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Re: ►003• Rencontrer le Wierdo •[Pv Bazil]
Mer 22 Avr - 4:12
C'est chacun son tour,
Après toi, c'est à lui d'aller dans la salle de bain. Il prends son temps, ça te permet de t'installer confortablement dans le lit en l'attendant. Ce n'est pas la première fois que tu dors avec un client, mais c'est rare que tu acceptes de le faire dès le premier soir. Est-ce-qu'il a réelleemnt à faire taire tes méfiances ? Possible un peu. Faut dire qu'il n'a pas hésiter à montrer son côté vulnérable... Tu ne penses pas qu'il puisse être fourbe au point de jouer un rôle aussi tordu dans le simple but de pouvoir te sauter dessus sous les draps. Non vraiment, tu ne peux pas l'imaginer si bon acteur... Si perfide. Alors tu l'attends en continuant de démêler tes cheveux avec tes doigts, songeuse.
C'était quand même...
Une drôle de soirée, un drôle de client. Tu n'as pas réellement l'assurance qu'il va réellement choisir de devenir ton régulier, mais juste pour ce soir, c'était un bon moment. Quand la porte s'ouvre, tu regardes dans sa direction. Et bien, la peau de caramel est vraiment bien taillée quand même. Tu l'observes avec un très léger sourire. Quoi ? Tu avais l'air d'une sainte ? Et bien il ne faut pas trop se fier à ta gueule d'ange. Tu es capable d'apprécier la beauté d'un corps quand il se présente devant toi et ce petit chirurgien à peau halée est un délice pour les yeux. Ses mots par contre te font un peu froncer les sourcils, ne pas avoir peur ? Mais peur de quoi ? Ah oui.. C'est certainement pour sa canne, tu soupçonne une prothèse ou alors une belle, très belle balafre. Et c'est donc sans surprise que tu découvres son... Boxer détendu. Oui c'est lui qui te surprends plus que la jambe. Tu ressens vraiment son malaise, car il te précise même la raison pour laquelle il vient la retirer. Tu trouves ça pourtant évident... Tu ne bouges pas, tu te contentes de l'observer, il s'installe mais il semble distant.
Est-ce-qu'il pensait te voir fuir ?
Oui c'est possible, surtout quand tu entends sa dernière remarque. Tu as la confirmation... Il est là, allongé à tes côtés mais il y a vraiment l'espace d'une personne entre vous deux, ce qui n'était pas forcément le cas tout à l'heure. La manière dont il te regarde, tu comprends vraiment qu'il est inquiet. Ce n'est qu'une jambe. Enfin, non, justement, ce n'est plus une jambe... Quoiqu'il en soit, pour toi, ça ne change pas grand chose. Vraiment, tu n'es pas du tout dérangée par cette vision c'est pour ça que tu viens réduire la distance entre vous deux de toi-même. Tu n'as pas quitter ses yeux et tu lui offres ton sourire plein de douceur. Ta main remonte sur sa joue avant de finir dans son cou, tu effleures ses cheveux après avoir dégager son visage de tes doigts et tu as ce petit rire complice :
- « Je m'en doutais tu sais, mais je me suis dit que tu m'en parlerais de toi-même... »
Avec toujours autant de délicatesse,
Ta main glisse dans sa nuque, tu viens encore un peu plus proche, tu t'en fiches bien de sa jambe, elle ne te dérange pas. Et pour lui prouver, tu viens doucement avancer ta jambe pour qu'elle effleure les tiennes qui sont brûlantes. Tu as un petit sourire et tu viens finir ta course confortablement installée contre lui. Ce n'est rien, n'est-ce-pas ? Une nuit d'innocence.. Est-ce-que tu joues volontairement avec le feu ? Peut-être que tu as envie de te confirmer que tu as vraiment trouvé un gentil garçon ce soir... Peut-être que ton esprit un peu naïf voulait surtout réussir à rassurer cet homme si inquiet. Soulager cette étrange inquiétude et cette peur en lui. Oui, tu relèves ton front se pose contre son menton, tu fermes les yeux, ta main glisse doucement dans son dos, laissant glisser tes ongles de haut en bas.
- « Bazil, Je t'assure... T'as pas à t'inquiéter pour ta jambe, ça ne me dérange pas. »
Certains pourraient y voir une manière subtile de donner de l'impression que tu t'intéresses à ton client sans que ce soit sincère mais quand tu relèves la tête pour le regarder dans les yeux, la manière dont tu t'accroches à ses yeux montre combien tu es sérieuse. Tu as vraiment envie de savoir, de comprendre, qu'est-ce-qu'un mec comme lui vient foutre avec une escorte qu'il ne peut pas baiser ? Oh... et s'il était.. impuissant ? Maintenant que tu y penses ça pourrait clairement être la raison de ses inquiétudes et son manque de confiance avec les femmes, non ? Alors oui, tu lui demandes avec ce petit sourire doux, la main toujours égarée dans son dos :
- « Un jour, tu voudrais bien m'expliquer comment c'est arrivé ? »
Car, même si tu enchaînes les réflexions, l'intention reste la même, tu veux savoir. Et Puis...Tu restes tout de même persuadée qu'il y a bien plus qu'une question d'irrigation sanguine... Ce qui le trouble ne se trouve définitivement pas qu'entre ses jambes, tu veux comprendre les rouages et les secrets de l'homme qui aime un peu la douleur...
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Re: ►003• Rencontrer le Wierdo •[Pv Bazil]
Mer 22 Avr - 17:56
Il est plutôt étrange quand même. Au début tu jouais les mâles alpha voulant avoir tout droit sur sa personne parce que tu y mettais de l’argent sous le nez et maintenant tu cherche son approbation, son affection et sa présence. L’alcool te fais faire de drôle de chose. Tu ne sais pas trop sur quel pied danser et cette instabilité te rend confus et maladroit. Déjà que tu es quelqu’un d’honnête et franc ses qualités ou défaut ressortent alors que tu te confie a elle. Cette femme a ce petit quelque chose de spéciale et convainquant. Elle te donne le sentiment d’écoute. Mais ne te la t’elle pas déjà dis ? N’est-ce pas toi qui a sous-entendu que voir un psy serait tout aussi efficace ? Tu te sens bien bête en ce moment alors que tu te fais détailler du regard par Magnolia.
Es-tu trop dénudé pour elle ? Comme tu n’es pas spécialement pudique sur ce genre de chose tu ne soulèves pas la question même si le regard te surprend un peu. Si ça la gêne, elle te le dira, du moins c’est ce que tu te dis. Tu es d’avantage embarrasser par ton infirmité que par tout le reste de ton corps. Oui, ce fut ton choix, ton idée. Tu aurais dû lui en parler avant de te ramasser dans cette situation gênante tout comme elle te le souligne. Un petit hochement de tête approbateur, un pincement de lèvre un peu maladroit dans un sourire léger. Visiblement, ça ne lui a pas fait peur, ce qui te soulage grandement.
Sa main sur ta nuque, dans tes cheveux, ses petits doigts qui te touche sans pudeur. C’est doux, c’est agréable et léger. Oui, tu comprends mieux maintenant. Tu saisi ce qui fait d’elle une bonne hôtesse. Ce n’est pas le sexe mais l’acceptation de l’autre et c’est assez troublant tandis que tu le réalise complètement. C’est choquant que tu ai juger cette femme sans savoir et tu reconnait l’étendu de ta stupidité.
« J’aurais dû, j’aurais paru moins con. »
Mais tu ne pensais pas lui demander de dormir avec toi, tu n’imaginais pas que ça aurait été jusque-là. Vous êtes désormais si proche l’un de l’autre que tu peux sentir sa respiration, son parfum se mélanger au tien. Sa peau pâle contre la tienne, elle doit certainement sentir comme tu as le sang chaud. Ses ongles qui se glisse à ton dos te font frissonner et te chatouille par la même occasion. Tu rigole doucement à ce moment.
« C’est bon… J’ai déjà fais flipper quelqu’un avec ça, je ne voulais pas te surprendre. »
Son regard dans le tiens, tu lui fais un petit et doux sourire. Oui, tu la crois. Tu te laisse volontairement entuber par ses belles paroles et caresses. Que ce soit vrai ou faux tu t’en moque, tu aimerais y croire alors tu ne laisse pas de place aux doutes.
« Oui, bien sûr… »
Ce n’est pas une très longue histoire… Alors…
« Ça ne me gêne pas si tu veux m’écouter. »
Tu ose venir jouer dans ses cheveux alors que tu reprends parole.
« Gamin, je me suis pété solidement la jambe en tombant du toit de chez moi… En voulant sauter dans la piscine, tu vois le genre ? Depuis, ça ne s’est jamais vraiment rétablis… Puis en entrant à l’église de l’Union, c’est le don que j’ai fait, honnêtement, je marchais déjà avec une canne depuis longtemps, donc ce n’était pas vraiment une gêne. »
C’est ce que tu t’étais dit à l’époque. Mais par moment ce bout de chaire te manque.
« C’est tout con. Mais par moment c’est assez gênant, surtout avec une fille. »
Tu banalise. C’est de l’histoire ancienne après tout. Distraitement, tu passe tes doigts dans les longs cheveux de la demoiselle, tu cherches à les démêler avec délicatesse. C’est agréable de partager sa chaleur comme ça, de sentir quelqu’un contre toi pas que pour de la baise mais de façon très innocente et sans arrière-pensée, car tu ne t’y autorise pas.
« Uhm… à quoi tu pense ? »
Es-tu trop dénudé pour elle ? Comme tu n’es pas spécialement pudique sur ce genre de chose tu ne soulèves pas la question même si le regard te surprend un peu. Si ça la gêne, elle te le dira, du moins c’est ce que tu te dis. Tu es d’avantage embarrasser par ton infirmité que par tout le reste de ton corps. Oui, ce fut ton choix, ton idée. Tu aurais dû lui en parler avant de te ramasser dans cette situation gênante tout comme elle te le souligne. Un petit hochement de tête approbateur, un pincement de lèvre un peu maladroit dans un sourire léger. Visiblement, ça ne lui a pas fait peur, ce qui te soulage grandement.
Sa main sur ta nuque, dans tes cheveux, ses petits doigts qui te touche sans pudeur. C’est doux, c’est agréable et léger. Oui, tu comprends mieux maintenant. Tu saisi ce qui fait d’elle une bonne hôtesse. Ce n’est pas le sexe mais l’acceptation de l’autre et c’est assez troublant tandis que tu le réalise complètement. C’est choquant que tu ai juger cette femme sans savoir et tu reconnait l’étendu de ta stupidité.
« J’aurais dû, j’aurais paru moins con. »
Mais tu ne pensais pas lui demander de dormir avec toi, tu n’imaginais pas que ça aurait été jusque-là. Vous êtes désormais si proche l’un de l’autre que tu peux sentir sa respiration, son parfum se mélanger au tien. Sa peau pâle contre la tienne, elle doit certainement sentir comme tu as le sang chaud. Ses ongles qui se glisse à ton dos te font frissonner et te chatouille par la même occasion. Tu rigole doucement à ce moment.
« C’est bon… J’ai déjà fais flipper quelqu’un avec ça, je ne voulais pas te surprendre. »
Son regard dans le tiens, tu lui fais un petit et doux sourire. Oui, tu la crois. Tu te laisse volontairement entuber par ses belles paroles et caresses. Que ce soit vrai ou faux tu t’en moque, tu aimerais y croire alors tu ne laisse pas de place aux doutes.
« Oui, bien sûr… »
Ce n’est pas une très longue histoire… Alors…
« Ça ne me gêne pas si tu veux m’écouter. »
Tu ose venir jouer dans ses cheveux alors que tu reprends parole.
« Gamin, je me suis pété solidement la jambe en tombant du toit de chez moi… En voulant sauter dans la piscine, tu vois le genre ? Depuis, ça ne s’est jamais vraiment rétablis… Puis en entrant à l’église de l’Union, c’est le don que j’ai fait, honnêtement, je marchais déjà avec une canne depuis longtemps, donc ce n’était pas vraiment une gêne. »
C’est ce que tu t’étais dit à l’époque. Mais par moment ce bout de chaire te manque.
« C’est tout con. Mais par moment c’est assez gênant, surtout avec une fille. »
Tu banalise. C’est de l’histoire ancienne après tout. Distraitement, tu passe tes doigts dans les longs cheveux de la demoiselle, tu cherches à les démêler avec délicatesse. C’est agréable de partager sa chaleur comme ça, de sentir quelqu’un contre toi pas que pour de la baise mais de façon très innocente et sans arrière-pensée, car tu ne t’y autorise pas.
« Uhm… à quoi tu pense ? »
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Re: ►003• Rencontrer le Wierdo •[Pv Bazil]
Dim 26 Avr - 17:21
Tu ne pensais pas que le jour arriverait si vite...
Tu te disais qu'il allait certainement avoir besoin de plus de temps pour se confier à ce sujet. Oui, tu pensais qu'il allait promettre et que peut-être tu n'aurais jamais réellement une réponse, mais ce n'est pas grave... Dans le fond, tu n'es pas une de ses fille qui panique pour un membres en moins. Ce n'est qu'un moignon surplombé d'acier et d'écrous pour lui permettre de marcher... Qu'il désire t'en parler ce soir, ça te fait plaisir, tu hoches la tête pour valider que "Oui" tu es prête à l'écouter ce soir, maintenant.
Tu aimes la manière dont il replace tes cheveux...
Attentive, tu viens accueillir son histoire avec sérieux. Alors ce n'est qu'une imprudence de sa jeunesse ? Tu grimaces en imaginant cet enfant sauté du toit et briser à jamais sa jambe... La suite, elle te fait encore plus grimacer, c'est horrible... Alors l'église demande ce genre de sacrifice pour rejoindre ses rangs ? Déjà qu'ils te font peur eux, c'est de pire en pire. Est-ce-que tu dois avoir peur de Bazil ? Après tout, il fait parti de ses fanatiques, non ? Tu y penseras demain, ou la prochaine fois ? Ou alors tu n'y penseras pas pour ne pas avoir peur de marcher à son bras. Il partage également sa gêne vis à vis de son quotidien, surtout avec la gente féminine et tu pinces les lèvres. Tu ne sais pas si tu peux réellement donner ton avis à ce sujet, parce que tu trouves vraiment cela idiot. Si une femme s'arrête à ça, elle ne mérite pas réellement d'avoir de l'intérêt à ses yeux, enfin c'est ce que tu penses. Même s'il était défiguré, brûler ou difforme, il ne mériterait pas qu'on s'arrête à ce genre de choses, mais beaucoup de monde ici, surtout ici, s'arrête à l'emballage pour juger. Alors oui, ce n'est pas parce que tu es scandalisée par sa gêne que tu ne la comprends pas. Il semble avoir remarqué ton air songeur car il te demande à quoi tu penses...
Ses doigts toujours perdus dans tes cheveux...
Tu te redresses pour être un peu au dessus de lui, tu montes ta main sur son visage, tu t'égares dans ses yeux et tu lui réponds en premier avec un petit sourire silencieux. Tu penses à bien des choses mais tu n'es pas certaine de pouvoir réellement les partager maintenant... Tes jambes toutes contre la sienne, la partielle, tu te redresses un peu plus pour le surplomber, penchant la tête pour que les cheveux lui chatouillent la peau. Vraiment, c'est triste de s'arrêter à une jambe coupée, tu hésites et puis tu viens poser tes lèvres sur son front. Tu reviens te mettre contre lui dans un soupire et là, tu te permets de prendre la parole en lui répondant à cette simple question :
- « Je ne sais pas si j'ai réellement le droit de te dire ce que je pense mais... J'estime qu'une femme qui s'arrête à ta blessure, elle mérite pas réellement de partager tes draps. »
On peut dire que tu as des avis assez tranchés par moment Magnolia, c'est surprenant quand on voit ta fragilité et ta douceur... Tu refermes les yeux, tu restes contre lui. Toi ce soir, tu ne t'arrêteras pas à sa jambe... Ce soir tu resteras passer la nuit dans ses bras, tu lui offres tes caresses dans le dos, dans la nuque, tu lui laisseras tes cheveux. Oui, vous allez enfin pouvoir dormir d'un sommeil paisible... C'est ce que tu lui murmures après avoir bailler, main devant la bouche pour rester polie : « Bonne nuit, Bazil... »
Enfin la nuit sera bien courte pour toi, tu quitteras ses draps sur le matin t'assurant de ne pas le réveiller, prétextant un passage aux toilettes s'il ouvre un œil mais avec l'alcool qu'il a dans le sang, il en restera vraiment pas longtemps conscient, tu pourras donc partir sans faire de bruit, déposant sur la chaise juste à côté de sa prothèse, ce petit papier qui sent la vanille, celui que tu laisses à tout tes clients avec une petite pensée, et de l'autre coté du Magnolia ton numéro....
- Les petits mots de Magnolia:
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Re: ►003• Rencontrer le Wierdo •[Pv Bazil]
Dim 26 Avr - 22:12
Ce n’est pas une histoire top secrète et tu n’as aucune gêne à en parler quand on te pose la question. Le deuil étant fais depuis déjà plusieurs années, tu fais gaffe à ne pas laisser le passé entraver ton futur. Oui la partie avec l’Église est quand même un peu flippante mais tu préfère avoir leurs protections que d’agir seul et être à la merci du danger que représente Decay. Pour ce qui est du culte, tu n’es pas du tout croyant, tu es plutôt opportuniste. Mais comme l’idée que cela puisse déranger la demoiselle te passe au-dessus de la tête, tu ne pense pas à la rassurer. Tu n’es pas un danger.
Puis sans comprendre ce qui se passe vraiment, elle se retrouve à te surplomber. Avec surprise tu essai de lire son sourire et saisir son regard, sans succès. Tu es davantage tenté par l’idée de lui voler un petit baiser… Mais tu n’en fais rien, ce serait déplacé. À l’inverse, elle vient embrasser ton front, tu es supposé comprendre quoi là ? Les mots qui sortent enfin de sa bouche éclaire un peu sa pensée et la tienne. Ce a quoi tu lui réponds d’un petit sourire a ton tour puis ;
« Merci. »
Malheureusement, il y en a beaucoup que ton infirmité rebute. Elles te classent dans la case du type qui ne pourra pas la défendre, la case du mec qu’elles seront obliger d’aider, celle où tu n’es certainement pas un bon parti et qui atterri dans la friendzone instantanément.
Tu la serre contre toi, partageant ta chaleur naturelle avec celle de la demoiselle. Tu en profite pour mémoriser l’odeur de son parfum et la douceur de sa peau par la même occasion. Tandis qu’elle te souhaite la bonne nuit tu sombre toi aussi dans le sommeil, tout en caressant sa chevelure jusqu’au dernier moment de conscience. De la chance pour Magnolia car tu ne te réveiller pas lorsqu’elle file. Tu dors comme une buche !
Ce n’est que longtemps après que tu émerge de ton sommeil, avec, comme prévu, un sacré mal de tête et une bouche pâteuse. Ark. Le lit est vide, sa chaleur est partie depuis un long moment déjà. Oui, c’était à prévoir, après tout, tu ne la payer que pour une nuit. Son absence rend la chose un peu froide et réaliste. Comme un rêve duquel on se réveille. Tu soupire alors que tu va saisir ta canne pour prendre une douche. Tant qu’à être là aussi bien profiter de l’eau chaude d’une bonne douche ! Au retour, tu découvre le petit mot qui t’arrache un petit sourire. On remet la prothèse, on s’habille des vêtements de la veille avec un léger agacement. T’aime pas porter du linge sale alors que tu sors de la douche. Mais pas trop le choix !
Tu glisse le papier dans la poche de ton jean avant de reprendre la canne et de quitter la chambre. La vie reprend sont court alors qu’elle s’était figée un léger instant dans le rêve d’une nuit de douceur et de vanille.
Puis sans comprendre ce qui se passe vraiment, elle se retrouve à te surplomber. Avec surprise tu essai de lire son sourire et saisir son regard, sans succès. Tu es davantage tenté par l’idée de lui voler un petit baiser… Mais tu n’en fais rien, ce serait déplacé. À l’inverse, elle vient embrasser ton front, tu es supposé comprendre quoi là ? Les mots qui sortent enfin de sa bouche éclaire un peu sa pensée et la tienne. Ce a quoi tu lui réponds d’un petit sourire a ton tour puis ;
« Merci. »
Malheureusement, il y en a beaucoup que ton infirmité rebute. Elles te classent dans la case du type qui ne pourra pas la défendre, la case du mec qu’elles seront obliger d’aider, celle où tu n’es certainement pas un bon parti et qui atterri dans la friendzone instantanément.
Tu la serre contre toi, partageant ta chaleur naturelle avec celle de la demoiselle. Tu en profite pour mémoriser l’odeur de son parfum et la douceur de sa peau par la même occasion. Tandis qu’elle te souhaite la bonne nuit tu sombre toi aussi dans le sommeil, tout en caressant sa chevelure jusqu’au dernier moment de conscience. De la chance pour Magnolia car tu ne te réveiller pas lorsqu’elle file. Tu dors comme une buche !
Ce n’est que longtemps après que tu émerge de ton sommeil, avec, comme prévu, un sacré mal de tête et une bouche pâteuse. Ark. Le lit est vide, sa chaleur est partie depuis un long moment déjà. Oui, c’était à prévoir, après tout, tu ne la payer que pour une nuit. Son absence rend la chose un peu froide et réaliste. Comme un rêve duquel on se réveille. Tu soupire alors que tu va saisir ta canne pour prendre une douche. Tant qu’à être là aussi bien profiter de l’eau chaude d’une bonne douche ! Au retour, tu découvre le petit mot qui t’arrache un petit sourire. On remet la prothèse, on s’habille des vêtements de la veille avec un léger agacement. T’aime pas porter du linge sale alors que tu sors de la douche. Mais pas trop le choix !
Tu glisse le papier dans la poche de ton jean avant de reprendre la canne et de quitter la chambre. La vie reprend sont court alors qu’elle s’était figée un léger instant dans le rêve d’une nuit de douceur et de vanille.
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