Chapitre 2 : La Corporation
Decay
Decay, destination de tous les possibles, terre en friche où fourmillent les possibilités et l'argent facile, où chaque vice est accessible, chaque désir libre d'être comblé. L'île prospère, se vautre dans sa propre réussite, quand l'ouragan Isaac survint, balayant sur son passage les installations des gangs comme leurs prétentions. Et un nouveau groupe émerge des brisures laissées par la tempête, la Corporation. Forte de son budget, celle-ci s'invite en sauveuse, promet à tous une aide financière et humaine, des avancées conséquentes, pour une vie meilleure. Avides de pouvoir ou simples fantoches, qui sont vraiment les acteurs de cette entité inédite qui prétend étendre son influence à tout Decay.
11/10/2020 HRP
La Newsletter est sortie ! Beaucoup de changements au programme, par ici
11/10/2020 RP
Quelques semaines après la fin de l'ouragan, la Corporation dévoile son visage ! A lire par ici
12/09/2020 RP
L'ouragan Isaac s'abat sur l'île ! Pour en savoir plus, par ici
12/09/2020 HRP
L'event Hurricane est lancé ! Vous pouvez toujours le rejoindre par ici.
27/08/2020 HRP
Nouvelle newsletter ! La lire ici.
05/07/2020 HRP
Nouvelle newsletter et nombreux changements ! La lire ici.
30/05/2020 HRP
Nouvelle newsletter en cette fin de mai ! La lire ici.
30/05/2020 RP
Un nouveau système de réalité augmentée sort au Space Station Bar ! Participer ici
5/04/2020 RP
Le Carnaval de Napoli est lancé ! Extravaganza
8/04/2020 HRP
Nouvelle newsletter ! La lire ici.
18/03/2020 HRP
Ajout des missions et petite update de l'index !
28/02/2020 HRP
Deuxième newsletter ! La lire ici.
28/02/2020 RP
La Milice redouble de violence et est plus présente sur le territoire de Decay !
31/01/2020 HRP
Première Newsletter, bébé forum deviendra grand ! La lire ici.
31/01/2020 RP
L'intrigue "Paranoïa" a été lancée ! Par ici.
17/01/2020 HRP
Ouverture du forum ! N'hésitez pas à rejoindre le Discord !
Il parait qu'une jeune fille a été aperçue allant dans les égouts. Depuis, elle n'a plus donné aucune nouvelle d'elle. Une nouvelle victime des monstres vivant dans les égouts ?Une vingtaine de serpents en liberté auraient été aperçus sur les Docks. La Triade en sueur.On déplorerait trois morts suite au dernier barathon de la rue de la soif.À Kabukicho, des rumeurs sur l'affaiblissement des effectifs du clan Oni commencent à poindre. L'absence de Yokai se fait-elle enfin ressentir ou cela n'est-il que le fruit de l'imagination de quelques résidents ?Une certaine Shrimpette serait en train d'écrire une fan-fiction sur certains membres de Decay.On dit que l'ensemble du corps d'un certain mercenaire travaillant pour la Triade serait entièrement recouverts de ses nombreux crimes. Une dizaine de cadavres auraient été découverts, au cours du mois de Janvier, sur les Docks. Certains évoquent un règlement de comptes. Un tout nouveau malware parcourrait la toile, déguisé sous la forme d'un logiciel à première vue inoffensif. Il installerait une backdoor sur les machines infectées. Pour quelle raison ? Cela reste un mystère. Une femme vagabonde à la chevelure d'un noir profond et aux yeux écarlates prendrait en charge des malades et blessés au travers de Decay pour une misère, offrant une alternative médicale à celle dispensée par l'Église. Fin Janvier/Début Février, une course de rue, en pleine nuit, aurait conduit certains hommes hors des pistes. Plusieurs voitures seraient sorties de la route suite à un « conducteur fantôme ».
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Bang bang - my baby shot me down
Magnolia H. Jenkins
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Ses premières excuses n'avaient pas réellement de saveurs...
Ce n'était que des politesses d'usages pour avoir balancer des remarques un peu sales à une femme qui n'avaient rien demandée. D'accord peut-être que tu l'avais un peu chercher pour t'assurer d'ouvrir un approche inébranlable. Qui sait les déviances qu'on pourrait te proposer ? C'était ta manière de te protéger. Tu ne pensais pas qu'elle serait aussi convaincante ? Efficace ? Tu ne pensais pas que ton assurance et ton porte de tête fier - Comme disait ta main - pourrait le déstabiliser à ce point... Alors tu es un peu surprise par ses nouvelles excuses.

Il a délicatement retenus tes doigts...
Et ça a suffit pour retenir ton attention en entier, tu n'as pas bouger d'un pas, tu t'es contenté de le regarder. Tu as observé toutes ses expressions et ses manières, il semble vraiment s'inquiéter de l'image qu'il renvoie aux autres, l'image qu'il a pu te renvoyé dans le fond. C'est assez surprenant, ça lui donne un côté doux, un peu fragile. Jamais, non jamais, il ne faut dire à un homme qu'il est fragile ! Ce serait le début de la fin, mais tu te réserves le droit de le penser. Il finit par te demander comment rattraper tout ça et se faire pardonner... Convenablement. C'est ce dernier mot qui te fait un peu papillonner les paupières sous la surprise et l'incompréhension. Ah oui, il pense donc avoir été irrespectueux à ce point ? Tu tends la main pour venir doucement la poser sur sa joue. Et en la caressant de ton pouce, tu lui réponds d'une voix très douce :

- « Je suis désolée de t'avoir placé dans une situation si inconfortable mais c'est ainsi que je procède pour me protéger des hommes qui pensent tout avoir parce qu'ils paient... Car eux, ce ne seront jamais mes clients... »

C'est pour trouver les petites billes imparfaites qui viendront parfaite ta collection, remplir ton livre de clients si atypiques. Tu retires doucement ta main de son visage, détournant par la peine ton regard pour pouvoir interpeller le barman tout en continuant ta réponse :

- « Ne te sens pas si mal, tu as été bien plus respectueux que bons nombres des hommes qui réalisaient que je n'étais pas ce qu'il espérait... » Un petit regard du coin de l'oeil, un sourire aux lèvres pincées. « Je t'ai dit, tu es déjà pardonné mais... Pour te rattraper, je te demande de me dire ton prénom en entier, sinon tu resteras Monsieur Baz... »

Tes yeux se font plus rieurs, plus malicieux. Tu déposes le verre que le barman t'a gentiment apporté, il est si serviable et gentil ce garçon avec toi. Tu ouvres la bouteille pour le servir. Puis, délicatement tu viens pousser le verre vers lui. Tes grands yeux bleus sombres se perdant dans ceux de ton ... Ton quoi ? Futur client ? Client d'un soir ? Partenaire d'un verre ? Tu ne sais pas... Mais ton cœur fondant ne pouvait pas se résoudre à laisser un homme se sentir si mal, alors que dans ces yeux ils semblait si seul... Oui, c'est ce que tu as ressenti, un profond sentiment de solitude, un besoin d'attention. Tu ne penses pas qu'il viendra payer tes services désormais mais tu aurais certainement pu lui offrir un peu de ce qu'il désire... Dans un sourire doux, tu rajoutes avant de porter ta nouvelle grenadine à l'eau à tes lèvres Pulpeuses :

- « Ah !C'est bien ce qu'il me semblait, ça fait environ un mois que tu es dans les parages... »

Mais de là à imaginer qu'il pouvait penser à toi... C'est assez flatteur, vraiment. Paille entre les dents, tu rougies un peu en souriant. C'est bon Monsieur Baz, tout va bien. Voilà ce que tu lui dis sans parler... Pour finir de l'en convaincre, tu te penches à son oreille un peu et tu murmures : « Je me suis tout de suite demandée si tu étais la personne de mon rendez-vous ce soir... »
Parce que toi aussi, tu l'avais remarqué, le Wierdo.
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La surprise sur ton visage quand elle vient approcher sa main de ta joue et délicatement la caresser. Ça te fait quand même un peu étrange mais ça te plait. Magnolia reste quand même un choc pour toi. Elle démenti une vision sale que tu as de sa profession. Alors qu’il s’agit sans doute de l’un des plus vieux métiers du monde, les innovations en ce domaine et les protections qu’elle possède son franchement futuriste comme conception. Elle se protège, ce qui est normal pour un humain normal. Dans le fond c’est ça, elle a le titre de pute mais n’en es pas réellement une.

Ce n’est pas qu’elle ne correspond pas à tes attentes, c’est vraiment toute la mise en scène qui ta fais flipper. À la base tu pensais rencontrer une fille sympa, passer du temps cool avec même s’il n’y a pas d’activité charnelle d’impliqué. La payer pour sa présence et sa conversation. Tu plisse les yeux quand elle te taquine, avant de rire à ton tour.

« Bazil Da Silva. »

Mais tu n’aime pas que l’on évoque ton nom complet. Un surnom te suffit amplement. Tu attrape entre tes longs doigts le verre qu’elle glisse vers toi. Ton attention est maintenant sur le verre et tu ne peux t’empêcher de te dire que tu prendrais une bonne tasse de thé à la place… mais comme tu n’es pas chez toi, tu va te contenter de ça. Puis ses paroles t’indique qu’elle avait remarqué ta présence et qu’elle avait supposer que ce serait toi ce soir et ça te fais frissonner qu’elle soit si proche.

« J’aurais préféré ne pas t’avoir montré mon mauvais côté aussi vite. »

Tu as ce petit sourire maintenant beaucoup plus calme et doux sur les lèvres. Oui, cette femme à le don pour trouver les mots agréable et rassurant. Tu ressens davantage la femme que tu as si longtemps observé, quelqu’un de chaleureux et sensible. Pas cette actrice flippante et arrogante. Le verre en main, tu te retourne pour t’adosser contre le comptoir, face à la pièce et ses clients.

« Je te rassure, j’ai aussi des qualités ! »

Que tu lâche à la blague, voulant toi aussi alléger la conversation.

« Comme par exemple… Je sais jouer du piano. »

Même si ça fait un sacré bail de ça et que tu dois être plutôt rouillé… C’est quand même un truc où tu es assez bon. Est-ce que tu tenterais de te valoriser par hasard ? C’est plutôt que tu cherches à faire connaissance, démontrant que tu n’es pas uniquement ce monstre qu’elle a découvert derrière le rideau de velours.

« En fait, je sais… Je sais ce que je veux. La chambre est-elle encore une option ? »

Oui voilà, tu sais ce que tu pourras faire de Magnolia. Ce que tu attends d’elle c’est sa présence, sa conversation et peut-être des fous rires si l’alcool viens à couler à flot.

« J’ai compris les closes. » ajoute tu pour tenter de la convaincre.
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Maintenant tu comprends pourquoi Baz'
Tu pensais n'avoir qu'un prénom, te voilà avec un nom complet. C'est précieux. Tu le remercies d'un petit signe de tête. Tu es surprise de l'entendre une fois encore se dévaloriser, il parle de son mauvais côté et toi ? Tu ne le trouves pas si horrible ce côté, tu observes ce petit sourire qui se forme sur ses lèvres. Il semble plus doux et calme, alors c'était vraiment votre distance qui le dérangeait à ce point ? Le plus troublant c'est qu'après son constat peu flatteur il semble réellement vouloir te prouver que ce n'est pas un mauvais garçon. Tu y trouves des complexes, un manque de confiance, un manque d'attention. Le désir d'être spéciale, d'avoir quelqu'un à ses côtés. Oui, c'était un mal nécessaire, tu commences à comprendre comment il se sent à l'aise, comment il aime que tu l'abordes.

On pourrait penser que ton métier est simple...

Qu'il ne demande pas énormément d'effort mais contrairement à celle qui use du corps pour satisfaire les autres, tu dois user de ta tête. Tu dois faire ça avec subtilité, t'adapter aux besoins et aux envies, répondre au mieux à la personne en face de toi pour qu'elle se sente conquise... Il parle du piano, c'est un instrument si noble... Tu as compris, ton regard est donc important à ce point. Plus aucun doute, tu adoucies encore plus tes traits. Lui, il est facilement attachant, tu le sens. Et là, comme tu pouvais t'en douter, il redemande pour la chambre. Il le fait avec une pointe d'hésitation, tu souris car il ne semble pas comprendre que tu n'en restes pas moins, un prestataire de service qui cherche un nouveau contrat. En vérité ? Tu pourrais presque hésiter à lui facturer cette soirée au complet. Tu hésites, tu verras bien le moment venus. Tu te contentes d'attraper la bouteille dans une main et sa main dans l'autre. Tu lui souris et tu chuchotes :

- « Suis-moi Bazil...» Et oui, plus de monsieur Baz, tu l'as assez chambouler comme ça.

Tu caresses doucement sa main dans la tienne, tu lui as évidemment laisser le temps de prendre sa canne et tu ne presses pas le pas pour qu'il puisse te suivre, tu fais signe d'une main au barman énonçant simplement « Chambre 427 » Il hoche la tête, il a noté. Tu peux continuer ton chemin. Le couloir, l’ascenseur et ton petit rire, encore le couloir et vos pas discrets et vous y voilà. Ce n'était pas si long, non ? Sur le chemin, quelques regards, quelques sourires, ton pouce qui caresse toujours sa peau comme pour lui assurer que tout ira bien... Il faut éviter de parler dans les couloirs, c'est pour ça que tu n'as rien dit. Tu lâches sa main pour venir déverrouiller la porte en sortant la carte magnétique de ta poche. Oui, ici c'est ta chambre de services basiques, les petits budgets qui ne peuvent pas se payer plus de luxe que ta simple présence.

C'est une chambre assez simple, avec deux lits deux places. Il en faut toujours deux. Un petit bar avec des bouteilles d'alcool et un réfrigérateur pour les softs. Une salle d'eau toutes équipée et un coin bureau, des grandes fenêtres aux rideaux déjà fermés... D'un signe de tête, tu l'invites à rentrer en déposant la bouteille sur la table, avant de revenir fermer à clés derrière vous deux. Il ne faudrait pas qu'une personne viennent vous déranger, hum ? Là, tu t'avances assez lentement dans sa direction, ton gilet glisse de ton épaule, qu'importe. Une fois devant lui, tu tends les bras pour venir délicatement prendre ses mains dans les tiennes et joindre vos doigts, les mélanger pour mieux les serrer et demander dans un sourire doux :

- « Alors dis-moi Bazil, Qu'est-ce-que tu aimerais ce soir, je t'écoute ?  Est-ce-que ça te va si je t'appelle Bazil, plutôt que Baz, j'aime bien ton prénom... »

Il faut dire qu'il roule particulièrement bien sur ta langue. Tu restes devant lui, souriante et curieuse, tu te demandes qu'elle sera sa première envie, qu'est-ce-qu'un garçon comme lui va demander ? Ses cheveux ? Un câlin ? Des choses sales ? Oui, tu n'écartes pas cette possibilité... Elle est liés à votre monde, non ?
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Hors de ce petit espace étouffant tu reprends des couleurs, tu reprends confiance en toi et au naturel des choses de la vie. Ce n’est plus la scène d’un théâtre sordide, ça te semble plus vrai, plus réel. En homme de science que tu es ce genre de petite rencontre de rôle te rend mal à l’aise. Tu ne seras donc pas le type qui va lui demander de jouer à la maman. Quoi qu’il en soit, tu observe son visage un moment, curieux de savoir ce qu’elle va te répondre. Tu es soulagé d’entendre ton nom sans le MONSIEUR si oppressant. Elle t’invite à la suivre, bouteille à la main. Tu es docile, tu la suis sans un mot, curieux et attentif aux évènements qui se produisent devant toi.

Un numéro de chambre et vous marcher en direction de cette dernière. Tu vois bien qu’elle fait attention a ne pas trop te laisser derrière malgré ton souci de canne. Ça ne t’a jamais empêcher d’être parfaitement fonctionnel puisque ça date de longtemps… si bien que le problème c’est surtout que ta jambe mécanique aurait bien besoin d’un pouce ou deux de plus pour que tu n’aies plus besoin d’une canne… Parce qu’en fait, c’est surtout ça le problème. C’est une charmante attention et c’est en partie ce genre de chose que tu espérais d’elle. Ta main dans la sienne te semble si petite et délicate, elle doit sans doute sentir la chaleur qui émane de toi. Ton sang est chaud en permanence. La circulation est bonne.

La porte s’ouvre et… ce n’est pas un donjon, c’est vraiment une chambre assez simple, assez banale et ordinaire, ce qui te convient parfaitement. Tu regardes à gauche et à droite, examine la pièce un moment. Deux lits. Un petit bar et un mini frigo. Vraiment une chambre très classique. Puis alors que tu regarde le tout, tu sens les doigts de Magnolia se glisser dans les tiens tout en se rapprochant, te posant une question toute simple. Cette proximité te donne toutes sortes d’idées mais tu t’en tiens à votre conversation au bar. Rien de charnel. Dommage, car tu l’aurais bien embrassé sur le coup.

« Bazil c’est bon. » Que tu lui réponds en haussant les épaules.

Après tout, c’est bien ton prénom. Pas de quoi en faire un plat même si ça te fait étrange. Alors qu’allez vous faire ce soir ?

« Je te propose un petit jeu. »

Tu lâche ses mains et tu t’approches de la bouteille. Tu pose ton index dessus, joueur, tout en tournant ton attention sur Magnolia. C’est alors que tu tire la langue pour faire une petite grimace, révélant ton piercing sans le vouloir ou y penser.

« Un jeu à boire est-ce que ça t’intéresse ? »

Tu viens préciser ton idée.

« Quelque chose comme… ‘Je n’ai jamais’ ? Comme ça, on apprend a se connaitre et je crois que ça serait assez drôle au final… tu en dis quoi ? »
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« Je te propose un petit jeu. »
Ce n'est pas le premier qui commence comme ça. Tu le regardes faire, tu l'observes prendre ses marques dans cette nouvelle bulle, ce sera votre espace, pour une nuit ? Pour plusieurs ? Qu'importe ce qu'il choisira, tu suivras. Car il est devenu le client, alors si le client veut, tu lui donnes. Mais avant de lui donner tu veux savoir ce qu'il désire... Alors il libères tes mains, il se détourne pour revenir trouver la bouteille... Tu aurais du en prendre une pour toi, enfin heureusement qu'il y a le petit bar, celle-ci elle a vraiment l'alcool qui te fait dresser les poils et grimacer à chaque gorgée. Tu l'observes avec ton petit sourire et quand il te tire la langue, tu lèves un sourcils, c'est surprenant. Pas déplaisant.

Forcément, jeux d'alcool.
Il s'impose, il veut donc se frotter à l'ivresse ? Il veut voir comment se conserve les fleurs dans l'éthanol ? Amusant, vraiment. Tu ne lui diras pas que ta descente grimaçante n'est pas très endurante, car tu sais reconnaître le verre qui sera de trop. Car tu connais parfaitement tes limites. Comme il a dit "Jeu à boire" tu dois prendre des munitions toi aussi, tu te diriges donc vers le frigo, tu te penches pour y prendre quelques mignonnettes de vodka et une canette de jus de pomme. Tu vas faire le mélange dans un verre à mesure des questions.

C'est donc un "Je n'ai jamais" qu'il veut lancer...
Il veut ton avis alors tu souris et tu réponds que « Oui, c'est parfait... » Puis tu te permets de retirer tes chaussures pour te mettre assise sur le lit, tu lui laisses évidemment la place pour venir s'y installée lui aussi. Tu répètes les règles avec un petit sourire : « Donc Bazil, si tu as déjà fait la chose, tu bois... Si je l'ai fait, je bois. La question se posent forcément à nous deux à chaque fois... » Et pour sceller et lancer le jeu, tu viens taper ton verre contre le goulot de sa boutique... en disant : « Je n'ai jamais fait de "Jeu à boire" de ma vie... » Forcément tu bois et la partie commence vraiment.

A tour de rôle vous lancez des idées, Parfois c'est lui, parfois c'est toi. Couché avec un homme, tu bois. Couché avec une femme, tu hésites... Et tu trempes les lèvres, expliquant que c'était pas jusqu'au bout. Dormir à la belle étoile, tu ne bois pas. Vomir sur quelqu'un, tu grimaces et tu bois en riant et tu ajoutes dans un petit rire vaincu « Hélas, je le fais au moins une fois par mois... » Et oui, c'est l'un des plaisirs de tes clients... Puis faire un massage des pieds, tu bois affirmant « Plus en recevoir qu'en donner... » Ton verre est presque vide. Tu le remets à niveau pour reprendre les vérités. Manger la croûte de la pizza, tu ne bois pas et tu es fière. Tu lui confies d'ailleurs que tu manges aussi que les morceaux de cookies où il y a les pépites de chocolats...

Ainsi, le jeu devient une sorte d'échange de vérités, de confidences. Tu parles de l'amour que tu portes à tes cheveux, tu veux qu'ils reste souple même si tu les malmènes un peu en les décolorant comme ça. Tu enchaînes sur les odeurs, tu expliques en riant que tu es très sensible aux odeurs, tu te penches à son cou pour faire mine de le renifler et tu pouffes de rire, lui murmurant : «J'aime bien ton odeur, la mienne, elle me permet de camoufler ceux qui pourrait avoir une odeur qui me dérange... C'est pour ça que je sens si fort la vanille... » Tu penches la tête pour lui offrir ton cou dégagé de tes cheveux pour venir renifler, s'il le veut. Puis tu as une nouvelle illumination.

Tu te retournes à la hâte vers lui, forcément s'il s'est penché pour te sentir il est tout proche, mais tu ne recules pas. Tu souris et tu parles de ta peau, tu viens même lui tendre ton bras avec un petit sourire fier :

- « Tiens regardes, je prends vraiment soin de ma peau, pour qu'elle soit toujours très douce et agréable à toucher... »

Tu souris avec une certaine gêne, un peu complice, assez enjouée. Oh, tu as toujours eu cet air enjoué, mais là, c'est facile de se dire que ce n'est pas surjoué, hein ? Oui, tu passes une bonne soirée, ce rose sur les joues dû à l'alcool, ton énergie simple et chaleureux, tu précises :

Je suis très tactile alors j'adore les massages, surtout sur le visage, les mains et les cheveux... Et les câlins. Alors tu pourras prendre certaines libertés vis à vis de cela dans notre arrangement et donc me toucher de temps en temps, ça sera pas mal perçue, du moment que tu ne me mets pas une main au cul sans prévenir... »

Oui, ça t'es déjà arrivé hein ? Et oui... Puis tu te penches un peu plus, tu cherches son regard, tu t'es presque glissé sous son bras, vos jambes un peu enchevêtrés l'une dans l'autre : « Et toi ? Tu es tactile ? Tu touches les gens ? Tu aimes que les gens te touchent ? » C'est important pour satisfaire ton client, n'est-ce-pas ?
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Oui, tu prends tes marques et tes aises. Dans un endroit comme ça tu te sens un peu plus en contrôle mais ce n’est peut-être que ton imagination qui te joue des tours. La jeune demoiselle semble légèrement surprise de voir que tu lui tire la langue mais tu sais aussi montrer ton coté joueur, taquin et aventureux. Tu n’as aucune prétention quant à ta résistance à l’alcool, si ça se trouve, Mag’ boit bien plus souvent que toi… L’alcool tend à te monter à la tête sans trop de mal. Tu suis la demoiselle du regard, celle-ci se dirige vers le frigo, est-ce là le signe qu’elle veux bien de ton idée ? Agité comme un gamin à cette idée tu est légèrement déçu de voir que tu seras le seul à boire l’alcool pur. La canette de jus de pomme indique qu’elle na pas la même intention que toi sur la chose mais ce n’est pas grave, c’est une fille, tu peux bien lui donner ça !

Observateur tu prend son invitation à la rejoindre sur le lit, enlevant tes chaussures avec un peu de maladresse comme d’habitude pour mieux t’y asseoir. Tu n’es cependant pas assez à l’aise pour enlever ta jambe devant elle, des plans pour qu’elle flippe a mort si tu venais à faire ça comme ça mine de rien. Elle explique le jeu sans doute pour s’assurer que vous ayez les mêmes règles pour la partie et ne semble pas mettre de clauses de confidentialités. Donc tu sous-entends qu’il sera possible de poser des questions plus salaces pour le fun.

La partie est lancé. Évidemment, tu as déjà joué alors tu bois. À ton tour tu lance un « Je n’ai jamais dessiner dans les chiottes d’un bar. » C’est précis, mais tu as déjà fait ça. Couché avec un homme, tu bois, coucher avec une femme tu bois, tu ne bois pas pour la belle étoile car toi non plus tu n’as jamais fait ça… Eh oui, tu as déjà vomi sur quelqu’un et tu précises « Ma première cuite. »

« Au moins une fois par mois ? »

Que tu t’étonne sur le coup comme si c’était quelque chose de programmer ? Plus les gorgées passent plus tu rigole à rien. Quoi qu’il en soit, pas de massage de pied pour toi, tu n’es pas en confiance quant a cette part de ton anatomie. « Je n’ai jamais eu un chat. » Et tu ne bois pas, car tu en as un. « Je n’ai jamais eu à coudre un doigt. » et tu ne bois pas une nouvelle fois. Tu t’amuses à volontairement glisser des informations douteuses a ton sujet pour intriguer la demoiselle… c’est surement à ce moment là que tu as précisé…

« Je suis Chirurgien. »

Tu bois à même la bouteille, c’est plus simple. Tu mange les croutes de pizza « Avec du beurre » que tu précise toi aussi bien fier de tes goûts culinaires. « Je n’ai jamais engloutit une pizza a moi tout seul le même soir.» tu ne bois pas, tu la déjà fais a plusieurs reprises et ça aussi t’es plutôt fier. Elle pourra comprendre que tu es gourmand bien que tu ne sois pas dodue.

Le jeu se perds peu a peu dans ta tête. Tu viens tirer une main a ses cheveux pour toucher quand elle en parle mais tu t’arrête quand tu la vois s’approcher. Oui tu renifle car tu es pas mal curieux. C’est vrai, elle sent la vanille et toi tu dois surement sentir le linge propre… Parce qu’a part ton désodorisant, tu ne mets pas de parfum. Sous son invitation sur glisse tes doigts sur son bras. Vous êtes sacrément proche mais comme tu est ivre tu ne vois pas le mal. Impossible de ne pas pouffer de rire quand elle parle de la ‘main au cul’, tu hoche la tête en même temps. La question t’es alors retourner… comment y répondre ? Surtout qu’elle est si près que c’est quasiment intimidant.

« J’aime la douleur en petites dose… »

MASOOOO. Mais oui hen fallait bien que l’info sorte un jour ou l’autre.

« Mais c’est bizarre dis comme ça… J’ai l’impression que je n’ai jamais vraiment eu de relation délicate et douce… »

Et puis, elle te semble être ce genre de personne douce et délicate. Tu l’imagine mal dans un habit sado-masochiste venir te fouetter le cul avec des mots sales. Quoi que ça pourrait être charmant… non ?

« Je sais pas toi… mais je pense que j’ai trop bu… »
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« Au moins une fois par mois ? »
Tu ne précises pas, tu n'as pas envie de dévoiler ce genre de détails avant qu'il t'en dise un peu plus sur ses préférences. Est-ce-que vous allez partager une chambre qu'une nuit autour d'un bouteille et d'un jeu à boire débile ? Ou alors devrait-il l'un de tes clients plus ou moins régulier ? Tu ne sais pas... Car quand tu le regardes, quand tu constates la simplicité et la complicité de cette soirée... Tu te dis, qu'il n'a vraiment pas besoin de toi pour combler ses soirées, non ? Ou c'est que son fétiche est tellement honteux qu'il se force ? Tu ne sasis pas... Mais tu sais désormais que c'est un Chirurgien... Est-ce-que ça rapporte assez pour réellement pouvoir payer tes services ? Surtout qu'en fonction de la demande, tu peux sans mal augmenter le prix des rencontres... Tu ne perds pas le fils, même si cette soirée est agréable... Vous n'êtes pas entre amis, vous êtes sur ton lieu de travail.

Les informations s'enchaînent.
Tu le découvres sous un nouveau jour, tu le découvres avec plaisir. Tu le découvres mais cette information, cette petite information te fait un peu relever les sourcils sous la surprise. Il aime la douleur. Il a précisé à petite dose mais tu as quelques doutes sur la véracité de cette information... Et s'il voulait que tu lui fasses des vilaines choses ? Raaah voilà t'es partie dans ton délire, tu te demandes s'il aime ça avec les mains ? Avec des objets ? Le cliché de la cravache ? Tu te poses vraiment trop de question pendant que lui, il t'expliques surtout qu'il n'a jamais connu la douceur... Ok, ça c'est triste. Tu peux lui en apporter de la douceur toi. Du douceur comme du cuir enfaite si c'est ce qu'il désire... Et si tu posais la question ? Tu ne sais pas. Il te dit qu'il a trop bu, tu pouffes de rire.

Toi tu n'as pas été si joueuse.
Tu n'as pas attraper l'alcool pur, tu t'es assurée de le diluer à chaque gorgée. Tu ne peux te permettre l'ivresse trop poussée avec un homme que tu ne connais pas dans une chambre. Ce ne serait pas une bonne idée. Tu le regardes et tu t'avances un peu plus vers lui. Tu tends la main vers ses cheveux et tu tires lentement sur son élastique pour libérer ses cheveux. Tu aurais pu demander son autorisation, mais tu veux lui montrer, tu veux qu'il découvre ce qu'il n'a jamais eu. La douceur. Tu poses ton index sur ses lèvres, signe qu'il ne faut pas parler. Tu as une idée. Tu veux aller jusqu'au bout. Tu te places plus ou moins face à lui et tu viens délicatement glisser tes doigts dans ses cheveux pour les caresser, lentement, tu lui souris. C'est assez intimidant, l'alcool n'aide pas. Tu sens ce feu qui tapisse un peu tes joues. Tant pis, tu as pris des couleurs derrière ton petit sourire. Tu viens ensuite l'enlacer, tu passes tes doigts dans sa nuque, tu caresse de tes ongles, tu lui offres un câlin, c'est idiot mais la douceur, ça commence comme ça, non ? Profitant de ce moment tu l'entraînes avec toi...

Ainsi, allongés dans le lit...
Les yeux dans les yeux, vos nez qui se frôlent. Tu ne le quittes pas des yeux, ta main passe de ses cheveux à sa joue, avant de finir sa course en effleurant ses lèvres, tu souris et tu murmures : « Bazil, je te présente la douceur... Enfin qu'un exemple... » Tu as ce petit rire secret, complice et tu viens t'avancer pour que ses lèvres touche ton front, tu mélanges vos jambes comme tu peux, tu prends volontairement son bras pour qu'il se referme sur toi, oui, tu te blotties. Et les yeux clos, tu rajoutes : « Si c'est de la douceur dont tu as envie, je le ferais volontiers. Elle est naturelle chez moi... Sinon, je pourrais te faire mal, si c'est ce que tu désires... » Après tout, c'est la vérité. Il paie alors tu feras ce qu'il veut, dans la mesure de tes limites évidemment. « Est-ce-que tu sais désormais s'il ne sera question que d'une nuit ? » Client éphémère ? Client régulier ? C'est lui qui peut te le préciser...
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Ton regard dans le sien, tu ne semble pas comprendre ce qu’elle cherche à faire en s’approchant ainsi de toi. Comme tu n’es absolument pas méfiant, voir même assez docile tu la laisse faire avec cette curiosité bon enfant. T’es long cheveu tombe alors sur tes épaules tandis que l’élastique qui les retenaient se fait retirer par la petite main de la demoiselle. Pourquoi elle a fait ce geste ? Tu ne comprends et tu la regarde en penchant légèrement la tête. L’air de dire ‘Que fais- tu ?’. Surtout qu’elle te fait signe de garder le silence. Tu obéis. Ça fait partie du jeu ? Tu ne sais plus mais tu la laisse faire, non sans lâcher un petit rire sous les émotions. Ses doigts qui viennent se glisser dans tes cheveux te chatouille sur le coup alors que ton regard ne quitte pas le sien d’une seule semelle. Ça en est quasiment gênant de la voir ainsi le rouge aux joues.

Voilà que tu loupe une mesure, elle te fait quoi là ? Elle l’enlace pour quelle raison ? Ce que Magnolia te fait en ce moment, tu ne peux pas le comprendre ou l’expliquer encore mais vous vous retrouver étendu sur le lit, face à face et si près que tu peux non seulement sentir son parfum mais aussi la cadence de sa respiration contre ta peau. Le bout de ses doigts qui passent sur toi te fais frissonner, tu es chatouilleux. Elle évoque la douceur comme si vraiment tu ne savais pas ce que c’était… Il est vrai que tes relations ont tous été plutôt du genre violente et toxique. Si bien qu’il ta sembler normal et naturelle quelles soient tous ainsi. Le moment est plutôt agréable bien qu’étrange. Tu ne sais pas trop quoi faire de tes mains pour le coup.

Est-ce l’histoire que d’une seule nuit qu’elle te demande ? Honnêtement, tu n’en sais rien. Tu es légèrement confus sur la suite des choses et tu n’as pas forcément envi d’y réfléchir en ce moment. Comme ton cœur commence à ralentir, tu sens l’épuisement de la journée te prendre au corps, sans parler de l’alcool qui à réchauffer ton sang toute la soirée.

« UHm…. J’en sais rien… Je pourrais te payer pour jouer les bonnes amies je suppose… »

Car tu manque cruellement de ce genre de relation proche et fusionnel. Oui, tu es prêt à payer quelqu’un plutôt que de faire l’effort de rencontrer une personne qui pourrait répondre à ses critères. Tu te rends compte que tout ce que tu désires c’est une personne avec qui partager ton temps, quelqu’un qui ne peux pas partir en claquant la porte. Une personne que tu peux garder avec toi et qui ne te quittera pas, prisonnier du contrat contre de l’argent.

Te retrouver seul et sans rien ça ne t’intéresse pas vraiment. Ça présence chaleureuse est agréable et te rend paisible. Elle réussit à doucement faire disparaitre ton anxiété.

« T’es sympa… Je veux que ça dure… je me moque du prix. »

Parce que tu sais aussi qu’elle n’est pas donnée. Oui, tu crois que ton fond de Chirurgien est suffisant, tu bosse vraiment beaucoup et tu es efficace l’air de rien.

« C’est con… mais ne m’abandonne pas. »

L’ivresse parle tout autant que la fatigue qui embarque de plus en plus dans tes paroles. Rendant la vérité encore plus présente et douloureuse par moment.

« Tu veux bien dormir, ici, avec moi ? »

Insistant sur le mot ‘dormir’ évidemment, tu n’as pas l’intention de poser les mains là où il ne le faut pas. Magnolia à été super méga clair plus tôt dans la soirée et tu ne l’oublieras pas de sitôt.
Bang bang - my baby shot me down
Magnolia H. Jenkins
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Jouer les bonnes amies...
C'est tellement triste comme demande, c'est tellement singulier. Tu ne pensais pas recevoir un jour une demande aussi... sage ? Elle reflète une sincère et profonde blessure à tes yeux, elle te serre le cœur. Ce genre de choses, normalement on ne doit pas les acheter, ça vous tombe dessus comme une évidence et il suffit de faire le choix de vivre avec ou non. Tu te dis qu'il aurait pu être ton ami en dehors de ses murs. Il aurait pu sans mal te faire rire autour d'un verre, accoudé au bar. Tu lui aurais demander autant de choses que ce que vous avez pu apprendre ce soir, vous aurez partagé ce moment simplement avant de vous promettre une prochaine fois. Et s'il avait donné suite, lancé un nouveau rendez-vous, vous vous serez revus. C'est aussi simple que ça, devenir une bonne amie...

Mais ce n'est pas juste une question d'amitié.
Ni une question de douceur, c'est bien plus que cela. C'est une question de confiance, un rapport affectif important. Une crainte qui veut se voir soulager. Un coeur qui a besoi d'être pansé. C'est ce que tu ressens quand il te parle avec tant d'assurance du prix, quand il t'implore de ne pas l'abandonner. C'est pas con, c'est un sentiment sincère, ça ne se contrôle pas et souvent ça ne s'assume. Tu l'admires pour sa sincérité et sa capacité à pouvoir le formuler. Alors, même si c'est con pour certain, tu t'en moques, tu ne l'abandonneras pas. Tu seras à ses côtés, la bonne copine qu'il doit payer pour s'assurer de pouvoir toujours la trouver quand l'envie ou le besoin se fait sentir. Une bonne copine sans condition, sans contrainte. Acheter ton temps pour une chose aussi simple, tu trouves presque cela injuste... Peut-être qu'un jour, tu seras juste la bonne copine. Si bonne qu'il n'aura plus besoin de payer ? Oui c'est possible quand la confiance entre vous deux sera installée, comme une vieille amie...

Pour le moment, il est l'heure de dormir.
Il te demande de rester avec lui, tu sais qu'il ne parle pas juste de la pièce. Il te parle de rester dormir ici dans son lit, avec lui. Tu n'accordes pas ce privilège à tous tes clients... C'est un bonus qui se plait mais pour ce soir, tu lui feras encore ce petit cadeau, faut savoir encourager la fidélité de ses clients, non ? Faut lui donner envie de revenir et puis, tu peux bien faire ça. Tu as envie de faire ça. Car ses mots, ils étaient vraiment touchants.. Alors tu souris et tu réponds en te redressant pour embrasser sa joue :

- « Oui, je reste dormir avec toi ce soir... » Tu te redresses pour venir délicatement replacer ses cheveux, c'est quand même un très bel homme, Bazil. Son visage aux traits bien dessinés, son regard sombre, sa peau caramel. Tu as toujours aimé les cheveux longs quand ils sont beaux. Tu souris un peu plus et tu précises : « Mets-toi à l'aise pour dormir, j'dois aller ... » Tu pointes la salle de bain avec un petit air gênée. C'est que tu as bien bu ce soir... Avant de passer la porte de la salle d'eau, tu te retournes pour le regarder et tu lui souris avec tendrement :

- « Je ne t'abandonne pas, si tu ne m'abandonnes pas. »

Devant le miroir, tu soupires...
Quelle étrange soirée. Tu fais ce que tu dois faire, besoin naturelle oblige, puis tu te laves les mains, c'est important. Tu viens te passer un peu d'eau sur les joues. Tu retires une partie de tes affaires, tu vas dormir avec ta robe, ça ira bien. Tu laisses tout derrière la porte puis tu reviens dans la pièce, tu t'accordes encore le temps d'un verre d'eau, détachant ses cheveux, les brossant du bout des doigts. Tu reviens vers le lit qu'il se soit changer, qu'il se soit lever pour lui aussi aller vidanger qu'importe. Tu vas dans le lit prête à l'accueillir dans tes bras pour cette nuit, tu lui as promis, non ?
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Pour l’instant tu trouves du réconfort à l’idée de la payer pour ce genre de service, tu crois qu’elle pourra remplir ce rôle à merveille, alors ça ne te gêne pas d’investir. Bien que ce soit quand même très étrange. Tu n’as pas la moindre idée si ta demande sera accepté, tu ne fonde pas grand espoir là-dedans mais ce serait plaisant de sentir une présence a tes cotés pour la nuit, une chaleur autre que celle de ton chat et du canapé dégueulasse qui te sert de lit. Tes yeux à moitiés fermer, tu sens le baiser délicat de la demoiselle se poser sur ta joue, à ta grande surprise, elle accepte ta proposition.

Aller à la toilette. Oui, tout à fait, ce serait une idée plus qu’envisageable. Tu iras à sa suite car toi aussi tu dois vidanger l’alcool qui s’est accumuler dans ta vessie. Se mettre à l’aise as t’elle dis ? Ta jambe te démange et dormir avec est vraiment un fardeau… Tu attendras donc après la salle de bain pour l’enlever discrètement. Suivant Magnolia des yeux, tu lui réponds d’un sourire et d’un geste de la tête. Ça te gêne un peu de l’avouer mais tu manque cruellement d’une présence comme la sienne. Quoi qu’il en soit, ce fut à ton tour par la suite. C’est que tu fais sensiblement la même chose, pisser, te laver les mains et passer un peu d’eau sur ton visage à toi aussi. Voyant les restes de vêtement de la demoiselle, tu en fais autant, retirant t’es vêtement du haut avant de la rejoindre vers le lit.

« Uhm… tu promet de pas flipper ? »

Tu la regarde un peu préoccuper, puis tu fais glisser ton pantalon sur le sol. Découvrant ainsi devant Magnolia ta jambe mécanique ainsi que ton boxer noir ajusté… Mais ce qui te préoccupe n’est pas le sous-vêtement mais plutôt la jambe elle-même. Une fois bien assurer que le ‘choc’ soit passer, tu viens détacher avec soulagement cet élément du reste de ton corps.

« Je n’arrive pas à dormir avec. »

Tu te raccroche à l’idée qu’elle ne va pas fuir étant donner que tu la paie pour rester. Oui, c’est con mais t’aime croire que l’argent que tu lui donne te donne un certain contrôle ? Quoi qu’il en soit, tu te glisse sous la couverture mais tu n’ose pas vraiment te rapprocher d’elle jusqu’à ce que tu sois certain de sa réaction. En temps normal, tu t’en moquerais car c’est un sujet que tu aurais sans doute déjà abordé car on te pose souvent la question pour ta canne mais cette fois c’est différent. Elle n’a pas demandé à savoir pourquoi tu avançais comme un infirme. Sans doute est-ce par politesse ?

« À Decay on est tous un peu cassé. »

Que tu plaisante, coucher sur le côté, vers elle…Cherchant à lire dans ses yeux, cherchant un réconfort quelconque. Tu préfère largement le thé que l’alcool. Cette boisson te rend complètement amorphe et tu redoute le réveil et l’état dans lequel tu seras, quasi certain de sentir le mal de tête qui va suivre.
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