Chapitre 2 : La Corporation
Decay
Decay, destination de tous les possibles, terre en friche où fourmillent les possibilités et l'argent facile, où chaque vice est accessible, chaque désir libre d'être comblé. L'île prospère, se vautre dans sa propre réussite, quand l'ouragan Isaac survint, balayant sur son passage les installations des gangs comme leurs prétentions. Et un nouveau groupe émerge des brisures laissées par la tempête, la Corporation. Forte de son budget, celle-ci s'invite en sauveuse, promet à tous une aide financière et humaine, des avancées conséquentes, pour une vie meilleure. Avides de pouvoir ou simples fantoches, qui sont vraiment les acteurs de cette entité inédite qui prétend étendre son influence à tout Decay.
11/10/2020 HRP
La Newsletter est sortie ! Beaucoup de changements au programme, par ici
11/10/2020 RP
Quelques semaines après la fin de l'ouragan, la Corporation dévoile son visage ! A lire par ici
12/09/2020 RP
L'ouragan Isaac s'abat sur l'île ! Pour en savoir plus, par ici
12/09/2020 HRP
L'event Hurricane est lancé ! Vous pouvez toujours le rejoindre par ici.
27/08/2020 HRP
Nouvelle newsletter ! La lire ici.
05/07/2020 HRP
Nouvelle newsletter et nombreux changements ! La lire ici.
30/05/2020 HRP
Nouvelle newsletter en cette fin de mai ! La lire ici.
30/05/2020 RP
Un nouveau système de réalité augmentée sort au Space Station Bar ! Participer ici
5/04/2020 RP
Le Carnaval de Napoli est lancé ! Extravaganza
8/04/2020 HRP
Nouvelle newsletter ! La lire ici.
18/03/2020 HRP
Ajout des missions et petite update de l'index !
28/02/2020 HRP
Deuxième newsletter ! La lire ici.
28/02/2020 RP
La Milice redouble de violence et est plus présente sur le territoire de Decay !
31/01/2020 HRP
Première Newsletter, bébé forum deviendra grand ! La lire ici.
31/01/2020 RP
L'intrigue "Paranoïa" a été lancée ! Par ici.
17/01/2020 HRP
Ouverture du forum ! N'hésitez pas à rejoindre le Discord !
Il parait qu'une jeune fille a été aperçue allant dans les égouts. Depuis, elle n'a plus donné aucune nouvelle d'elle. Une nouvelle victime des monstres vivant dans les égouts ?Une vingtaine de serpents en liberté auraient été aperçus sur les Docks. La Triade en sueur.On déplorerait trois morts suite au dernier barathon de la rue de la soif.À Kabukicho, des rumeurs sur l'affaiblissement des effectifs du clan Oni commencent à poindre. L'absence de Yokai se fait-elle enfin ressentir ou cela n'est-il que le fruit de l'imagination de quelques résidents ?Une certaine Shrimpette serait en train d'écrire une fan-fiction sur certains membres de Decay.On dit que l'ensemble du corps d'un certain mercenaire travaillant pour la Triade serait entièrement recouverts de ses nombreux crimes. Une dizaine de cadavres auraient été découverts, au cours du mois de Janvier, sur les Docks. Certains évoquent un règlement de comptes. Un tout nouveau malware parcourrait la toile, déguisé sous la forme d'un logiciel à première vue inoffensif. Il installerait une backdoor sur les machines infectées. Pour quelle raison ? Cela reste un mystère. Une femme vagabonde à la chevelure d'un noir profond et aux yeux écarlates prendrait en charge des malades et blessés au travers de Decay pour une misère, offrant une alternative médicale à celle dispensée par l'Église. Fin Janvier/Début Février, une course de rue, en pleine nuit, aurait conduit certains hommes hors des pistes. Plusieurs voitures seraient sorties de la route suite à un « conducteur fantôme ».
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Bang bang - my baby shot me down
Karl Colman
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Trop tôt !
Cette soirée s’était relativement bien passée. Le jeune homme s’était préparé toute la journée à mener son combat du soir, qu’il menait contre une étoile montante du ring, un boxeur espagnol arrivé dans le business comme un rouleau compresseur. Grand, gras, la force du gaillard résidait dans son endurance, les coups ne semblant pas lui faire grand chose. Sa stratégie reposait donc sur l’épuisement. Malheureusement pour lui, Karl était un boxeur mains nues avant d’être un poids lourd, et ces années l’avaient tant forgé à prendre des coups qu’il en était devenu plus résistant qu’un clou de cercueil. Et si la graisse pouvait peut-être donner une sorte d’airbag portatif contre les coups, elle le rendait aussi plus lent que lui. Et dieu savait que personne ne voulait encaisser un coup de pleine face de la part de Karl.

Le combat se déroula donc sans grandes surprises pour lui. Une masse de muscles contre un tas de graisse, la vigueur de la jeunesse contre l’aigreur d’un combattant allant sur sa trentaine. Que quiconque viendrait à croire que Karl se moquait mentalement de l’enbonpoint de son adversaire se détrompe: il avait une très bonne amie à qui la nature avait été généreuse également. Seulement, penser que cela lui conférait un avantage en combat était tout simplement une superstition. Du moins, contre un autre combattant entraîné. La graisse pouvait se révéler utile contre les armes tranchantes, les gladiateurs avaient notamment tous une couche de graisse prévue à cet effet au temps des combats d’arène, mais la puissance des poings ou d’une arme contondante n’était en rien amoindrie par des bourrelets.

Ainsi, le combat dura deux rounds. Une durée relativement courte, comme d’habitude. Son adversaire avait eu un excès de confiance, et ses entraîneurs aussi, l’ayant poussé à croire qu’il aurait une chance contre le champion. Mais hélas, grimper les échelons trop vite pouvait parfois mener à une chute si haute que l’on en peinait à se relever. Heureusement pour lui, ce n’était pas le cas pour cette fois, mais nul doute que l’intérêt qu’on lui porterait désormais serait bien amoindri en comparaison.

Pourtant, la véritable péripétie de la soirée débuta lorsqu’il sortit du bâtiment par l’arrière, pourtant quelques heures après le combat, attendant que les gradins se vident et qu’il puisse se préparer en prenant une douche et en changeant de vêtements. Il était habitué à sortir assez tard, seul, ce qui lui conférait une discrétion agréable jusqu’ici. Pourtant, cette fois-ci, c’était bien ce qui l’avait mis dans le pétrin. A peine posa t-il un pied dehors que le jeune homme sentit un violent coup de barre de fer à l’arrière du crâne, le genre de coup pouvant suffire à tuer un adulte en bonne santé. Karl tomba au sol, sonné, la tête sifflante.

“ Connard, tu fais moins le chaud la hein ? “

L’invectiva un de ses agresseurs, vers qui il releva la tête. Dans l’obscurité et malré le flou provoqué par l’impact, le jeune homme put distinguer trois hommes. Dont son adversaire précédent, au visage encore marqué mais pourtant bien réjouit de triompher de son ennemi déloyalement. Un mauvais perdant, génial. Il avait bien besoin de ça. Sa fierté en avait visiblement pris un coup qu’il ne pourrait soigner qu’en détruisant celui qui l’avait vaincu. Malheureusement pour eux, ils n’avaient aucune idée de sur qui ils venaient de tomber réellement.

“ Bande de… cafards… “

Le lâche qu’il avait frappé par derrière leva sa barre une nouvelle fois, prêt à l’abattre à nouveau sur son crâne, quand Karl la bloqua de la simple paume de sa main avant de refermer ses doigts si fort qu’ils n’auraient pas pu la lui retirer même en s’y mettant à trois. N’attendant pas que les trois autres réagissent, il tira d’un coup sec sur l’arme de fortune pour qu’elle échappe des mains de son agresseur, et la renvoya avec vivacité vers son menton, lui décrochant quelques dents au passage.

“ Puisque t’acceptes pas les défaites dans les règles, tu vas voir ce que ça fait d’en subir une un peu plus douloureuse. “

Ce qui suivit ne fut qu’un simple massacre, Karl ne laissa aucune chance à ses deux agresseurs restants. Pourtant, dans sa grande bonté, il ne les tua pas. Il n’avait pas envie de s’encombrer de trois cadavres si près de la salle, et n’avait pas non plus envie d’ôter des vies ce soir. S’ils revenaient encore à la charge, ce serait désormais différent. Il y avait de toute manière plus urgent. Cette blessure à l’arrière du crâne, qui saignait abondamment, additionnée aux quelques hématomes qu’il gardait du combat sur le ring lui faisait nécessiter des soins. Et le plus proche chez qui il pouvait se rendre était son amie magnolia.

Ainsi, le jeune homme tituba avec peine durant un petit quart d’heure, au cours duquel beaucoup auraient perdu connaissance, avant de s’effondrer sur la porte de la jeune femme, tambourinant avec la vigueur qu’il lui restait.

“ Magno, c’est Karl ! “

Il se sentait partir.
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Tu viens de finir ta soirée…
C’était une longue journée, une longue soirée. T’as réalisé que ce soir, tu n’avais pas autant de patience qu’à ton habitude. Tu as vu que les jérémiades de Barry étaient bien plus difficiles à écouter qu’à ton habitude, c’est qu’il parle beaucoup aussi. Comme d’ordinaire il a toute ton attention, tu arrives à suivre mais ce soir, tu as été obligé de le faire répéter par deux fois, il s’est donc inquiété pour toi. Tu as bordé quelques banalités pour ne pas l’inquiéter mais ces derniers temps, tu as entendu des choses qui ne te plaisent vraiment pas dans la bouche de tes « amis » Tu ne sais plus réellement ce que tu dois penser. Tu es un peu dépassée et inquiète pour ta condition. Et si, toi aussi, tu finissais pucé comme du bétail ? Si tu étais exposée à cette réalité ? Est-ce-que tu es réellement si peu importante à leurs yeux ? Tellement de questions, aucune réponse. Et ce n’est pas en essuyant un soir de plus, les larmes de Barry, que tu les trouveras, ces réponses. Alors tu n’as pas été tout le temps complètement dans le moment, tu as fini tout de même par le consoler. Comme à chacune de vos soirées, il s’est blotti contre toi, serrant fort ta taille. Envoûté par la chaleur de tes bras et tes rondeurs, assommé par les caresses délicates dans ses cheveux un peu gras, il a fini par s’endormir contre toi. Comme à chaque fois. A chaque fois, tu éprouves une sincère admiration devant cet homme qui peut pleurer autant. Pourtant, sa vie sur Néo, elle n’est pas si triste que ça, non ? Il ne pourrait pas y trouver une femme pour l’écouter ? Quitte à faire comme ici et la payer ? Tu ne comprends.

Mais tu n’avais qu’une hâte c’est le quitter…
Retrouver son petit havre de paix, ton cocon loin du monde… Même si tu y seras seule. Seule avec tes pensées. Nouveau soupire, douche bien méritée. Tu peux te prélasser sous l’eau brûlante, détendre tes épaules, masser ta nuque étrangement tendue avec toutes ses histoires. Tu commences à réaliser que ta prison dorée, elle te protège vraiment de la réalité, que là, c’est plus que de la chance. Tu te laves de la tête aux pieds. Tu prends le temps de te mettre de la crème sur le visage, elle sent bon la fleur d’oranger. Tu as encore les joues rosies par la chaleur, les cheveux tous ondulés, en bataille et à peine essorés, quand on toque à ta porte. Cette manière de le faire. C’est une urgence, non ? Tu refermes un peu plus ton peignoir rose pale. Tu presses le pas quand tu entends sa voix. C’est Karl ! C’est ton ami… C’est ta présence rassurante et gentille.

Mais… Pourquoi ? Comment ?
Qu’est-ce qu’il te veut à cette heure-ci ? Surtout sans avoir pris le temps de t’écrire un message pour te prévenir. Vraiment, ça ne présage jamais rien de bon ce genre de choses... Alors tu ouvres la porte en grand et c’est là que tu tombes sur ce spectacle macabre. Ou alors est-ce lui qui te tombe presque dessus ? Oui… Tu le réceptionnes comme tu peux en lâchant un surpris : « KARL ! » Tu ne peux pas soutenir son poids c’est impossible alors s’il doit tomber tu vas juste pouvoir ralentir la chute. Oui, au mieux tu pourras accompagner le mouvement car il semble sur le point de perdre connaissance, il a réellement utilisé ses dernières forces pour venir jusqu’ici. Tu le serres contre toi comme tu peux…. Ce que tu vois, te soulève le cœur instantanément. Il loupe une mesure et frappe dans ta poitrine sa panique. Tu cherches son attention, tu cherches à le ramener avec toi, tu cherches donc ses yeux et son attention, avec une voix franche tu lui dis :

- « Reste avec moi, s’il te plait, encore un peu… »

C’est ça, tu as juste besoin qu’il supporte son poids et la douleur jusqu’à ton canapé. Qu’est-ce-que ça peut te foudre qu’il y tâche tes plaids. Tu veux juste pas le laisser s’étaler devant ta porte d’entrée. Alors tu le guides, tu le soutiens comme tu peux. Une fois qu’il y sera, tu pourras admirer les dégâts pour pouvoir comment l’aider. T’as vite compris que ça venait de la tête, tout ce sang, ce n’est pas rien…  Tu ne sais pas réellement ce que tu dois faire, tu as les mains qui tremblent et tu respires un peu trop rapidement. T’as jamais eu à faire ça, jamais à cette échelle. Est-ce-que tu vas devoir lui recoudre l’arrière de la tête ? Déjà fait arrêter le saignement, pour ça c’est l’eau oxygénée… Non ? Tu lui lances de ta voix brisée par la peur :

- « Ca… Ca va aller, j’vais te soigner… »

C’est peut-être plus toi que tu essaie de convaincre en cet instant, non ? Oui un petit peu. T’es déjà sur le point de partir pour la salle de bain, tout le monde à Decay possède une trousse de premiers secours, non ? Toi oui.
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Trop tôt !
Karl perdait lentement connaissance, mais pouvait encore marcher. C’est ce qui permit de rejoindre le canapé avec l’aide de Magnolia sans s’effondrer purement et simplement au sol, bonne chance pour le déplacer si c’était le cas. Mais un grand gaillard tel que lui ne s’avouait pas vaincu si facilement. Quand bien même, ce coup lui avait ouvert l’arrière de la tête.

“ C’est pas si grave… “

Dit-il allongé sur le ventre dans le canapé, à moitié dans les vapes. La douleur ne se faisait plus vraiment sentir, à vrai dire il se sentait plutôt comme s’il venait d’être anesthésié ou qu’il venait de fumer un pétard. Sûrement un mauvais signe d’ailleurs. Karl avait lu quelque part qu’un coup du genre, même sans blessure ouverte, pouvait faire s’écouler le sang dans le cerveau et tuer quelqu’un en quelques heures. Et il n’avait pas vraiment envie de mourir ici, mais ce n’était même pas la peine de penser à aller se faire soigner à l’église. Plutôt crever, pas sûr que Decay ait quelque chose à lui apporter un jour de toute manière.

“ J’espère que tu… sais faire… “

Dit-il, peinant à garder conscience. Pourtant, mieux valait qu’il ne sombre pas. Qu’il parle pour rester éveillé. A mieux y regarder, Magnolia constata sa blessure, cachée entre ses cheveux. Cela saignait beaucoup, une large entaille. Large, mais peu profonde. L’écart entre la plaie n’était pas si important, le coup porté avait sans doute fait plus de dégâts que la blessure qui en résultait. Recoudre ne serait donc pas nécessaire, la cicatrisation pouvant faire le travail, mais nettoyer et couvrir la blessure avec un bandage ou tout autre chose serait impératif. De toute manière, ce genre de choses se comprenaient au premier coup d’oeil et faisaient partie des réflexes plus que de la connaissance en médecine.

“ J’ai… je me suis battu contre un mauvais perdant, sur le ring. “

Il tentait d’articuler, ce qui était compliqué dans sa condition en plus du fait d’être avachi dans le canapé tête contre le tissus pour lui laisser une vue correcte sur sa blessure. Ne voulant d’ailleurs pas salir les draps, Karl envoya ses plaids et oreillers ailleurs d’un geste de bras grossier. S’il aurait voulu être moins brusque, il n’avait pas trop le choix. Mieux valait cela que d’être tâchés de sang. Dieu sait à quel point le sang est difficile à chasser une fois qu’il est incrusté. Dans la même veine, Karl retira son t-shirt avec plus ou moins d’adresse. Il avait chaud, très chaud. Sans vraiment savoir si c’était lié à sa blessure et à son tournis ou non. Ce serait au moins l’occasion pour Magnolia d’admirer ses muscles, bien qu’elle ait quelque chose de plus important dont il fallait s’occuper.

“ Parle moi… ou j’vais tomber dans les pommes. “

Dit-il. Karl ne savait pas vraiment pourquoi, mais il désirait rester éveillé. Comme s’il sentait qu’il tomberait pour ne jamais remonter en fermant les yeux.
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Pour lui, ce n’est pas si grave…
Peut-être dans son monde de violence et de force, ce n’est pas si grave mais pour une demoiselle élevée dans une prison dorée comme toi, ce n’est pas rien. Ce sang, son état… Tu n’arrives pas à détourner les yeux. L’inquiétude fait cogner ton cœur et agite tes tripes. Tu pourrais presque sentir la nausée te monter au nez. Tu l’observes fonder ses espoirs sur toi comme une évidence, il espère qu’il te dit. En théorie, oui tu sais faire. Il faut toujours être bien préparé dans ce monde, en pratique, tu as déjà les mains qui tremblent légèrement… Tu te penches pour observer l’étendu des dégâts… Tu décides de le laisser sur le canapé, le temps d’aller rassembler toutes les affaires nécessaires pour le soigner. T’as les jambes en coton, tu sens qu’elles pourraient se dérober si tu ne fais pas attention. Tu te presses dans la salle de bain, tu rassembles tout dans une bassine et tu reviens à la hâte dans le salon pendant qu’il se débat avec les plaids de ton canapé – Oh non, dire que tu étais soulagée qu’ils soient là pour le protéger. Tu le vois aussi se débattre avec son t-shirt alors tu poses la bassine pour l’aider à le retirer. C’est qu’il doit avoir trop chaud, certainement le contre-coup. Hélas, tu ne peux pas prendre plaisir à observer ce spectacle anatomie fort sympathique car tu as une énorme plaie sur l’arrière de son crâne à soigner…

Tu t’installes juste à côté de lui.
Les genoux au sol, pour pouvoir te pencher au-dessus de sa tête, délicatement tu écartes les cheveux collés par le sang qui commencent légèrement à coaguler, combien de temps a-t-il mis pour venir jusqu’ici ? Il veut que tu parles alors tu vas parler. D’une voix douce, réconfortante et calme tu lui dis : « Quel idée de prendre des adversaires qui ne peuvent pas t’arriver à la cheville… » Oui, tu préfères parler d’autres choses. Il a dit que tu devais le garder éveiller alors tu ponctues chacun de tes gestes d’une petite phrase. Parfois c’est « Attention ça va être un peu désagréable… » Jamais autant qu’un coup de barre de fer, tu viens nettoyer avec les compresses, elles s’empilent dans la bassine, imbibée de sang et d’eau oxygénée. Un produit révolutionnaire pour arrêter les saignements. « On va s’assurer que cette vilaine plaie ne te laisse pas une vilaine cicatrice… »

Un petit trait d’humour et de bienveillance,
Tu cherches dans la trousse les petits straps chirurgicaux pour pouvoir venir recoller les bords de la plaie, elle ne laissera ainsi qu’une fine marque comme annoncé.  « C’est presque fini… Après un antidouleur et du repos, d’accord ? » En vérité ? Tu n’attends pas réellement de réponse de sa part, tu fais juste ce qu’il t’a demandé, tu le garde éveillé. Tu caresses tendrement sa nuque et ses épaules pour espérer le détendre un peu plus et tu expliques : « Mais j’vais avoir besoin que tu te redresses pour pouvoir faire le bandage… » Car ce n’est pas comme sur un bras ou un genou, tu ne peux pas juste lui coller un pansement sur la plaie…

Une fois qu’il s’est une peu redressé…
Autant que faire se peut au vu de son état, tu viens passer la bande autour de sa tête comme tu peux pour maintenant la compresse, puis tu attrapes le petit cachet. Petit mais puissant, qui vient fondre sous la langue mais dont le goût péniblement masqué par le menthol reste affreusement amer… Tu le déposes sur le bord de ses lèvres de tes doigts toujours si doux et tendres : « Tiens, ça va t’aider à dormir et soulager la douleur… » Tu ne sais pas s’il va accepter de le prendre, tu ne fais que le proposer. Tu as fini de le soigner, c’est bon, tu peux doucement l’inviter à se blottir un peu contre toi et toi tu peux souffler. Ton regard se pose sur son dos, tu viens le caresser de ta main libre dans un soupire… Le plus dur est passé. Finalement autant en théorie qu’en pratique, tu sais ce que tu fais. Finalement il avait raison de te faire confiance, non ?
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Sentir les doigts doux de Magnolia sur ses cheveux et sa blessure le détendent. Si ses gestes ne devraient pas être très agréables, sa blessure étant lancinante, la douceur de la jeune femme le détend peu à peu. S’il fallait prendre un coup sur la tête pour mériter tant de confort, Karl était prêt à en prendre un second dès maintenant. Il n’avait pas droit à tant de moments de tendresse que cela, chacun était donc le bienvenu. Surtout avec Magnolia, dont la douceur angélique faisait presque office d’anomalie à Decay. Et même à l’Organizatsiya. Comment une jeune femme aussi douce et gentille pouvait-elle exister au milieu de cette ville pourrie et violente ? A croire qu’elle avait grandi éloignée de tout cela.

“ C’est pas moi qui choisi… “

Dit-il sans arriver à articuler correctement, légèrement anesthésié par le choc. Si bien que les compresses s’enchainent sans qu’il ne sente grand chose.

“ Je sens pas grand chose t’façon… “

Karl ferme les yeux, concentré seulement sur le bruit et la sensation des doigts de Magnolia. Le jeune homme a presque l’impression d’entendre de l’asmr, bien qu’il n’écoute en général pas trop ces choses la. Sûrement est-ce dû à son état végétatif. S’il n’avait pas été plus costaud, ce coup l’aurait très probablement tué ou au moins assommé sur le coup.

“ Pas grave si y’a une cicatrice… elle sera cachée par les ch’veux… “

Le jeune homme décala légèrement la tête pour éviter de parler dans le canapé. D’un oeil, il observa paisiblement magnolia lui apposer des straps. Ce n’était pas la première fois qu’il se faisait soigner une plaie, surtout par Magnolia, mais celles à la tête étaient un peu plus rares. Ce qui expliquait les précautions et la concentration de son amie, qui semblait véritablement impliquée dans ce qu’elle faisait.

“ Hmm… “

Il gémit légèrement pour toute réponse qui ne demande pas plus de développement. De toute manière, il n’aurait pas la force d’en faire autrement. Le jeune homme frissonne légèrement lorsqu’elle se met à lui caresser les épaules et la nuque, ce qui le rend encore plus amorphe qu’avant. Un véritable pantin désarticulé et mou comme un chaton en pleine sieste. Une sieste un peu forcée, dans son cas. Sans protester, Karl se redresse donc lorsqu’elle le lui demande et se blottit contre elle pour lui rendre la tâche un peu plus évidente en plus de lui voler un peu de chaleur corporelle. Le jeune homme se laisse donc faire et entrouvre les lèvres pour prendre le médicament qu’elle lui tend, embrassant ses doigts au passage.

“ Merci. “

Le jeune homme se blottit alors en l’entourant de ses bras pour l’étreindre et enfouit sa tête dans sa poitrine, peu gêné par son geste. La fatigue le rend amorphe de toute manière, il se fiche bien de ce qu’il fait. Et c’est un merveilleux coussin pour se reposer, à son plus grand plaisir.

“ Hmm… merci Magno… “

Lentement, le jeune homme hume son odeur et somnole.
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Tu peux enfin souffler…
Tu l’entends dire « Merci » à plusieurs reprises et cela te donne juste envie de le serrer encore plus fort contre toi. Karl c’est ton ami, c’est ton petit échange qui donne le sourire. Quelques sucreries, un petit jus de fruits. Vous avez finalement vos habitudes, votre routine amicale qui le rends toujours plus précieux à tes yeux. Oui, il est ton ami. Des amis sur lesquels on peut compter dans ce monde, c’est difficile d’en trouver. Les mentalités sont aussi pourries et corrompues que les rues. Tu as l’air d’une ignorante, d’une insouciante mais même si tu es protégée par les barreaux dorés de cet hôtel, tu n’es pas aveugle. Ce monde, tu le vois, tu essaies juste de pas te laisser envahir par sa noirceur et sa fatalité. Ce soir, tu as eu le plaisir de découvrir combien Karl pouvait avoir confiance en toi. Débarquer en pleine nuit sans la moindre hésitation pour te demander de sauver sa tête et son esprit. C’était une preuve de confiance, une preuve que vous deux, ça avait un sens, une importance. L’un pour l’autre.

Ainsi allongés dans le canapé…
Vous n’allez pas passer la meilleure des nuits c’est certain. Mais Karl est épuisé, il te serre contre lui, tu peux sentir combien il te maintient avec autant de fermeté que de douceur, homme musclé au cœur tendre qu’il est. Et toi, toute aussi tendre que lui, tu n’as pas le cœur de le déloger. Tu préfères refermer un peu plus tes bras autour de lui, tu préfères te glisser dans le canapé toute contre lui, pour devenir le coussin et le soutien dont il a besoin pour la nuit. Il te remercie encore et tu viens doucement caresser la ligne de son nez en lui soufflant avec ta voix presque chuchotée pour le laisser dériver dans les songes :

- « Arrêtes de me remercier, c’est normal pour moi… Reposes-toi maintenant, je reste là, c’est promis. »

Toujours aussi maternelle, toujours aussi bienveillante et calme, tu le berces de ton souffle régulier et de tes mains qui passent et repassent dans son dos. Il a besoin de repos, c’est tout ce qui compte… La position n’est pas idéale pour toi, il faut dire qu’il pèse son poids même ainsi allongé ainsi. Tu essaies de tenir le plus longtemps possible car il a l’air si paisible mais tu as des fourmis et les muscles qui s’engourdissent. Et puis forcément, voilà que tu as envie de pisser… Sérieusement, vous ne pourriez pas finir comme dans les films à l’eau de rose ? Endormis l’un contre l’autre ? Non forcément…

Alors après presque une heure et demie…
Immobile, en le gardant contre toi sous tes caresses, tu finis par essayer de sortir de ses gros bras. C’est pas fausse aisée, tu sais que tu vas finir par le réveiller mais il faut que tu bouges, il faut que tu puisses aller aux toilettes surtout. Alors c’est à regret que tu le réveilles mais tu arrives à te convaincre que c’est un mal pour un bien, quand il revient à la surface tu lui murmures en caressant sa joue : « Karl, on sera mieux dans le lit… » Car il est évident que vous n’allez pas faire chambre à part, c’est un peu idiot mais tu sais qu’il faut surveiller une personne ayant reçu un coup violent sur la tête pendant au moins 24h alors hors de question de le laisser seul. S’il s’est réveillé au point d’engager le mouvement pour rejoindre ta chambre, tu viendras lui prendre la main le guider. Tu le laisseras devant en lui disant :

- « JJe reviens vite… »

Et tu iras faire ce que tu dois suivi d'un rapide passage à la salle de bain pour troquer ton peignoir plein de traces de sang contre un pyjama plus décent après t’être lavés les mains. Et là ? Tu reviendras sans hésitation te glisser dans le lit. S'il s'est rendormi, tu feras le plus doucement possible et tu reviendras le prendre un peu contre toi. Tu veux qu'il garde ta chaleur réconfortante, ta présence à ses côtés. Surtout qu'ainsi vous serez bien mieux installer. Donc cette fois, tu pourras enfin t’endormir avec lui… Et si tout se passe bien, vous seriez parti pour la nuit, non ?
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Ainsi, Karl se reposa. Il s’endormit, même. Inconscient et bercé par les seins moelleux de son amie, le jeune homme fut pris dans un doux sommeil sans rêve. La jeune femme s’est tellement bien occupée de lui qu’il ne risque pas de souffrir de ses blessures de sitôt. Il se sent comme noyé dans un nuage de miel, moelleux et chaud. Le temps est suspendu, le silence total, et la douleur disparue. Il n’est finalement tiré du sommeil que par le mouvement de magnolia, alors qu’il peine à comprendre ce qui se passe.

“ Hmm ? Moui… “

Le jeune homme franchit mollement la distance qui le sépare du lit, retire son pantalon pour se retrouver en caleçon et s’effondre sur le matelas sans crier gare. Epuisé, encore somnolent, il ne lui faut pas longtemps pour retourner dans les bras de morphée. Mais le sommeil est tout de suite différent sans elle. Plus agité, moins paisible. La petite douleur à l’arrière de son crâne revient bien vite, ce qui provoque quelques cauchemars flous qu’il ne parvient pas à comprendre totalement.

Lorsqu’elle revient dans le lit, Magnolia trouve donc un Karl déjà endormi. Et bien qu’il dorme, le jeune homme sent dans son inconscient une présence réconfortante le serrer contre elle. Machinalement, il l’entoure elle aussi de ses bras. Mais… si les premières minutes sont paisibles, le jeune homme se retrouve rapidement assailli par quelque chose. Un trouble du sommeil, dont il ne se rend même pas compte et auquel il n’a jamais été sujet avant. Sans doute est-ce du au fait qu’il dorme avec une jolie fille tout en étant en contact avec sa poitrine.

“ Hmm… “

La sexomnie. Lentement, le jeune homme passe une main sous le pyjama de son amie pour remonter jusque ses seins, qu’il commence à malaxer lentement. S’il n’en a pas conscience, il va falloir le réveiller pour l’arrêter. A moins que la jeune femme n’apprécie, ce à quoi il ne s’attendrait pas s’il était éveillé et conscient de ce qu’il faisait. Karl n’était pourtant pas connu comme étant un individu à l’appétit sexuel si dévorant que cela, a croire que la situation y était particulièrement propice.
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Comme tu pouvais t’en douter…
Karl dort profondément. C’est une bonne chose car il a cruellement besoin de repos avec la soirée qu’il vient de passer. Sans parler de son coup à l’arrière de la tête, il venait tout de même de disputer un combat ce soir… Et tu le soupçonnes de ne pas avoir des journées comme des nuits très reposantes alors tu es contente de ne pas le réveiller en venant te glisser dans les draps. C’est même assez attendrissant la manière dont il referme ses bras pour te garder contre lui. C’est fou comme tu peux avoir l’impression d’être petite ainsi contre lui. Tu cherches à l’apaiser de tes doigts, tu ne peux pas caresser ses cheveux à cause de l’emplacement de sa blessure alors ce sont ses bras qui reçoivent tes caresses.

Alors que tu étais sur le point de t’endormir…
Il commence à bouger, tu n’ouvres pas les yeux. Tu te dis que ce n’est rien. Juste un petit soupire paisible de plus, mais non, ses mains bougent encore si bien qu’il finit par venir les glisser sous ton haut. Là, tu ouvres les yeux en grands. Tout ronds. Tu te redresses un peu pour constater le spectacle qui s’offre à toi. Attends ! Est-ce-que cet homme endormi est réellement entrain de jouer avec ta poitrine de cette manière ? Comme ça, sans même savoir ce qu’il fait ? A la limite, il serait réveillé… Mais là ? Est-ce qu’il réellement en train de faire ce genre de rêve ? Mais enfin ! Tu essaies de retirer sa main mais voyez-vous c’est un homme avec de la poigne Karl et en cet instant, il ne semble pas décider à laisser tranquille tes seins. T’es rouge comme une jamais, t’as le souffle coupé à essayer de t’échapper de son emprise mais tu finis par capituler. Tu vas devoir le réveiller. C’est encore plus gênant… Sérieusement… Même si vous allez certainement en rire demain, sur le coup, tu te sens vraiment mal à l’aise. Mais il faut alors tu finis pas l’appeler « K-Karl… » Il ne réagit pas.

Tu dois le dire plus fort. Bordel, et cette main qui s’amuse toujours sur ton buste, bordel, elle est grande et ferme. Elle sait ce qu’elle veut. Tu répètes plus fort : « Karl… » Ce n’est toujours pas assez fort, alors tu recommences cette fois proche d’une maîtresse d’école mécontente :

- « Karl ! Arrête s’il te plait ! »

Et là, tu sais que tu viens de le réveiller, à l’instant même où il retire sa main, tu peux vite cacher ton buste de tes bras. Le souffle toujours perturbé par cette lutte honteuse et cette gêne. Ta mine farouche et troublée, tes yeux brillants, ton regard presque boudeur, tes bras qui tremblent légèrement sous la surprise de cette situation, tu le fixes avant d’ajouter : « De... De quoi tu étais en train de rêver, pervers va… » Mais tu en ris, dans la pénombre, hélas, tu ne peux certainement pas voir le rose de tes joues. Mais il peut voir ton petit sourire « On avait dit que tu te reposais, non ? Et ça ce n’est pas réellement du repos… Hum ? » Et voilà, tu te détends légèrement même si tu te caches toujours de tes deux bras.
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Karl continue un moment, malgré les rouspétements de Magnolia. Il faut dire que le jeune homme a une libido active en plus de fortement apprécier les poitrines opulentes. Inutile de dire que celle de son amie est donc particulièrement à son goût, bien qu’il ne se le soit jamais vraiment dit consciemment. Karl n’est pas un pervers pensant toujours aux fesses de la moindre femme qu’il croise. Mais malgré tout, le russe a beaucoup de fantasmes et d’envies inavouées par pudeur. Surtout avec une gentille fille comme Magnolia, il ne voudrait surtout pas la froisser.

Néanmoins les protestations de la jeune femme portent finalement leurs fruits lorsqu’il se réveille en sursaut, encore dans le jus. Karl peine à prendre conscience de ce qui l’entoure, surtout avec ce mal de crâne qui le tourmente bien qu’il se soit grandement calmé depuis. Et c’est grâce à elle. Néanmoins, le jeune homme ne comprend pas tout de suite.

“ Hein ? Quoi, que… “

Le boxeur se rend compte que ses mains sont sous le haut de Magnolia et se dépêche donc de les retirer. Mais qu’est-ce qui lui prend ? Par instinct, il se recule légèrement mais se rappelles qu’il est sur un lit et manque de tomber à la renverse. Le jeune homme s’immobilise. Dormir en caleçon avec une jolie fille avait sûrement réveillé ses instincts, mais en plein sommeil ?

“ Je euh… je sais pas vraiment ce qui s’est passé. “

Il se masse doucement les tempes. S’il rêvait, il ne s’en souvient même plus.

“ Je rêvais même pas en plus ! Désolé Magno, tu veux que j’aille dormir ailleurs ? Je ne voudrais pas que ça recommence si ça te gêne… “

Et ça le gêne lui aussi en plus de cela. Karl est assez peu entreprenant d’habitude et ne voudrait pas passer pour un agresseur sexuel. Surtout que sa réputation n’est plus à faire chez les filles de l’organizatsiya. Karl est connu comme était un jeune homme serviable, qui ne profite jamais de leurs services même quand on lui propose.
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On peut dire que c’est un homme avec de la poigne…
Vraiment il était impossible pour toi de sortir de ses bras sans le réveiller. Il n’avait de cesse de te ramener toujours plus contre lui, les mains toujours plus aventureuses et envieuses. C’était vraiment délicat, gênant. Heureusement que tu as réussi à te sortir de ses rêveries…. Tu te sens soulagée par cette prise de conscience. La manière dont il retire ses mains à la hâte te prouve combien ce n’était pas volontaire et combien il se sent déjà désolé par son acte. Il ne semble même pas se l’expliquer. Il est mignon, c’est fou de voir comment une grande brute comme lui en apparence peut être douce et prévenante en vérité. Oui, tu le trouves attendrissant. Bon, il t’a fait un peu peur quand il a manqué de perdre l’équilibre du lit. Mais quand il te demande si tu veux qu’il aille dormir ailleurs… Tu pouffes de rire et tu lui fais signe de revenir s’allonger à côté de toi.

C’est que ce n’est pas bon qu’il reste trop redressé.
Faudrait pas oublié qu’il est toujours blessé. Un coup pareil à la tête ce n’est pas rien. Et surtout, ainsi vous pouvez vous regarder dans les yeux, à la même hauteur. Tu peux ainsi souffler, tu tends la main pour venir caresser sa joue. Karl, le gentil garçon. Voilà ce que tu penses sincèrement. Tu as ce petit rire, entre timidité et amusement quand tu lui réponds, l’autre bras barrant toujours ton buste, vestige de ta pudeur : « Ne t’excuses pas pour ça, c’est rien… » C’est pas comme si tu pouvais lui en vouloir pour si peu. Ce n’est pas la mort, il n’était même pas réellement conscient. Tu rajoutes en gardant ce sourire alors que ton bras se détends enfin, libérant tes seins : « Franchement t’en fais pas… Surtout que le lit n’est pas fait dans la chambre d’ami… » Oui, ton ancienne chambre est devenue une chambre d’ami pour toutes ses personnes qui savent trouver refuge chez toi pour une nuit ou plus. Bien qu’ils finissent souvent dans ton lit. C’est toujours agréable d’avoir une présence à ses côtés, non ?

Tu le contemples, songeuse.
Karl le gentil garçon, tu réalises qu’il t’a fait vraiment peur quand il a débarqué comme ça. Tu aurais plein de choses à lui confier sur ces sentiments qui se sont entrechoquaient dans ta tête à son arrivée ensanglantée, mais il doit dormir, il doit se reposer. Et toi tu viens rajouter avec douceur et complicité : « Puis … Si tu recommences, c’est moi qui irait dormir ailleurs, après t’avoir gronder ! » Tu fais des gros yeux qui n’ont aucune crédibilité, puis tu te redresses un peu pour venir embrasser sa joue. Tes cheveux caressent sa joue, son épaule, son cou. Tu chuchotes « Surtout que toi tu dois vraiment te reposer… »

Tu n'aimerais pas que ça recommence.
Du moins pas de cette manière, pas pour ces raisons… C’est triste de ce dire que c’est juste car on ne contrôle pas ses gestes quand on dort, non ? Car à tes yeux, ce n’était certainement qu’un rêve de l’instant, il devait de ces femmes ravissantes qui peuvent partager ses draps… Oui, tu penses sincèrement que Karl est un homme ayant un grand succès auprès des femmes, des très belles femmes de surcroît. C’est qu’il a un certain succès dans les bouches de l’Orga’. Ce qui te fait toujours pouffer de rire de les entendre fantasmer comme ça sur ce gentil Karl. Le bon gars, le beau gars… Alors de ton coté, est-ce-que ça veut dire que c’est gênant cette situation. Mais tu te dis qu’il serait préférable d’être plus précise, confié à ton ami le fond de ta pensée, peut-être même le rassurer, revenue t’allonger à ses côtés, tes doigts effleurant la ligne de sa mâchoire pour te perdre sur son menton les yeux dans les yeux, le rose aux joues : « En vérité, le plus gênant là... c’est surtout de se dire que ce n’est pas fait volontairement… Tu ne trouves pas ? » Et voilà que tu bailles timidement derrière ta main.
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