La cours des plaisirs • Ft Freyja

Tu ne cherches pas vraiment à te cacher, surtout en tas qu’actrice porno on peut facilement te trouver sur internet. Pour ce qui est des soins que tu prodigues à tes clients ils sont en effet plus discret, car le fait est que certain ont des femmes, des réputation de grand vilain qu’ils se doivent de garder. Et tu ne voudrais pas que ces gens ne puissent plus te payer, alors tout ce qui se passe dans le donjon n’en ressort pas !

Tu reçois le plus souvent tes clients sur rendez-vous et les nouveaux arrivants grâce au bouche à oreille. Les rumeurs ne sont pas toujours vraie, il n’y a que les personnes intéressés qui viennent vérifier la véracité de quelques propos glissé autour d’un verre dans une boite de strip tease. Bien entendu quelques petits malins s’égarent parfois devant ta porte et tu prends un plaisir malsain à leur faire aimer la douleur et la soumission. Tu es assez douée pour te créer des clients enfin encore faut-il qu’ils aient de quoi te payer, ceux qui ne peuvent pas, hé bien ils n’ont qu’à trouver ce qu’ils cherchent ailleurs.

Tu étais dans une petite période creuse, en effet ton prochain rendez-vous ne devez pas arriver avant le crépuscule tu fus donc surprise que ton téléphone t’informe de la présence de quelqu’un devant ta porte. Une jeune femme se tenait là, la femme d’un client qui vient casser des trucs ? L’idée, de lui faire découvrir des plaisirs insoupçonnés et de t’occuper d’un couple t’amusé beaucoup. Quoique sa gestuelle n’était pas celle d’une femme énervée et bafouée par son mari masochiste. Conclusion, nous avons à faire à une petite curieuse. Elles sont bien plus rare par chez toi, en générale elles cherchent plus des hommes mais il en faut pour tous les goûts et une nouvelle rentrée d’argent n’est jamais de refus.

Tu te lèves de ton canapé victorien en velour violet pour lui ouvrir la porte. Tu l’invites à entrer d’un signe de la main avant refermer sèchement la porte derrière elle, celle-ci se verrouille automatiquement, elle ne ressortira pas d’ici tant que tu n’auras pas fini de jouer avec elle.

- Bonjour, petite chose ! On va aller se changer.

Tu lui pris la main avec douceur mais sur ton visage il n’y avait pas de peut-être ou de non possible à ta requête. Près de la porte d’entrée il y a une salle pour que tes clients puissent enfiler des choses moins couvrante c’est là que la guide en la tenant toujours par la main et lui imposant clairement ta volonté.

Tu te fiches bien de pourquoi elle est là en réalité, tu es maîtresse, reine, impératrice voire déesse en ces lieux, tout autre forme d’autorité ou volonté sera écrasé.

La rousse a des airs d’animal perdu. Elle est tendue et toute timide, ce qui t’amuse beaucoup. Vous entrez dans la pièce qui n’est autre qu’une penderie. La petite chose se met à te bégayer qu’elle est déjà habillé, tu la laisse donc te montrer ça et tu l’observes sous toutes les coutures. C’est assez mignon tout ça, quoique peut-être un peu trop noire ! Tu viens échanger son collier pour lui mettre un collier un autre avec une doublure verte, le vert va toujours très bien au rousse, il possède lui aussi un anneau en métal que tu utiliseras ou non selon ton désir. Tu esquisses donc un petit sourire carnassier. Pour ta part tu portes une sorte de body en cuir avec des lacets se croisent au niveau de ta poitrine et il y en a d’autre au niveau de tes hanches donnant l’impression que le haut et le bas sont désolidarisé et maintenus par les fils. Tu portes des bas fin noir qui t’arrivent à mi-cuisse ils sont retenus par des pinces attachées au bas de ton body et une paire de louboutin vernis noir. La note de rouge réhaussant l’élégance et la simplicité de la tenue.

- Ton manteau accroche-le au mur derrière toi.

Quand elle se tourne pour accrocher son manteau comme demander tu lui colle une petite fessée assez sonore. Le corps d’une femme est plus doux et moelleux que celui d’un homme, ce qui n’est pas désagréable. Tu tiens entre tes doigts le contrat que t’a donné la petite chose au moins elle sait dans quoi elle s’engage et ce qu’elle aime. Elle t’a en quelque sorte mâché le travail.

- Nous allons discuter de tout ça dans le salon. Tu me suis !

Tu ressors par la porte par laquelle tu es entrée et va au bout de court couloir qui donne sur ton salon. Un porno tourne sans son sur l’écran géant, tu ne l’éteint aucunement gênée. Sur la table basse et l’écran télé traîne des sex-toys purement décoratif et d’autre beaucoup moins décoratif. Il y a aussi un saladier rempli de sucette et autre bonbon sur la table basse. Le décor est assez particulier, les murs sont noires, il y a des moulure dorée au plafond et aussi pas mal d’objet de déco dans la même teinte. Un immense tapis blanc zébré de noirs et les fauteuils sont d’un violet proche de ta teinte de cheveux dans un style victorien encadré de blanc. Tu t’approches du bar dans le même style que les fauteuils, tu commences à préparer un petit cocktail.

- Qu’est ce que tu veux boire ? Cocktail ? Verre d’eau ?

Tu fermes volontairement les possibilités, ce n’est pas : est ce que tu veux boire quelque chose, non elle est plus ou moins obligé de prendre un verre, même ne serait-ce qu’un verre d’eau. Une fois que tu as servis ton invités et qu’elle est assise étant donné sa timidité tu l'avais un peu forcé à s’asseoir en faisant pression sur son épaule. Et tu t'assois sur ses ensuite sur ses genoux. Tu prends une petite gorgée de ton cocktail, te fichant totalement de ce qu’elle pourrait bien dire du fait que tu te pose sur elle. Tu récupérais le papier qu’elle t’avait remis quelques instant plus tôt.

- Alors voyons ça ! Pas de brûlure, noyade… Tu as ton idée de safeword ? Je propose toujours tomates au personne qui n’ont pas d’idée, mais vu ce que j’ai là. Tu as beaucoup réfléchis à ça petite perverse !