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Re: Des questions, Monsieur? | Ft. Keenan
Lun 21 Sep - 4:37
Il était déjà trop tard pour sauver sa peau envers le cartel. C’était grillé, si seulement on apprenait qu’elle avait dit ce qu’elle savait à un simple civil, Rika Doll ne serait plus. La petite poupée ne serait que chiffon, probablement dans une ruelle en soufflant son dernier souffle, sa robe de dentelle tachée de sang. Bon, elle n’était qu’un outil pour faire rouler le cartel, ce n’est pas qu’elle avait énormément de valeur au niveau de l'organisation. C’est un peu pourquoi la niponne était effrayée par ses propres agissements. Cette peur des hommes allait vraiment lui faire perdre la vie qu’elle n’a jamais vraiment vécu.
L’homme devant elle lui fit la suggestion de s'enfuir de tout ça. Bien évidemment qu’elle y avait pensé. Son expression changea, changeant sa peur en désespoir puis son regard rose devint maussade.
- J’ai les mains liées, Monsieur. J’ai une dette à rembourser, dit-elle tout en faisant la motion de coller ses poignets ensemble.
C’était plus fort qu’elle. Cette fragilité, cette peur vraiment incrustée dans sa personnalité la forçait à tout avouer. Quand l’inconnu mentionna le cartel, elle le regarda bien dans les yeux puis hocha de la tête lentement pour finalement regarder le sol en pur désarroi.
Puis le jeune homme s’approcha de nouveau vers elle pour lui imposer ses demandes. Intimidée par un rien, Rika se remit à trembler, mais cette fois-ci, les larmes n’était pas au rendez-vous. Au fond d’elle, elle savait qu’il n’allait rien lui faire si elle lui obéissait, mais la proximité qu’il avait n’avait rien de rassurant. Le regard de braise, il dégageait quand même une chaleur corporelle imposante qui n’était pas la bienvenue.
- J-Je sais, Monsieur, c’est plus fort que moi, dit-elle d’une traite, sans vraiment réfléchir.
Du moins, c’était la pure vérité.
L’homme devant elle lui fit la suggestion de s'enfuir de tout ça. Bien évidemment qu’elle y avait pensé. Son expression changea, changeant sa peur en désespoir puis son regard rose devint maussade.
- J’ai les mains liées, Monsieur. J’ai une dette à rembourser, dit-elle tout en faisant la motion de coller ses poignets ensemble.
C’était plus fort qu’elle. Cette fragilité, cette peur vraiment incrustée dans sa personnalité la forçait à tout avouer. Quand l’inconnu mentionna le cartel, elle le regarda bien dans les yeux puis hocha de la tête lentement pour finalement regarder le sol en pur désarroi.
Puis le jeune homme s’approcha de nouveau vers elle pour lui imposer ses demandes. Intimidée par un rien, Rika se remit à trembler, mais cette fois-ci, les larmes n’était pas au rendez-vous. Au fond d’elle, elle savait qu’il n’allait rien lui faire si elle lui obéissait, mais la proximité qu’il avait n’avait rien de rassurant. Le regard de braise, il dégageait quand même une chaleur corporelle imposante qui n’était pas la bienvenue.
- J-Je sais, Monsieur, c’est plus fort que moi, dit-elle d’une traite, sans vraiment réfléchir.
Du moins, c’était la pure vérité.
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Re: Des questions, Monsieur? | Ft. Keenan
Dim 4 Oct - 17:54
Elle panique sous mon imposante carrure. Il était difficile d'être plus petite qu'elle et vu son caractère faiblard, je ne lui donnais pas encore un an avant de se faire déchiqueter par les requins qu'étaient les grands boss de la mafia de la drogue. Mais peut être était la meilleure des solutions, se laissait enrôler et faire ce qu'on nous dictait. Peut-être que si Eryn avait payé sa dette comme cette pauvre fille, elle serait toujours en vie. Mais à quel prix ? Perdre son droit de veto, sa personnalité?
Je jette un regard dédaigneux à la dealeuse. Avait-elle été traumatisée par l'humain pour qu'elle n'essaie même pas de se défendre? Je n'ai même pas à la toucher qu'elle retient son souffle, et elle avait eu cent fois le temps de me pousser, et de me frapper, mais non elle restait là comme un chiot abandonné.
- Une dette ? Tu parles ! Tu t'es vu un peu ? Tu es pathétique. Ressaisis toi bordel ! tempetai-je en frappant un coup sec le mur au-dessus de sa tête. Des filles comme toi me font pitié, elles se laissent aller là où la vie veut bien les mener attendant la faucheuse comme une évidence. SAUVE-TOI TANT QU'IL EST ENCORE TEMPS !
Doucement, je me détache puis fixe ma main râpée et ensanglantée, pourtant je ne ressens aucune douleur.
- En fait, tu aurais dû mourir à sa place. Elle méritait de vivre, toi, pauvre chose que tu es, tu ne sais pas apprécier la vie.
Je m'éloigne un peu plus de la brune puis secoue ma main où quelques taches vermeilles colorent sur le bitume crade de Decay. Je pense que ma petite entrevue se terminait là, d'autant plus que le chiot apeuré ne m'apporterait rien de plus et je me perdais dans mes propres ressentiments et ce n'était pas une bonne idée.
- Je saurais te retrouver et j'espère que tu sauras m'apporter plus que ton incompétence à aligner deux mots. crachai-je en lui tournant le dos. Et rappelle toi, un homme d'une cinquantaine d'années, je veux que tu me recherche ça dans le Cartel...
Arrivé devant l'intersection, je remis ma capuche, dissimulant mes particularités, laçant un dernier regard derrière moi, je disparus dans la nuit noire au détour de la rue remplie de chiens enragés. Il était temps que je rentre chez moi.
Je jette un regard dédaigneux à la dealeuse. Avait-elle été traumatisée par l'humain pour qu'elle n'essaie même pas de se défendre? Je n'ai même pas à la toucher qu'elle retient son souffle, et elle avait eu cent fois le temps de me pousser, et de me frapper, mais non elle restait là comme un chiot abandonné.
- Une dette ? Tu parles ! Tu t'es vu un peu ? Tu es pathétique. Ressaisis toi bordel ! tempetai-je en frappant un coup sec le mur au-dessus de sa tête. Des filles comme toi me font pitié, elles se laissent aller là où la vie veut bien les mener attendant la faucheuse comme une évidence. SAUVE-TOI TANT QU'IL EST ENCORE TEMPS !
Doucement, je me détache puis fixe ma main râpée et ensanglantée, pourtant je ne ressens aucune douleur.
- En fait, tu aurais dû mourir à sa place. Elle méritait de vivre, toi, pauvre chose que tu es, tu ne sais pas apprécier la vie.
Je m'éloigne un peu plus de la brune puis secoue ma main où quelques taches vermeilles colorent sur le bitume crade de Decay. Je pense que ma petite entrevue se terminait là, d'autant plus que le chiot apeuré ne m'apporterait rien de plus et je me perdais dans mes propres ressentiments et ce n'était pas une bonne idée.
- Je saurais te retrouver et j'espère que tu sauras m'apporter plus que ton incompétence à aligner deux mots. crachai-je en lui tournant le dos. Et rappelle toi, un homme d'une cinquantaine d'années, je veux que tu me recherche ça dans le Cartel...
Arrivé devant l'intersection, je remis ma capuche, dissimulant mes particularités, laçant un dernier regard derrière moi, je disparus dans la nuit noire au détour de la rue remplie de chiens enragés. Il était temps que je rentre chez moi.
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