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Re: Maltraitance consentis • Ft Midas
Dim 21 Juin - 14:46
Tu ne pouvais clairement comprendre qu’il avait fait quelque chose de répréhensible, pour arriver à Decay mais quoi ? De toute façon, peu de gens arrive aujourd’hui à cette endroit par “choix” à part les criminels en fuites un peu comme lui pour le coup. En vrai, ça ne t’intéresse pas forcément beaucoup non plus de comprendre sa vie dans le détail. Tu n’avais pas non plus donnée énormément d’information sur la tienne donc c’était de bonne guerre. Tu n’avais pas beaucoup de filtre lorsque tu parlais, néanmoins tu ne lui avais pas dis que ton père t’avait vendu pour rembourser une dette, que tu travailles pour l’Orga. Il ne sait pas non plus le montant de tes séances tu n’es pas bien sûre qu’il sache que tu es aussi une actrice porno. Et même si dans ton "excessivité" tu avais dis beaucoup de chose, tu n’avais pas dit le plus important.
Tu t’amuses en l’entendant te demander si tu voulais entrer par effraction dans l’une des chambres de l’hôtel, ça pourrait être amusant ! Tu te vois assez bien jouer les “rock star” et tout déglinguer dans la pièce, quoique ça ne plairait pas beaucoup au yakuza qui tienne le lucky 8. Il t’arrive quand même régulière de venir ici avec des clients alors être fiché comme nuisance t’embêterait un peu. Mais tu sais aussi que tu n’as pas besoin de payer.
- Je choisis un joker mon ami.
Tu ressortais ton téléphone, contactant un de tes clients qui tu le sais loue presque une chambre à l’année dans l’endroit. Pourquoi ? Pour pouvoir se pointer tirer son coup sans avoir besoin de perdre du temps, c’est un homme occupé mais qui décroche assez vite quand il voit ton numéro s’afficher.
- Salut, j’ai envie de faire trempette dans la piscine de ta chambre… super ! Je t’offrirais un petit supplément comme tu es sage… à vendredi comme d'habitude.
Tu raccrochais avec un sourire satisfait aux lèvres. Tu aimes ta vie, elle est vraiment géniale ! La moindre envie t’es presque servi sur un plateau d’argent avec un joli nœud et le garçon de chambre. Tu prends en sautillant le chemin l’accueil de l’hôtel pour y demander la clé, qu’on te donne sans broncher. Un peu gamine tu joues avec la carte magnétique en la secouant un peu. Bref, tu es assez euphorique. Ce qui devrait intéresser Midas c’est ton carnet d’adresse et pas forcément ton propre argent, bien que tu en ais, ce n’est pas ce qui a le plus de valeur pour le coup.
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Re: Maltraitance consentis • Ft Midas
Ven 3 Juil - 0:45
Complètement immature, voilà qui résume parfaitement la situation. Midas ne comprend pas réellement ses réactions démesurées et préfère s'abstenir de réflexion pour le bon déroulement de sa soirée. Après tout, la compagnie est gratuite et bien qu'elle semble parfaitement volage, indigne de prudence et surtout très enfantine, autant dans ses interactions que ses mimiques si on était un temps soit peu ouvert à la lecture du langage corporel et de son analyse. Cela dit, ils étaient en osmose sur un plan, celui d'en dévoiler qu'un minimum sur soi-même et ne demandant pas plus d'informations à l'autre. Après tout, pour Midas, chacun avait ses petits vices et le plus important n'était pas de connaître la destination, ni le chemin emprunté mais bien l'efficacité du voyageur. Quand une assiette est fendue on ne peut la réparer, mais tant qu'on peut encore s'en servir, alors elle fait l'affaire. Avide de performances, de pratique incontestable, l'âge, le sexe ou l'apparence n'avait aucune réelle influence sur son jugement dernier.
Tant qu'il pouvait en tiret profit de quelque manière que ce soit.
Les dernières voluptés de fumée s'échappèrent dans l'air par une bouche qui se pince légèrement. Oreille attentive portée à son environnement, le mystérieux interlocuteur de la demoiselle semble être le propriétaire de la chambre comportant la fameuse piscine évoquée plus tôt par la Lady. Lorsque cette dernière raccroche, l'ancien juge corrompu évoque une piste.
- Vous m'avez l'air d'avoir beaucoup de contacts. Pas étonnant puisqu'elle est née ici.
Midas pose cartes sur table, c'est quitte ou double. Point la peine d'user de faux-semblant, ses principaux agissements ne se témoignaient pas d'un "et si" mais recherchent davantage les pistes à sa disposition afin de pouvoir les exploiter et connaître les réponses. Prudent avec parcimonie, l'homme est plus du genre à vérifier les données à sa disposition plutôt qu'à calculer minutieusement tous les paramètres. Déjà parce que ce serait rapidement devenue une mission impossible mais également parce que le temps ne jouait malheureusement pas en sa faveur. Activités illégales risquées, ce n'est qu'une question de semaines avant qu'on découvre ses réels accomplissements.
Immergeant dans un hôtel faste aux murs marbrés, ce luxe plutôt moderne n'est qu'une charitable imitation des palaces de l'Organizatsiya. Pas étonnant pour un quartier comme celui-là. Planté derrière la jeune femme qui ouvre la marche, son regard borgne circule à tous les couloirs, toutes les allées et les ascenseurs jusqu'à la chambre. Ils n'ont pas l'air d'être suivi et le dictaphone à longue portée qu'il dissimule sous sa veste et encore en état de marche. Pouvoir communiquer avec l'intérieur est une affaire sécurisante, garder des traces de ses conversations et actes également. Analyser les enregistrements pendant les réunions permet de mieux préparer ses prochains coups, de revisiter des passages qui lui aurait échappé ou de mettre des collaborateurs sur un coup sans avoir recours au bouche-à-oreille qui les impliqueraient dans des surinterprétions d'une même séquence.
Midas n'est pas un homme très entreprenant pour les affaires personnelles, c'est loin d'être sa came. Pour diriger un cours, il est le maître de la séance, mais lorsqu'il doit simplement se déshabiller, c'est la honte qui couvre son visage hermétique. Immédiatement l'homme n'est pas très certain de ce qu'il doit faire ou non. Et si tout celui n'était un vulgaire canular ? Bien qu'il soit certain d'avoir le dessus sur la Lady, Midas n'est pas à l'abri d'une embuscade où la demoiselle l'attire comme une renarde dans un piège à ours.
Pour gagner du temps, l'homme aux mains dorées s'enquit, sans contexte en faisant mine de se tripoter le veston.
- Vous appartenez à une faction en particulier ? J'ai du mal à vous imaginer membres des Yakuzas.
Elle n'avait pas la tête à l'emploi, ni des traits nippons. De nombreux inconnus au territoire foulaient les terres asiatiques, donc il n'était pas impossible qu'elle soit un visage inconnu à la faction. Cela dit, qu'elle soit simplement civile ne lui semble pas logique. Personne n'avait un réseau aussi fourni sans être le joug de personnes plus influentes encore. Bercée par la pourriture, elle ne pouvait définitivement pas, en approximativement vingt ans, avoir marché de manière totalement indépendante.
À elle de rétablir la vérité.
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Re: Maltraitance consentis • Ft Midas
Dim 12 Juil - 14:49
Ton comparse de la soirée vient te dire que tu as des contacts et en effet tu en as ! Les prostituées qui font bien leur travail débusquent des hommes le plus haut possible dans la chaîne alimentaire et revendent à prix d’or leur carnet d’adresse une fois qu’elles prennent leur retraite ! Il faut bien entendu y consacrer du temps, tu es dans le métier depuis dix ans alors tu as quand même un agenda conséquent… Puis contrairement à beaucoup de fille, tu le fais aussi par plaisir. Tu es payée et tu prends ton pied, que demande le peuple sinon du sexe et de la tune ? Tu as tout ce qu’il faut pour être heureuse ! Et tu ne caches pas l’être d’ailleurs. Tu lui souris pour toute réponse, une forme de oui un peu mystérieux. Après tout, tes clients aiment bien être discret sur le fait qu’il te fréquente.
Tu prends la direction de l’ascenseur toute guillerette à la perspective de profiter de la suite de luxe. Tu as bien du confort chez toi, mais il faut reconnaître que les hôtels ont toujours quelque chose… qu’on explique pas. Sans doute le fait de pas êtres chez soi, qui rend le temps bien plus agréable. Bref, ce cher Midas semble lui bien moins à l’aise que toi si ton physique l’avait rebuté il se serait pas amusé à venir te “voler”. Une idée saugrenue vient se glisser dans ton esprit. S'il était puceau ? Enfin s’il a peur pour sa vertu ce qui serait assez drôle, à n’en point douter tu vas te foutre de sa gueule si c’est le cas, connasse que tu es, néanmoins rien ne passera s’il ne le désire pas et tu lui décides de lui dire si ça peut le “rassurer”.
- Il ne se passera rien si vous ne le voulez pas.
L’ascenseur fastueux grimpe lentement les étages, prenant plusieurs personnes sur son passage qui descendent progressivement vous êtes les derniers dans la cabine et vous descendez au dernier étage. Pendant l’attente il te demande à quel “faction” tu appartiens, car tu ne fais pas très asiatique. Et en effet tu n’es pas une yakuza, tu ne vois pas bien l’importance que ça peut avoir sauf s’il a vraiment envie de faire une japonaise… Néanmoins, tu réponds pas vraiment inquiète après tout ça le fera peut-être réfléchir à deux fois s’il a envie de tuer dans cette chambre.
- C’est un peu raciste ce que vous dites là.
Taquine un petit sourire se dessine sur tes lèvres.
- Je fais partie de l'Organizatsiya.
L'ascenseur bip votre arrivé au dernier étage et tu descends direction la suite sans hésitation, ça se voit que tu y es déjà venue avant. Tu glisse la clé dans la fente en roucoulant d’avance de plaisir et une chambre superbe et immense avec une vue sur presque tout Decay de nuit s’étalant face à vous.
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