85 à moi-même Secrétaire de Father (au Cartel) Pas maintenant
Icon :
Messages :
85
Allégeance :
à moi-même
Metier :
Secrétaire de Father (au Cartel)
Mort du personnage :
Pas maintenant
Dance of illusion [PV Ellone]
Jeu 16 Avr - 10:14
Tu as quitté la casa pour rejoindre un des nombreux laboratoires tenus par le cartel. Tu n'étais pas particulièrement pressée, tu ne faisais ton travail que pour la survie et non pour le "plaisir". Tu étais sûre que certains de tes collègues trouvaient la vie de gangster absolument génial, de l'argent et de la drogue facile. De plus à Decay, ils avaient à peine besoin de se cacher… D'ailleurs, une petite partie de ton travail consistait en cela : masquer quelques menus détails pour ne pas être dans le plus total des mépris de l'intelligence des miliciens.
Tu t'y rendais à pieds, les alentours n'étaient pas des plus sûrs, mais Medellin entier était sous la coupe des Polvo… Même si tu n'étais pas un chef reconnu le simple fait de faire des aller-retour entre la casa et les sites de production suffisait à intimider quelques petites frappes. Tu ne demandais rien de plus au Cartel que de t'apporter une certaine sécurité…
Tu sautillais avec tes chaussures à talons de trottoirs en trottoirs traversant le plus vite possible les rues. Ce n'est pas parce que tu fais partie d'un gang que tu es à l'abri de tous les cinglés. Il ne valait mieux pas trop traîner ! Tu trottinais donc dans ton tailleur bas de gamme en tenant le bas de ta jupe pour quel ne craque pas jusqu'en haut de ta cuisse alors que tu enjambais une pile de détritus. Dans ces rues dignes d’un décor post-apocalyptique d’Hollywood tu faisais tâche. Ton code vestimentaire n’était nullement imposé à la casa si tu étais arrivée en pyjamas il y aurait eu moins de commentaire… On dit souvent qu’il faut s'habiller comme ce que l’on veut être et non comme ce que l’on est… Ton tailleur est un peu ce qui te donnait la force de te pointer à la casa et de gérer les incompétents qui pullulé dans les subalternes en cela, tu étais une vraie secrétaire au moins.
Sur place, tu ne pus que constater que celui-ci était "fermé" non-content de faire partie d'un gang et d'être de ce fait complice de toutes les activités illégales qui s’y tenait, te voilà en train d'entrer par effraction… Le tout-puissant s'il existe se moque vraiment de toi. Une odeur un peu particulière venait du bâtiment comme si quelque chose avait cramé, néanmoins, il ne semblait pas avoir de danger. Tu posas quand même la main sur la porte pour vérifier qu'elle n'était pas chaude et qu'en l'ouvrant, tu ne générerais pas un appel d'air et une explosion... Tu sortie un trombone de ta poche et commença donc à l'ouvrir sans grande difficulté. Tu entras en laissant la porte entrouverte derrière toi une forme de précaution si tu avais besoin de prendre la fuite. Une odeur te prit âcre te pris à la gorge provoquant une quinte de toux qui dura quelques secondes le temps de t'habituer à l'odeur.
Tu t'y rendais à pieds, les alentours n'étaient pas des plus sûrs, mais Medellin entier était sous la coupe des Polvo… Même si tu n'étais pas un chef reconnu le simple fait de faire des aller-retour entre la casa et les sites de production suffisait à intimider quelques petites frappes. Tu ne demandais rien de plus au Cartel que de t'apporter une certaine sécurité…
Tu sautillais avec tes chaussures à talons de trottoirs en trottoirs traversant le plus vite possible les rues. Ce n'est pas parce que tu fais partie d'un gang que tu es à l'abri de tous les cinglés. Il ne valait mieux pas trop traîner ! Tu trottinais donc dans ton tailleur bas de gamme en tenant le bas de ta jupe pour quel ne craque pas jusqu'en haut de ta cuisse alors que tu enjambais une pile de détritus. Dans ces rues dignes d’un décor post-apocalyptique d’Hollywood tu faisais tâche. Ton code vestimentaire n’était nullement imposé à la casa si tu étais arrivée en pyjamas il y aurait eu moins de commentaire… On dit souvent qu’il faut s'habiller comme ce que l’on veut être et non comme ce que l’on est… Ton tailleur est un peu ce qui te donnait la force de te pointer à la casa et de gérer les incompétents qui pullulé dans les subalternes en cela, tu étais une vraie secrétaire au moins.
Sur place, tu ne pus que constater que celui-ci était "fermé" non-content de faire partie d'un gang et d'être de ce fait complice de toutes les activités illégales qui s’y tenait, te voilà en train d'entrer par effraction… Le tout-puissant s'il existe se moque vraiment de toi. Une odeur un peu particulière venait du bâtiment comme si quelque chose avait cramé, néanmoins, il ne semblait pas avoir de danger. Tu posas quand même la main sur la porte pour vérifier qu'elle n'était pas chaude et qu'en l'ouvrant, tu ne générerais pas un appel d'air et une explosion... Tu sortie un trombone de ta poche et commença donc à l'ouvrir sans grande difficulté. Tu entras en laissant la porte entrouverte derrière toi une forme de précaution si tu avais besoin de prendre la fuite. Une odeur te prit âcre te pris à la gorge provoquant une quinte de toux qui dura quelques secondes le temps de t'habituer à l'odeur.
(HRP : Magnolia malgré le titre tu es la bienvenue avec ton DC ou avec Magno à toi de voir )
Betty-Lou Bettner
Should I run away, and change my name ?
151 Civile (Fidèle Lombardi) Bookmaker Je suis le rp, aucun soucis
Icon :
Messages :
151
Allégeance :
Civile (Fidèle Lombardi)
Metier :
Bookmaker
Mort du personnage :
Je suis le rp, aucun soucis
Re: Dance of illusion [PV Ellone]
Jeu 16 Avr - 18:15
À la base, la fille devait passer pour son réapprovisionnement.
Cela aurait lui prendre dix minutes maximum.
À croire qu’une seule journée tranquille, c’était trop demandé.
“ Magne-toi putain ! “
Elle ne prenait même pas la peine de répondre à cet interlocuteur qui était venu la débusquer. En toute franchise, que le labo flambe ou pas, Ellone n’en avait rien à cirer. Il y en aurait un autre qui se monterait ailleurs, c’était un cycle sans fin, une boucle infinie qu’elle observait aux premières loges tous les jours en vendant leur poison. Tous ces efforts pour au final, ne même pas en récolter tant de bénéfices que ça. Elle était là par dépit après tout, pas vraiment dans le flow, ni dans tous leurs délires… Même si elle savait donner le change. Instinct de survis l'exigeant.
Aussi, contrairement à son homologue, elle ne s’excitait pas outre mesure en voyant la porte menant au lieu entrouverte/forcée. Il juerait qu'il avait pourtant prit le soin de la verrouiller et là dessus, son courageux partenaire improvisé l’avait planté là, lui suggérant - en chuchotant en prime; à elle d’aller faire un tour à l’intérieur, tandis que lui irait prévenir quelqu’un. Désabusée, un sourcil relevé, la brune l’observait s’éloigner : ce n’était pas déjà ce qu’il avait fait avec elle ?
Bon à rien.
Sa tête se secouait doucement, puis parce que cela faisait partie de ses tâches, son rôle ici, elle laissait sortir la lame rétractable de son couteau avant de s’infiltrer là-dedans. Pas qu’Ellone se sentait particulièrement menacé, surtout au milieu de son quartier, elle aurait plutôt misé sur un accident, mais prudence était garante de sa vie. La fumée nauséabonde lui soulevait le coeur, réflexe ou habitude va savoir, la femme relevait son bandana sur son nez pour se faire un masque de fortune. Quelques quintes de toux attiraient son attention, on aurait presque dit que la brune était là pour braquer quelqu’un. En fait, c’était un peu ce qu’elle fit en attrapant par derrière la belle dame qui se faisait un chemin en zone hostile.
“ Qu’est ce que tu fous ici ? Qui es-tu ? “
Questionnement survenu juste après avoir fait ressentir la fraîcheur de sa lame sur le cou de la demoiselle. Son regard essayait de balayer la salle, Ellone s’étonnait de ne pas y avoir une âme qui vive et son attention fut troublée par un claquement de porte derrière elle. Instantanément, elle lâchait la fille pour inspecter la sortie qui n’avait pas de poignée à l’intérieur.
Bien joué.
Même si Ellone brisait la vitre de la porte, cette dernière était trop étroite et trop haute pour lui offrir une ouverture d’une utilité quelconque. Heureusement, l’autre débile allait venir leur ouvrir tôt ou tard. Rapidement, question d’habitude, la dealeuse avait ôté son parka pour étouffer le départ de flamme sur la table de chimie. Son attention se portait en même temps sur la poupée qui tranchait grandement avec le décor.
“ Tu t’es perdue chérie ? “
Elle ne pouvait pas imaginer ça autrement, pas avec cette dégaine. À moins que… C’est vrai qu’elle était assez mignonne pour être une pro, mais définitivement trop sophistiquée pour exercer par ici.
“ Ça ne te dirait pas de me filer un coup de main, à moins que tu veuilles finir carbonisé ? “
Puis elle zieutait un peu sur le combustible tandis qu’une allégresse étrange s'immisçait en elle.
“ Ou pire… “
Dire qu’elle s’était toujours tenue éloignée de cette merde. Et là, elle l’aspirait plus violemment encore que n’importe quel rail qu’elle vendait… Au moins pour le moment, Ellone avait l’impression que plus rien n’allait péter. Est-ce que c’était prudent de chercher à “sauver” le labo au lieu de se barrer ? Il n'aurait suffi que de mettre deux coups de pieds dans la porte... Mais si la brune l'avait fait trop tôt, l'autre se serait barrée illico. Autant mieux la coincée pour l'obliger à l'aider.
- Hrp:
je plusois ma VDD <3
85 à moi-même Secrétaire de Father (au Cartel) Pas maintenant
Icon :
Messages :
85
Allégeance :
à moi-même
Metier :
Secrétaire de Father (au Cartel)
Mort du personnage :
Pas maintenant
Re: Dance of illusion [PV Ellone]
Mar 28 Avr - 20:11
Après quelques secondes tu t'étais faite à l'odeur âpre, il fallait éteindre le départ de flamme, mais tu avais à peine eu le temps d’esquisser un mouvement qu’un truc te chopa par derrière. Un frisson d’horreur te parcouru l’échine en sentant la lame se poser sur sa gorge. Par instinct de survis tu ne fis pas un mouvement, attendant de connaître la suite. Ton coeur battait la chamade dans ta poitrine et dans tes tempes tu pouvais même le sentir dans ta gorge. Tu étais à deux doigts de vomir ton déjeuner. Tu essayais de garder ton esprit fixé sur quelque chose de simple… Mais étrangement c’était impossible, les idées fusaient à toute allure dans ta tête tu serais bien incapable de dire si c’était le stress de la menace ou les effluves un peu étrange qui se dégageaient des flammes. Une voix plutôt féminine te demandas qui tu étais et après une déglutition un peu difficile tu te présentas. Si c’était une outsider venu foutre la merde dans le labo c’était l’occasion de lui faire peur ou si c’était une personne du gang de lui faire comprendre qu’il pouvait lâcher prise.
- Suzi… c’est Red qui m’envoi chercher un truc. Il est assez pressé...
Tu avais cité le nom d’un des barons au hasard et dire qu’il était pressé voulait dire : déconne pas si je meurs ils vont venir me chercher. Le son d’une porte qui claquait vous a totalement sortie de vos rôles. Quand elle t’a lâché pour vérifier la porte tu pris un grande inspiration comme si l’air t’avait manqué et tu porta instinctivement ta main à ta gorge pour t’assurer qu’elle t’avait rien fait alors que tu n’avais pas ressentit de douleur… Tu la gardas en vu du coin de l'oeil, tu n’avais pas très envie de te faire de nouveau menacer.
Comme toujours ta tenue plus que singulière en ces lieux te vaut une “remarque”. Sans doute qu’elle se posait vraiment la question mais ce n’est que du jugement, tu es bien habillée tu ne peux pas faire partie d’un gang. Ça fait cinq ans que tu le vie presque quotidiennement avec les regards moqueur de tes collègues et tu ne sais pas bien si c’est l’usure mais tu as lâché un ou la drogue.
- C’est beau de juger les gens à ce qu’il porte.
Si toi clairement tu n’étais pas dans le ton elle elle l’était, mais ce n’était pas pour autant que tu allais lui faire remarquer. Tu maintenais une distance de sécurité avec la demoiselle qui te demandait de l’aide pour arrêter le feu et tu observas un peu autour de toi apercevant un extincteur un peu plus loin tu es allé le chercher. Tu retirais la sécurité rapidement et pulvérisa sur les flamme. Ca tenait du miracle que celui-ci soit encore là et encore opérationnelle nulle doute qu’il n’était peut-être pas adapté, ni vérifié mais il cracha néanmoins sa mousse blanche. Et un :
- Oh, il neige…
Sortie de ta bouche alors que tu tendais la main pour toucher la mousse qui avait étouffé les flamme. C’était tiède et humide sur ta main et tu trouvas la chose très drôle sur le coup tu ignorais totalement pourquoi.
- Suzi… c’est Red qui m’envoi chercher un truc. Il est assez pressé...
Tu avais cité le nom d’un des barons au hasard et dire qu’il était pressé voulait dire : déconne pas si je meurs ils vont venir me chercher. Le son d’une porte qui claquait vous a totalement sortie de vos rôles. Quand elle t’a lâché pour vérifier la porte tu pris un grande inspiration comme si l’air t’avait manqué et tu porta instinctivement ta main à ta gorge pour t’assurer qu’elle t’avait rien fait alors que tu n’avais pas ressentit de douleur… Tu la gardas en vu du coin de l'oeil, tu n’avais pas très envie de te faire de nouveau menacer.
Comme toujours ta tenue plus que singulière en ces lieux te vaut une “remarque”. Sans doute qu’elle se posait vraiment la question mais ce n’est que du jugement, tu es bien habillée tu ne peux pas faire partie d’un gang. Ça fait cinq ans que tu le vie presque quotidiennement avec les regards moqueur de tes collègues et tu ne sais pas bien si c’est l’usure mais tu as lâché un ou la drogue.
- C’est beau de juger les gens à ce qu’il porte.
Si toi clairement tu n’étais pas dans le ton elle elle l’était, mais ce n’était pas pour autant que tu allais lui faire remarquer. Tu maintenais une distance de sécurité avec la demoiselle qui te demandait de l’aide pour arrêter le feu et tu observas un peu autour de toi apercevant un extincteur un peu plus loin tu es allé le chercher. Tu retirais la sécurité rapidement et pulvérisa sur les flamme. Ca tenait du miracle que celui-ci soit encore là et encore opérationnelle nulle doute qu’il n’était peut-être pas adapté, ni vérifié mais il cracha néanmoins sa mousse blanche. Et un :
- Oh, il neige…
Sortie de ta bouche alors que tu tendais la main pour toucher la mousse qui avait étouffé les flamme. C’était tiède et humide sur ta main et tu trouvas la chose très drôle sur le coup tu ignorais totalement pourquoi.
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|