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35 Sa propre personne Dirigeant du gang El-dorardo Non
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Allégeance :
Sa propre personne
Metier :
Dirigeant du gang El-dorardo
Mort du personnage :
Non
Re: Lui mettre des bâtons dans les roues [Ft. Black Bird]
Jeu 1 Avr - 5:07
C'était à prévoir, un inconnu sorti de nul part, se ventant de posséder des sommes astronomiques, le jeune loup a bien raison d'en douter. En soit, cela m'arrange même dans le sens ou, je n'aimerais pas qu'il rapporte à ses supérieurs qu'on gros poisson nage dans leurs eaux librement. Conserver le ton de la plaisanterie me semble alors adéquat, afin de maintenir le doute dans l'esprit du brun.
« Oh, mais tu as bien raison, car je ne compte en aucun cas t'offrir ma fortune, simplement rémunérer suffisamment ta prestation »
Je poursuis alors, toujours sur le ton de la taquinerie, titillant toujours plus le russe. En jouant avec mon verre, remuant le liquide translucide sans lui permettre de s'échapper, je me rend compte que je pratique en quelque sorte le même petit jeu avec mon interlocuteur. Le remuant délicatement, tout en observant si il va se mettre à déborder ou non. Je me contente ensuite d'un simple plissement de mes lèvres en réponse à sa réplique, savant pertinemment que des breuvages plus fins et ardents se trouvaient dans ma cave. Cave que j'ai d'ailleurs délaissée en quittant Néo-Atlantis, je regrette d'ailleurs certaines de ces boissons mais pour l'heure je me contenterai de ce que j'ai en main, mais qui ne s'y éternisa pas, allant tapisser ma gorge et mon palais.
Hélas, je constate alors, que tout le monde ne partage pas la même éducation, et qu'une curiosité mal placée s'est emparée du brun. Un comportement qui efface mon sourire acquis précédemment, devant recadrer l'enfant me faisant face. Ayant à présent le contrôle, de la situation, et d'une partie des mouvements du curieux, je lui dicte ma première leçon. Qui ne semble pas suffisante, le chenapan osant me répondre.
« Je crois que tu as mal compris ... Je vais donc te faire la grâce de te réexpliquer. Tu vois tes bijoux de familles ? Tu n'aimerais pas qu'un inconnu vienne les caresser ? Eh bien là c'est pareil, ce sont mes bijoux de famille, donc ... tu n'y touche pas ... »
Maintenir cette courte distance, garder ce ton posé, mais imposant, voilà la clé d'une bonne leçon efficace. Mais bien sûr, il faut toujours qu'un mouton sorte du troupeau, qu'il essaye de se démarquer. Une simple contraction de ma mâchoire, l'histoire d'une seconde, accompagnée d'un clignement des paupières, témoignent de mon agacement, mais c'était bien la, le seul signe perceptible. Un chien errant, voilà que celui qui aboie calmement me compare à lui. Mais je me sais bien au dessus de cela, le chien à pour habitude d'aboyer en retour, lorsqu'un autre cabot s'exprime, mais ce n'est pas mon cas. Préférant rugir au moment crucial pout terroriser ma proie. Voilà un spectacle bien amusant, de quoi décrocher mon sourire de nouveau. Et à présent que le petit singe n'est plus chapardeur, voilà qu'il me présente sa petite pirouette pour se dégager d'une emprise qui ne m'étais plus nécessaire. Mon visage lui, était restait dans la position dans laquelle le brun l'avait laissé, légèrement de côté. Voilà enfin, qu'il se décide à proférer une menace, il vrai que dans la théorie, il n'a pas tort, je suis sur son territoire, je ne suis pas en position de force. Mais pour l'heure cela ne m'inquiète pas le moins du monde.
C'est par un éclat de rire que je réagis à sa petite menace. J'en profite pour réorienter mon regard bien en face de mon interlocuteur. Ma main fond en direction du verre vide posé devant moi, puis le lève à hauteur de visage.
« Un autre pour moi et mon ami barman ! »
Enfin, je le lâche sur la table, puis dépose l'une de mes joue sur les phalanges de mon poing droit, mon coude étant lui-même appuyé sur la table. C'est donc avec le visage penché et un sourire encore plus grand qu'auparavant que je m'adresse cette fois au brun.
« Tu sais que tu commences à me plaire toi ? Je pensais que je m'ennuierais à mourir pour un simple contrat à signer, mais voilà que je suis divertis »
« Oh, mais tu as bien raison, car je ne compte en aucun cas t'offrir ma fortune, simplement rémunérer suffisamment ta prestation »
Je poursuis alors, toujours sur le ton de la taquinerie, titillant toujours plus le russe. En jouant avec mon verre, remuant le liquide translucide sans lui permettre de s'échapper, je me rend compte que je pratique en quelque sorte le même petit jeu avec mon interlocuteur. Le remuant délicatement, tout en observant si il va se mettre à déborder ou non. Je me contente ensuite d'un simple plissement de mes lèvres en réponse à sa réplique, savant pertinemment que des breuvages plus fins et ardents se trouvaient dans ma cave. Cave que j'ai d'ailleurs délaissée en quittant Néo-Atlantis, je regrette d'ailleurs certaines de ces boissons mais pour l'heure je me contenterai de ce que j'ai en main, mais qui ne s'y éternisa pas, allant tapisser ma gorge et mon palais.
Hélas, je constate alors, que tout le monde ne partage pas la même éducation, et qu'une curiosité mal placée s'est emparée du brun. Un comportement qui efface mon sourire acquis précédemment, devant recadrer l'enfant me faisant face. Ayant à présent le contrôle, de la situation, et d'une partie des mouvements du curieux, je lui dicte ma première leçon. Qui ne semble pas suffisante, le chenapan osant me répondre.
« Je crois que tu as mal compris ... Je vais donc te faire la grâce de te réexpliquer. Tu vois tes bijoux de familles ? Tu n'aimerais pas qu'un inconnu vienne les caresser ? Eh bien là c'est pareil, ce sont mes bijoux de famille, donc ... tu n'y touche pas ... »
Maintenir cette courte distance, garder ce ton posé, mais imposant, voilà la clé d'une bonne leçon efficace. Mais bien sûr, il faut toujours qu'un mouton sorte du troupeau, qu'il essaye de se démarquer. Une simple contraction de ma mâchoire, l'histoire d'une seconde, accompagnée d'un clignement des paupières, témoignent de mon agacement, mais c'était bien la, le seul signe perceptible. Un chien errant, voilà que celui qui aboie calmement me compare à lui. Mais je me sais bien au dessus de cela, le chien à pour habitude d'aboyer en retour, lorsqu'un autre cabot s'exprime, mais ce n'est pas mon cas. Préférant rugir au moment crucial pout terroriser ma proie. Voilà un spectacle bien amusant, de quoi décrocher mon sourire de nouveau. Et à présent que le petit singe n'est plus chapardeur, voilà qu'il me présente sa petite pirouette pour se dégager d'une emprise qui ne m'étais plus nécessaire. Mon visage lui, était restait dans la position dans laquelle le brun l'avait laissé, légèrement de côté. Voilà enfin, qu'il se décide à proférer une menace, il vrai que dans la théorie, il n'a pas tort, je suis sur son territoire, je ne suis pas en position de force. Mais pour l'heure cela ne m'inquiète pas le moins du monde.
C'est par un éclat de rire que je réagis à sa petite menace. J'en profite pour réorienter mon regard bien en face de mon interlocuteur. Ma main fond en direction du verre vide posé devant moi, puis le lève à hauteur de visage.
« Un autre pour moi et mon ami barman ! »
Enfin, je le lâche sur la table, puis dépose l'une de mes joue sur les phalanges de mon poing droit, mon coude étant lui-même appuyé sur la table. C'est donc avec le visage penché et un sourire encore plus grand qu'auparavant que je m'adresse cette fois au brun.
« Tu sais que tu commences à me plaire toi ? Je pensais que je m'ennuierais à mourir pour un simple contrat à signer, mais voilà que je suis divertis »
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