Cupidon
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Un esclave pour la dame ft Lady Framb.
Sam 6 Juin - 7:48
Une demande particulière avait été adressé à Cupidon. Kidnapper un homme pour en faire en esclave pour une certaine dame. Cette dame avait contacté directement Cupidon, elle avait entendu parler de lui par un de ses clients ayant survécu au jeu de Cupidon. Le fameux jeu où il tue quasiment tout le monde, mais ce client avait réussi à démontrer de l'amour avec la deuxième victime. C'était faux, mais ils avaient réussi à convaincre. Ce client avait d'ailleurs découvert son goût pour la soumission grâce à notre Cupidon. Framb avait donc contacté Cupidon par un moyen détourné, ce n'était pas facile d'entrer en contact avec lui, vu qu'il était soit dans les égouts, soit en chasse. C'était pour ça qu'elle avait envoyé ce client au casse-pipe, envoyant un de ses "amis" délivré le message. Cupidon l'avait repéré dans les égouts, capturé. Il avait eu le temps de lui donner le message de la dame avant de mourir étrangler sous les mains de Cupidon.
Il n'avait jamais vendu d'esclave auparavant, mais il savait comment torturer et capturer tout type de proie. Grâce à un érudit des égouts-quelqu'un qui sait écrire-, il avait laissé un message à la dame, discrètement. Il lui expliquait ce qu'il voulait en retour, et ce n'était pas de l'argent puisqu'il n'y apportait pas vraiment d'importance, mais il en avait malgré tout parce qu'il savait que ça pourrait éventuellement lui servir un de ces jours.
Toutes ses possessions personnelles, il les avait acquis sur les gens qu'il avait tué auparavant. Il gardait toutes les affaires de ses victimes et les vêtements qu'il portait était ceux de ses précédentes victimes. Rarement à sa taille, mais toujours à la pointe de la mode Neo-Atlantis. Cela dit, il avait aussi un nombre important de cartes de crédits, de chéquier et d'argent liquide. Le seul intéressant pour lui étant bien entendu l'argent liquide s'il devait s'en servir un jour.
C'était pour une toute autre raison aujourd'hui qu'il devait kidnapper un homme. Il devait être massif, docile et gentil. Il s'en contrefoutait qu'il soit gentil, docile, c'était toujours faisable de le rendre docile. Massif, c'était le plus gros problème. Cupidon n'était pas spécialement très fort lui-même et pour pouvoir transporter le corps inanimé serait compliqué seul. Il allait devoir avoir des complices, des complices venant des égouts.
Il avait trouvé sa cible. Un homme massif, accompagné d'une femme. Cupidon était seul, mais il avait les renforts qui attendaient son signal dans l'ombre, prêt à attaquer à son ordre. Cupidon allait avoir de la viande supplémentaire à offrir, vu qu'il allait certainement tué la femme aussi. Il attendait dans l'ombre la moindre ouverture afin de capturer la femme pour pouvoir attirer l'autre homme dans un piège.
Il avait réussi à capturer la femme, attirant l'homme dans son piège qui s'était refermé sur lui. Cupidon était presque attristé de séparer un couple, mais cette tristesse avait disparu quand il venait d'égorger la femme avec ses dents. Devant l'homme, bien sûr. Furieux, le futur esclave fonçait tête baissé sur Cupidon pour se venger. C'était là que les compagnons de Cupidon venaient lui tomber dessus pour pouvoir l'assommer. Le plan avait fonctionné, et ils emportèrent les deux corps dans les égouts.
Brisé psychologiquement, c'était déjà un pas en avant pour le rendre docile. Cupidon l'avait attaché dans sa pièce spécialement utilisé pour la torture. Il l'avait mis à nu. Cupidon attendait qu'il se réveille pour lui expliquer le topo.
"Tu vas devenir esclave.
- Jamais, fils de pute"
Torturons-le, Cupidon. On va devoir le rendre docile pour la dame. Cupidon était en accord avec la voix dans sa tête. Il allait alors commencer la séance de torture.
Quelques jours plus tard, Cupidon avait attaché les mains du nouvel esclave et lui avait remis ses vêtements d'origine. Il le suivait docilement, savait ce qu'il pourrait lui arriver s'il n'obéissait pas. Une livraison de nuit s'imposait, vu que Cupidon ne supportait pas la lumière. Ils avaient prévus une date et c'était pile à l'heure qu'il allait arriver. La dame avait écouté ses demandes, laissant une luminosité partielle pour qu'il puisse gardé l’œil ouvert. L'esclave suivait partout Cupidon, sans même essayer de lui tordre le cou alors qu'il en serait probablement capable.
Il arrivait finalement devant la porte de la dame et entrer sans vergogne. La politesse n'était pas le cadet de ses soucis, il s'en contrefoutait qu'elle soit seule, avec un client, nue... Il lui montrait donc l'homme massif, avec ses mains attachés.
"Voilà. Esclave. Tu es à cette créature."
Cupidon, s'il n'avait pas passé un accord, serait probablement déjà parti après ça, mais il voulait obtenir ce qu'il avait réclamé avant. Donc, il devait attendre de recevoir sa récompense.
Il n'avait jamais vendu d'esclave auparavant, mais il savait comment torturer et capturer tout type de proie. Grâce à un érudit des égouts-quelqu'un qui sait écrire-, il avait laissé un message à la dame, discrètement. Il lui expliquait ce qu'il voulait en retour, et ce n'était pas de l'argent puisqu'il n'y apportait pas vraiment d'importance, mais il en avait malgré tout parce qu'il savait que ça pourrait éventuellement lui servir un de ces jours.
Toutes ses possessions personnelles, il les avait acquis sur les gens qu'il avait tué auparavant. Il gardait toutes les affaires de ses victimes et les vêtements qu'il portait était ceux de ses précédentes victimes. Rarement à sa taille, mais toujours à la pointe de la mode Neo-Atlantis. Cela dit, il avait aussi un nombre important de cartes de crédits, de chéquier et d'argent liquide. Le seul intéressant pour lui étant bien entendu l'argent liquide s'il devait s'en servir un jour.
C'était pour une toute autre raison aujourd'hui qu'il devait kidnapper un homme. Il devait être massif, docile et gentil. Il s'en contrefoutait qu'il soit gentil, docile, c'était toujours faisable de le rendre docile. Massif, c'était le plus gros problème. Cupidon n'était pas spécialement très fort lui-même et pour pouvoir transporter le corps inanimé serait compliqué seul. Il allait devoir avoir des complices, des complices venant des égouts.
Il avait trouvé sa cible. Un homme massif, accompagné d'une femme. Cupidon était seul, mais il avait les renforts qui attendaient son signal dans l'ombre, prêt à attaquer à son ordre. Cupidon allait avoir de la viande supplémentaire à offrir, vu qu'il allait certainement tué la femme aussi. Il attendait dans l'ombre la moindre ouverture afin de capturer la femme pour pouvoir attirer l'autre homme dans un piège.
Il avait réussi à capturer la femme, attirant l'homme dans son piège qui s'était refermé sur lui. Cupidon était presque attristé de séparer un couple, mais cette tristesse avait disparu quand il venait d'égorger la femme avec ses dents. Devant l'homme, bien sûr. Furieux, le futur esclave fonçait tête baissé sur Cupidon pour se venger. C'était là que les compagnons de Cupidon venaient lui tomber dessus pour pouvoir l'assommer. Le plan avait fonctionné, et ils emportèrent les deux corps dans les égouts.
Brisé psychologiquement, c'était déjà un pas en avant pour le rendre docile. Cupidon l'avait attaché dans sa pièce spécialement utilisé pour la torture. Il l'avait mis à nu. Cupidon attendait qu'il se réveille pour lui expliquer le topo.
"Tu vas devenir esclave.
- Jamais, fils de pute"
Torturons-le, Cupidon. On va devoir le rendre docile pour la dame. Cupidon était en accord avec la voix dans sa tête. Il allait alors commencer la séance de torture.
Quelques jours plus tard, Cupidon avait attaché les mains du nouvel esclave et lui avait remis ses vêtements d'origine. Il le suivait docilement, savait ce qu'il pourrait lui arriver s'il n'obéissait pas. Une livraison de nuit s'imposait, vu que Cupidon ne supportait pas la lumière. Ils avaient prévus une date et c'était pile à l'heure qu'il allait arriver. La dame avait écouté ses demandes, laissant une luminosité partielle pour qu'il puisse gardé l’œil ouvert. L'esclave suivait partout Cupidon, sans même essayer de lui tordre le cou alors qu'il en serait probablement capable.
Il arrivait finalement devant la porte de la dame et entrer sans vergogne. La politesse n'était pas le cadet de ses soucis, il s'en contrefoutait qu'elle soit seule, avec un client, nue... Il lui montrait donc l'homme massif, avec ses mains attachés.
"Voilà. Esclave. Tu es à cette créature."
Cupidon, s'il n'avait pas passé un accord, serait probablement déjà parti après ça, mais il voulait obtenir ce qu'il avait réclamé avant. Donc, il devait attendre de recevoir sa récompense.
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Re: Un esclave pour la dame ft Lady Framb.
Sam 6 Juin - 17:23
Les confidences sur l'oreiller c'est une chose commune, tu fais partie des rares prostituées à prendre le temps de les écouter avec intérêt néanmoins. Pour ton travail c'est aussi récupérer un maximum d'information sur tes clients qui te permettront déjà de les tenir par la peau des couilles mais aussi d'affiner les plaisirs que tu peux leur donner. Celui que t'avait parlé de ce Cupidon était vraiment particulier, son histoire t'avait vraiment beaucoup intrigué. Tu avais vraiment été attentive ce soir là. Il te fallut un moment pour convaincre ton client de t'aider à entrer en contact avec son tortionnaire, mais tu y étais parvenue.
Tu avais donc "discuté" avec ce discret jeune homme de ce que tu désirais comme produit : un homme bien monté et docile voire gentil… ce qui n’était pas simple comme commande à réaliser tu t’en rend bien compte. Néanmoins à mesure de négociation tu avais réussit à lui faire accepter ce travail. Il t’avait demandé comme paiement quelque chose d’assez particulier qui t’étonna d’ailleurs et c’est bien difficile de surprendre compte tenu de ce que tu fais comme travail. Tu t’es donc préparée à le recevoir pendant un certain temps, en effet il t’avait demandé un peu de temps pour premièrement son coup de filet et ensuite pour te donner un animal docile. Tu imagines bien qu’une bête plus grosse que toi ne se gênerait pas pour te bousculer si elle n’avait pas été matée avant de t’être donné. Tu aurais pu le mater toi-même tu avais des jouets et autre engin de torture dans ton donjon, mais tu pouvais pas te permettre de bloquer ton donjon pour un type qui ne te rapporterait pas d’argent.
Tu avais acheté de la viande de qualité fraîche, choisit des films de comédie romantique qui avait reçu de bonne critique du publique. Et baissait la luminosité pour de toute les lumière même de la télé si bien que tu te serais crue changée en malvoyante. Tu l’attendais avec ton verre de bloody mary à la main, ton téléphone avait notifié que quelqu’un se tenait devant chez toi quand il passa la porte sans frapper. Tu avais laissé la porte ouverte car tu savais qu’il allait venir, cependant tu ne pensais pas qu’il entrerait comme s’il était dans un moulin… Tu dus couper rapidement ton système de sécurité pour ne pas créer la panique. Tu ne t’offusquas pas de son manque de manière, ce qui comptait pour toi c’était que ton esclave était là. Tu n’étais pas déçu de la marchandise. Il avait clairement besoin d’un bain par contre, il n’avait pas l’air très sale mais comme tu savais qu’il était passé par les égouts tu préférais qu’il en reprenne un pour être bien sûr de sa propreté.
Tu demandas donc au pseudo zombie une fois que tu l’eus guidé jusqu’à la salle de bain de se laver. Tu avais pris soin de retirer tout ce qui pourrait éventuellement servir à un suicide, tu lui apporterais des vêtements propre quand il aurait fini sa douche. Tu revenais vers ton invité :
- Installe-toi je vais lancer le film et te chercher un en-cas.
Tu contrôlais la télé avec ton téléphone lançant un film à l’eau de rose pour ton petit fournisseur.
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Re: Un esclave pour la dame ft Lady Framb.
Mar 9 Juin - 13:43
Elle avait visiblement acceptée ses conditions et s'était préparée à l'accueillir comme il se doit. Il s'était préparé à ce qu'elle ne le fasse pas, préparé à devoir la tuer pour son insulte envers lui. Mais il avait aussi gardé en tête qu'elle pouvait possiblement lui donner ce qu'il voulait et ça a été le cas. De la viande et un film à l'eau de rose. C'était une demande en somme très étrange quand on ne connaissait pas Cupidon, mais c'était ce qu'il voulait le plus: Comprendre l'amour. Le comprendre afin de finalement pouvoir trouver la personne dont il pourra aimer et être aimer.
Il ouvrait la fermeture éclair de son masque, celle devant sa bouche, afin de pouvoir manger la viande qu'on lui avait donné. De la viande d'origine inconnue, animale ou humaine, peu importait. Elle était crue, c'était déjà un bon point. Il la dévorait goulument, ne perdant pas une miette de la télévision. Le film qu'avait mis Framb semblait convenir à Cupidon. Il était rare de voir son esprit se tournait vers une seule chose et se concentrer sur celle-ci. C'était en réalité en partie faux: Il avait toujours une partie de son attention dans son environnement, prêt à déchiqueter quiconque venant le déranger durant le film. Il ne tolérait désormais qu'une seule présence: Framb. Elle seule était à même de l'approcher sans qu'il ne pète un câble, tuant probablement l’effronté qui s'approcherait. Il tournait son visage vers la dame Framb, ses dents carnassières dégoulinantes de sang de la viande qu'elle lui avait donné.
" Ma dame, ne laissait personne me dérangeait. "
Puis il retournait à son film pour ne pas en perdre une miette. Il savourait véritablement le film. Il n'allait pas en regarder qu'un seul, il espérait qu'elle avait assez de film pour l'occuper toute la nuit : Il ne dormait jamais la nuit. Il allait probablement y rester donc toute la nuit, s'enfonçant dans les égouts dès les premiers rayons de soleil. Sauf qu'elle n'avait peut-être pas prévu ça, la dame. Et qu'elle avait de fortes chances d'avoir des clients qui allaient venir la voir, vu qu'elle aussi, son travail devait certainement se passer principalement en soirée voir dans la nuit.
Cupidon s'en foutait tant qu'ils ne venaient pas le dérangeait et ne l'empêchaient pas de regarder son film. Il avait donc pris sa télévision et cette pièce en otage. Allait-elle accepter de le laisser tranquille toute la nuit ? C'était dans son intérêt, la folie de Cupidon était maintenue tant que sa soif d'apprendre l'amour était satisfaite, mais dès l'instant où il avait fini de regarder chacun des films qu'elle avait à lui proposer, qui sait ce qui pouvait passer par la tête de ce cinglé avide de tout sentiments humains. C'était ironique de sa part, de vouloir aimer, alors qu'il était incapable d'avoir ne serait-ce de la pitié pour quiconque.
Il ouvrait la fermeture éclair de son masque, celle devant sa bouche, afin de pouvoir manger la viande qu'on lui avait donné. De la viande d'origine inconnue, animale ou humaine, peu importait. Elle était crue, c'était déjà un bon point. Il la dévorait goulument, ne perdant pas une miette de la télévision. Le film qu'avait mis Framb semblait convenir à Cupidon. Il était rare de voir son esprit se tournait vers une seule chose et se concentrer sur celle-ci. C'était en réalité en partie faux: Il avait toujours une partie de son attention dans son environnement, prêt à déchiqueter quiconque venant le déranger durant le film. Il ne tolérait désormais qu'une seule présence: Framb. Elle seule était à même de l'approcher sans qu'il ne pète un câble, tuant probablement l’effronté qui s'approcherait. Il tournait son visage vers la dame Framb, ses dents carnassières dégoulinantes de sang de la viande qu'elle lui avait donné.
" Ma dame, ne laissait personne me dérangeait. "
Puis il retournait à son film pour ne pas en perdre une miette. Il savourait véritablement le film. Il n'allait pas en regarder qu'un seul, il espérait qu'elle avait assez de film pour l'occuper toute la nuit : Il ne dormait jamais la nuit. Il allait probablement y rester donc toute la nuit, s'enfonçant dans les égouts dès les premiers rayons de soleil. Sauf qu'elle n'avait peut-être pas prévu ça, la dame. Et qu'elle avait de fortes chances d'avoir des clients qui allaient venir la voir, vu qu'elle aussi, son travail devait certainement se passer principalement en soirée voir dans la nuit.
Cupidon s'en foutait tant qu'ils ne venaient pas le dérangeait et ne l'empêchaient pas de regarder son film. Il avait donc pris sa télévision et cette pièce en otage. Allait-elle accepter de le laisser tranquille toute la nuit ? C'était dans son intérêt, la folie de Cupidon était maintenue tant que sa soif d'apprendre l'amour était satisfaite, mais dès l'instant où il avait fini de regarder chacun des films qu'elle avait à lui proposer, qui sait ce qui pouvait passer par la tête de ce cinglé avide de tout sentiments humains. C'était ironique de sa part, de vouloir aimer, alors qu'il était incapable d'avoir ne serait-ce de la pitié pour quiconque.
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Re: Un esclave pour la dame ft Lady Framb.
Jeu 11 Juin - 16:11
Même si tu n’es pas très à l’aise avec les personnes qui passent leur vie dans les égouts tu peux bien faire un petit effort pour avoir ce que tu veux ! Son prix était d’ailleurs pas bien élevé voire risible pour la demande que tu as formulée, tu t’attendais vraiment à ce qu’il réclame bien plus. Il ne devait vraiment connaître le prix du marché, tant mieux pour toi ! Un film et de la viande crue c’est vraiment pas cher, tu pourrais en parler à quelques clients en les mettant néanmoins en garde de l’étrangeté du personnage et de sa possible dangerosité. Il demande à ne pas être dérangé et tu ne vois aucun problème à la lui foutre la paix personne n’aime être embêté pendant son film du coup tu vaques donc à tes occupations. T’occupant de jeter les fringues de l’esclave, de lui en apporter des nouveaux que tu avais acheté exprès en prenant Karl comme base.
Tu allais et venais oubliant presque la présence de ton invité. Après un moment tu te pose un instant pour réfléchir au nouveau prénom de l'individu qui est dans ta baignoire. Clairement, tu ne te vois pas l’appeler simplement esclave, même les chiens on leur donne un nom. Alors il aurait le siens ! Il te fallut un moment pour trouver le prénom idéal. Et c’est dans la bible que tu as puisé ton inspiration, il s’appellerait : Adam. Le premier homme et aussi le premier être à avoir aimé découvert le sexe aussi, tu trouve ça très approprié.
Tu viens t’asseoir sur le rebord de la baignoire pour lui annoncer la bonne nouvelle.
- À partir de maintenant, tu t’appelles : Adam !
Tu le regardais dans les yeux et il hoche légèrement la tête, tu supposais qu’il avait donc compris. Il quitta ensuite le bain enfilant les vêtements neuf et propre que tu lui avais donnés. Ensuite tu l’installas sur un des fauteuils du salon, tu penses qu’il n’osera jamais embêter l’Underground aussi tu lui donne un petit truc à manger et tu les laisse tous les deux devant la télé pour te préparer à recevoir la visite d’un client. Tu t’habillais de cuir noir et de “métal” t’attachant les cheveux pour ne pas être gênée.
Tu observes un instant la scène un peu surréaliste qui se passe dans ton salon, lui qui est en générale toujours remplis de gémissement, cries et soupire de plaisir. Ça te fait un peu bizarre. Ton téléphone te prévient de la présence de ton client, un peu de normalité dans cette étrange distorsion du temps et de l’espace. Tu l’amène sans t’attarder dans la pièce qui vous intéresse, soit ton donjon.
Cupidon
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Re: Un esclave pour la dame ft Lady Framb.
Ven 12 Juin - 13:05
Laisser l'esclave dans la même pièce que Cupidon, ce n'était pas forcément une bonne idée. Tant que Cupidon était concentré sur le film et que l'esclave ne faisait pas de bruit, tout devrait bien se passer.
Cupidon ne manquait pas une miette du film, analysant intérieurement chaque dialogue, chaque geste de tendresse et chaque regard. Il essayait de déterminer ce qu'était vraiment l'amour. Sentiment complexe, d'autant plus pour un homme comme Cupidon, ne sachant pas vraiment ce qu'est avoir des sentiments.
Il avait cru voir l'amour chez certaines personnes qu'il avait capturé pour les forcer à s'aimer, mais il n'était plus si sûr de ses jugements passés. Il s'était peut être tromper et ils étaient passés dans les mailles du filet ?
Non. Quelque chose clochait, quelque chose dérangeait Cupidon. Ce film, disait-il la vérité ? Arrivait-il à vraiment montrer ce qu'est l'amour ? Il n'était pas sûr que c'était vraiment de l'amour ce qu'il voyait.
Et un bruit, à côté de lui, l'empêchait de se concentrer d'avantage. Un bruit de quelqu'un qui change sans arrêt de position. Un bruit de frottement de vêtement contre le canapé. Un bruit qui devait cesser.
L' esclave. Il n'était pas tranquillement assis à côté de Cupidon, il était certainement nerveux quant au fait d'être au côté de son bourreau. Cupidon sortit son couteau, venant lui mettre sous la gorge, tout en lui fusillant du regard.
"Arrête de bouger. "
Et après ça, il se tenait finalement tranquille, paralyser par la peur. Cependant, un autre problème venait de tomber: La fin du film. Cupidon n'était pas rassasié, il avait besoin d'en voir un autre encore. Un autre film. Il ne savait pas où ils étaient rangé, il se décida alors d'aller voir la dame. Il ouvrit la porte et se trouva alors devant un spectacle qu'il ne comprenait pas.
Pourquoi ils étaient nus, pourquoi l'homme était attaché ?
Ils faisaient l'amour ? Non, impossible, il ne sentait pas l'amour planait entre eux. Il demanda alors, à Framb, tout naturellement:
"Je peux avoir un autre film ? "
Puis, il repartait en silence sur son canapé et attendait que la dame lui change son film. Il réfléchissait tout de même à ce qu'il avait vu. Peut être il aurait la réponse dans un autre film ?
Cupidon ne manquait pas une miette du film, analysant intérieurement chaque dialogue, chaque geste de tendresse et chaque regard. Il essayait de déterminer ce qu'était vraiment l'amour. Sentiment complexe, d'autant plus pour un homme comme Cupidon, ne sachant pas vraiment ce qu'est avoir des sentiments.
Il avait cru voir l'amour chez certaines personnes qu'il avait capturé pour les forcer à s'aimer, mais il n'était plus si sûr de ses jugements passés. Il s'était peut être tromper et ils étaient passés dans les mailles du filet ?
Non. Quelque chose clochait, quelque chose dérangeait Cupidon. Ce film, disait-il la vérité ? Arrivait-il à vraiment montrer ce qu'est l'amour ? Il n'était pas sûr que c'était vraiment de l'amour ce qu'il voyait.
Et un bruit, à côté de lui, l'empêchait de se concentrer d'avantage. Un bruit de quelqu'un qui change sans arrêt de position. Un bruit de frottement de vêtement contre le canapé. Un bruit qui devait cesser.
L' esclave. Il n'était pas tranquillement assis à côté de Cupidon, il était certainement nerveux quant au fait d'être au côté de son bourreau. Cupidon sortit son couteau, venant lui mettre sous la gorge, tout en lui fusillant du regard.
"Arrête de bouger. "
Et après ça, il se tenait finalement tranquille, paralyser par la peur. Cependant, un autre problème venait de tomber: La fin du film. Cupidon n'était pas rassasié, il avait besoin d'en voir un autre encore. Un autre film. Il ne savait pas où ils étaient rangé, il se décida alors d'aller voir la dame. Il ouvrit la porte et se trouva alors devant un spectacle qu'il ne comprenait pas.
Pourquoi ils étaient nus, pourquoi l'homme était attaché ?
Ils faisaient l'amour ? Non, impossible, il ne sentait pas l'amour planait entre eux. Il demanda alors, à Framb, tout naturellement:
"Je peux avoir un autre film ? "
Puis, il repartait en silence sur son canapé et attendait que la dame lui change son film. Il réfléchissait tout de même à ce qu'il avait vu. Peut être il aurait la réponse dans un autre film ?
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Re: Un esclave pour la dame ft Lady Framb.
Mer 17 Juin - 17:33
Tu ne pensais pas que les choses pouvaient mal tourner entre les deux hommes dans ton salon. Sans doute avait été un peu trop optimiste face à la situation. Tu avais laissé ton nouveau jouet avec son bourreau, tu avais la sensation d’avoir un nouveau petit animal de compagnie qui pourrait s’enfuir ou se blesser si tu le laissais seul… En bref tu étais un peu inquiète, mais tu ne pouvais pas non plus arrêter de vivre et surtout de travailler pour ça ! Après tu étais plus inquiète de perdre ta “marchandise” que du réel bien être de l’esclave. Il faut pas déconner non plus, tu n’es pas si humaine que ça autrement tu n’aurais même pas d’esclave !
Tu avais saucissonné ton client dans les règles de l’art, le travaillant maintenant au corps. Vous étiez quand même bien avancé dans la séance quand ton fournisseur ouvrir la porte sans même frapper. Pour ta part tu n’es absolument pas gênée par l’intervention du jeune homme ton client est lui peut-être moins à l’aise avec ça. Ce qui te contrarié c’était que tu avais lancé une “playlist” de film et que du coup c’était un problème surtout technique. Tu pris ton client par la mâchoire inférieur l’avertissant que si elle ne le retrouvait pas dans l’exacte position dans laquelle elle l’avait laissé il se serait, elle poussa le vice en prenant une photo de la “position” avant de rejoindre l’underground.
Tu passas une petite dizaine de minutes à régler le problème et remettant au passage une petite quantité de viande dans l'assiette de ton invité. La séance de cinéma relancé tu gratifias Adam d’une caresse dans les cheveux avant de retourner à tes occupations, bien plus intéressante à ton avis qu’un film à l’eau de rose. Tu te fis un plaisir de punir ton client qui avait malheureusement pour lui bougé et tu ne ressortis de la pièce que quatre bonne heures plus tard accompagné d’un client ravis. Il se faisait très tôt d’ici une heure le soleil se lèverait, tu rejoins les deux autres hommes dans le salon à la fin d’un film. Et lorsque celui-ci se termine tu mets pause pour pas que le suivant se lance de suite.
- Tu as trouvé quelque chose d’intéressant dans les films ?
Tu te posais à côté d’Adam qui n’avait pas bougé d’un iota depuis que tu l’avais laissé seul avec Cupidon.
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Re: Un esclave pour la dame ft Lady Framb.
Sam 20 Juin - 9:03
Cupidon essayait vraiment de comprendre. Il n'avait jamais était aussi concentré et attentif sur une seule tâche, c'est à dire, regarder le film. Il décortiquait chaque parole, chaque mouvement, chaque regard, chaque sourire... Tout ce qui se passait sous ses yeux passait sous son analyse. Il devrait certainement regarder plusieurs fois chacun de ses films pour essayer de bien tout comprendre.
Il avait remarqué une chose cependant, à chaque fois, ces films finissaient bien, avec une fin heureuse. Ça le réconfortait dans l'idée qu'il voulait connaître l'amour. En fait, il ne savait pas vraiment ce qu'était être heureux, il ne se souciait pas vraiment de son bien-être. Il vivait juste à sa façon, restant au service de son père à la moindre de ses demandes. C'était d'ailleurs la seule personne à qui Cupidon tenait.
Alors, quelles leçons avait-il tiré de ces films ? C'était vraiment une question intéressante auquelle il je savait guère y répondre réellement, il a absorbé une quantité importante d'information et il devait y réfléchir bien plus longuement pour les digérer et les comprendre réellement.
Il répondit à la dame cependant, du mieux qu'il a pu.
" J'ai appris que c'est bien ce que je veux, pouvoir aimer."
C'était là tout son problème à Cupidon. Il n'éprouvait rien, aucun sentiments. C'est un être insensible et impitoyable, prêt à tout pour survivre et n'ayant aucun sens des priorités. Il ne vit pas dans le même monde que tout le monde, il vit dans son propre monde, un monde où tuer des gens pour se nourrir est la norme. Cependant il avait une question pour la dame, parce qu'il ne pouvait pas s'empêcher de repenser à ce qu'il a vu.
" Vous faisiez quoi avec le monsieur attaché ? Vous l'avez mangé ? "
Question idiote, il était presque sûr qu'elle l'avait mangé, vu qu'il n'était plus là. Qu'est ce qui aurait pu se passer, autrement ? Il en avait vraiment aucune idée, il était clairement innocent sur ce genre de sujet et sa sexualité était inexistante.
Il avait remarqué une chose cependant, à chaque fois, ces films finissaient bien, avec une fin heureuse. Ça le réconfortait dans l'idée qu'il voulait connaître l'amour. En fait, il ne savait pas vraiment ce qu'était être heureux, il ne se souciait pas vraiment de son bien-être. Il vivait juste à sa façon, restant au service de son père à la moindre de ses demandes. C'était d'ailleurs la seule personne à qui Cupidon tenait.
Alors, quelles leçons avait-il tiré de ces films ? C'était vraiment une question intéressante auquelle il je savait guère y répondre réellement, il a absorbé une quantité importante d'information et il devait y réfléchir bien plus longuement pour les digérer et les comprendre réellement.
Il répondit à la dame cependant, du mieux qu'il a pu.
" J'ai appris que c'est bien ce que je veux, pouvoir aimer."
C'était là tout son problème à Cupidon. Il n'éprouvait rien, aucun sentiments. C'est un être insensible et impitoyable, prêt à tout pour survivre et n'ayant aucun sens des priorités. Il ne vit pas dans le même monde que tout le monde, il vit dans son propre monde, un monde où tuer des gens pour se nourrir est la norme. Cependant il avait une question pour la dame, parce qu'il ne pouvait pas s'empêcher de repenser à ce qu'il a vu.
" Vous faisiez quoi avec le monsieur attaché ? Vous l'avez mangé ? "
Question idiote, il était presque sûr qu'elle l'avait mangé, vu qu'il n'était plus là. Qu'est ce qui aurait pu se passer, autrement ? Il en avait vraiment aucune idée, il était clairement innocent sur ce genre de sujet et sa sexualité était inexistante.
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Maîtresse de donjon
Mort du personnage :
Un jour
Re: Un esclave pour la dame ft Lady Framb.
Dim 21 Juin - 18:22
Trouver l’amour… le couple tel qu’on le conçoit encore aujourd’hui est très loin de ce que tu pourrais désirer. Il faudrait déjà que tu trouves un homme avec autant d’appétit que toi… puis surtout qu’il ne t’ennuie pas. Tu as tendance à te lasser assez vite de tes partenaires et la monogamie te semble horriblement chiant ! Tu te penses donc totalement incapable d’aimer, tu ressens du désir pour une personne et c’est très loin d’être de l’amour. Plus jeune tu as eu des petits copains... incapable de te satisfaire et qui t’ont trompé. Au final ce qui te faisait le plus mal dans ces histoires c’était : de ne pas réussir à combler ta libido. Tu ne comprenais donc pas bien pourquoi ton jeune ami voulait à ce point s’enchaîner à un autre être qu’il n’était même pas sûr qu’il ou elle le comblerait.
Quand il te demanda ce que tu faisais avec l’homme que tu avais attaché, tu te demandais si tu devais lui expliquer ? Il cherchait l’amour et ne savait qu’à un moment donné il se pourrait que sa partenaire veuille se “tailler” un bout bien précis de sa personne. Néanmoins, la conversation semblait compliqué tu n’étais pas sûre à cette heure de vouloir partir là-dedans.
- On peut dire que je l’ai mangé en effet… il faudra que tu repasses me voir quand tu auras trouver ta moitié j’aurais un ou deux trucs à t'expliquer !
Tu relançais la playlist, il devait lui rester assez de temps pour un film. Pour ta part tu allais te coucher, tu t’étiras en te levant, embarquant par la main Adam et avant d’entrer dans ta chambre, tu te tournas vers l’underground.
- Tu claqueras la porte en sortant.
Et vous aviez disparu dans la chambre.
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