Rogelio E. Hernández | « Under my Skin »

+ Il ne touche jamais à la marchandise ;
+ Quiconque tente de le voler ne le vole qu'une seule et unique fois ;
+ Les seules victimes connues de l'homme sont ceux qui tentent de le voler ;
+ Elles sont toutes décédées suite d'une overdose ;

+ Il déteste l'arrogance de la jeunesse ;
+ Il déteste aussi les lèches-bottes ;
+ Il préfère toujours les actions que les paroles ;
+ Il aurait préféré rester dans l'Ombre ;
+ Bien qu'héritier de Miguel, il n'a jamais eu les épaules pour un tel job ;
+ Il déteste qu'on lui pose des questions sur son passé ;
+ C'est un ancien militaire ;

+ Il possède un vivarium dans son Office ;
+ Il possède deux scorpions ;
+ Il récolte encore lui-même leur venin ;

+ Il aime beaucoup manger des Chili con Carne ;
+ Il mange d'ailleurs toujours très épicé ;
+ Il cuisine lui-même ;
+ Lorsqu'il doit manger un plat préparé par quiconque, il demande un goûteur ;

+ Il fume uniquement des Cubains, le reste n'étant qu'une insulte ;
+ Il apprécie toujours un bon verre de Tequila ;
+ Mais il ne boit jamais quand il est « en service » ;

+ Il a un sale accent hispanique même quand il parle anglais ;

Des protégés Au fil des années, surtout avec son âge grandissant, le vieil homme a commencé à prendre sous son aile quelques jeunes (et moins jeunes) qui apprécient sa sabiduría (sagesse).
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Des Jaloux Au cours de ses années au sein du Cartel, être désigné comme L'Héritier de Miguel n'a pas toujours été une tâche aisée. Certains ne l'ont pas vu d'un bon oeil et n'acceptent toujours pas cette décision. Il est d'ailleurs possible que, depuis le retour de la Main, vous en vouliez d'autant plus à l'homme.
Démons du Passé Avant de se présenter à Decay, notre homme n'a pas toujours travaillé pour le Cartel. Ancien membre de l'Armée, il n'est pas toujours aisé de porter encore aujourd'hui les fardeaux du passé pour l'homme qu'il est devenu. Peut-être que votre retour dans sa vie ne sera pas à bras ouverts dans ce cas.
(Ex-)Femme Relation compliquée. Explosive. Quelques mots ne suffiraient pourtant pas à vous décrire. Civilement, vous n'êtes plus mariés. Mais aux yeux de l'Eglise Catholique, vous l'êtes encore. Vous vous détestez autant que vous devriez encore vous aimer. Mais les affaires du passé refont toujours surface à un moment.

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