Chapitre 2 : La Corporation
Decay
Decay, destination de tous les possibles, terre en friche où fourmillent les possibilités et l'argent facile, où chaque vice est accessible, chaque désir libre d'être comblé. L'île prospère, se vautre dans sa propre réussite, quand l'ouragan Isaac survint, balayant sur son passage les installations des gangs comme leurs prétentions. Et un nouveau groupe émerge des brisures laissées par la tempête, la Corporation. Forte de son budget, celle-ci s'invite en sauveuse, promet à tous une aide financière et humaine, des avancées conséquentes, pour une vie meilleure. Avides de pouvoir ou simples fantoches, qui sont vraiment les acteurs de cette entité inédite qui prétend étendre son influence à tout Decay.
11/10/2020 HRP
La Newsletter est sortie ! Beaucoup de changements au programme, par ici
11/10/2020 RP
Quelques semaines après la fin de l'ouragan, la Corporation dévoile son visage ! A lire par ici
12/09/2020 RP
L'ouragan Isaac s'abat sur l'île ! Pour en savoir plus, par ici
12/09/2020 HRP
L'event Hurricane est lancé ! Vous pouvez toujours le rejoindre par ici.
27/08/2020 HRP
Nouvelle newsletter ! La lire ici.
05/07/2020 HRP
Nouvelle newsletter et nombreux changements ! La lire ici.
30/05/2020 HRP
Nouvelle newsletter en cette fin de mai ! La lire ici.
30/05/2020 RP
Un nouveau système de réalité augmentée sort au Space Station Bar ! Participer ici
5/04/2020 RP
Le Carnaval de Napoli est lancé ! Extravaganza
8/04/2020 HRP
Nouvelle newsletter ! La lire ici.
18/03/2020 HRP
Ajout des missions et petite update de l'index !
28/02/2020 HRP
Deuxième newsletter ! La lire ici.
28/02/2020 RP
La Milice redouble de violence et est plus présente sur le territoire de Decay !
31/01/2020 HRP
Première Newsletter, bébé forum deviendra grand ! La lire ici.
31/01/2020 RP
L'intrigue "Paranoïa" a été lancée ! Par ici.
17/01/2020 HRP
Ouverture du forum ! N'hésitez pas à rejoindre le Discord !
Il parait qu'une jeune fille a été aperçue allant dans les égouts. Depuis, elle n'a plus donné aucune nouvelle d'elle. Une nouvelle victime des monstres vivant dans les égouts ?Une vingtaine de serpents en liberté auraient été aperçus sur les Docks. La Triade en sueur.On déplorerait trois morts suite au dernier barathon de la rue de la soif.À Kabukicho, des rumeurs sur l'affaiblissement des effectifs du clan Oni commencent à poindre. L'absence de Yokai se fait-elle enfin ressentir ou cela n'est-il que le fruit de l'imagination de quelques résidents ?Une certaine Shrimpette serait en train d'écrire une fan-fiction sur certains membres de Decay.On dit que l'ensemble du corps d'un certain mercenaire travaillant pour la Triade serait entièrement recouverts de ses nombreux crimes. Une dizaine de cadavres auraient été découverts, au cours du mois de Janvier, sur les Docks. Certains évoquent un règlement de comptes. Un tout nouveau malware parcourrait la toile, déguisé sous la forme d'un logiciel à première vue inoffensif. Il installerait une backdoor sur les machines infectées. Pour quelle raison ? Cela reste un mystère. Une femme vagabonde à la chevelure d'un noir profond et aux yeux écarlates prendrait en charge des malades et blessés au travers de Decay pour une misère, offrant une alternative médicale à celle dispensée par l'Église. Fin Janvier/Début Février, une course de rue, en pleine nuit, aurait conduit certains hommes hors des pistes. Plusieurs voitures seraient sorties de la route suite à un « conducteur fantôme ».
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Journée commençant tout juste alors qu’une partie de Decay se couchait, l’autre se réveillant, les rues n’étant qu’un amas chaotique d’individus entre deux transitions en ce jour. Tu avais reçu un appel tôt en ces premières heures, un coup de fil relativement étrange en les propos qui avaient été échangés. Un des tes hommes t’ayant raconté un récit aussi sombre que certaines de ses déviances sexuelles même s’il fallait bien ça là où tu leur interdisais toutes drogues. Tu avais plus ou moins compris qu’on avait tenté de manger une part de son corps ou qu’on avait réussi tu ne savais plus trop tellement ceci t’était paru farfelu. Les cannibales n’étaient pas rares dans les égouts, un lien où l’espérance de vie de toutes personnes s’en trouvait drastiquement réduite. Une femme de joie avait donc voulu s’offrir un petit plus sur sa personne alors que tu trouvais le tout plausible mais peut être aussi tiré par les cheveux. Tu avais toi-même certaines déviances comme tout vivant de Decay, les tiennes étant sournoisement gardées pour un cercle très privé, voir uniquement pour toi et tes victimes. Tu allais devoir composer avec cet imprévu et surtout le régler afin que ca ne se reproduise.

Tu avais donc passé quelques minutes de ta matinée à pianoter sur ce qui te servait de portable pour retrouver l’identité de la demoiselle aux potentielles habitudes carnassières si le récit de ton pion s’avérait juste. Tu avais invité la concernée à un repas à l’amiable avec ta personne pour gérer la petite crise, on ne pouvait impunément se tailler ou vouloir se tailler un morceau sur un de tes mercenaires. En temps normal, le ou la fautive aurait fini six pieds sous terres dans un cercueil et vivant bien sûr pour l’amusement de la situation mais il y avait une curiosité malsaine qui t’avait toujours attirée concernant certaines pratiques auxquelles tu ne t’étais encore livré pour l’instant. Tu en étais arrivé au point où tu avais dû réserver ou plutôt privatiser une partie d’un restaurant généralement connu pour sa qualité en Chicago, une des rares enseignes qui pouvait se vanter de vouloir concurrencer les hôtels et autres endroits de richesse de cette poubelle qu’était Decay. Ils pouvaient bien faire te faire cette fleur vu les avantages tout sauf légaux que tu avais su leur accorder. L’occasion allait être intéressante pour pouvoir tester une solution à une problématique innée vis-à-vis du masque que tu portais mais cela n’était à l’ordre du jour pour l’instant.

Ce n’est donc qu’à la nuit tombée que tu quittas ton bureau, te dirigeant en l’activité nocturne naissante vers le fameux lieu de rendez-vous en avance afin de voir certains détails avec le patron des lieux, certains biens qui t’appartenaient lui étant confiés. Tu attendais patiemment la fameuse concernée ayant toujours possédé une estime un peu plus développée pour les individus qui utilisaient leur personne comme outil principal en leur profession. L’opposé lui n’avait jamais eu le don d’attirer ton estime, vendeurs de drogues et autres… Très loin de tout ça…
Tu portais comme à l’accoutumé ces vêtements amples minus ton équipement habituel typique à celui d’un mercenaire, ce masque doré trônant éternellement auprès de ton faciès avec cette capuche et cette longue cape qui englobait ton être. Une chevelure violette finissant par se laisser entrevoir drastiquement à l’opposé de ton propre accoutrement de par la simple présence de peau, de chair humaine. Elle venait enfin d’arriver alors que tu l’accueillis à l’extérieur.

« - Mademoiselle, heureux de voir que vous avez pu vous libérer pour notre entrevue. »

Un léger signe de tête en guise de bonsoir accompagnant tes paroles, tu fis un signe de main l’invitant à passer en première, les invités d’abord tout bonnement.

« - J’ai fait privatiser un salon pour que nous soyons tranquilles afin que tout se déroule parfaitement. »

Tu espérais que tout se déroule aisément cependant n’ayant la tête en cette soirée à chercher plus que nécessaire la petite bête, à faire preuve d’une capacité très développée dans le domaine de l’homicide ou du châtiment. Il te fallait tirer cette affaire au clair sans pour autant qu’elle se sente menacée ou sur la défensive, ceci n’étant nécessaire de par le contexte, ne sachant si elle comptait se montrer coopérative.

« - D’ailleurs comment dois-je vous appeler pour ce soir ? Mademoiselle ? Lady comme votre pseudonyme professionnel le sous-entend ou encore d’une autre façon ? »

Tu étais doux voir mielleux mais tu espérais qu’elle sache saisir cette opportunité, tu savais très bien montre les crocs quand cela était nécessaire.
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Tu avais eu un petit souci avec un de tes clients réguliers, il t’avait envoyé moins que la somme convenue. Le plus gros souci c’est que ce n’était pas la première fois. Tu n’aimes pas spécialement qu’on te “baise” en générale c’est toi qui baise et c’est tout ça qui fait que tu es bonne dans ton métier et que ton antre de la débauche ne désemplit pas. Tu avais déjà tenté de corriger ce petit défaut, en usant de frustration et de quelques menus tortures mais ça n’avait visiblement pas servi de leçon à cet homme. Il fallait donc sévir encore, tu récupérerais ton argent quoi qu’il en coûte. Il te fallut un petit moment de réflexion pour définir quoi faire pour qu’il imprime qu’il te devait une soumission absolue. Tu avais finalement opté pour un prélèvement en chaire, ainsi il serait marqué et mutilé à vie. Tu avais choisi un morceau tendre de la cuisse qui ne devait pas l’handicapé plus qu’une boiterie, ainsi il pourrait toujours faire son boulot quoi qu’il serait moins habile en course à lui de s’adapter à sa nouvelle condition.

Suite à quoi tu avais été contacté par l’employeur de ton client. Tu peux comprendre que ça le fasse doucement chier que tu payes une tranche de lard dans ses porcs sans le prévenir au préalable. Néanmoins, c’est toi la plus lésé dans l’histoire. Tu avais certes grignoté le monsieur en insistant bien pour qu’il te regarde faire, mais tu aurais voulu que ça se passe autrement. Tout ce que tu voulais c’est qu’on respecte les engagements qu’on prend avec toi, rien de plus ! C’est relativement agacé que tu es allée te changer abandonnant volontairement un client au milieu de sa séance. Tu reviendrais le libérer à la fin de ton repas avec une petit récompense, il n’en prendrait qu’encore plus son pied.

Tu te vêtis de façon à cacher un minimum ce que la décence veut qu’on cache quand on est en publique. Tu portais un t-shirt noire composé de tulle et de dentelle au manche longue, la dentelle couvrait efficacement tes mamelons pour le reste on voyait ta peau en transparence et on avait pas besoin d’être très futé pour constater que tu n’avais pas de soutien-gorge. En bas tu avais un shorty taille haute par dessus un bas en résille et une paire de louboutin. Tu arrivais sur place à l’heure dite, pas en avance, pas en retard juste pile à l’heure. Tu avais rapidement attaché ta tignasse violette en une queue de cheval haute et mis une paire de lunette solaire en forme de cœur totalement kitch.

Tu retirais les lunettes et toisa l’encapuché de tes yeux noir et rouge avant de sourire.

- Trop mignon, je dîne avec la mort en personne, si votre arme favorite c’est la faux je vais mouiller ma culotte.

Tu basculais ton poids sur l’une de tes jambes, envoyant tes hanches dans un côté pose de mannequin, tu croisais les bras tout sourire. Deux dominants qui se faisait face, clairement il avait pas l’aura d’un soumis ou alors il te surprendrait beaucoup. Mais en générale ton instinct ne te trompe pas sur ces choses là. Il a fait privatiser un partie du restaurant juste pour vous, tu serais touchée en temps normal, mais vous aviez ici un petit différent tu te demandais si ce n’est pas une embuscade. Mais joueuse comme tu étais tu ne pouvais refuser de te prêter au jeu. Tu te glissais devant lui pour pénétrer dans le restaurant qui avait assez bonne réputation, tu avais une démarche féline et élégante. Tu te stoppas au milieu de la porte.

- Lady se sera très bien, milord.

Tu n’avais que faire de comment l’appeler, il héritera du titre de milord pour la soirée. Tu entras ensuite impatiente dans le restaurant, elle aime les bon repas et les bonne chose de façon plus généralisé.
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La décrivant de haut en bas d’un regard toujours aussi morbide de par ces faux traits, tes vrais yeux eux ne trahissant une envie ou une réaction d’étonnement, juste une pure neutralité. Il était possible d’avoué que son code vestimentaire était en accord sans doute avec ses préférences à elle, le tout reflétait parfaitement bien le genre de profession qu’elle exerçait quoi qu’il manquait une certaine touche pour renvoyez à ses potentielles tendances cannibales et sadiques. Sa première phrase eut le don dès lors de t’arracher un petit sourire sous cet or inamovible, du moins la toute première partie, la seconde aurait pu être considérée de trop. Encore fallait il que mademoiselle n’ait pas oublié cette fameuse culotte comme son soutien-gorge. Tu la trouvais des plus enjouées ne sachant s’il fallait mettre tout ceci sur une totale insouciance de sa part ou alors un certain courage vu la situation et ce dont vous alliez devoir débattre. Au moins vu son enthousiasme le tout allait éventuellement être réglé relativement rapidement, du moins sans empiéter sur un entretien potentiel après votre repas. Il était malgré tout possible que tu lui poses quelques questions sur sa, ses professions pour un peu mieux cerner le caractère du malchanceux qui travaillait pour toi, une double peine pouvant l’attendre selon le récit de ton invitée.

« - J’ai une certaine affection pour toutes armes tranchantes malheureusement la faux est un peu encombrante. Si vous voulez me suivre Lady. »

Ta main s’apposant en son dos, au bas de ses deux omoplates en un geste qui voulait tout bonnement l’invité à te suivre pour la suite. Ce n’est qu’après quelques pas que vous aviez fini par vous retrouver dans un salon dont la décoration pouvait quelque peu rappeler certains lieux du Dvorets. Une touche de pureté, de clarté, certaines parcelles de la pièce relativement spacieuse se voyant composé d’un marbre blanc ou d’un substitut bien plus bon marché mais visuellement plaisant. Le serveur déjà présent en cet endroit ne se fit point prier pour doucement tirer la chaise destinée à la potentielle cannibale afin qu’elle puisse prendre place confortablement. Le maître d’hôtel savait lui que tu n’avais ces exigences de luxe même s’il était toujours plaisant d’y faire goûter les invités que tu ramenais. Ce n’est qu’une fois assis que tu repris la parole alors que la carte ne tarda à arriver avec la proposition d’un éventuel apéritif.

« - Si vous pouvez trouver cela étrange je vous rassure il est tout à fait normal de voir seulement les entrées sur cette carte, j’ai pris les devants et je vous réserve un plat principal qui vous plaira sans doute. »

Observant tantôt la carte des entrées tu ne te fis point prier pour te remémorer un petit détail qui allait être sans doute vital en votre échange.

« - Vous êtres pressée ? Ou nous avons tout notre temps ? »

Tu n’avais pas spécialement grand-chose à régler en affaires ce soir mais de par le travail de ton interlocutrice, tu ne doutais que sa clientèle devait être des plus nocturnes. Tu étais plutôt d’humeur généreuse pour l’instant là où en temps normal tu t’en serais parfaitement fiché que celle qui répondait au surnom de Lady Framb’ puisse exercer pour ce soir ou non son activité. Tu comptais malgré tout vouloir un peu lui forcer la main afin que vous puissiez discuter pleinement de cet accident, il était toujours bon de pouvoir garder longtemps sa cible sous la main en ce genre de situations. D’humeur joueuse en plus vu le peut qu’elle avait su t’offrir de par son langage corporel, elle n’allait dire non du moins tu le supposais.

« - Un vodka martini pour moi et j’allais oublier, je vous invite donc faites-vous plaisir Lady. »

Tu étais cependant des plus curieux concernant son caractère, indifférente face à la menace que tu pouvais représenter voir même joueuse. Tu avais toujours eu l’habitude que l’on témoigne une certaine appréhension ou peur te concernant. Pour l’instant il n’y avait rien de cela, soit elle cachait relativement bien ses émotions, le verni étant majestueux et épais ou alors était elle du genre à jouer avec le feu. Pour certains la douleur pouvait être une source de plaisir en l’infligeant ou en la ressentant, tu étais plutôt convaincu qu’elle préférait l’infliger que la subir.
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Il t’avait pris au sérieux quand tu as parlé de la faux, tu es très amusée sur le coup et finalement intéressée par sa réponse.

- Je peux comprendre, j’ai un arsenal conséquent d’objet pour les pénétrations et certains sont vraiment pas pratique !

Parler de ton travaille ne te pose aucun problème, mais vraiment aucun. Tu es totalement en accord ce que tu es, ce que tu fais et comment tu le fais. Beaucoup seront clairement mal à l’aise avec ça. Ils te verront aussi comme une personne peut-être moins intelligente car tu use de ton corps pour gagner ta vie, ô les mannequins c’est très beau mais c’est un peu con-con sur les bords, suffit de voir les discours au concours de miss… Mais les gens peuvent bien te mépriser pour ce que tu es tu t’en moque, tu es mieux payée qu’ils le seront jamais ! Tu te sens finalement bien supérieure à toutes ses personnes qui ont un boulot commun et lamentable qu’ils n’aiment pas.

Il a posé sa main dans ton dos et clairement tu es pas habituée à ce qu’on la mette aussi haute ! Tes clients ne se gênent pas te mettre la main au cul ou au niveau du bas du dos pour les plus timides. La violence de la pureté de ce geste te fait sourire d’autant plus. Tu es donc guidé à l’intérieur du restaurant et ce que tu vois t’émeus, l’endroit est presque aussi classe qu’un grand restaurant. Tu aimes beaucoup la décoration, tu te sens encore plus lady et tu adores ça. Tu estimes mériter ce qui se fait de mieux et il vient clairement de te régaler, tu te met à sautiller légèrement. Bien entendu tu as l’habitude de fréquenter ce genre d’endroit mais ça ne t’empêche pas de toujours t’émerveiller et d’exprimer ta joie.

- Si j’avais su que c’était si beau j’aurais mis une robe de soirée. Je me sens un peu pretty woman.


On t’a même tiré ta chaise quoi de plus merveilleux ! Tu t’installe confortablement venant croiser les jambes sous table et tu viens effleurer la jambe de monsieur une fois qu’il est installé.

- Pardon, déformation professionnel !


Tu tousse en reculant légèrement pour ne plus mettre tes pattes dans les siennes, tu n’es pas là pour ça. Tu te saisis de la carte qu’on te tend pour en effet constater qu’il n’y a que des entrées sur cette dernière. À l’entendre il a prévu quelque de particulier pour le plat principal, tu vas de surprise en surprise avec cet homme, mais ça ne te déplaît pas. Tu hésite un peu pour l’entrée mais tu es presque sûre de choisir un tartar de thon, tu adores la douceur de la chaire qu’on écrase sur le palais et qui fond presque tout de suite dans un goût subtile de citron et d’iode. Tu n’as pas de montre sur toi, ton téléphone est néanmoins dans ta poche mais tu n’es pas le moins du monde pressée.

- J’ai tout mon temps, mon client a réservé pour la nuit il est actuellement en train de mariner ! Quand je reviendrais j’aurais qu’à le cueillir et il demandera grâce s’il s’est endormit.


Tu eus un frisson à cette l’idée. On vient te demander ce que tu veux boire en apéritif et tu opte pour ta boisson favorite.

- Vous être trop généreux milord ! Un bloody mary pour moi, merci chaton.

Tu appelle chaton tout ce qui te semble innocent et pur c’est à dire une grande majorité des gens..
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Une robe de soirée ? Il est vrai que malgré ton propre accoutrement très impersonnel et surtout tout sauf dans l’air du temps en matière d’esthétique, tu te fichais généralement de l’accoutrement de tes interlocuteurs pour peu qu’ils ne ressemblent à des clowns. En soi tu n’avais pas été dérangé par sa propre tenue à elle qui se contentait non pas du minimum mais d’être relativement très simple, tu n’avais porté plus d’attention que cela au fait qu’elle portait de soutien-gorge, juste de quoi penser une ou deux remarques. Tu ne pouvais nier cependant qu’une robe de soirée était inévitablement plus belle que bien des tenus mais là n’était pas le sujet du soir. Tu n’avais pas relevé dans un premier en parallèle le contact de sa jambe auprès de la tienne, non pas dérangé, intimidé ou quoi que ce ne soit par cela. Tu avais toi-même souvent une certaine façon de jouer de ton tact auprès des autres même si dans la majorité des cas cela était là pour les mettre mal à l’aise, les déstabiliser. Tu avais très vite compris qu’avec elle chaque moment où tes mains finiraient sur elle, cela ne serait que satisfaction ou indifférence pour sa personne. Tu appréciais malgré tout le fait qu’elle t’impose à t’adapter d’une toute autre façon cela était un changement rare et plaisant.

Tout votre temps ? Tu étais comblé par cette réponse, tu n’aimais devoir manger trop rapidement et pour étudier la problématique qui vous liait pour l’instant rien de mieux que profiter de précieuses minutes sans avoir à se presser. Tu n’avais que doucement relevé la tête lorsqu’elle utilisa le mot de milord pour te désigner le serveur partant chercher vos apéritifs alors que tu étais encore indécis sur ta propre entrée. Tu profitas malgré tout de l’absence du pauvre jeune homme pour reprendre la conversation avec mademoiselle.

« - Je dois avouer que comme profession la votre est avantageuse, pouvoir s’occuper de son client comme vous le voulez et le délaisser un moment s’il faut. Vous finirez quasiment toujours par être payée. »

Quasiment, tu avais choisi cette expression pour faire référence au fait que dans sa carrière elle devait avoir déjà rencontré des mauvais payeurs. Il est vrai qu’elle disposait néanmoins d’une grande liberté en son job. Tu te permis de la titiller d’ailleurs afin de voir sur qui tu étais réellement tombé.

« - Concernant cette déformation professionnelle, je vous conseille de ne pas tenter les yeux doux en parallèle. Vous n’en tirerez rien et si par miracle cela accouche de quelque chose, je doute très fort que vous accepteriez et apprécierez de vous retrouver à la place de vos clients. »

Il y avait bien un faciès sous ce masque, des émotions, des besoins mais le tout était bien trop vicié, bien trop travaillé par un étrange vécu. Il n’y avait plus d’humanité et autres facteurs affectueux, il ne restait que manipulation et une rare perversion, déformation pour tout. Aucun de tes hommes ne t’avait vu en présence d’une femme plus que nécessaire professionnellement et tout ceci n’avait qu’une explication, une explication relativement macabre qui ne s’était ébrutée. Des espèces avaient pour habitude de sacrifier le mâle après un accouplement en ton cas la situation était différente généralement…

Le serveur revenant dès lors avec vos commandes, tu le laissas poser les verres sans toucher au tiens malgré tout. L’homme se plantant à vos côtés demandant si vous aviez fini de choisir vos entrées. Tu laissas mademoiselle commander en premier, ta propre voix synthétique ne s’élevant qu’après afin de concéder au serveur ton choix.

« - Votre saumon en Ceviche. Vous voudrez du vin avec vos plats par la suite Lady ? »

Autant ne pas faire les choses à moitié et profiter de ce restaurant, le moment fatidique allait approcher, celui de parler de votre différent même si pour l’instant tu avais apporté un intérêt pour son travail. Tu avais un tant soit peu du mal à comprendre le plaisir à ressentir de la douleur des autres, ayant toujours eu l’habitude toi de te repaître de l’inverse. Tu ne pourrais te complaire de voir une personne envieuse en quelque sorte de souffrir même si cela te donnerait de quoi repousser tes limites. Le travail de Framboisine devait prendre en compte une limite à ne pas franchir pour assurer une sécurité mais toi, tu n’aimais te retrouver menotté par des obligations. Ton plaisir était à sens unique pour que tu puisses apprécier quoi que ce soit, on te voyait comme un être précautionneux et qui sait excentrique de par ta tenue mais si seulement savaient ils ce qui sommeil. Est-ce qu’entre deux entités voraces à leur façon mademoiselle allait elle un tant soit peu percer le caractère de la chose que tu étais ?
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La robe n'était pas vraiment pour lui plaire mais pour te plaire à toi-même. Vous n'étiez à la base pas ici pour vous plaire mutuellement ! Pas que tu ne te sentes pas belle, mais tu aimais t'apprêter en fonction de la situation et là, c'était un moment robe de soirée à ton avis. La tenue de ton comparse est dans un ton assassin's creed et victorien et tu aimes beaucoup ce qui est victorien. C'est sombre mais classe à ton humble avis. La tenue combiné au masque une tendance mangemort. Le tout faisant qu’il dégageait une aura intense, calme et dangereuse… un peu comme la mort elle-même et qui dit : tôt ou tard tu passeras sur le file de ma lame. Vous êtes bien installé à vos places tu poses la carte à côté de ton assiette, définitivement tu prendrais un tartare de thon. Pourquoi du thon, plus que du saumon ? Pour sa couleur un peu plus sanguine.

Le métier que tu exerces ce n'est pas juste deux claques qu'on met sur le cul puis une sodomie et salut on passe au client suivant ! C'est un travail de longue haleine, tu dois plonger ton client dans son rôle de soumis, jouer avec ses besoins et envies, flirter avec les limites sans les dépasser. Et surtout le garder sous ton emprise, il ne faudrait pas qu'il aille voir ailleurs ! Tu fais d'ailleurs signer des contrats qui n'ont certes pas de valeur juridique mais qui les lies à toi, l'une des clauses étant qu'il n'avait pas le droit de butiner d'autre chatte et qu'en cas de non-paiement tu n'es pas tenue de respecter d'autres limites que les tiennes. Autant un dominant peut avoir autant de dominé qu'il le souhaite autant un dominé n'a généralement qu'un dominant. Il est plus difficile de soumettre une volonté que briser un corps.

- Il a des avantages en effet, comme dans tout boulot. Il n’y a que les morts qui payent pas, et j’ai une petite clauses dans mes contrats pour ce type de déboire.

Ton sourire s’élargit tandis qu’il te faisait comprendre qu’avec les yeux de biche ou de cocker ne marcherait pas. Tu n’avais même pas ne serait-ce qu’imaginé que les yeux doux aurait fonctionné sur lui. Tu ris donc avec une certaine légèreté !

- Je n’ai nulle l’intention de vous regarder de la sorte. Et pour ce qui est du reste je suis ouverte à tous les plaisirs, bien que j’ai de forte préférence. Il m’est même arrivée de tester mes prestations sur moi-même avant de les faire subir à d’autre, je suis assez pointilleuse sur ces choses là.

Tu te redressais légèrement sur ta chaise en te penchant quelque peu vers lui, offrant sans doute une belle vue à l’intérieure de ton t-shirt. Tu plongeais tes deux billes noires et rouges qui te servais d’yeux dans les siens avec beaucoup de sérieux.

- L’idée c’est de tenir son homme au bord de l’orgasme le plus longtemps possible, ainsi il vie sa jouissance comme un moment de grâce. Grâce que je suis la seule à pouvoir apporter.

Vous aviez autant de point commun que de différence. Si lui avait une prestance calme et froide, la tienne était lourde et chaude, il était une ombre et toi une lumière. Un peu spéciale comme lumière m’enfin. Autant lui il pourrait se fondre et disparaître dans une foule autant toi pour ne pas te voir il faut être aveugle. Néanmoins vous étiez semblable dans votre rôle d’alpha. Deux alphas peuvent très bien coexister, à partir du moment où les règles sont bien établis. Chez les loups il y a même un mâle et une femelle alpha, essentiellement pour la reproduction, mais on peut pas dire que la chose soit parfaitement impossible. Le serveur revient avec ton bloody mary et le martini de monsieur, lui par contre tu te gênais pas pour lui faire les yeux doux alors qu’il reprenait ta carte.

- Un tartare de thon je vous pris, et votre meilleur blanc sec ! Merci, chaton.
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Reposant la carte de ton côté alors que tu écoutais avec une certaine attention ses propos. Tu fus quelque peu curieux concernant les mauvais payeurs et tout particulièrement les morts. Une clause ? Tu te demandais bien de quoi il pouvait s’agir, tu avais déjà eu des clients mauvais payeurs aujourd’hui six pieds sous terre mais des clients décèdes entre le début et la fin du contrat… Un cas de figure à prévoir. La suite eu cependant le don d’un tant soit peu t’étonner, la décrivant du mieux que tu pouvais, tu te voyais mal en ton cas tester sur toi-même certaines façons de faire parler quelques individus. Ton corps était ton outil et il devait être en un très bon état à la même image qu’une prostituée se devait de prendre soin d’elle mais en des finalités différentes. Tes pupilles ayant fini de balayer son derme offert à ta vue tu ne voyais à première pourtant la quelconque marque d’une cicatrice, d’un bleu ou tout autre signe d’une blessure les formes étant multiples selon l’origine. La suite fut un peu plus intéressante ou amusante d’un point de vue extérieur alors que la description plus précise de son travail fit doucement sourire l’être que tu étais.

Il aurait suffi de remplacer quelques mots par d’autres pour décrire ta propre profession en certains de ses aspects. Tu attendis patiemment en ton cas que le serveur finisse de prendre vos commandes, une seule parole se faisant ouïr de ta part avant qu’il ne reparte.

« - De même pour le vin concernant l’entrée. »

Ce n’est qu’après quelques secondes que tu entendis de nouveau la porte se fermer non loin de vous indiquant que vous étiez de nouveau en tête à tête. Tu attrapas d’une main ton vodka martini, déposant de l’autre hors du verre la fameuse olive au bout de son morceau de bois. Tu répondis ceci à son attention en un premier temps sans plus te concentrer sur sa personne que nécessaire.

« - Je me demande jusqu’où il vous arrive de pousser le vice car à en voir votre corps sous ce haut vous n’avez dû tester grand-chose qui laisse de trop grandes marques. »

L’observant de nouveau tu ne voyais toujours la moindre cicatrice auprès de sa personne alors que tu ne concevais toujours pas le plaisir de certains à être ainsi molesté. Il était nécessaire d’avoir de tout pour faire un monde mais la compréhension de cette répartition t’échappait sur bien des points malgré une ouverture d’esprit des plus prononcées. Tu vins à ton tour un peu plus te pencher vers elle les coudes un peu plus avancés sur cette table, ton regard morbide ne quittant le sien.

« - L’idée de ma profession pour quelques missions est de tenir sa proie, de la briser sous tous les aspects de tant de façons en lui faisant miroiter la possibilité de s’en sortir. Parfois la cible finit même par penser que si elle collabore elle sera sauvée. Offrir ce que je désire devient la seule et unique façon de s’en sortir pour le ou la pauvre mais la réalité en est plus décevante. »

Il y avait beaucoup de variantes en ce que chacun de vous avait exposé mais il y avait une constante précise qui était celle de malmener un quelconque individu. La seule différence est qu’elle apportait et en tirait du plaisir, en ton cas tu en éprouvais aussi mais la finalité était tragiquement différente.  

Ce n’est que par la suite que tu vins de nouveau instaurer la distance qui existait avant entre vous. Tes doigts se glissant contre la partie inférieure de ton masque là où se trouvait la mâchoire. Tu y exerças une légère pression, cette parcelle se désolidarisant, dévoilant partiellement ton faciès. Une partie guère utile pour identifier qui que ce soit, tu en profitas pour dès lors te désaltérer de ta boisson alcoolisée avant de replacer la moitié dorée à sa place originale. Tu avais quelque peu modifié ce précieux outil de ton apparence pour y incorporer de nouveaux dispositifs comme celui-ci. Au mieux avaient elle pu voir des lèvres des plus normales et une barbe de quelques jours. Tu avais pris le soin de ne lui adresser la parole en ce moment, mademoiselle n’aurait droit qu’à ta voix artificielle comme tout le monde.

« - Mais nous avons assez parlé de nos professions respectives, je ne suis pas là pour vous mettre l’eau à la bouche concernant des méthodes de torture. Pouvez vous me raconter le pourquoi du comment qui fait que nous en sommes là ce soir ? »

Il est vrai qu’il restait encore toute cette histoire à élucider de ton côté et surtout le fait qu’il allait être nécessaire de trouver un compromis. Tu n’espérais avoir à montrer les crocs plus que nécessaire ou alors à enfoncer tes griffes, tes serres glaciales pour la lacérer.
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Vous aviez tous deux commandé votre plat et il prit la même chose que toi en matière de vin pour aller avec l’entrée. Enfin la même chose c’est un bien grand mot car tu ne connais pas forcément bien le vin tu sais néanmoins qu’on ne accompagne le poisson de vin blanc et la viande de vin rouge. La base, rien de folichon ça permettait en générale avec de riche client de passer pour une personne s’y connaissant un minimum. Quoi qu’il faut reconnaître qu’on ne t’engage en générale pas pour ça, mais ça leur fait une bonne surprise. Tu sirotais doucement ta boisson en regardant le serveur disparaître derrière la porte des cuisines. A peine avait-il passé la porte que ton hôte vient mettre en doute ta parole et tu l’interprétais aussi d’une deuxième façon qui est : vous avez une peau sublime. Tu souris et vient remonter ta manche avant de poser ton bras sur le table pour montrer de petites cicatrices au niveau de ton poignet.

- La vaseline fait des miracles sur les cicatrices, j’ai testé des liens en nylon cette fois là c’est certes robuste, mais ça blesse bien plus qu’une simple corde. Pour ce qui est de vous exposer le reste le tarif minimum est de 5000$.

Tu revenais prendre ton verre de cocktail tandis qu’à son tour il se penchait vers toi pour t’exposer sa façon à lui de travailler. Tu l'écoutais avec attention un petit étincelle macabre naissant dans tes yeux. Tu viens tendre le bras pour effleurer son cou du bout des doigts sans chercher à le démasquer ou autre, tu n’avais que faire de ton identité c’était même bien plus amusant de ne pas savoir qui était là devant toi.

- Ce doit être divin de lire dans leur yeux la désillusion, la trahison et le désespoir quand ils comprennent qu’en fait ils n’y survivront pas.

Tu retirais rapidement ta main en revenant t’asseoir correctement dans ta chaise une fois ce petit échange “intime” terminé. Il vient ensuite te demander quelques explications quant à la raison de votre rencontre ce soir. Ton visage se fit alors plus sérieux alors que tu sortais ton téléphone, tu pianota rapidement sur ce dernier avant de lui tendre ouvert sur une page contenant le contrat de son homme que celui-ci avait signé il y a bien longtemps maintenant.

- Je suis une femme patiente, ce n’est pas la première fois que votre ami essaye de me rouler. Je demande les paiements après la séance pour ne pas avoir à gérer un remboursement en cas d’annulation de dernière minute, je ne prends pas mes clients en otage, par contre mes tarifs sont non-négociables ! Tout cela est stipulé dans le document que vous avez sous les yeux, j’ai même une vidéo de lui lisant le contrat, je le fais pour cache client, ils ne peuvent pas dire qu’ils ne sont pas au courant des termes du marché. Il a donc en son âme et conscience cherché ce qui lui est arrivé.


Et afin d’en faire un exemple pour que d’autre ne s’amuse pas à reproduire le même schéma tu avais filmé la petite séance de “torture” que tu as coupé avant la partie cannibale et envoyé à tous tes clients en guise d’avertissement. Ce que tu nommais torture c’était simplement l’outre-passage des limites que vous aviez convenu de ne pas dépasser ensemble, rien de bien méchant mais néanmoins quelque peu traumatisant pour lui. Et au traumatisme tu as ajouté une petite séance de cannibalisme, il n’est pas près d’oublier qu’il ne faut pas s’amuser à te défier. Car tu sais bien ce qu’il désir et tu sais aussi très bien que leur fait peur, ce qu’il n’aime pas et ainsi tu sais où appuyer pour faire très mal !
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Au goût de sang | ft. Framb' XcR4gdl 48 Lui même. Directeur de l'entreprise de mercenariat « Bellone » Pas tout suite merci.
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Les cicatrices, tu n’avais jamais eu la moindre priorité concernant la cicatrisation de ces phénomènes. Tu avais beau gardé jalousement les traits de ton enveloppe charnelle, tu conservais aussi chacune de tes cicatrices comme un trophée. Bien des meneurs refusaient de suivre leurs hommes mais toi tu n’hésitais point ce qui t’avait d’ailleurs voulu quelques blessures. On n’assurait sa domination sur une meute sans prendre autant de risques que celle-ci. Tu aurais pu t’étouffer cependant lorsque mademoiselle évoqua ses tarifs, et dire que la torture pouvait être gratuite pour peu que l’on se mette dans certaines situations complexes. Il n’y avait juste pas d’acte sexuel en l’alternative à laquelle tu pensais présentement. Il est vrai que sa profession à elle ne permettait pas de goûter aux mêmes plaisirs que la tienne, les finalités étaient différentes et la douleur qu’il était possible d’infliger des plus variables. On ne cherchait à tuer en son travail contrairement au tien où il était très rare d’en ressortir et encore plus en un seul morceau. Tu n’avais offert plus d’attention à mademoiselle par la suite de par le léger contact qu’elle se permit et ses propos, elle ne savait pas ce qu’elle manquait mais tu étais trop concentré sur votre entrevue et sa principale raison pour l’instant.

« - 5000$ pour se faire malmener et n’avoir quasiment pas son mot à dire parfois je ne comprends pas ce côté de la nature humaine… »

Un léger commentaire alors que ta voix synthétique devait amplifier ta consternation ou plutôt ton dépit. Tu penchas doucement la tête même s’il n’était possible de voir qu’est ce que tes yeux observaient à travers ce faciès artificiel. Il était tant d’entamer les choses sérieuses et de répondre à ce sujet épineux qui vous concernait. Tu lisais tantôt le contrat sur le téléphone de ton interlocutrice pour la décrire par la suite à son tour.

« - Je conçois très simplement qu’entre un client et un prestataire leurs liens sont uniques et privés mais dans le cas d’un de mes hommes fautifs cela est plus complexe. Il est parfois mieux de s’adresser à son employeur qui saura s’occuper de lui comme il faut. »

Vu le caractère de la femme en face de toi, tu ne te doutais point qu’elle aimait se faire justice soit même en certaines situations. Une justice qu’elle avait exercée, tu ne savais encore quoi faire du nouveau boulet que tu allais devoir traîner en ton entreprise. Se débarrasser de lui ou alors au meilleur des cas le convertir en formateur, chose qu’il pouvait refuser.

« - Je suppose que si vous l’avez laissé tranquille par la suite c’est que vous avez estimé que cela suffisait ? »

Tu le supposais, elle devait avoir énormément de clients et ces tarifs pour une seule et unique personne devait lui permettre de vivre très aisément. En secret aussi après cette simple annonce tu ne te voyais la rembourser d’une somme des plus importantes, cela pouvait être une goutte dans tes finances par rapport à certaines opérations mais tu n’aimais les écarts surtout les plus imprévus…

« - Je pourrais vous offrir éventuellement autre chose qui suffira amplement si vous estimez encore être l’aisée mais je compte sur vous pour ne pas abuser de ce que je peux vous proposer. »

Il serait normal de pensé que tout ce qu’elle avait fait à cet idiot était suffisant pour elle mais tu ne connaissais pas encore assez bien son caractère. Un moment de réflexion sur la compensation que tu étais apte à lui offrir, c’est sur cela que le serveur arriva avec vos commandes, un énième aller-retour de sa part s’en suivant pour apporter le précieux vin. Tu avais dénié le goûter confiant de son choix là où pour toi le plus intéressant n’était pas le diné en lui-même. Tu avais qui sait trouvé une alternative au fait de licencier ton homme mais cela allait déprendre de mademoiselle et de ses futurs réponses. Là où la situation a l’origine avait piqué ta curiosité tout ceci avait qui sait eu le don de s’inverser vu ce que tu lui proposais. Un homme comme toi était plein de ressources pour le meilleur et surtout pour le pire.

« - Bon appétit Lady. »

N’ayant encore touché ton plat en ton cas, tu étais plus curieux de ses futures réponses qu’autre chose. Se sustenter pouvait encore attendre tant que tout n’était pas réglé.
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Et 5 000$ ce n’était pas ce que tu pouvais faire de plus cher. Pour le client qui est actuellement chez toi à attendre que tu daignes lui porter de l’attention et bien y en a pour au bas mot presque 15 000$ de prestation. Un grand nombre de tes clients sont hauts cadres, PDG ou dans des domaines qui demandent de prendre en permanence des décisions plus ou moins importantes. Ils sont tout le temps stressés, entre tes mains, ils n’ont plus besoin d’être sans faille. Ils ne réfléchissent plus, tu fais tout pour eux ! Tu leur dis : quoi manger, quoi faire, quoi boire et même quand jouir. Puis chez toi ils ne risquent pas de mourir pendant la séance, vu que tu y fais attention, ils ne se mettent pas réellement en danger. Tes clients ne veulent pas flirter avec la mort en se mettant dans des positions délicates. D’ailleurs, ils ont des réputations à entretenir, tout ce que tu fais avec eux ce fait dans la plus grande des discrétions juste entre eux et toi. Si on venait à apprendre que tel ou tel individu fait appel à tes services, ça pourrait nuire à leur carrière mais aussi et surtout à ton business. Tu fais une moue un peu boudeuse un peu blessée par ses mots, en quoi ton travail ne mériterait pas une tel somme ? Comment mieux lui exposer la chose pour qu’il comprenne les sommes que tu demandais. Une petite idée assez amusante effleura ton esprit toujours très prolifique en matière de sexe.

- Je pourrais vous inviter à regarder une séance un de ces jours. Le voyeurisme excite certaine personne et ça ne dérange pas de vous exposer mon art. Vous pourrez mieux comprendre la perversion qui entoure ma personne.

Peut-être qu’être vue t’excitais... en fait c’est presque sûre, tu fais des films pornographiques pas uniquement pour devenir célèbre l’idée que des gens regardent ce que tu fais t’émoustille un peu. Tu attires presque autant de regard fiévreux que de haine, du moins quand on connaît qui tu es et ce que tu fais.

Les sujet qui fâchent sont finalement posés sur la table. Il n’est pas content que tu ais fait ce que tu as fait à son employé. Ton sourire s’efface un peu, mais tu l’écoutes. Il voudrait qu’en ce qui concerne ses employés tu t’adresse à lui avant de les punir. Tu dois rester une figure d’autorité pour tes clients, le donjon est ton domaine, ton royaume… tu y règnes sans partage. Tu soupires contrariée plus par le boulot que ça engendre que par l’idée de la pertes de client. Tu récupères ton téléphone pour y chercher tes contacts.

- J’en ai en effet fini avec votre homme, et je l’ai bannis du donjon. Je vais donc avoir un petit trou dans ma trésorerie, mais il ne me reste qu’à virer les deux autres pour éviter que nous ayons à nouveau une conversion de ce genre. Ils trouveront des prestations moins cher ailleurs et moi des clients plus riches, je peux hélas pas vous promettre qu’elles sont toutes aussi propre sur elles que moi. Et hop les mails sont partie.

Ton visage retrouve son sourire comme un rien, car virer ses personnes te rappelle que tu es celle qui décide sur ce point. Tu poses ton téléphone à côté de toi, et il se met à vibrer et s’éclairer tandis que tu l’ignore complétement. À répétition le téléphone vibre comme un corps pris de convulsion. Tu n’as aucun attachement quelconque avec tes clients, ils ne sont rien de plus que des bourses que tu vides. Tu n’avais aucun remord quant à ce que tu venais faire, alors qu’eux se sentait assez affolé par ta perte pour se lancer dans un petit harcèlement téléphonique.

- L’aisée, oui un peu, mais je ne peux pas vous promettre d’être sage si je ne suis pas au courant de ce dont il s’agit.


Tu affiches un petit sourire taquin en lui répondant. Tu ne fus pas mécontente de voir arriver les plats et le vin.

- Bon appétit, milord.

Tu commenças à prendre de petites bouchée de thon appréciant la délicatesse de la viande cru sur ta langue et ton palais. Après trois bouchée ou quatre bouchée très lentement avalée tu pris une gorgée de vin après le sexe rien n’est plus agréable qu’un bon repas.
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