal à l’ais ? T’es un bon gars Bazil, t’as pas besoin de ça pour te faire des amis je t’assure… »

Oui, fais-toi un peu plus confiance, mon garçon…
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Ça précédente relation à laisser un trou énorme dans son cœur, oui il est cassé. Il remonte peu à peu des tréfonds de son enfer, croyant que la présence de Magnolia pourrait le soulager de cette douleur. Pour l’instant, tout porte à croire que tu as eu un très bon jugement en faisant appel a la demoiselle et ses services de psychologue. Parce que c’est ce que tu as fait non ? Tu as observé, longtemps et longuement les allées et venu, tu as vu de loin son sourire, ses manières et sa douceur si bien que tu as voulu l’avoir aussi pour toi. Ce n’est pas pour rien que tu as hésiter aussi longtemps à la contacter. Cette fissure avait du mal à te donner le courage de faire le pas, de te jeter dans l’inconnu d’une étrange aventure. Mais voilà, tu es là, partageant cette chambre avec elle. Cette grosse sainte.

Cette caresse à ta joue est d’une douceur difficile à imaginer. Tu aime la sentir contre toi, cette peau pâle et délicate. Elle fait vraiment contraste avec ton teint et tes angles. Oui, la raison de ton choix et de ta présence à ce quelque chose de léger et d’innocent. Tu crois qu’en payant elle ne va pas se sauver de toi. L’argent pour acheter les gens. Oui, tu as déjà payer pour des plaisirs charnels mais Magnolia a ce petit quelque chose d’intrigant et unique qui fait son charme. C’est différent.

Tu tire quand langue et crispe un peu ton visage quand elle vient te pincer le nez. Une grimace digne d’un enfant de cinq ans, carrément. Un cas désespérer ? Carrément. Son compliment d’après te touche et viens te faire rougir une fois de plus. Gêner, tu viens gratter l’arrière de ta nuque avec embarrassant. Fais toi confiance, franchement.

« Merci. » Que tu réponds, pas trop fort.

Sous son invitation, tu lui fais signe ‘un instant’ puis tu t’occupe de retirer la petite poche de thé de la tasse pour ne pas trop infuser, tu ramène aussi la tasse chaude jusqu’à la demoiselle qui semble prendre place… comme si elle t’invitait à poser la tête sur ses cuisses ? Enfin, plutôt l’oreiller sur ses cuisses mais l’idée est là. Tu dois te faire des idées, ce n’est surement pas ça… Voilà que tu lui tends la tasse et que tu prends place à ses côtés, les mains jointes entre les cuisses, le dos légèrement courbé, le visage tourner vers Magnolia. C’est impoli de ne pas regarder les gens qui nous parle. Des explications. Toi qui es avide de savoir, elles sont toujours les bienvenues. Plus tu en sais, plus tu maitrise la question. Le début, tu savais déjà. Elle est là pour des besoins particuliers, pour une présence qui ne juge pas son homologue. D’où ta comparaison avec une psy a votre première rencontre. Tu te souviens bien de ça, du con que tu as été cette journée-là. L’alcool t’avais donné beaucoup trop de confiance inutile pour la juger ainsi.

Cette demande que tu lui avais fait était en effet assez simple. Tu pensais qu’il était normal de payer, tu ne prétendais pas sous-entendre qu’elle puisse réellement devenir ton amie car tu n’arrivais pas à t’y résoudre. Des services uniques.

« Je t’ai mis dans une position délicate. »

Puis finalement tu concède à venir poser ta tête sur cet oreiller poser sur les cuisses de la demoiselle. Tant pis, si ce n’était pas ça le but, fallait pas mettre un oreiller là. Tu lève les yeux vers elle qui maintenant te surplombe. Des seins… oups.

« Je n’imaginais pas que tu puisses passer du temps avec moi sans être payer… J’me suis dis qu’en te payant, t’allais pas me fuir. »

C’est plein de sincérité et de confidence. Si bien que la télévision n’est qu’un bruit sonore a peine audible tant que tu es concentré sur sa voix et cette odeur sucré que dégage l’escorte.

« J’ai vraiment très peu de proches, mon ex était assez spéciale et très possessive. »

Est-ce la première fois que tu parle d’elle ? Est-ce que tu t’ouvre enfin à la confidence ?

« Je tue l’ambiance hein ? Excuse-moi pour ça. »

C’est vrai quoi, au début c’était amusant et assez drôle et là vous êtes rendu à discuter sérieusement d’amitié.

« Tu me dis ce que tu pense du thé hein ? J’ai pris une autre saveur pour que tu puisses gouter à un autre. » Tu marque une petite pause en ajoutant « J’ai une belle collection chez moi. »
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Même ses remerciements trahissent son hésitation…
Il y a énormément de choses que tu devrais reconstruire chez lui. Tu réalises combien tu pourrais lui apporter beaucoup, juste en lui prouvant qu’il n’a pas besoin de payer pour que tu restes à ses côtés. Oui, tu commences à songer à mettre fin à votre contrat. Il aura au moins le mérite de ne pas avoir duré qu’une nuit, n’est-ce-pas ? Tu vois bien combien il est attentif. Il est pendu à tes lèvres, il t’écoute avec beaucoup de sérieux une fois qu’il est installé sur le lit. Tu roules les yeux quand il te présente votre situation comme étant délicate. Elle n’est pas délicate, elle est juste hors des normes, de tes normes. Et une femme avec énormément de valeurs et de respect pour son prochain. C’est d’ailleurs à cause d’eux que tu n’arrives plus réellement à considérer le fait que Bazil soit ton client si la chose qu’il te demande c’est un petit peu de compagnie et ton amitié… L’incompatibilité est totale.

Il te sort de tes pensées en venant poser sa tête sur le coussin…
Ce coussin qui trônait fièrement sur tes cuisses. Est-ce-qu’il y a vu une invitation ? C’est assez mignon. Tu le surplombes complètement. En vérité ? tu as un peu de mal à le voir, il est partiellement caché sous tes seins. Mais tu ne préfères pas relever, tu te contentes de te décaler légèrement pour pouvoir l’observer plus attentivement. Il est mignon, mais surtout, il te fait des confidences. Il te parle de l’origine du problème. Il te montre la porte qui mène à la brèche présente dans son cœur… Il te confie une fois de plus sa peur de l’abandon, ce manque de confiance et enfin, il te parle d’Elle. La cause principale de ces doutes, c’est certain. Est-ce-que tu devrais poser plus de question ? L’inviter à creuser dans ce sens pour pouvoir mieux le comprendre ? Prendre conscience de ce qu’elle a pu faire subir à son cœur trop tendre ? Tu hésites… Surtout qu’il vient de te dire qu’il a tué l’ambiance…

A la suite de ces mots, tu décides de venir caresser ses cheveux…
Tes doigts se posent délicatement dans sa chevelure de jais. Tu souris avec tendresse, avec douceur. Ton autre main tenant toujours la tasse avec le thé bien trop chaud pour que tu espères le porter à tes lèvres. Oui, tu n’es pas folle. Il te demande ton avis sur le nouveau goût, tu y vois surtout l’envie pressante de changer de sujet. Il est assez mignon, attendrissant. Il te parle de sa collection, tu l’entends aussi essayer de t’inciter à venir chez lui, n’est-ce-pas ? Lire entre les lignes ce n’est pas difficile… Est-ce-que tu te sens assez en confiance pour venir lui rendre visite ? Peut-être avec un tazer et une bombe lacrymo dans le sac, oui. Simple sécurité, t’es pas l’amie des petits couteaux ou des armes à feu. Tu veux juste avoir l’occasion de t’échapper… Tu pouffes de rire à cette pensée alors que tes doigts caressent toujours ses cheveux. T’aimes vraiment l’idée qu’il soit venir se poser comme ça sur toi spontanément. Tu réponds avec un petit sourire en glissant ton index sur la ligne de son nez :

- « Je te dirais quand je pourrais le goûter, là il est bien trop chaud pour moi… » Comme le premier. Puis tu reprends avec simplicité. « Ton ex, est-ce-que tu veux m’en dire plus ? J’me doute que c’est un sujet délicat mais, il a l’air important, vraiment… Alors j’aimerais en apprendre plus sur toi et surtout… J’voudrais comprendre s’il te plait… » Car tu t’en fiches un peu de l’ambiance, tu as envie de garder ce climat de confidence et ton index glisse sur ses lèvres pour les sceller une nouvelle fois : « Cependant, je ne veux plus t’entendre te dénigrer… D’accord ? » Car à tes yeux, tout commence par-là. Tu veux qu’il ouvre les yeux sur l’homme qu’il est. Bazil est tout brisé mais ce n’est pas un mauvais garçon qu’on doit continuer de piétiner. Tu penches la tête sur le côté avant de lui demander toujours très douce : « C’est pour ça que je t’ai vu si souvent me regarder ? Tu attendais de pouvoir te lancer pour acheter mon temps ? Tu t’es jamais dit que tu pouvais peut-être juste… Attendre l’un de mes jours de congés ? Est-ce-que… Je te faisais peur ? » Juste pour savoir hein… « Oh et la réponse est oui, un jour j'irais voir ta collection de thé chez toi... C'est promis. » Que ce soit en tant qu'Escorte ou simplement et tant qu'amie.
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Ah non ? Ce n’était pas une invitation ? Pourtant, c’est ce que tu en as compris et vu comme elle viens finalement caresser tes cheveux tu n’as pas le moindre soupçon que ce n’était pas le cas. Tu crois bien ce que tu veux hein ! Et cette tendresse te plait bien en ce moment, surtout quand tu parle d’Elle. Et bien que tu aies tenté de changer le sujet, d’y échapper pour quelque chose de plus gaie, tu vois bien Magnolia ne pas lâcher le morceau. Elle veut surement savoir et mieux comprendre, c’est normal, après tout c’est ce qui t’as pété ton estime. C’est ce qui te tord dans ta petite cage qu’est ta tête.

Mais oui. Le thé est trop chaud, c’est normal qu’elle ne s’y risque pas. Quoi que toi tu le bois quand ça te brule encore un peu le bout de la langue, car ce truc refroidit toujours trop rapidement. Toi et cet empressement de changer de sujet… Lorsque tu lui racontas à propos de ta collection, tu n’avais pas forcément l’intention que ce soit une invitation mais ses mots ne furent pas de refus ceci dis. Mais voilà, Magnolia est super perspicace. Elle t’empêche même de riposter en posant son index sur tes lèvres quand toi tu fais une moue en guise de réponse. Tu hoche la tête comme tu n’a pas le droit de parole. Mais ça ne sera pas facile !

Donc par où commencer ? T’y va avec les sujets plus cool en espérant fais fondre celui sur ton ex’, soyons stratégique !

« Tu verras, une collection comme peu peuvent se vanter. »

C’est que tu amasse vraiment tout ce que tu peux et principalement le thé et les livres. Puis un peu plus sérieusement tu poursuis avec la raison de ta venue, rigolant sur ses mots. Comme si Magnolia aurait pu te faire peur !

« Pour ce qui est de ce mois d’observation… » Tu prends une pose un peu gênée, cherchant les bons mots. « T’accoster a un jour de congé, comme ça à tout hasard ça me paraissait moins… saint ? Plus weird encore et comme je te voyais que sur tes heures de boulot ça me semblais le plus logique… Tu m’intriguais plus que de l’intimidation je dois dire… »

Sur ses mots tu essai de voir son visage, à savoir si elle lâche le morceau de l’ex mais tu vois bien qu’elle attend la suite. Alors tu pince un peu les lèvres, soufflant un moment, pensif, songeur sous les caresses de la demoiselle. Va-t-elle te pincer le bout du nez si tu ne réponds pas ? T’en as vachement l’impression, donc tu te dis ‘pourquoi pas’ puis tu inspire un autre bon coup pour lui raconter cette horrible histoire. Du moins, pour toi elle fut pénible.

« Tu sais, quand l’amour frappe à la porte… il y a ce bandeau rouge sur nos yeux, ses chaines à nos mains et ce délice de la chaire… Ma vie entre ses mains, c’est peu dire. »

Tu rougit un peu, est-ce que tu va vraiment lui parler de ça ? Vraiment ?

« Je me suis laisser embarquer dans son vice, dans ses griffes… C’était la vraie folie et j’étais aveugle. Je l’aimais quoi. Plus qu’une histoire de sexe, je voulais la garder pour moi à jamais. Du même coup, je n’avais pas compris, j’étais… » Pas facile hein ? « Manipuler complètement. Pendant quoi… 5 ans ? Elle était mon univers tout entier, tout à décamper quand je me suis mis à parler… » Ta honte de ce que tu va dire. « Mariage. Je sais, c’est co-…. » Tu t’arrêtes, pas de dénigration. « J’voulais la marier. Elle s’est transformée en autre chose à ce moment-là. »

Tu ne saurais décrire en quoi. Mais c’était complètement autre chose. Un mixte entre une harpie et un rat d’égout ? Enfin bref…

« Le lendemain, mon appartement à été complètement vider… quand je suis revenu de mes courses il ne me restait qu’un vieux canapé et mes livres. »

Ce n’est pas une histoire si étrange, tu n’es pas le seul à être tomber dans ce genre de piège mais toi, ça ta blessée profondément, tu t’en veux à mort d’avoir été aussi con, tu as du mal à faire confiance et à croire aux autres. C’est assez terrible comme répercutions quand tu crois à l’amour de ta vie et que cette dernière te fait un coup du genre. Tu as même eu une phase assez suicidaire et très peu recommandable. Tu as serré l’une de tes mains sur le petit oreiller afin de contrôler le timbre de ta voix. C’est assez d’avoir l’air d’une mauviette qui se lamente ! T’aime pas cette image de toi… T’aime pas en parler non plus car ça te met dans un état… quoi que ce soir, c’est quand même moins pire, ça fait quelques mois de ça après tout…
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Mais tu as toujours de la suite dans les idées…
Evidemment, tu ne lui forceras pas la main. Tu t’es contentée de lui tendre la main surtout. Tu voulais lui donner la possibilité de te répondre, de te confier ces travers qui peuvent le rendre si fragile. Si frileux et insécure dans ses relations avec les autres, avec les femmes peut-être ? Oui, tu veux comprendre mais tu ne force pas réellement. Tu lui offres l’occasion à travers tes mots et le soutien tendre à travers tes doigts qui caressent tendrement ses cheveux soyeux. Tu savais bien qu’ils le seraient ! Mais tu peux en avoir la confirmation, il parle de sa collection de thé en premier et ça te fait pétiller le regard. Oh oui, tu as encore plus envie de la voir, cette armoire à thés. Puis il parle de sa démarche, il te parle de son ressentiment pendant ce mois où vos regards se sont un peu trop croisés pour mettre ça sur le dos du hasard. Et forcément, c’est assez flatteur de savoir que tu étais intrigante à ses yeux, tu es aussi rassurée de ne pas être intimidante. Mais c’était surtout un moyen pour toi de lui faciliter la voix de la confidence.

Bazil est loin d’être un idiot…
Il sait très bien que tu ne vas pas en rester là. Tu aimes bien la manière dont il se tortille pour espérer voir ton expression, peut-être qu’il espérait y voir une ouverture pour éviter de se confier ? Mais tu te contentes de ce petit sourire doux qui étrangement semble le mettre en garde, hum ? Oui, la pincée de nez n’est pas loin c’est certain… Et il doit le sentir car tu peux le voir soupire, souffler son manque de courage à ouvrir son cœur. Sincèrement, tu étais prête à le rassurer ou lui dire de laisser cela pour plus tard mais il se lance et tu l’écoutes attentivement. Dès les premiers mots tu peux surtout entendre souffrance. Et vices douteux.  Les mots ont toujours une valeur, un poids important. Il te dit qu’il était dans ses griffes, ce n’est pas dans ses filets comme un poisson qu’on piège. Les griffes sont perfides, souvent joueuse de la souffrance de la proie. Alors tu fronces un peu les sourcils, écoutant avec toujours plus d’attention. Quand il te parle de manipulation, tu vois bien combien ça lui coute, combien ça lui fait encore mal… Elle s’est vraiment jouée de son cœur, c’est certain. Voilà qu’il précise combien d’année il a cru en ce mensonge trop parfait, aveuglé par son amour débordant, prêt à tout pour cette femme et tu sens ton cœur qui loupe une mesure.

Tes doigts caressent toujours tendrement ses cheveux…
Comment peut-on choisir de faire volontairement du mal à quelqu’un d’aussi gentil que Bazil ? Car même si tu ne le connais que très peu, tu n’as rien vu d’un affreux connard en lui. Il est sensible, il est attentionné, il veut faire de son mieux. Oui, il est un peu brisé mais avant cela, il ne l’était pas, non ? De manière générale, c’est une chose que tu n’arrives pas à concevoir, ça te dépasse. Pire, ça t’agace. Toi, t’es pas une mauvaise fille, t’es pas capable de ce genre de vilaines choses, t’es même pas capable de les pensées. Quand il passe à l’histoire du mariage, tu écarquilles les yeux. Ce rêve presque utopique de trouver ici-bas l’amour avec un grand A pour fonder une famille et vivre heureux à deux. C’est vraiment romantique comme vision, c’est beau et elle a tout détruis mais le pire c’est certainement la chute de l’histoire. Quand il s’est retrouvé sans rien, quand elle a été capable de partir sans se retourner en délaissant l’homme qui l’aimait tant. C’est si douloureux que ça te fait pincer les lèvres. Maintenant, tu comprends son sentiment d’insécurité, ce besoin d’être certain que tu ne partiras pas en te payant pour espérer te garder avec lui. Tu comprends le traumatisme qui nourrit son manque de confiance et ses doutes. Pauvre Bazil. Tu ne peux pas rester comme ça alors qu’il semble serrer le coussin… Rapidement tu lui dis :

- « Bazil, redresse-toi s’il te plait ! » Et une fois qu’il est face à toi, tu te mets sur tes genoux pour tendre les bras et le prendre contre toi, tu l’enlace autour de la nuque, tu le serres contre toi en fermant les yeux. Bon, le problème, c’est qu’à rester ainsi en tailleur avec le poids du jeune homme sur le coussin, tu sens un peu moins tes jambes alors tu perds légèrement l’équilibre et tu lui tombes plus au moins dessus, mais ce n’est pas grave. Tu veux continuer de lui faire ce câlin, le nez dans son cou. Tu le serres contre toi tendrement. Il ne méritait vraiment pas ça. Tu finis par redresser le nez pour le regarder dans les yeux : « Tu semblais vraiment avoir besoin d’un câlin… » Puis tu lui fais ce petit sourire, presque malicieux en te redressant un peu, t’éloignant aussi ce visage un peu trop proche pour toi. Tu rougies devant ton audace mais il le méritait vraiment. Tu viens prendre sa main dans la tienne :

- « Cette fille, elle ne mérite pas d’avoir le droit de te faire encore du mal… Elle ne mérite pas d’avoir cette emprise sur toi. Car elle ne mérite pas un mec comme toi. Ce que tu viens de me confier est horrible. Personne ne mérite qu’on crache comme ça sur ses sentiments. Sincèrement, c’est abject et injuste ce que tu as traversé Bazil, mais tu n’es pas responsable… Ce n’est pas toi le problème. Je suis certaine que tu devais être un très bon amoureux prêt à tout pour elle, elle ne sait pas ce qu’elle a loupé en refusant ta demande en mariage et puis c’est tout… »

Tu as cette mine entre le mécontentement, la gêne de dire le fond de ta pensée et ce coté un peu boudeur d’apprendre qu’on puisse faire du mal à un garçon aussi charmant. Connasse, va. Vraiment Magnolia, ça te va bien, cette expression si sincère.
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