Chapitre 2 : La Corporation
Decay
Decay, destination de tous les possibles, terre en friche où fourmillent les possibilités et l'argent facile, où chaque vice est accessible, chaque désir libre d'être comblé. L'île prospère, se vautre dans sa propre réussite, quand l'ouragan Isaac survint, balayant sur son passage les installations des gangs comme leurs prétentions. Et un nouveau groupe émerge des brisures laissées par la tempête, la Corporation. Forte de son budget, celle-ci s'invite en sauveuse, promet à tous une aide financière et humaine, des avancées conséquentes, pour une vie meilleure. Avides de pouvoir ou simples fantoches, qui sont vraiment les acteurs de cette entité inédite qui prétend étendre son influence à tout Decay.
11/10/2020 HRP
La Newsletter est sortie ! Beaucoup de changements au programme, par ici
11/10/2020 RP
Quelques semaines après la fin de l'ouragan, la Corporation dévoile son visage ! A lire par ici
12/09/2020 RP
L'ouragan Isaac s'abat sur l'île ! Pour en savoir plus, par ici
12/09/2020 HRP
L'event Hurricane est lancé ! Vous pouvez toujours le rejoindre par ici.
27/08/2020 HRP
Nouvelle newsletter ! La lire ici.
05/07/2020 HRP
Nouvelle newsletter et nombreux changements ! La lire ici.
30/05/2020 HRP
Nouvelle newsletter en cette fin de mai ! La lire ici.
30/05/2020 RP
Un nouveau système de réalité augmentée sort au Space Station Bar ! Participer ici
5/04/2020 RP
Le Carnaval de Napoli est lancé ! Extravaganza
8/04/2020 HRP
Nouvelle newsletter ! La lire ici.
18/03/2020 HRP
Ajout des missions et petite update de l'index !
28/02/2020 HRP
Deuxième newsletter ! La lire ici.
28/02/2020 RP
La Milice redouble de violence et est plus présente sur le territoire de Decay !
31/01/2020 HRP
Première Newsletter, bébé forum deviendra grand ! La lire ici.
31/01/2020 RP
L'intrigue "Paranoïa" a été lancée ! Par ici.
17/01/2020 HRP
Ouverture du forum ! N'hésitez pas à rejoindre le Discord !
Il parait qu'une jeune fille a été aperçue allant dans les égouts. Depuis, elle n'a plus donné aucune nouvelle d'elle. Une nouvelle victime des monstres vivant dans les égouts ?Une vingtaine de serpents en liberté auraient été aperçus sur les Docks. La Triade en sueur.On déplorerait trois morts suite au dernier barathon de la rue de la soif.À Kabukicho, des rumeurs sur l'affaiblissement des effectifs du clan Oni commencent à poindre. L'absence de Yokai se fait-elle enfin ressentir ou cela n'est-il que le fruit de l'imagination de quelques résidents ?Une certaine Shrimpette serait en train d'écrire une fan-fiction sur certains membres de Decay.On dit que l'ensemble du corps d'un certain mercenaire travaillant pour la Triade serait entièrement recouverts de ses nombreux crimes. Une dizaine de cadavres auraient été découverts, au cours du mois de Janvier, sur les Docks. Certains évoquent un règlement de comptes. Un tout nouveau malware parcourrait la toile, déguisé sous la forme d'un logiciel à première vue inoffensif. Il installerait une backdoor sur les machines infectées. Pour quelle raison ? Cela reste un mystère. Une femme vagabonde à la chevelure d'un noir profond et aux yeux écarlates prendrait en charge des malades et blessés au travers de Decay pour une misère, offrant une alternative médicale à celle dispensée par l'Église. Fin Janvier/Début Février, une course de rue, en pleine nuit, aurait conduit certains hommes hors des pistes. Plusieurs voitures seraient sorties de la route suite à un « conducteur fantôme ».
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Une belle soirée s’annonce pour toi, tu as été demandé pour une petit virée dans un casino avec un client relativement blindé. Bien entendu tu le connais, pas un type des plus passionnants hélas mais qu’importe ce soir l’opulence t’ouvre ses bras. Alcool sans fin, un bon repas, de la drogue et du sexe à n’en point douter que demander de plus ! Tu te préparer donc pour sortir. Tu passas une robe moulante à souhait - respirer ? pourquoi ? - assez courte de surcroît composé de lanière de tissu plus que de tissu. On vient te chercher dans une belle voiture avec des sièges en cuir, c’est toujours très agréable le cuir tu appréciais beaucoup cette matière noble et facile à nettoyer.

Tu entras au bras de ton riche ami enfin c’est surtout lui qui t’agrippait pas la taille l’air de dire que vous étiez venus ensemble quoi. Il faut parfois savoir donner un peu avant de leur retirer leur jouet pour mieux les frustrer, ce petit goût de bonheur qui vous échappe ensuite des mains comme une échappée une sucette dans le sable ou une glace. Tu joues de ces choses comme une virtuose du piano joue de son instrument. Vous allez prendre place à une table de black jack où déjà quelques joueurs sont assis tu commandes un verre et c’est à ce moment que tu commences un peu à bousculer ton client en repoussant toute avance physique ce qui lui donne visiblement chaud car après une vingtaine de minute il commence à desserrer sa cravate. Tu lui adresse alors enfin un sourire, il lâche un râle dégoutant, tu t’en ais pas moins plus gentille par la suite.

Tu le regarde perdre son argent lui rappelant après chaque partie perdu à quel point il est une sombre merde. Ce peut mettre un peu mal à l’aise toutes les autres personnes autour de la table, toi par contre ça te fait bien rire. Il y a des tas de petits plaisirs comme ça dans ton job, insulter le client, le ridiculiser et tu es payé pour ça. Tu en ai à ton troisième bloody mary et tu t'ennuierais presque. Alors tu mates un peu ce qui passe, quand tu repère un type assez classe à une table. Tu “conviens” ton amis de changer de table pour pouvoir l’observer sous un meilleur angle.

Ton riche ami se moque de gagner et ne perd d’ailleurs que pour t’entendre l’insulter, sur un ton suave. Tu pourrais le faire discrètement mais tu te moque bien de choquer et de déplaire au commun des mortels. Tu observes donc l’homme que tu avais repéré juste avant, tu ne le fais pas non plus furtivement, ce n’est pas du tout dans ton caractère d’être timide, quand vos regard se croise tu lui fais même un signe.

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Lalie Hsueh
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Le meilleur moyen de mener un objectif à une bienséance au nec plus ultra et de se créer un réseau de contact. Le lucky 8 semblait un endroit idéal pour dégoter ses petites perles rares. Sa principale technique se basait en premier lieu sur un travail d'observation, repérer les porte-monnaie les plus omnipotents pour ensuite les exploiter au stade d'investisseur. Cette fonction professionnelle était comme un atout carreau dans la manche. Tout était si finement assaisonné que l'homme avait confiance en ses propres décisions et celles de ce soir n'étaient certainement pas liées à la fatalité.

Donnant l'illusion d'être un homme accoutumé au casino, bien qu'il apprécie particulièrement les jeux d'habilité psychologiques, Midas pris place sur le troisième tabouret à partir de la gauche et commanda son habituel cocktail martini. Ce perchoir lui donnait un large quadrillage sur les différences activités nocturnes, son regard analysant minutieusement chaque potentielles proies de choix. Ne s'attardant pas sur ceux favorisant le hasard en faisant fonctionner les bras métalliques des machines, Midas décida de recentrer sa concentration sur les différentes tables de poker, blackjack, rami et bonneteau, jeu de la dépouille d'adversaires naïfs.

Et là, devant ses yeux, deux personnes s'adonnant à des plaisirs plutôt masochistes, taquinèrent son attention. Une femme qui prenait un plaisir dément à torturer un homme, prenant lui-même son pied à travers des injures plutôt imaginatives. Les rires sardoniques se mêlent à ses provocations tandis que son partenaire grince légèrement des dents, frontière entre un malaise apparent et un divertissement malsain. À en juger par leur relation, la demoiselle était certainement une escorte appréciant jouer le rôle de dominatrice pour le compte de cet homme libidineux. Cela dit, une nuance se teinta dans le regard de la Lady. Une flamme attisée qui s'amenuisa à force d'être toujours ravivée par les mêmes bûches de bois. Midas lui, serait l'essence qui saurait réveiller cet air terne. Simple fantaisie d'un homme qui n'avait pas lui-même éveillé ses instincts primitifs ou simple perspicacité future du rôle de la jeune femme dans son engrenage déjà bien ficelé, il amorça une si faible esquisse qu'il n'était pas certain lui-même d'avoir été capable de bafouer son visage d'une expression plus joviale que son air sempiternellement froid.  

Mais ça, oh que non, ce n'était pas prévu, ça ne faisait pas partie du plan, de son plan, celui qui lui faisait passer des nuits blanches entières à réfléchir aux meilleures opportunités pour chaque étape et sous étape de l'architecture de son programme. Puisque la demoiselle effectua un signe amical à son égard, c'est la réponse d'un sommaire mouvement du menton s'additionnant d'une main métallique qui se dresse, pas plus haute qu'au niveau de son épaule.

Midas n'est pas timide mais légèrement introverti. Il favorise les contacts qui peuvent aboutir à des conversations concrètes plutôt que futiles conversations insipides. Cependant, elle semblait l'inviter, lui tendre une perche qu'il ne tarda pas à saisir et pas à la manière d'un imbécile heureux qui se contente d'obéir aveuglement, mais parce qu'il a d'autres idées derrière la tête.

S'invitant à leur table après de brèves salutations se résumant par un jeton qui roule contre la table rase, il commanda une partie avec l'homme. Le butin ? La fille.

Le croupier commence à distribuer une carte pour chaque joueur et tire une carte face visible également pour lui. Midas fut le premier a décider d'une seconde option car à gauche du croupier. Comme il en avait une de faible valeur, l'ancien juge corrompu décida d'en ajouter une nouvelle. Il a une bonne main qui fait gagner la sueur au front à son adversaire.

La partie se déroule calmement et à mesure qu'elle se déploie, Midas utilise des stratégies, possède un jeu fluide et assuré. Il n'y a rien à tirer de bon de son vis-à-vis, si ce n'est quelques billets verts qui coulissent contre la table et font remonter leurs effluves jusqu'à ses naseaux pervertis par leur présence. Cela dit, pour cette fois, il dut s'arracher la gorge à s'en résoudre.

- Gardez votre argent. Je mise simplement votre compagnie, si mademoiselle est d'accord, bien entendu.

Demande-t-il à son attention bien que l'extrémité de ses doigts d'or quémande l'argent spontanément, presque de façon mécanique. De toute évidence, l'argent ne lui faisait clairement pas défaut avec ses allures de premier de la classe. Là, en plutôt bonne position, c'est gagné d'avance. Tout l'indique dans sa position. Posté fièrement, un petit rictus satisfait vient épingler ses lèvres, son regard borgne en contre-plongée droit contre sa cible qui se laisse acculé. Midas pouvant presque entendre le flux de sang battre contre ses tempes.

C'était bien un truc d'homme ça, de montrer l'étendue d'un pouvoir grandissant. Que ce soit par le rang social, l'argent ou bien le sexe.
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La chose qui faisait que tu t’ennuyais un peu c’était la plastique ingratte de l’homme qui t’accompagnait puis le côté un peu répétitif de l’échange à sens unique que vous aviez. Et oui tu es la seule autorisée à dire quelque chose de toute façon que pourrait-il bien te dire ? Etant donné qu’il te payé pour ça, il n’a aucune raison de te contre dire mais surtout il n’y était pas autorisé. C’est le dominant qui impose les règles du jeu ma pauvre Lucette ! Puis vu la tête qu’il tirait il était tout à fait ravie de la performance. Les grands de ce monde cachent de sombre plaisir.

Le séduisant inconnu a répondu à ton petit signe voilà qui était fort sympathique et assez humiliant pour ton ami qui suait à grosse goutte. Tu ne le regardais pas mais tu penses bien que monsieur jette de tant à autre un regard vers l’autre homme qui occupe ton attention et que vu la bel gueule qu’il a il doit se sentir un peu en dessous de tout. Quand il vient s’asseoir à votre table lançant une partie avec ton client, tu prends le temps d’observer ses mains. Tu as bien remarqué qu’elles sont “mécaniques” et non faite de chaire, mais elles te plaisent beaucoup de part leur couleur. Ca te rappel la légende de l’homme qui pouvait changer tout ce qu’il touche en or, il te semble d’ailleurs que c’est une histoire qui termine assez mal…

Il vient proposer une mise fort intéressante, ton regard s’illumine tout de suite à cette idée. La joueuse que tu es consent silencieusement à être misé pour cette partie. Tu te tourne vers l’homme qui t’accompagne et pose ta main sur son bras générant chez lui un léger frisson. Tu viens planter tes ongles dans son avant-bras en le regard avec dédain :

- Je serais vraiment fâchée si tu perdais !

Sur ton qui exprime une certaine colère mais aussi une chaleur érotique. L’homme ouvre grand les yeux, on dirait qu’ils vont sortir de sa tête. Tu lui lâches finalement le bras en lui ayant laissé la jolie marque de tes ongles manucurés dans la peau. Il accepte d’un hochement de tête la mise, tu sors ton téléphone pour planifier un nouveau rendez-vous pour ton client. Tu as quand même une conscience professionnelle il fallait bien qu’à un moment donnée ce monsieur en ait pour son argent ! Puis ça te permettrais de lui facturer une séance. Le croupier tirait de nouvelle carte pas forcément avantageuse pour ton ami et tu lui montre rapidement ton téléphone pour lui faire comprendre quand serait leur prochaine séance de jeu. Il se racle la gorge visiblement satisfait et range ton téléphone à l’instant ou on annonce que edward au mains d’or remporte la mise.

Tu ne prends pas la peine de dire quoi que ce soit à ton ami qui se lève et s’en va frustré certes mais impatient. Tu te tournes vers ton gagnant en souriant.

- Nous avons visiblement un rencard vous et moi !

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Voilà un duo bien étrange, étrange mais qui ne le surprenait néanmoins pas. À la cour d'assises auquel il était juge absolu, différentes histoires s'étaient prononcées au sein des murs de marbre. Des crimes passionnels, incestes, tentatives de complicités et bien d'autres histoires sordides qui hantaient encore les lieux mais jamais son esprit. Midas engendrait des profits personnels, préférant un jugement vénal à impartial. Pour lui, même les pires scélérats pouvaient accéder au salut, par le paiement d'un tribut. Et sa monnaie d'échange, elle souriait à pleines dents, l'air conquise d'être traitée comme une marchandise qu'on vend aux enchères.

- C'est exact. Puis-je vous offrir un verre ?

Proposa-t-il en pliant son bras à l'horizontale afin que la jeune femme prenne appuie dessus à l'instar d'une canne et le suive à travers la galerie de machines, leur pas se muant sur la tapisserie de velours. L'installant à un tabouret du bar principal, il appela le serveur d'un mouvement sommaire de la main, ses phalanges métalliques se pliant à mesure qu'il manifeste sa présence, coude de chair contre le comptoir teck et vintage.  

- Pardonnez mes paroles moyenâgeuses, mais cette situation vous convient-elle ? Devoir affaire à des hommes lubriques dans le simple but d’obtenir des liasses de billets ?

L'homme aux mains d'or était bien mal placé pour la questionner à ce sujet, cela dit, sa manie à fourrer son museau dans les gangrènes d'autrui n'était que les vestiges de son ancien métier de juge. Véritable fétichiste du marteau, il avait pu calculer un pourcentage de folie dans l'esprit désaxée de la jeune femme. Elle était comme un pauvre écrou rouillé perdu qui ne demandait qu'à retrouver sa clé de serrage dorée. Cependant, il lui manquait encore des éléments afin qu'il prépare son terrain et se décide de bouger ou non ses pions. Aux échec, celui qui attaque avait plus de possibilités de déplacement que l'adversaire qui se défend juste, ce dernier ne disposant que de mouvements pour parvenir à cette action, la contre-offensive lui étant devenu impossible.

En rien l'empathie vibrait entre ses cordes vocales, c'était plutôt le scientifique qui tentait de comprendre une donnée inconnue, de la décrypter, afin de mieux la cerner. Midas était un peu maladroit dans ses relations personnelles, loin d'être adepte des paroles sans efficacité. Son domaine de prédilection est davantage axé sur l'analyse, la prospection et prendre la direction d'un groupe de personnes d'une main chevronnée, pas de faire la conversation.

Bientôt le serveur dépose une tequila avec son rail de sel et son quartier de citron, -étonnant pour son palais accoutumé à déguster du vin rouge charpenté- ainsi que la boisson de la Lady lui offrant sa charmante compagnie. Rien qu'à la juger par ses interactions avec l'autre homme qui fut renversé par le Roi noir, Midas déduit qu'elle aimait les relations temporaires, s'amuser, être en quête du plaisir à son paroxysme, aimant ne pas savoir de quoi demain sera fait, comme de sauter de pierres en pierres au-dessus d'un ravin dangereux.

- Santé.

Sa main froide rencontra la chaleur de la sienne. Ce n'était pas tant pour lui que c'était bizarre, mais bien pour ses interlocuteurs.
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Le fonctionnement de ce type de lien est assez particulier surtout quand on ne l’observe que de l’extérieure. On ne voit là qu’une femme désagréable au possible qui vient plus de changer de mec l’air de rien. Une sacrée pétasse que tu es, voilà ce que devait se dire un certain nombre de gens qui avait observé la scène. Mais tu ne t’occupes aucunement du regard des gens qui ne t’apportent rien ! Tu souriais en saisissant le bras que te tendait de ton nouvel ami pour te redresser souplement sur tes talons d’un bon 10 centimètres. Il pouvait en quelque sorte voir ce geste comme un oui franc à son invitation. Tu le suivis au bar en gardant ta mains sur son bras, jusqu’à ce que tu sois assise à ta place.

- Nous vous auto-flagellez pas de la sorte, si je n’avais eu aucun envie d’être là, il me suffisait de refuser la mise !

En effet, il avait bien dit lors de la mise si mademoiselle est d’accord, quand bien même il ne l’aurait pas dit, si tu n’avais pas été intéressée on t’aurait entendu. La demoiselle excessive que tu es aurait faite un fabuleux scandale. Hors tu es totalement intéressée et conquise par ses mains, en quelques minutes elles sont devenus un véritable fétiche pour toi. Tu allais devoir faire une grosse commande des paillettes dorée comestible prochainement pour le donjon. Ton imagination était en totale ébullition. Tu commandas ton classique bloody mary, tu ne trahirais jamais la vodka ! Tu levas ton verre l’orientant légèrement vers lui.

- Santé !


Il ne fallut pas bien longtemps pour qu’on vous serve vos boissons. Tu le regardas croquer dans le quartier de citron avant de lécher le sel et de boire son verre. Tu trouvais ça assez masculin comme façon de consommer de l’alcool. Tu souriais donc amusée par le spectacle tandis que tu mordillais ta paille.

Sa main vient effleurer la tienne et tu ne te gênas pas pour la saisir. Tu te moquais complet de la froideur du métal, tu l’examinas sous tous les angles.

- Elles sont magnifiques !

Les handicapes, les différences se sont des choses qui te passe complètement au-dessus. Tu ne te demande pas pourquoi il a des mains mécaniques, ou d’autre question stupide dans le genre. Tu considère toutes personnes comme entière à partir du moment où elle est en vie. Mais peut-être que lui n’appréciera pas que tu te permette un tel compliment après tout il avait perdu ses vraies mains. Il y a donc du bon comme du mauvais dans ton comportement, ça dépend de la personnalité de ton interlocuteur. Interlocuteur dont tu connais toujours pas le nom tu décidas donc d’ouvrir le bal des présentations en utilisant ton nom de dominatrice et d’actrice pornographique que tu apprécie beaucoup.

- Lady Framb’ enchantée, monsieur ?

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Leurs verres s'entrechoquèrent entre eux, annonçant les prémices d'une relation qui ne demande qu'à se développer. Nouvelles, elles étaient souvent belles, pleines de vie, tout un éventail de saveurs à découvrir. Mais une fois le morceau mastiqué, garder en salive pendant des jours, les capteurs sensoriels s'en lassaient. Ce processus est des plus basiques. Le pire ennemi du cerveau est l'ennuie car privé de stimuli, ce dernier ne peut activer l'hormone du plaisir. Généralement, les personnes y étant constamment exposées subissent de l'anxiété ou du stress, une certaine forme de dépression peut également naître. Cela dit, ce qui compte n’est donc pas le temps passé à s’ennuyer, mais la façon dont chacun réagit à cet état.

En somme, il semblerait que la Lady et lui fonctionnait de la même manière. Midas ne s'attachait pas réellement aux autres puisque c'était de la matière intangible. Cartésien, il a néanmoins conscience qu'il ne peut baser sa vie sur un néant absolu en terme de relations. Un cerveau humain ne le supporterait aussi introverti soit son propriétaire. L'homme se fiait davantage à ce qu'il pouvait tenir en main, à la matière réelle, pas de simples oisivetés sociales.

Alors, lorsqu'elle examina ses mains métalliques, froides et pourtant personnelles, il hocha succinctement la tête, -nuque courtoise se courbant légèrement- comme s'il était né avec, et c'était bien la vérité, l'homme était fier de son oeuvre ou plutôt, de son achat, toutes les extravagances étaient possibles lorsqu'on avait l'oseille à dépenser à foison. Puisqu'elle pensa pragmatiste à ne pas lui en demander l'origine, l'éphèbe jeune homme décide de l'en remercier avec des explications précieuses, ce dernier n'aimant pas dévoiler son savoir au premier venu.

- Merci... C'est du vingt-quatre carats, vous savez ce que c'est que le carat ? C'est une mesure de pureté d'un métal précieux. L'or a une masse molaire ok ? Bon et bien celle-ci est supérieure à des éléments alliés. L'alliage est la combinaison d'un élément métallique avec un ou plusieurs métaux par fusion. Dans notre exemple prenons l'argent ou le cuivre, et bien le pourcentage atomique d'or et j'entends par là le nombre d'atomes d'or pour cent alliages est inférieur au pourcentage massif d'or. Résultat ? Pour vingt-quatre carats ont a quatre-vingt-dix-neufs pourcents d'or.

Midas a ce tic quand il explique, celui d'acheminer pouce et index joint devant sa bouche et d'effectuer un peu mouvement face à son interlocuteur puis de revenir en arrière, l'air de l'inclure dans la conversation par la gestuelle et de créer un échange. Le débit de paroles lent afin de lui faire assimiler chacune de ses syllabes, son discours toujours dosé d'exemple et mots simples afin de ne pas le rendre prolixe ou fade. Dans cette posture, il ressemble à ce professeur de physique-chimie organisant des cours du soir à son élève, en douce dans un bar, jusqu'à ce qu'elle daigne lui sucer la queue pour obtenir des bonnes notes et obtenir son certificat et pas pour devenir chercheuse non, juste pour rendre fiers ses parents et se retrouver à baigner dans la fange, buvant jusqu'à perdre la notion de l'espace. Putain, nom de Zeus qu'il aurait dû être professeur.  

Et puis soudain, un nom flotta contre la berge de ses lippes. Lady Framb' alors, tout à fait charmant, les framboises étant réputées pour ses propriétés bénéfices pour la santé car possédant beaucoup de précieux minéraux. Du vingt-quatre carats d'appétence.

C'était l'une de ses règles principales à Decay, ne jamais se présenter par son vrai prénom. Véritable philosophie qu'il avait acquise avant de prendre El Dorato entre ses mains dorées, le sien avait justement une référence à celles-ci.

- Midas.

Il souffla imperceptiblement du nez en associant ses précédentes annotations à son identification.

- Ça fait tout son sens, je suis certain que c'est ce que vous pensez. Est-ce que vous vous y connaissez un peu en mythologie ? C'est fascinant bien que totalement surréaliste.

Déposant proprement sa rondelle de citron réduite à la charpente non comestible, là encore, n'importe qui aurait deviné qu'il était un homme de grande précision puisqu'il l'avait aligné au pied de son verre, l'agrume épousant son contour.
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Les rencontres dans ton domaine sont toujours bonne à prendre bien que tu n’ais pas besoin de faire tant ta pub, le domaine du sadomasochisme est un cercle plutôt restreint. En générale on ne te trouve que par le bouche à oreille et il faut parler au bonne personne, puis en générale les soumis ont assez honte de s’exposer totalement. Les dominants n’ont pas particulièrement honte, mais on ne les acceptent pas mieux voire ils effraient, tu fais un peu peur à tes collègues masculins surtout les masculins, problème de fierté et de virilité pas bien placé. On te trouve plus facilement sur internet comme actrice porno, bien entendu tu ne caches pas être ce que tu es sur les réseaux sauf que beaucoup prennent ça pour une blague. Hélas, pour eux les vices existent et les tiens sont sûrement moins pire que d’autre.

Tu l’écoutes avec attention ton nouvel ami. Beaucoup de gens pensent que les gens qui usent de leur physique pour gagner leur vie ne sont pas très intelligent. On ne peut pas dire que tu sois bête, mais il est sûre que n’a pas forcément envie de te fatiguer à te lever tous les matins pour faire un taf que n’aime pas ! En cela n’est pas plus intelligente que la moyenne générale ? Tu es une femme qui aime le sexe chose ce qui dérange déjà pas mal et qui en plus a décidé d’en faire son métier… Tu es sans doute la personne la plus horrible qui puisse exister sur cette planète. Tu ne manques pas d’intelligence, tu manques d’empathie par contre. Ton intelligence te permet de feindre l’intérêt lorsque le sujet ne t’intéresse pas, néanmoins même si tu t’en tartine le cul : tu écoutes, car toutes informations est bonne à prendre. Ici, il t’explique ce qu’est le carat et tu aimes bien l’or alors tu n’as pas tant à feindre ton intérêt.

- Je savais que c’était une unité de mesure de qualité de l’or, mais ma connaissance sur le sujet s’arrête là.

Tu lui souriais en buvant doucement ta boisson. Tu hélas le barman d’un geste de la main. Ton envie de paillette d’or comestible ne te quittant. Tu avales ta gorgée avant de lui demander sans détour la chose qui te taraude. Il affirme en avoir, en effet quelque cocktail un peu cher demande d’en avoir… Tu as en tête l’image d’une bite bien dur couverte d’or, tes yeux pétillent de vie. Tu lui demandes de t’en rapporter une bonne quantité, vu l’affluence de l’endroit ils doivent quand même en avoir pas mal selon toi, enfin c’est ce qui te semblait logique. Vous vous êtes finalement présentés et donc tu vas réellement nommé cet homme Midas et ça t’amuse un peu à vrai dire ça t’amuse autant que ça t’excite.

- De souvenir la famille de Midas termine changé en statues d’or, je connais de façon assez floue le reste de la mythologie, mais je trouve ça assez intéressant pour peu qu’on arrive à en comprendre toutes les subtilités des liens de parentés et toutes les petites histoires de chacun.

Le barman revient avec ta commande de paillette, il t’en a donné trois tubes il y aurait de quoi s’amuser avec ça ! Tu les glisses dans ta pochette, quand tu remarques un autre homme qui s’approche dans ta direction, ce dernier te demande un selfie avant de s’en laisser rejoindre un groupe plus loin.

- Nous devrions fuir, si ses mâles ont des femelles dans le coin je vais devoir me mettre à taper des gens et j’ai pas envie de ruiner mon brushing ou ma manucure pour des connasse frigide.
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Lalie Hsueh
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Maltraitance consentis • Ft Midas 3697eadc7edbbfa36994b7d674dfb9df 34 Triade Numéro 4 des Mers Pas tout de suite
Lalie Hsueh
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Bien évidemment, pas tout le monde avait sa connaissance parfaite sur l'or. Ni qu'on pouvait le fondre et lui faire obtenir des formes plus petites comme des perles par exemple, le point de fusion de l'or se situant à environ 1 060 degrés Celsius. Avec de nombreux équipements et de la technique, tout était possible. C'était un projet à creuser en aval après avoir mis toute sa stratégie en place pour l'ambition initiale. Enfin, tout son discours sur l'or avait surement ennuyé son interlocutrice mais elle n'en montra rien, se contenta de lui sourire dans des formalités de politesse qui étaient rares à Decay.

Soudain la Lady employa une demande extravagante au barman qui ne fut pas surpris et fit volte-face. Oh ce n'est pas tant qu'il était modeste, au contraire, le juge corrompu avait condamné des vies derrière les barreaux pour pouvoir jouir d'une simple feuille de papier à valeur monétaire sous le nez, à sentir chaque effluves de chaque billets.

- C'est exact. Pour faire simple et concis, Silène, la compagne de Dionysos, Dieu du vin, s'égare ivre au royaume de Midas. Il l'a recueil et lui offre l'hospitalité. Alors pour le remercier, Dionysos lui accorde un vœu. Midas demande la faculté de changer en or tout ce qu'il touche. La suite, vous la connaissez, bien qu'il existe plusieurs versions de cette histoire.

Si seulement elle savait à quel point son pseudonyme était minutieusement choisi, que chaque petit peuple travaillant pour lui avait dû emprunter un nom de la mythologie au palace de l'Olympe, Pawn Shop effectuant le recel en guise de leurre sur leur activité principale.

- Si vous le désirez. Cela ne doit pas être plaisant d'être constamment criblé d'attention.

Aucun jugement, Midas ne fait qu'énoncer les faits puisqu'elle s'inclue elle-même ainsi que lui dans le pronom "nous." l'invitant alors dehors. L'attention, pour lui, ce n'était pas sa tasse de thé. Ainsi, lorsque le fan était arrivé pour prendre une photo avec la Lady, l'homme avait fait grand soin de ne pas apparaître sur le cliché, se décalant du potentiel diamètre de l'appareil dans la paranoïa où l'intervenant aurait volontairement changé le sens de sa caméra pour lui capturer lui. Personne ne devait encore connaître son visage ou si c'était le cas, personne ne devait faire le lien entre ses activités professionnelles et celles personnelles, les deux ne se mélangeant pas à l'instar de l'huile et l'eau.

Une fois dehors, les deux adultes circulèrent entre les passants dans une marche vespérale des plus placides. Les pas de Midas étaient lents, comme s'il s'égarait dans ses pensées et non pas de l'instant présent, mais bien des futures démarches, son plan de l'après ne quittant pas son encéphale. Cela dit, il était toujours connecté au réel, rien ne pourrait perturber sa concentration au nec plus ultra.

Bougeant sa main métallique dans sa poche antérieure, il expira une clope avec dextérité et la bloqua entre ses lèvres, le temps de passer un regard interrogateur en direction de son interlocutrice et de s'enquérir, briquet électronique entre l’interstice de ses phalanges :

- Ça ne vous dérange pas si je m'en grille une ?

De sa main libre, Midas lui présenta son paquet ouvert de douze tiges de tabac parfaitement alignés, le réceptacle de carton les nomma sous la marque "Lucky Strike," étrange coïncidence pour ses lieux qu'ils n'avaient pas encore quittés.

- Alors dites-moi, quelles sont les raisons pour lesquelles vous êtes à Decay ? À moins qu'on soit né ici, le reste n'est pas de la fatalité.
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Maltraitance consentis • Ft Midas G4w6 60 Organizatsiya Maîtresse de donjon Un jour
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Ta culture générale est pas mauvaise, mais tu as bien plus d’expérience et de connaissance théorique dans le domaine du plaisir de la chaire. Où trouver la prostate, comment en jouer et bien d’autre, toutes les parties érogènes du corps ou bien encore quel seuil de douleur peut tolérer un corps, quel puissance de courant aussi, etc. Tu es un puits d’information étrange sur le corps humain ! Et aussi très imaginative dans les jeux que tu proposes. Bref après son court exposé sur la mythologie vous vous leviez pour sortir un peu afin d’éviter une esclandre dans le casino.

- Je n’ai aucun problème avec l’attention qu’on me porte. Juste que taper sur des meufs incapables de satisfaire leur mec c’est pas amusant… puis si je me blesse je perds de l’argent ! Je devrais proposer des cours pour ses demoiselles… trop me diversifier me semble pas une si bonne, je risque de faire perdre des clients aux copines… Tant pis pour elles, leurs hommes continueront de mater du porno.

Oui, pendant une seconde tu avais pensé qu’apprendre au demoiselle à s’occuper de leur homme sexuellement était une bonne idée. Une idée assez rétrograde, car en 1950 ce genre de cours existait déjà. Tu es une femme qui assume son appétit sexuel débordant, tu aurais fait tâche dans les années 50 ! Tu n’aurais pas non plus apprécier être enfermé dans le rôle de ménagère. Mais ce genre de chose n’avait pas donné de résultat concluant déjà à l’époque. Si un homme a envie de regarder un porno ce n’est pas que ça femme est mauvaise au lit, c’est juste qu’il en a envie… Ce qui est bon pour le business de tes films ! Tu marchais lentement à côté de ton comparse pour la nuit il sortit un paquet de cigarette demandant à un griller une, tu lui fis signe qu’il pouvait en refusant poliment d’en prendre une. Ton unique vice c’est le sexe ! Et pour le pratiquer régulièrement et comme tu aimes, ça tenait limite d’un sport de haut niveau alors tu avais besoin de ton souffle pour conserver ton endurance. Puis détail pas forcément agréable l’odeur que ça laisse sur les doigts est pas terrible. Enfin tu fais attention à ton corps de façon général !

Il vient en demander un peu plus sur ta vie, ce qui ne te dérange pas. Comme dis, tu n’es pas en permanence en train d’essayer de cacher qui tu es.

- Je suis née ici, mais je ne le vis pas comme une fatalité. Je suis fière d’être qui je suis, heureuse du métier que je fais et en plus j’ai tout le confort dont j’ai besoin et envie. Et vous ?

Poliment tu lui retournes la question, ton intérêt étant bien entendu fluctuant selon les informations données. Tu sors ton téléphone pour t’occuper un peu le temps qu’il finisse ta cigarette, tu constates que sur ton file d'actualité tu as été tagué sur la photo du jeune homme que tu viens de croiser. Tu souris amusée et laisse un petit like dans l’idée que d’autre garçon sur ton propre profil. Bien entendu tu recevrais aussi le flot de haine qui va avec, mais ça t’offrait de la visibilité alors ça n’a pas d’importance. Tu ranges de nouveau ton téléphone avant de te tourner vers ton rendez-vous qui terminait sa cigarette.

- Ça vous dit pas de prendre une chambre de luxe, j’aimerais grignoter un bout et faire trempette dans un piscine. Les piscines sont toujours plus agréable de nuit je trouve, contempler les étoiles nues et en flottant dans l’eau c’est un des petits plaisirs de la vie dont on ne profite pas assez à mon avis.
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Midas écoute attentivement son interlocutrice sans jamais réellement mettre l'accent sur ses souffrances intérieures qu'elle lui confie sans vergogne. Pour un homme de son acabit, appréhender les émotions et sentiments des autres s'avère être un véritable défi. Homme cartésien s'attachant à la logique et à l'efficacité, les ragots étaient improductifs à ses yeux, tout comme le fait de s'attarder sur le regard d'autrui. En effet, les confidences de la demoiselle ressemblaient de près à des jérémiades, mais elles étaient, en réalité, un moyen de régler ses comptes, de se racheter à ses propres yeux pour venir la vainqueur de sa propre histoire. C'en était touchant et relativement assez folâtre dans les choix des mots crus, ses phrases tranchantes offrant une bonne dynamique à ses confessions. Disons que ça l'était suffisamment pour le faire légèrement souffler du nez, commissure unique coulissant le long de son visage, unique parcelle démunie de tatouage.

Spécialement, Midas n'accordait pas d'importance à l’honnêteté puisqu'il était lui-même l'antonyme de cette définition. Juge à la cour d'assises, son verdict étant pas des plus impartiaux, Monsieur Kostas, de son vrai nom, se faisait verser des pots-de-vin pour le sort de ses accusés. Il n'hésitait d'ailleurs pas à absoudre tous les crimes d'une décision irrévocable d'un coup de marteau résonnant dans tout le tribunal. Alors, quand l'intérêt lui est retourné verbalement, le dirigeant d'El Dorado ne cherche pas à faire l'autruche. Il préfère affronter la vérité. Au royaume de la pourriture, c'est même plutôt la médaille d'honneur qui lui serait décerné. Et si elle était en or, sa main se rendrait même à travers les barbelés pour la saisir, quitte à en perdre de nouveau les bras.

- Pour la faire courte, disons que je me suis pas mal torché le cul sur le Code pénal.

Car si pour certain l'argent est une ressource éphémère et dissociable du bonheur divin, elle est une source de sécurité pour l'homme aux mains dorées. Il reste persuadé que même dans la géhenne - si un tel endroit existait cependant - l'argent resterait son meilleur avocat.

Puis soudainement, une invitation à peine voilée s'abat sur lui comme une malédiction. Le contenu en soi est plutôt alléchant mais l'homme n'est pas habitué à entendre des suggestions qui sortent de nulle part, surtout si elles ne sont pas mûrement réfléchie au préalable. Paresse mentale qui énerve son esprit pratique, le dirigeant d'El Dorado paraît légèrement énervé. Elle fait preuve d'une spontanéité sans appel, ses idées farfelues s’enchevêtrent aux ronces de la confusion à mesure que sa cigarette lui consume le reste de ses connexions neurologiques.

- Voyez-vous ça ?

S'enquit-il dans une question rhétorique. Midas est de la vieille école, ça a toujours été à l'homme de chasser sa proie, l'animal tranquille calibré dans le viseur rouge d'une arme lui assurant un sommeil de plomb. Cela dit, bien que les années se soit écoulées et les mentalités changées, l'homme croit malgré tout à la femme dominante. Toutefois, sa pudeur naturelle l'empêche de voir le sexe en face, son érotisme se vivant essentiellement dans sa tête. Il était clair que le désir de son interlocutrice ne se résumait pas à faire trempette comme des adolescents dissidents en colonie de vacances. Sa libido allait au-delà de cette frontière et si Midas trouvait impudique d'en parler, il continua la voie du sous-entendu.

- Suggérez-vous d'entrer par effraction au sein d'une propriété privée ou bien de gérer ce flux de folie désaxée à vos frais ?

Ton calme et neutre, Midas s'en foutait pas mal d'aller se baigner avec une inconnue sous l’œil monochrome des étoiles voilées par la pollution. Rien ne témoignait de son refus. Ce qui l'importait, en revanche, était l'argent. Il ne resterait pas dans une situation omnipotente en le dépensant d'une façon aussi frivole. Pour bouger avec elle, il lui fallait un bon mobile, un motif utile. S'amuser et lâcher du lest ne faisait pas parti de ses plans, le dirigeant avait bien d'autres plans en priorité dont sa principale ambition ainsi que tous les embranchements qui lui était relié. Cartésien et réaliste, il ne pensait pas que son esprit soit suffisamment léger pour outrepasser cela, ses idées pour le futur utopique étant déjà en train de grignoter ses instants présents.  

Avec l'aperçu du fragment principal de son passé, la Lady ferait promptement l'association entre ses aveux précédents et son goût certain pour le pognon.

Le seul chose qui comptait pour lui, en somme, était de savoir si elle pouvait payée ou pas.
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