Ryuu...ji. Si si. Ryuuji. Tu veux voir mon poisson rouge ?

* On ne peut pas dire qu’elle soit une femme qui s’assume. Incapable de gérer son homesexualité, Ryuuko se fait volontairement passer pour un garçon, tout en se considérant comme une femme. Elle évitera de parler d’elle au féminin sans le nier pour autant. Une manière tordue d’avoir davantage confiance en elle face à la gente arborant le même sexe.

* Son tatouage de Yakuza n’est pas encore fini, il lui manque quelques couleurs dans le dos et ses épaules sont encore au stade de sujibori (tracés seulement). L’adaptation au changement est symbolisé par les courants d’eau emportant des fleurs de cerisier, flore représentant la vie et la recherche permanente de sa finalité. Au milieu de tous ces symboles trône fièrement sur l’ensemble du dos un serpent vert à la peau effuse.

* Sa voix est grave pour une femme et aiguë pour un homme. Cela lui donne un drôle d’air aussi Ryuuko parle souvent très bas pour atténuer son timbre.

*Stressée avec les femmes la gardienne est particulièrement timide avec ces dernières. Elle les respecte énormément et utilisera cette excuse pour son attitude. C’est à moitié vrai, cependant.

* Il serait mal avisé de la sous-estimer en raison de son côté passif ou de son manque de confiance dans les relations amoureuses. Elle reste un Yakuza : fière comme un paon, téméraire et prête à botter des fesses.