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Nikola Bergman
Bang bang - my baby shot me down
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Outil mortel ft Suzi Moore
Sam 25 Avr - 23:02
Ces derniers temps, ce n'était pas la joie au sein de l'armurerie. Nous avions subis des pertes, tout un groupe de nos membres venaient de périr sur les docks suite à une transaction douteuse. Je ne savais rien de ce qu'il préparait, chaque groupe ayant leur indépendance mais de là à ce que ça tourne aussi mal... Aucun indices quant à ce qui a bien pu se passer, ni pourquoi.
On n'a entendu que des rumeurs et ça a le don de m'énerver, des rumeurs comme quoi ils auraient aperçu un membre du cartel avec une autre personne inconnue de nos services de renseignements. Ça ne me paraissait pas fiable comme rumeurs et se lancer dans une guerre avec le cartel ne serait pas bon pour nous.
Nous ne sommes qu'un petit gang pour le moment, au sein de l'alliance. Cette alliance nous était bien entendu bénéfique, permettant d'avoir plus de poids. Est-ce qu'il nous soutiendrai pour autant pour affronter le cartel si de telles rumeurs s'averaient à être valider ? C'était bien moins sûr et je devais faire taire ses rumeurs pour avoir le vrai du faux, connaître la vérité avant d'agir.
Le gang entretien des relations cordiales avec tout le monde pour l'instant, du moins depuis quelques mois, j'ai su faire retrouver un semblant de paix.
Je devais me plonger dans mon travail pour réfléchir et me calmer à propos de tout ça, mais c'était dur de rester concentrer avec les gars qui chahutaient à côté de moi. Je leurs demandait d'abord gentiment d'aller foutre le bordel ailleurs que dans mes pattes. Ils m'ecoutaient en général mais pas cette fois. Ils me pré venaient qu'une femme, semblant ne pas être vraiment à son aise, se dirigeait doucement vers l'armurerie. Une cliente, certainement.
"Eh, personne n'a eu l'idée d'aller l'accueillir ? Où sont passé vos bonnes manières, hein ?"
Je pris alors mon long manteau rouge, avant de venir à sa rencontre, profitant de ma sortie pour allumer une cigarette.
"Bonjour, mademoiselle. Entrez, je vous en prie. Faites pas gaffe aux gros lourds à l'entrée, s'ils vous embêtent, ils auront affaire à moi. Je vous prierai juste de m'excuser, je fini ma cigarette et je suis à vous.
Je lui adressais un sourire, avant de lui ouvrir la porte de l'armurerie. Les autres gars avaient certainement entendu mes paroles et ça devrait suffire à les calmer. Je detaillais doucement la demoiselle, cherchant à savoir qui elle pouvait être.
On n'a entendu que des rumeurs et ça a le don de m'énerver, des rumeurs comme quoi ils auraient aperçu un membre du cartel avec une autre personne inconnue de nos services de renseignements. Ça ne me paraissait pas fiable comme rumeurs et se lancer dans une guerre avec le cartel ne serait pas bon pour nous.
Nous ne sommes qu'un petit gang pour le moment, au sein de l'alliance. Cette alliance nous était bien entendu bénéfique, permettant d'avoir plus de poids. Est-ce qu'il nous soutiendrai pour autant pour affronter le cartel si de telles rumeurs s'averaient à être valider ? C'était bien moins sûr et je devais faire taire ses rumeurs pour avoir le vrai du faux, connaître la vérité avant d'agir.
Le gang entretien des relations cordiales avec tout le monde pour l'instant, du moins depuis quelques mois, j'ai su faire retrouver un semblant de paix.
Je devais me plonger dans mon travail pour réfléchir et me calmer à propos de tout ça, mais c'était dur de rester concentrer avec les gars qui chahutaient à côté de moi. Je leurs demandait d'abord gentiment d'aller foutre le bordel ailleurs que dans mes pattes. Ils m'ecoutaient en général mais pas cette fois. Ils me pré venaient qu'une femme, semblant ne pas être vraiment à son aise, se dirigeait doucement vers l'armurerie. Une cliente, certainement.
"Eh, personne n'a eu l'idée d'aller l'accueillir ? Où sont passé vos bonnes manières, hein ?"
Je pris alors mon long manteau rouge, avant de venir à sa rencontre, profitant de ma sortie pour allumer une cigarette.
"Bonjour, mademoiselle. Entrez, je vous en prie. Faites pas gaffe aux gros lourds à l'entrée, s'ils vous embêtent, ils auront affaire à moi. Je vous prierai juste de m'excuser, je fini ma cigarette et je suis à vous.
Je lui adressais un sourire, avant de lui ouvrir la porte de l'armurerie. Les autres gars avaient certainement entendu mes paroles et ça devrait suffire à les calmer. Je detaillais doucement la demoiselle, cherchant à savoir qui elle pouvait être.
Suzi Moore
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Re: Outil mortel ft Suzi Moore
Dim 26 Avr - 15:25
C’est une journée compliquée qui s’annonce, tu as passé une très mauvaise nuit. Tu as fais un cauchemar, pas que tu n’en fasse pas souvent mais celui-ci fut particulièrement éreintant. Tu te réveillais donc plus fatiguée que tu ne t’étais couchée la veille. Tu pris la direction de la salle de bain pour arranger le cadavre que tu venais de croiser dans le miroir, la tâche fut longue mais au bout de deux bonne heures dont une entière de bain chaud tu avais l’air vivante. Tu n’étais pas pressée aujourd’hui, quoique à vrai dire comme tu gères entièrement ton emploi du temps tu n’es pas vraiment pressée les autres jours tu fuis simplement ton appartement le plus vite possible une fois réveillée. Néanmoins aujourd’hui tu ne mets pas les pied à la casa, tu as d’autre projet. Tu t’habilles donc de la sorte : un jean délavé, un débardeur blanc, et des baskets, un style qui est très loin du tien de manière générale. Le jean d’ailleurs dans lequel tu es assez peu à l’aise à n’est même pas à toi, il est à Ellone et ton amie n’a pas autant de forme que toi. La prochaine fois tu demanderais à Mia de te prêter des vêtements… mais franchement tu préfèrerais qu’il n’y en ai pas, ça te rendait bien trop anxieuse. Tu posas sur ton nez une paire de lunette solaire sombre et pour finaliser le look tu glissas une perruque brune sur ta tête. Tu pris un instant pour retenir tes larmes, le brun était ta couleur naturelle avant que le stresse ne fasse des ravages dans ta chevelure. Il avait fini par y avoir tant de blanc qu’il était plus simple de tout décolorer, d’ailleurs au file des décolorations tu constatais qu’il y avait toujours moins de la brunette sous le gris. Tu jetas sur tes épaules une veste noire plus longue devant que derrière et tu étais prête. Tu laissas ton téléphone et glissa un pré-payé dans ta poche avant de quitter ton enfer personnalisé direction Chicago.
En soit quitter ton quartier n’a rien de compliqué tu ne le connais que trop bien. Tu te glisses dans Chicago toute discrète et te glisse dans une ruelle pour abandonner ta perruque, elle ne t’a pas coûté bien cher puis elle te gratte donc tu ne la regrettera absolument pas. Tu sors de ta poche un papier sur lequel tu as dessiné un plan pour te rendre là où tu dois aller. Le papier se froisse entre tes doigts tremblants tant tu le serre fort. Tu ne dois pas le perdre sinon tu n’iras nulle part et tu finiras perdue, clairement demander ton chemin n’est pas une option. Tu marches à un rythme très soutenue on pourrait dire que tu cours, ton regard fait des va et vient entre les enseignes du pawn shops et ton bout de papier, une vrai biche affolée.
Finalement tu tombes sur ce que tu cherchais. Tu te décourage en apercevant la bande de gorille devant le magasin, tu te mords le pouce assez fort pour te faire mal en réfléchissant. Devrais-tu y aller quand même ? Devais-tu abandonné ? Tu n’étais pas sûre de retrouver la force de refaire cela une seconde fois et puis ça ne serait pas très discret de faire des aller-retour entre les quartiers… La bande t’as rapidement répéré et se tourne vers l’intérieure de l'échoppe. Un autre homme en sort avec son manteau rouge il était difficile à manquer tu as envie de prendre tes jambes à ton cou mais en même temps tu as pas envie d’abandonner si près du but. Tu es donc clouée sur le trottoir… Très cordialement l’homme t’invite à entrer dans le magasin et tu as l’impression qu’il t’a presque autorisé à respirer de nouveau. Tu affiches donc ton beau sourire de secrétaire-vendeuse et te glisse dans le magasin en le remerciant. Une fois à l’intérieure tu t’appuie contre l’une des vitrines au bord de l’hyperventilation, tu entames donc un petit exercice pour te calmer tout en te mordant le pouce encore un tic chez toi quand tu es pas bien tout en observant les armes en vitrine. Un frisson d’horreur te parcourt le corps jusqu’où pourra bien te pousser cette île. Dans un moment d’inattention tu te pince si fort le doigt que tu te coupes. Tu retires ton doigt rapidement de ta bouche à cause de la douleur, maintenant il y a du sang dans ta bouche, sur tes lèvres, sur le sol et sur ta main. Tu lâches alors un beau :
- Joder de mierda…
Que tu espère que personne n’aura entendu...
En soit quitter ton quartier n’a rien de compliqué tu ne le connais que trop bien. Tu te glisses dans Chicago toute discrète et te glisse dans une ruelle pour abandonner ta perruque, elle ne t’a pas coûté bien cher puis elle te gratte donc tu ne la regrettera absolument pas. Tu sors de ta poche un papier sur lequel tu as dessiné un plan pour te rendre là où tu dois aller. Le papier se froisse entre tes doigts tremblants tant tu le serre fort. Tu ne dois pas le perdre sinon tu n’iras nulle part et tu finiras perdue, clairement demander ton chemin n’est pas une option. Tu marches à un rythme très soutenue on pourrait dire que tu cours, ton regard fait des va et vient entre les enseignes du pawn shops et ton bout de papier, une vrai biche affolée.
Finalement tu tombes sur ce que tu cherchais. Tu te décourage en apercevant la bande de gorille devant le magasin, tu te mords le pouce assez fort pour te faire mal en réfléchissant. Devrais-tu y aller quand même ? Devais-tu abandonné ? Tu n’étais pas sûre de retrouver la force de refaire cela une seconde fois et puis ça ne serait pas très discret de faire des aller-retour entre les quartiers… La bande t’as rapidement répéré et se tourne vers l’intérieure de l'échoppe. Un autre homme en sort avec son manteau rouge il était difficile à manquer tu as envie de prendre tes jambes à ton cou mais en même temps tu as pas envie d’abandonner si près du but. Tu es donc clouée sur le trottoir… Très cordialement l’homme t’invite à entrer dans le magasin et tu as l’impression qu’il t’a presque autorisé à respirer de nouveau. Tu affiches donc ton beau sourire de secrétaire-vendeuse et te glisse dans le magasin en le remerciant. Une fois à l’intérieure tu t’appuie contre l’une des vitrines au bord de l’hyperventilation, tu entames donc un petit exercice pour te calmer tout en te mordant le pouce encore un tic chez toi quand tu es pas bien tout en observant les armes en vitrine. Un frisson d’horreur te parcourt le corps jusqu’où pourra bien te pousser cette île. Dans un moment d’inattention tu te pince si fort le doigt que tu te coupes. Tu retires ton doigt rapidement de ta bouche à cause de la douleur, maintenant il y a du sang dans ta bouche, sur tes lèvres, sur le sol et sur ta main. Tu lâches alors un beau :
- Joder de mierda…
Que tu espère que personne n’aura entendu...
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Re: Outil mortel ft Suzi Moore
Lun 27 Avr - 9:33
J'observais calmement mes gars et la demoiselle en fumant ma cigarette. J'observais tout, je me demandais qui pouvait bien être cette demoiselle. En réalité, ce n'était pas si important que cela, tant qu'elle venait pour acheter quelque choses. Si c'était une fille de la milice, elle ne sortirait pas vivante. Elle semblait drôlement nerveuse, ce qui n'était pas bon signe, pourquoi tant de tensions ? Je la regardais toujours, voyant son malaise au plus haut point. Je finissais finalement ma cigarette et je rentrais de nouveau dans l'armurerie. Je jetais un regard noir sur mes gars qui n'avait pas accueilli la jeune demoiselle comme il le fallait. Putain, les nazes.
Je venais adresser mon plus beau sourire à la demoiselle, avant de venir m'adresser à elle. C'était moi qui devait m'occuper d'elle, puisque les autres étaient décidés à n'en faire qu'à leur tête. Une première chose, je me devais de la détendre, je m'en sentais obligé.
"Hey. Détendez-vous, tant que vous serez près de moi, personne ne vous fera rien ici. Vous voulez peut-être boire quelque chose ? Je ne veux pas que vous soyez mal à l'aise..."
Je repassais derrière mon comptoir, délaissant mon atelier pour faire de la relation-client. Je l'observais en silence, attendant qu'elle se décide à me répondre. C'était toujours difficile, d'appréhender ce genre de situation, surtout avec mon tempérament et celui de mes gars présents dans l'armurerie. Je voyais bien leurs regards insistants, ces regards qui ne pouvaient pas mettre en confiance la demoiselle. Je commençais à enrager intérieurement, avant de venir frapper du poing sur le comptoir.
En réponse à ma requête, je n'ai entendu que des grognements mais ils ont fini par quitter la pièce et vaquer à leurs occupations. Je me retrouvais donc seul avec la jeune femme. Si c'était une assassin, je me mettais potentiellement en danger, mais j'en doutais fortement:Aucun assassin ne viendrait sur sa cible en plein jours, dans le quartier le plus bondé de tout Chicago avec tous les pawn-shop à côté. L'alliance des gangs règnent en maître ici, même si les Devil's guns n'était qu'un petit gang pour le moment. En bref, je me sentais malgré tout en sécurité et je n'avais pas peur de la demoiselle. J'étais entouré d'armes avec laquelle je pouvais me défendre, en plus de celles que je porte déjà à ma ceinture.
Je venais retirer mon long manteau rouge pour me mettre à mon aise, ne dissimulant plus vraiment mon arme dans mon holster.
"En quoi puis-je vous aidez ? ", disais-je, toujours souriant et confiant. J'étais juste sûr d'une chose, c'était qu'elle ne devait pas être du quartier. Comme nous n'avons pas réellement d'ennemi au seins des gangs, ça ne me dérangeait pas. De plus, un ennemi ne viendrait pas comme ça, seul, pour nous attaquer. C'était une certitude pour moi, elle était là pour acheter ou entretenir une arme. Quant à savoir laquelle, de quel type, si c'était pour se défendre ou bien pour prévoir un prochain assassinat. Les raisons, entre vous et moi, je m'en contrefoutais.
Je venais adresser mon plus beau sourire à la demoiselle, avant de venir m'adresser à elle. C'était moi qui devait m'occuper d'elle, puisque les autres étaient décidés à n'en faire qu'à leur tête. Une première chose, je me devais de la détendre, je m'en sentais obligé.
"Hey. Détendez-vous, tant que vous serez près de moi, personne ne vous fera rien ici. Vous voulez peut-être boire quelque chose ? Je ne veux pas que vous soyez mal à l'aise..."
Je repassais derrière mon comptoir, délaissant mon atelier pour faire de la relation-client. Je l'observais en silence, attendant qu'elle se décide à me répondre. C'était toujours difficile, d'appréhender ce genre de situation, surtout avec mon tempérament et celui de mes gars présents dans l'armurerie. Je voyais bien leurs regards insistants, ces regards qui ne pouvaient pas mettre en confiance la demoiselle. Je commençais à enrager intérieurement, avant de venir frapper du poing sur le comptoir.
En réponse à ma requête, je n'ai entendu que des grognements mais ils ont fini par quitter la pièce et vaquer à leurs occupations. Je me retrouvais donc seul avec la jeune femme. Si c'était une assassin, je me mettais potentiellement en danger, mais j'en doutais fortement:Aucun assassin ne viendrait sur sa cible en plein jours, dans le quartier le plus bondé de tout Chicago avec tous les pawn-shop à côté. L'alliance des gangs règnent en maître ici, même si les Devil's guns n'était qu'un petit gang pour le moment. En bref, je me sentais malgré tout en sécurité et je n'avais pas peur de la demoiselle. J'étais entouré d'armes avec laquelle je pouvais me défendre, en plus de celles que je porte déjà à ma ceinture.
Je venais retirer mon long manteau rouge pour me mettre à mon aise, ne dissimulant plus vraiment mon arme dans mon holster.
"En quoi puis-je vous aidez ? ", disais-je, toujours souriant et confiant. J'étais juste sûr d'une chose, c'était qu'elle ne devait pas être du quartier. Comme nous n'avons pas réellement d'ennemi au seins des gangs, ça ne me dérangeait pas. De plus, un ennemi ne viendrait pas comme ça, seul, pour nous attaquer. C'était une certitude pour moi, elle était là pour acheter ou entretenir une arme. Quant à savoir laquelle, de quel type, si c'était pour se défendre ou bien pour prévoir un prochain assassinat. Les raisons, entre vous et moi, je m'en contrefoutais.
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Re: Outil mortel ft Suzi Moore
Mar 28 Avr - 12:55
Un peu de solitude et d'espace te fit le plus grand bien, seule dans le magasin tu te sentis moins oppressée et un chouïa plus en sécurité. Tu sentais ton corps se relâcher un peu, pas totalement mais tu ne penses plus pouvoir y arriver sauf si tu quitte Decay un jour… Puis tu es en terre inconnue cela ne t'aide pas à être plus sereine. À vrai dire tu peux affirmer que ton taux d'anxiété quotidien est en temps normale de 30 pourcent lors d'une journée lambda tu étais à 90 tout le long du trajet et là tu dois être au alentour de 70, 100 représentant le moment où tu t’évanouis ou vomis. Tu sors de ta poche un mouchoir blanc en tissu, ta grand mère disait qu’une dame devait toujours en avoir un sur elle. Tu pressas le tissu contre la coupure de ton doigt et passe la langue sur tes lèvre pour retirer le reste de l’hémoglobine qui si trouve. À ce moment le tenancier entre dans le magasin souriant et calme, son calme t’apaise un peu : il te sort phrase un peu cliché de film de gangster. Cela t’amuse, mais tu apprécie l’attention c’est un très bon vendeur à ton avis. Tu évite de marcher dans la goutte de sang qui est tombé par terre.
- Je prendrais bien un verre d’eau et si vous aviez une lingette, j’ai fais une petite tâche sur votre sol je vais la nettoyer.
Tu retiras ton mouchoir de ton pouce pour observer ta bêtise, c’est vraiment pas grand chose c’est sans doute ton geste un peu vif qui avait fait que tu avais mis par terre. En tout cas ça ne saignait plus, tu remis donc ton mouchoir dans ta poche. Tu avais embarqué un petit sachet de sucre qu’on trouve dans les cafés quand on commande une boisson chaude à boire. Tu savais qu’à un moment donné tout ce stress allait te donner quelques vertiges tu avais donc prévu un petit truc pour te donner un petit coup de fouet. Tu tenais le sachet de sucre entre tes doigts et tu jouais un peu comme n’importe qu’elle personne nerveuse qui attend quelque chose. L’homme se départit de son manteau, te laissant apercevoir son arme, ce qui fit à nouveau grimper ton taux d’anxiété. Tu étais là pour en acheter une et tu relativise c’est un coin avec beaucoup de monde et de gangs disparates il est normal qu’il soit armé, il n’en a aucunement après toi…
Tu fais des va et vient entre son visage et son arme un peu dure pour toi de te concentrer alors qu’il te demande pourquoi tu es là. Il est en face de toi et ne montre aucune animosité. Tu t’agace toi-même d’être une flippette à ce point. Tu balbutie tant bien que mal.
- Je… je cherches une… arme de poing, légère...si possible. Avec le moins de recule possible… un truc qui irait avec mon gabarit.
Ce ne fut pas simple à sortir mais c’était fait ! Tu avais réussis à faire un nouveau pas, tu pouvais quelque part être fière de toi. Être fière d’acheter une arme voilà autre chose que seul Decay pouvait bien te pousser à ressentir.
- Je prendrais bien un verre d’eau et si vous aviez une lingette, j’ai fais une petite tâche sur votre sol je vais la nettoyer.
Tu retiras ton mouchoir de ton pouce pour observer ta bêtise, c’est vraiment pas grand chose c’est sans doute ton geste un peu vif qui avait fait que tu avais mis par terre. En tout cas ça ne saignait plus, tu remis donc ton mouchoir dans ta poche. Tu avais embarqué un petit sachet de sucre qu’on trouve dans les cafés quand on commande une boisson chaude à boire. Tu savais qu’à un moment donné tout ce stress allait te donner quelques vertiges tu avais donc prévu un petit truc pour te donner un petit coup de fouet. Tu tenais le sachet de sucre entre tes doigts et tu jouais un peu comme n’importe qu’elle personne nerveuse qui attend quelque chose. L’homme se départit de son manteau, te laissant apercevoir son arme, ce qui fit à nouveau grimper ton taux d’anxiété. Tu étais là pour en acheter une et tu relativise c’est un coin avec beaucoup de monde et de gangs disparates il est normal qu’il soit armé, il n’en a aucunement après toi…
Tu fais des va et vient entre son visage et son arme un peu dure pour toi de te concentrer alors qu’il te demande pourquoi tu es là. Il est en face de toi et ne montre aucune animosité. Tu t’agace toi-même d’être une flippette à ce point. Tu balbutie tant bien que mal.
- Je… je cherches une… arme de poing, légère...si possible. Avec le moins de recule possible… un truc qui irait avec mon gabarit.
Ce ne fut pas simple à sortir mais c’était fait ! Tu avais réussis à faire un nouveau pas, tu pouvais quelque part être fière de toi. Être fière d’acheter une arme voilà autre chose que seul Decay pouvait bien te pousser à ressentir.
Nikola Bergman
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Re: Outil mortel ft Suzi Moore
Mar 28 Avr - 14:19
Une arme de poing, légère et avec peu de recul. Une arme adaptée à son gabarit. Voilà une demande que Nikola pouvait accomplir, mais il y avait une question de prix là-dessous, puisqu'il y avait deux possibilités qui s'offraient à elle: La première étant une arme générique, tel un pistolet 9mm ou bien un révolver. En réalité, le choix dépendait directement de la cliente.
Je ne ne pouvais pas vraiment choisir ce qu'elle voulait en réalité sans en discuter plus que ça. Chaque tireur est différent, avoir juste l'indication qu'elle souhaitait une arme de poing à faible recul ne suffisait pas. Savait-elle tirer ? Comptait-elle prendre des cours ? En bref, l'utilisation et ses préférences allaient devoir être précisé afin que je puisse en savoir plus sur ce dont elle a véritablement besoin. Une arme, c'est un outil, il faut savoir le manier. Après avoir servi un verre d'eau à la demoiselle, je venais lui parler.
"Et bien, ma chère dame, il va falloir m'en dire un peu plus. Vous avez déjà tirer ? Si oui, vous avez testé plusieurs modèles ? En bref, il me faut savoir l'arme qui vous convient le mieux. Un pistolet semi-automatique, un automatique... Ou comme moi, un révolver. De plus, il faut savoir le budget que vous pouvez allouer dans l'entretien et les munitions..." je me racla la gorge, puis je reprenais. "Sinon, je peux vous proposer de vous apprendre à tirer au besoin. Dites moi et on parlera du prix de tout ça après."
Je la regardais en souriant, plongeant dans mes pensées. Je réfléchissais déjà à ce que je pourrais lui proposer et possiblement même fabriquer. Faire des armes a5feu, c'était ce que j'aimais vraiment le plus faire. L'entretien est toujours très important.
Je ne la voyais pas vraiment avec un révolver, une arme plus moderne lui irait certainement mieux. À voir si je pouvais lui en proposer une qui lui conviendrait, mais je devais en savoir plus sur elle d'abord.
En tout cas, si je devais lui faire une arme, j'allais devoir la voir régulièrement pour au minimum entretenir son arme ou lui apprendre à l'entretenir. Beaucoup trop de gangster néglige ce côté là et me ramène des armes en mauvais état venant se plaindre de ma qualité de fabrication. Quels idiots, ils ferment leur claquet à merde quand je leur demande s'ils ont suivis mes conseils pour l'entretien. Une arme, ça se préserve, on ne doit pas faire que tirer à tout va avec.
Je ne ne pouvais pas vraiment choisir ce qu'elle voulait en réalité sans en discuter plus que ça. Chaque tireur est différent, avoir juste l'indication qu'elle souhaitait une arme de poing à faible recul ne suffisait pas. Savait-elle tirer ? Comptait-elle prendre des cours ? En bref, l'utilisation et ses préférences allaient devoir être précisé afin que je puisse en savoir plus sur ce dont elle a véritablement besoin. Une arme, c'est un outil, il faut savoir le manier. Après avoir servi un verre d'eau à la demoiselle, je venais lui parler.
"Et bien, ma chère dame, il va falloir m'en dire un peu plus. Vous avez déjà tirer ? Si oui, vous avez testé plusieurs modèles ? En bref, il me faut savoir l'arme qui vous convient le mieux. Un pistolet semi-automatique, un automatique... Ou comme moi, un révolver. De plus, il faut savoir le budget que vous pouvez allouer dans l'entretien et les munitions..." je me racla la gorge, puis je reprenais. "Sinon, je peux vous proposer de vous apprendre à tirer au besoin. Dites moi et on parlera du prix de tout ça après."
Je la regardais en souriant, plongeant dans mes pensées. Je réfléchissais déjà à ce que je pourrais lui proposer et possiblement même fabriquer. Faire des armes a5feu, c'était ce que j'aimais vraiment le plus faire. L'entretien est toujours très important.
Je ne la voyais pas vraiment avec un révolver, une arme plus moderne lui irait certainement mieux. À voir si je pouvais lui en proposer une qui lui conviendrait, mais je devais en savoir plus sur elle d'abord.
En tout cas, si je devais lui faire une arme, j'allais devoir la voir régulièrement pour au minimum entretenir son arme ou lui apprendre à l'entretenir. Beaucoup trop de gangster néglige ce côté là et me ramène des armes en mauvais état venant se plaindre de ma qualité de fabrication. Quels idiots, ils ferment leur claquet à merde quand je leur demande s'ils ont suivis mes conseils pour l'entretien. Une arme, ça se préserve, on ne doit pas faire que tirer à tout va avec.
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Re: Outil mortel ft Suzi Moore
Jeu 30 Avr - 20:55
Tu ne t’attendais pas à ce flot de question, tu avais formulé une demande simple qui te semblait assez claire. Ca t’effraya un peu, si tu répondais franchement refuserait-il de te vendre quelque chose. Faudrait-il que tu cherches ailleurs… tu avais déjà eu tant de mal à venir. Il disait qu’il t’apprendrait à tirer au besoin. Mais il ne fallait pas oublier le prix dans tout ça, tu ne roules pas sur l’or. Tu le remercie pour le verre d’eau et ouvre ton sachet de sucre pour le verser dans le gobelet blanc. Afin que le sucre ne reste pas au fond de l’eau tu plonges ton petit doigt dans l’eau et le remue doucement avant de porter les doigts à ta bouche pour en retirer l’eau sucré. Le sucre a tendance à coller quand il sèche ainsi et tu n’as pas envie que ce soit le cas. Tu suces donc ton doigt avant de l’essuyer avec ton mouchoir et de boire ton verre presque cul sec. Tu te sens déjà un peu mieux, un peu comme une plante qu’on vient d’arroser. Tu remets de l’ordre dans tes pensées rapidement. Tu avais aussi un peu honte en tant qu’acheteuse de ne jamais avoir manier une arme, c’est idiot, il essayait de te mettre à l’aise et moins tu l’étais. Tu finis par te cacher dans derrière ta tignasse blanche avant de répondre, avec franchise car le choix de la vérité est toujours le meilleur il paraît.
- Je n’y connais absolument rien…
Tu t’applicas ensuite à fuir le regard du vendeur, en regardant partout sauf vers lui. La vitrine, les armes, tes pieds même les gorilles dehors semblaient être devenu intéressant.
-Il vaut mieux éviter le révolver, je serais capable de coincer un truc dans le mécanisme pour le recharger.
Tu avais envie de disparaître à avouer ainsi que tu étais totalement “vierge”, tu n’as jamais tiré, jamais pris une arme en main… En fait tu serais assez maladroite pour faire tomber une arme par terre et te blesser toute seule… C’est fou ce que tes jambes sont quelconque quand elles finissent dans une paire de basket et couverte d’un pantalon. Tu n’aimes vraiment pas. Comme tu as envie de rentrer chez toi passer un truc plus girly enfin surtout plus toi… une robe bleu patineuse peut-être. Tu t’es clairement perdue dans ta garde de robe quelques secondes avant de revenir dans la boutique d’arme. Le raclement de gorge de l’homme te ramenant à toi.
- 2000…
Tu n’ajoutas rien derrière se chiffre tu le pensais assez intelligent pour le comprendre tout seul.
- Je n’y connais absolument rien…
Tu t’applicas ensuite à fuir le regard du vendeur, en regardant partout sauf vers lui. La vitrine, les armes, tes pieds même les gorilles dehors semblaient être devenu intéressant.
-Il vaut mieux éviter le révolver, je serais capable de coincer un truc dans le mécanisme pour le recharger.
Tu avais envie de disparaître à avouer ainsi que tu étais totalement “vierge”, tu n’as jamais tiré, jamais pris une arme en main… En fait tu serais assez maladroite pour faire tomber une arme par terre et te blesser toute seule… C’est fou ce que tes jambes sont quelconque quand elles finissent dans une paire de basket et couverte d’un pantalon. Tu n’aimes vraiment pas. Comme tu as envie de rentrer chez toi passer un truc plus girly enfin surtout plus toi… une robe bleu patineuse peut-être. Tu t’es clairement perdue dans ta garde de robe quelques secondes avant de revenir dans la boutique d’arme. Le raclement de gorge de l’homme te ramenant à toi.
- 2000…
Tu n’ajoutas rien derrière se chiffre tu le pensais assez intelligent pour le comprendre tout seul.
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Re: Outil mortel ft Suzi Moore
Lun 4 Mai - 9:55
C'était donc une totale débutante. Je pouvais en conclure tout un tas de choses de ce fait, mais toutes pourrait bien être fausse. Enfin, j'imaginais qu'elle ne devait pas forcément être à Decay depuis très longtemps, qu'elle devait faire partie d'un autre gang ou d'une mafia. Elle n'était clairement pas de Chicago au vu de son malaise à être ici. Qui était-elle ? Le mystère restait entier, mais une chose est sûre: Elle n'était pas venue ici en ennemie, mais véritablement comme cliente. Au fond de moi, je la trouvais touchante et attachante, mais je me devais de refréner cette sensation. C'était dangereux de trouver une personne attachante aussi rapidement, elle pouvait être une cliente aujourd'hui, certes, mais demain elle pourrait vouloir me tuer parce que je suis le bras droit des Devil's guns.
Non, je ne devais surtout pas sous-estimer mon adversaire, je me devais de la jauger et de toujours faire attention à elle, ce n'était pas parce qu'elle était mignonne qu'elle était inoffensive. Je me penchais en avant pour montrer à la demoiselle les armes à travers la vitrine entre nous deux. Je lui montrais alors deux armes similaires. Une arme ressemblant à un Glock 19 et un Berreta 92. Toutes les deux utilisent les mêmes munitions, du 9mm Parabellum. Ce sont des armes assez vieillotte et ne sont pas de ma fabrication personnelle, mais au vu du budget qu'elle m'avait énoncé, elle n'avait pas les moyens pour une arme complètement sur-mesure, fabrication artisanale oblige.
"Voilà ce que je te propose. Un glock 19 ou un berreta 92. Chacune des deux armes peuvent être modifiés pour mieux te convenir, par exemple avec un frein de bouche si tu juges le recul trop important, une augmentation de la capacité de chargement... Le mieux, serait que tu viennes avec moi pour tester les deux armes, je te fais ton premier cours de tir gratuitement."
Et je lui fis un petit clin d’œil complice. J'avais envie qu'elle m'apprécie, qu'elle se sente à l'aise ici, en ma présence. Il ne lui arrivera rien ici, le plus grand danger dans cette pièce, c'était mes gars et moi. Hors, mes gars, savaient respecté mon autorité, ils savaient que je les protégeraient toujours, mais ils savaient aussi que je pouvais les tabasser sans pitié s'ils me faisaient chier. Enfin, mes excès de colère, ils connaissaient bien ça...
Je venais alors à diriger la demoiselle vers l'arrière boutique - pas dans la porte de l'atelier ni celles menant à notre coin de rencontres - mais vers notre petit stand de tirs. Ce n'était pas aussi grand qu'on l'aurait voulu, mais pour s'entraîner, c'était suffisant. De plus, pour faire tester les armes à la belle, ça sera parfait. Une fois là bas, je lui posais les deux armes devant elle, déchargée et avec la sécurité d'enclencher.
"Prend en une des deux en main. On va d'abord faire à vide, sans munitions, pour te montrer au minimum le maniement et les sécurités à prendre pour toi et les autres. D'accord ?"
Puis, je lui expliquais alors tout ce qui encourait à la sécurité de soi et des autres, tout pour éviter de se tirer dans le pied ou dans la tête d'un ami, en somme. Je lui expliquais comment enclencher et retirer la sécurité de l'arme, de la position de sa main tenant l'arme, le fait de ne pas faire comme dans les films à avoir le doigt sur la gâchette tout le temps. C'était le meilleur moyen pour tirer sans faire exprès et c'était dangereux pour soi et inefficace contre un ennemi vu qu'il y avait de fortes chances de le rater par conséquent. En bref, je lui expliquais tout ce dont elle avait besoin avant même de tirer.
"Habitue-toi au poids de ton arme. Elle doit devenir comme le prolongement de ton bras. Utilise bien tes deux mains pour tirer: Tu peux tirer à une seule main au détriment de la précision et de ton bras aussi. Y'a que dans les films de gangster qu'on voit ça. Prend bien appuie avec tes jambes, utilise tes deux mains... Prend l'arme où tu sembles être le plus à l'aise. "
Je la laissais faire, je la regardais en train d'essayer maladroitement de viser, de positionner ses mains sur l'arme. J'allais lui expliquer par la suite comment bien se positionner, comment viser et surtout comment tirer.
Non, je ne devais surtout pas sous-estimer mon adversaire, je me devais de la jauger et de toujours faire attention à elle, ce n'était pas parce qu'elle était mignonne qu'elle était inoffensive. Je me penchais en avant pour montrer à la demoiselle les armes à travers la vitrine entre nous deux. Je lui montrais alors deux armes similaires. Une arme ressemblant à un Glock 19 et un Berreta 92. Toutes les deux utilisent les mêmes munitions, du 9mm Parabellum. Ce sont des armes assez vieillotte et ne sont pas de ma fabrication personnelle, mais au vu du budget qu'elle m'avait énoncé, elle n'avait pas les moyens pour une arme complètement sur-mesure, fabrication artisanale oblige.
"Voilà ce que je te propose. Un glock 19 ou un berreta 92. Chacune des deux armes peuvent être modifiés pour mieux te convenir, par exemple avec un frein de bouche si tu juges le recul trop important, une augmentation de la capacité de chargement... Le mieux, serait que tu viennes avec moi pour tester les deux armes, je te fais ton premier cours de tir gratuitement."
Et je lui fis un petit clin d’œil complice. J'avais envie qu'elle m'apprécie, qu'elle se sente à l'aise ici, en ma présence. Il ne lui arrivera rien ici, le plus grand danger dans cette pièce, c'était mes gars et moi. Hors, mes gars, savaient respecté mon autorité, ils savaient que je les protégeraient toujours, mais ils savaient aussi que je pouvais les tabasser sans pitié s'ils me faisaient chier. Enfin, mes excès de colère, ils connaissaient bien ça...
Je venais alors à diriger la demoiselle vers l'arrière boutique - pas dans la porte de l'atelier ni celles menant à notre coin de rencontres - mais vers notre petit stand de tirs. Ce n'était pas aussi grand qu'on l'aurait voulu, mais pour s'entraîner, c'était suffisant. De plus, pour faire tester les armes à la belle, ça sera parfait. Une fois là bas, je lui posais les deux armes devant elle, déchargée et avec la sécurité d'enclencher.
"Prend en une des deux en main. On va d'abord faire à vide, sans munitions, pour te montrer au minimum le maniement et les sécurités à prendre pour toi et les autres. D'accord ?"
Puis, je lui expliquais alors tout ce qui encourait à la sécurité de soi et des autres, tout pour éviter de se tirer dans le pied ou dans la tête d'un ami, en somme. Je lui expliquais comment enclencher et retirer la sécurité de l'arme, de la position de sa main tenant l'arme, le fait de ne pas faire comme dans les films à avoir le doigt sur la gâchette tout le temps. C'était le meilleur moyen pour tirer sans faire exprès et c'était dangereux pour soi et inefficace contre un ennemi vu qu'il y avait de fortes chances de le rater par conséquent. En bref, je lui expliquais tout ce dont elle avait besoin avant même de tirer.
"Habitue-toi au poids de ton arme. Elle doit devenir comme le prolongement de ton bras. Utilise bien tes deux mains pour tirer: Tu peux tirer à une seule main au détriment de la précision et de ton bras aussi. Y'a que dans les films de gangster qu'on voit ça. Prend bien appuie avec tes jambes, utilise tes deux mains... Prend l'arme où tu sembles être le plus à l'aise. "
Je la laissais faire, je la regardais en train d'essayer maladroitement de viser, de positionner ses mains sur l'arme. J'allais lui expliquer par la suite comment bien se positionner, comment viser et surtout comment tirer.
Suzi Moore
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Re: Outil mortel ft Suzi Moore
Mer 6 Mai - 13:00
Tu ne roulais pas sur l’or, autrement tu ne serais pas ici et par ici il fallait entendre Decay. Tu aurais trouvé le moyen de rejoindre Néo-Atlantis et acheté une identité afin d’avoir une vie, une vraie et après tu aurais sûrement quitté définitivement l’île pour partir en Argentine… Ou ailleurs qu’importe ! Et c’est justement parce que tu es pauvre que te voilà , là… A faire des choses que tu n’as aucune envie de faire. Il te présente deux armes tu te penchas légèrement sur le vitre pour les observer, elles se ressemblaient beaucoup mais sûrement qu’elle n’était pas produite par la même entreprise ou un truc dans le genre. Tu hochais doucement la tête peu convaincu plus par l’idée d’avoir une arme que par le choix proposé, il te proposa de faire des modifications sur l’arme mais tu ignorais totalement ce qu’était un frein de bouche tu n’étais vraiment sûre de rien à cette instant. Tu levas doucement les yeux vers lui l’air de dire qu’il te parlais chinois. Tu ne pu répondre que sur un point celui du chargeur.
- J’ai pas l’intention de mitrailler des gens, peut-être qu’un chargeur plus petit serait mieux pour alléger l’arme ?
Tu sais qu’alléger trop certaine chose pouvait mener à des problème, comme à ce que l’arme explose dans ta main c’est pour cela que tu préférais faire appel à quelqu’un compétent et de franc si possible. Les bons vendeurs n’ont pas besoin de mentir il savent appuyer sur les atouts de leur produit ! Et à le voir son métier le passionne ce qui te laisse penser qu’il ne fera pas tout pour te vendre n’importe quoi comme genre une grenade… alors que tu es là juste pour une arme de poing. Il arrive quand même globalement à te mettre en confiance, bien que tu sois encore anxieuse à l’idée de tout ça. Il prit les arme dans la vitrine et s’éloigna avec en direction d’une porte dont tu ignorais bien entendu ce qui pouvait y avoir derrière néanmoins tu supposas qu’il s’agissait d’un stand de tire comme il venait de te proposer de t’apprendre à tirer. Tu hésitas un instant à le suivre, m’enfin s‘il avait voulu te tuer il l’aurait déjà fait, non ? Après c’est peut-être un psychopathe qui l’intention de te torturer… Tu étais en plus ici dans la plus grande des discrétion si tu disparaissais personne ne te chercherait.
Il te fallut quelques secondes pour te décider à le suivre. Tu ne sais pas bien ce qui avait fini par te convaincre, mais ce qui revenait le plus c’était surtout ton envie d’en finir le plus vite possible avec cette histoire. Tu soupesas les deux armes et te saisis de celle qui te semblait la plus légère. Puis tu suivis instruction qu’il te donna. Tenir l’arme à deux mains, prendre bien appuie sur tes jambes, mais tu n’as jamais fait de tel chose avant alors tu n’étais clairement pas sûre d’où mettre les mains et encore moins comment te tenir. Et plus tu te sentais ridicule moins tu y arrivais.
- C’est une mauvaise idée c’est moi que je vais tuer avec cette merde…
Tu étais exaspérée et tendue, tu reposas l’arme presque prête à foutre le camp.
- J’ai pas l’intention de mitrailler des gens, peut-être qu’un chargeur plus petit serait mieux pour alléger l’arme ?
Tu sais qu’alléger trop certaine chose pouvait mener à des problème, comme à ce que l’arme explose dans ta main c’est pour cela que tu préférais faire appel à quelqu’un compétent et de franc si possible. Les bons vendeurs n’ont pas besoin de mentir il savent appuyer sur les atouts de leur produit ! Et à le voir son métier le passionne ce qui te laisse penser qu’il ne fera pas tout pour te vendre n’importe quoi comme genre une grenade… alors que tu es là juste pour une arme de poing. Il arrive quand même globalement à te mettre en confiance, bien que tu sois encore anxieuse à l’idée de tout ça. Il prit les arme dans la vitrine et s’éloigna avec en direction d’une porte dont tu ignorais bien entendu ce qui pouvait y avoir derrière néanmoins tu supposas qu’il s’agissait d’un stand de tire comme il venait de te proposer de t’apprendre à tirer. Tu hésitas un instant à le suivre, m’enfin s‘il avait voulu te tuer il l’aurait déjà fait, non ? Après c’est peut-être un psychopathe qui l’intention de te torturer… Tu étais en plus ici dans la plus grande des discrétion si tu disparaissais personne ne te chercherait.
Il te fallut quelques secondes pour te décider à le suivre. Tu ne sais pas bien ce qui avait fini par te convaincre, mais ce qui revenait le plus c’était surtout ton envie d’en finir le plus vite possible avec cette histoire. Tu soupesas les deux armes et te saisis de celle qui te semblait la plus légère. Puis tu suivis instruction qu’il te donna. Tenir l’arme à deux mains, prendre bien appuie sur tes jambes, mais tu n’as jamais fait de tel chose avant alors tu n’étais clairement pas sûre d’où mettre les mains et encore moins comment te tenir. Et plus tu te sentais ridicule moins tu y arrivais.
- C’est une mauvaise idée c’est moi que je vais tuer avec cette merde…
Tu étais exaspérée et tendue, tu reposas l’arme presque prête à foutre le camp.
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Re: Outil mortel ft Suzi Moore
Mer 13 Mai - 13:05
Si elle jouait la comédie, elle méritait définitivement un oscar. Je ne pouvais que la croire inoffensive maintenant, elle semblait être apeurée par le bout de métal qu'elle tenait maladroitement dans les mains. Elle finissait même par se dire qu'elle ne devrait pas s'en servir et posait l'arme sur le comptoir devant elle. C'était son choix, mais je ne voulais pas qu'elle s'en ailles comme ça, pensant que les armes étaient dangereuses. Enfin, si, c'était véritablement le cas, mais il suffisait de savoir les manier pour s'en servir en toute sécurité. Bien sûr, se faire tirer dessus n'était pas exclus à Decay, bien entendu, je m'en voudrais si à cause de moi, elle ne pouvait pas apprendre à tirer.
Je devais donc la mettre encore plus en confiance, la guider encore plus que ça jusqu'à ce qu'elle se détende et qu'elle finisse par comprendre comment s'en servir, qu'elle avait peu de risque de se tirer elle-même dessus. Je me devais de la retenir ici, non pas contre sa volonté, mais pour son propre bien. Elle voulait une arme à feu, c'était certainement parce qu'elle craignait pour sa propre vie et elle savait qu'elle devrait en avoir besoin, ici, à Decay.
" Je vais te montrer d'abord, ensuite, ça sera à ton tour, d'accord ?" disais-je, de ma voix la plus douce, me penchant pour pouvoir lui parler face à face. Ensuite, je pris l'arme à feu qu'elle venait de poser, récupéra un chargeur et le chargea. Je faisais mes gestes doucement, montrant à chaque fois la bonne position de chacun de mes doigts. Puis, j'ôtais finalement la sécurité, je visais la cible au fond du champs de tir, j'inspirais puis j'expirais avant de tirer. Une détonation résonna dans tout le pawn-shop, mais c'était assez habituel pour eux. Le champs de tir restait insonorisé, mais ça ne pouvait pas décemment couvrir tout le bruit d'un coup de feu. Un tir net et précis, en plein dans le milieu de la cible. Rien d'étonnant, sachant qu'il s'entraînait tous les jours, il connaissait par cœur la précision et la portée effective de chacune de ses armes. Celle-ci était flambant neuve, la trajectoire de la balle était précise et non déviée par un quelconque défaut du canon. La douille avait sauté du canon, venant atterrir à mes pieds.
Puis, je remettais la sécurité de l'arme avant de lui tendre. Cette fois, elle était chargée et prête à tirer dès que la sécurité serait ôtée.
" A ton tour, mademoiselle. "
Une fois qu'elle eut pris l'arme dans les mains, je venais poser mes mains sur les siennes, passant mes bras autour d'elle, pour mieux la guider quant à comment elle devait placer ses deux mains, et c'était aussi le bon moment pour lui expliquer comment il fallait viser. Cette proximité était professionnelle, mais il était vrai que je ne faisais pas ça avec tous mes clients. En réalité, c'était la première fois que je faisais ça, et c'était avec cette jeune femme dont le parfum m'enivrait malgré moi. J'aimais son odeur et ce contact, bien que je ne devrais pas. Je lui parlais alors à l'oreille, doucement, ma joue presque contre la sienne, afin de lui donner les explications dont elle avait besoin.
" Regarde ta cible à travers la mire. Inspire profondément, puis expire. Tire pendant que tu expires, sinon, tes mains vont trembler et ta balle n'ira pas dans la cible. Promis, tu ne vas pas te tuer avec ta propre arme. "
C'était certes possible de se tuer avec sa propre arme, mais en général, ce n'était pas des accidents. Un suicide ne comptait pas dans cette promesse. Et puis, je m'en voudrais, si je laissais ce jolie minois se faire blesser par ma faute.
Je devais donc la mettre encore plus en confiance, la guider encore plus que ça jusqu'à ce qu'elle se détende et qu'elle finisse par comprendre comment s'en servir, qu'elle avait peu de risque de se tirer elle-même dessus. Je me devais de la retenir ici, non pas contre sa volonté, mais pour son propre bien. Elle voulait une arme à feu, c'était certainement parce qu'elle craignait pour sa propre vie et elle savait qu'elle devrait en avoir besoin, ici, à Decay.
" Je vais te montrer d'abord, ensuite, ça sera à ton tour, d'accord ?" disais-je, de ma voix la plus douce, me penchant pour pouvoir lui parler face à face. Ensuite, je pris l'arme à feu qu'elle venait de poser, récupéra un chargeur et le chargea. Je faisais mes gestes doucement, montrant à chaque fois la bonne position de chacun de mes doigts. Puis, j'ôtais finalement la sécurité, je visais la cible au fond du champs de tir, j'inspirais puis j'expirais avant de tirer. Une détonation résonna dans tout le pawn-shop, mais c'était assez habituel pour eux. Le champs de tir restait insonorisé, mais ça ne pouvait pas décemment couvrir tout le bruit d'un coup de feu. Un tir net et précis, en plein dans le milieu de la cible. Rien d'étonnant, sachant qu'il s'entraînait tous les jours, il connaissait par cœur la précision et la portée effective de chacune de ses armes. Celle-ci était flambant neuve, la trajectoire de la balle était précise et non déviée par un quelconque défaut du canon. La douille avait sauté du canon, venant atterrir à mes pieds.
Puis, je remettais la sécurité de l'arme avant de lui tendre. Cette fois, elle était chargée et prête à tirer dès que la sécurité serait ôtée.
" A ton tour, mademoiselle. "
Une fois qu'elle eut pris l'arme dans les mains, je venais poser mes mains sur les siennes, passant mes bras autour d'elle, pour mieux la guider quant à comment elle devait placer ses deux mains, et c'était aussi le bon moment pour lui expliquer comment il fallait viser. Cette proximité était professionnelle, mais il était vrai que je ne faisais pas ça avec tous mes clients. En réalité, c'était la première fois que je faisais ça, et c'était avec cette jeune femme dont le parfum m'enivrait malgré moi. J'aimais son odeur et ce contact, bien que je ne devrais pas. Je lui parlais alors à l'oreille, doucement, ma joue presque contre la sienne, afin de lui donner les explications dont elle avait besoin.
" Regarde ta cible à travers la mire. Inspire profondément, puis expire. Tire pendant que tu expires, sinon, tes mains vont trembler et ta balle n'ira pas dans la cible. Promis, tu ne vas pas te tuer avec ta propre arme. "
C'était certes possible de se tuer avec sa propre arme, mais en général, ce n'était pas des accidents. Un suicide ne comptait pas dans cette promesse. Et puis, je m'en voudrais, si je laissais ce jolie minois se faire blesser par ma faute.
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Re: Outil mortel ft Suzi Moore
Jeu 14 Mai - 1:36
Apeurée, était sans doute un mot assez proche de la réalité. Son coeur cogné dans sa poitrine, il cognait si fort, plus que lorsque de tu avais travers Chicago seule pour venir ici. Tu faisais de ton mieux pour garder ton calme et la sérénité de ton “professeur” t’était d’une grande aide. Il était patient et te parlait avec un ton rassurant, sans te prendre pour une attardée comme aurait pu le faire beaucoup d’autre. Il arriverait presque à te soutirer un sourire attendrit, mais le trop plein de stress tue cette manifestation positive dans l’oeuf. Il vient se saisir de l’arme que tu as précédemment posé et t’explique plus en détail en joignant le geste à parole. Il est vrai que c’est plus facile à comprendre quand il le montre, tu imprimes mentalement la position qu’il prend en hochant doucement de la tête. Lorsque le coup est partie quelque chose a craqué dans ta tête. Tu n’avais pas entendu un tel son d’aussi près depuis longtemps, ton statut de secrétaire t’assure la tranquillité d’un bureau et très très peu de déplacement sur le terrain. Tu es un peu vaseuse, mais tu te dis que ça va passer, quoique étrangement ta petite voix intérieure semble venir de hyper loin, un comme quand on essaye de parler dans l’eau.
Tu t’approches pour prendre place devant la cible, plus parce qu’il te demande de venir que réelle conscience de ce que tu fais. Il glisse l’arme dans ta main et tu positionne lentement, mais plutôt correctement tes mains autour de celle-ci bien que ce ne soit de toute évidence pas parfait. Ton prof vient ajuster tes mains, te prenant plus ou moins dans ses bras, tu sens son torse dans ton dos et note l’étrange détaille que l’une de ses mains et plus froide que l’autre. C’est ridicule, ce que le cerveau peut intégrer comme détail pour essayer de ne pas sombrer… Sa joue effleure la tiens alors qu’il t’explique au creux de l’oreille quand tirer... Tu lui glisse un petit coup d’oeil avant de regarder la cible. Cible assez flou d’ailleurs, tu essaye de forcer tant bien que mal sur tes yeux pour mieux la voir, tu n’as pourtant pas une mauvaise vue. Ta respiration est très lente enfin tu en as l’impression, tu as l’impression de vivre à ralentit actuellement. Tu expires, le coup part, la vibration l’arme et le son t’achève. Le coup est partie, c’est trop tard, tu ne peux pas retenir la balle, c’est trop tard, il est mort.
Autant une seconde avant tu te serais cru en hypotension autant maintenant ton rythme cardiaque crevé le plafond. Tu as lâché l’arme, pas remis la sécurité, tu ne sais plus vraiment ce qui se passe. Il n’y a qu’une chose qui t’obsède, le visage de Luis livide les lèvres tremblantes et son regard te suppliant de l’aider et ton impuissance la plus total. Ton coeur bat si fort, tu le sens dans tout ton corps, tu en tremble. Tu fais volte-face souple sur tes appuies, tu te diriges vers le mur du fond. Les larmes inondent ton visage alors que tu revois tes mains se couvrir d’un sang qui n’est là que pour te culpabiliser d’être toujours en vie.
- Non, non, non, non, non… non, non…
Tu viens te gratter les mains violemment pour chasser ta vision, tu as envie de t’arracher la peau.
Tu t’approches pour prendre place devant la cible, plus parce qu’il te demande de venir que réelle conscience de ce que tu fais. Il glisse l’arme dans ta main et tu positionne lentement, mais plutôt correctement tes mains autour de celle-ci bien que ce ne soit de toute évidence pas parfait. Ton prof vient ajuster tes mains, te prenant plus ou moins dans ses bras, tu sens son torse dans ton dos et note l’étrange détaille que l’une de ses mains et plus froide que l’autre. C’est ridicule, ce que le cerveau peut intégrer comme détail pour essayer de ne pas sombrer… Sa joue effleure la tiens alors qu’il t’explique au creux de l’oreille quand tirer... Tu lui glisse un petit coup d’oeil avant de regarder la cible. Cible assez flou d’ailleurs, tu essaye de forcer tant bien que mal sur tes yeux pour mieux la voir, tu n’as pourtant pas une mauvaise vue. Ta respiration est très lente enfin tu en as l’impression, tu as l’impression de vivre à ralentit actuellement. Tu expires, le coup part, la vibration l’arme et le son t’achève. Le coup est partie, c’est trop tard, tu ne peux pas retenir la balle, c’est trop tard, il est mort.
Autant une seconde avant tu te serais cru en hypotension autant maintenant ton rythme cardiaque crevé le plafond. Tu as lâché l’arme, pas remis la sécurité, tu ne sais plus vraiment ce qui se passe. Il n’y a qu’une chose qui t’obsède, le visage de Luis livide les lèvres tremblantes et son regard te suppliant de l’aider et ton impuissance la plus total. Ton coeur bat si fort, tu le sens dans tout ton corps, tu en tremble. Tu fais volte-face souple sur tes appuies, tu te diriges vers le mur du fond. Les larmes inondent ton visage alors que tu revois tes mains se couvrir d’un sang qui n’est là que pour te culpabiliser d’être toujours en vie.
- Non, non, non, non, non… non, non…
Tu viens te gratter les mains violemment pour chasser ta vision, tu as envie de t’arracher la peau.
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