Chapitre 2 : La Corporation
Decay
Decay, destination de tous les possibles, terre en friche où fourmillent les possibilités et l'argent facile, où chaque vice est accessible, chaque désir libre d'être comblé. L'île prospère, se vautre dans sa propre réussite, quand l'ouragan Isaac survint, balayant sur son passage les installations des gangs comme leurs prétentions. Et un nouveau groupe émerge des brisures laissées par la tempête, la Corporation. Forte de son budget, celle-ci s'invite en sauveuse, promet à tous une aide financière et humaine, des avancées conséquentes, pour une vie meilleure. Avides de pouvoir ou simples fantoches, qui sont vraiment les acteurs de cette entité inédite qui prétend étendre son influence à tout Decay.
11/10/2020 HRP
La Newsletter est sortie ! Beaucoup de changements au programme, par ici
11/10/2020 RP
Quelques semaines après la fin de l'ouragan, la Corporation dévoile son visage ! A lire par ici
12/09/2020 RP
L'ouragan Isaac s'abat sur l'île ! Pour en savoir plus, par ici
12/09/2020 HRP
L'event Hurricane est lancé ! Vous pouvez toujours le rejoindre par ici.
27/08/2020 HRP
Nouvelle newsletter ! La lire ici.
05/07/2020 HRP
Nouvelle newsletter et nombreux changements ! La lire ici.
30/05/2020 HRP
Nouvelle newsletter en cette fin de mai ! La lire ici.
30/05/2020 RP
Un nouveau système de réalité augmentée sort au Space Station Bar ! Participer ici
5/04/2020 RP
Le Carnaval de Napoli est lancé ! Extravaganza
8/04/2020 HRP
Nouvelle newsletter ! La lire ici.
18/03/2020 HRP
Ajout des missions et petite update de l'index !
28/02/2020 HRP
Deuxième newsletter ! La lire ici.
28/02/2020 RP
La Milice redouble de violence et est plus présente sur le territoire de Decay !
31/01/2020 HRP
Première Newsletter, bébé forum deviendra grand ! La lire ici.
31/01/2020 RP
L'intrigue "Paranoïa" a été lancée ! Par ici.
17/01/2020 HRP
Ouverture du forum ! N'hésitez pas à rejoindre le Discord !
Il parait qu'une jeune fille a été aperçue allant dans les égouts. Depuis, elle n'a plus donné aucune nouvelle d'elle. Une nouvelle victime des monstres vivant dans les égouts ?Une vingtaine de serpents en liberté auraient été aperçus sur les Docks. La Triade en sueur.On déplorerait trois morts suite au dernier barathon de la rue de la soif.À Kabukicho, des rumeurs sur l'affaiblissement des effectifs du clan Oni commencent à poindre. L'absence de Yokai se fait-elle enfin ressentir ou cela n'est-il que le fruit de l'imagination de quelques résidents ?Une certaine Shrimpette serait en train d'écrire une fan-fiction sur certains membres de Decay.On dit que l'ensemble du corps d'un certain mercenaire travaillant pour la Triade serait entièrement recouverts de ses nombreux crimes. Une dizaine de cadavres auraient été découverts, au cours du mois de Janvier, sur les Docks. Certains évoquent un règlement de comptes. Un tout nouveau malware parcourrait la toile, déguisé sous la forme d'un logiciel à première vue inoffensif. Il installerait une backdoor sur les machines infectées. Pour quelle raison ? Cela reste un mystère. Une femme vagabonde à la chevelure d'un noir profond et aux yeux écarlates prendrait en charge des malades et blessés au travers de Decay pour une misère, offrant une alternative médicale à celle dispensée par l'Église. Fin Janvier/Début Février, une course de rue, en pleine nuit, aurait conduit certains hommes hors des pistes. Plusieurs voitures seraient sorties de la route suite à un « conducteur fantôme ».
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Roxanne regarde l'horloge devant son bureau: 18h50, bientôt l'heure de la fin de son boulot. Elle n'avait envie que de ça, quitter ce bureau trop étroit à son goût, l'odeur du café froid embaumant toute la pièce et de ce forcer à sourire à chaque fois que quelqu'un passe. Alors que tout ses paramètres lui foutent une migraine, elle termine de compléter les courriers à envoyer en appliquant sa très belle écriture et les pose dans le bac des lettres à envoyer. Pourquoi encore aujourd'hui on utilise des lettres sérieux ? C'est tellement has-been, les mails c'est déjà bien trop vieux, maintenant on envoie des messages directement sur le portable du destinataire surtout pour les convocation. Enfin bon c'est à cause d'haut dessus, sois disant que les mails et message peuvent se faire hacker facilement contrairement au papier. De plus, c'est pas comme si les sujet hautement confidentiels vont se faire envoyer par lettre, c'est complètement idiot d'après Roxanne. Mais au moins sa lui donne une raison pour être payée.

Déposant la dernière lettre, elle est interpellée par quelqu'un:

"- Bonne soirée Miss Reed, rentrez bien.
- Vous de même monsieur Rosso."

Celui qui venait de lui parler est une recrue brillante de la milice, en vue de ses capacités, ses bons résultats et qu'il se fait souvent inviter aux parties de golfs des chefs, des bruits de couloirs racontent qu'il va bientôt avoir sa promotion de chefs d'escouade. Bref c'est un garçon prometteur à surveiller, surtout pour Roxanne, elle qui veut se marier avec un haut gradé de la milice, il ne vaudrait pas manquer cette occasion, elle ne voudrai pas le regretter dans le futur.

Lui souriant avec son beau rouge à lèvre rouge séduisant, elle le regarde longuement durant le contact visuel tout en penchant la tête sur le côté. Pourquoi pencher la tête sur le côté ? Parce que ça fait mieux ressortir sa beauté, c'est comme ça que font les mannequins sur instagram ! Mais ça doit être léger, sinon tu as surtout l'air con. En tout cas le milicien semble bien intéressée par la secrétaire en voyant son regard sur elle, le poisson est ferré mesdames et messieurs.

Bref maintenant que sa cible notée dans le top 20 des mecs à pécho dans la milice est parti, il est temps à elle aussi de se casser. Éteignant son ordinateur, elle exécute un rangement de son bureau -qui est déjà bien rangé- puis éteint sa lumière. C'était encore une journée bien ennuyante aujourd'hui et qu'est-ce que ça la fais chier de travailler. Vivement qu'elle se marie à un homme riche, pour ne plus travailler et rien foutre à la maison. Dans une villa à Néo Atlantis avec vue sur la mer, les pieds dans la piscine en portant un maillot de bain louis vuitton et un majordome lui donnant une coupe de Dom Pérignon. Bordel ça c'est le rêve, le rêve de toute sa vie.

Se levant de sa chaise de bureau, elle s'approche du porte-manteau pour remettre sa veste et prendre son sac. Marchant dans les couloirs du qg, elle pointe à la machine puis elle fouille dans son pour chercher sa boite de vogue et son briquet. Mais quelque chose vibre dans son sac: son téléphone. Le prenant rapidement, elle vit que c'est un numéro masqué qui l'appelle...Hmmm. Peut-être que c'est encore ce journaliste qui veut des infos ? Elle espère que ce sera extrêmement bien payé cette fois vu les risques qu'elle prend dans cette histoire !

Se dépêchant de sortir et finissant dans le parking extérieur de la milice, elle décroche.

"- Allo ? A qui ais-je l'honneur de m’appeler en masqué ?"

Elle espère que ce n'est pas un canular, car déjà que sa migraine l'emmerde bien, elle aura pas de patience si on la fais chier à la fin de sa journée de boulot. Sortant une cigarette et la calant entre ses lèvres, elle l'allume avec son briquet en attendant que celui derrière le combiné lui réponde.
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    - Une série de meurtres étranges, une milice sur équipée ... FIt-il en soufflant entre ses dents, tendant un journal provenant tout droit de Néo Atlantis entre ses mains graciles, une cigarette fumante dans le cendrier sur son bureau d'aggloméré. Il habitait dans son bureau, une petite couchette étant aménagé dans une petite pièce qui servait de débarras auparavant. Là dedans, c'était un ras de marée de vêtements, de bouteilles vides et de clopes écrasées. Le bureau n'en menait pas plus large, envahis de dossiers en tout genre, et de coupures de journaux annotées... Je vais encore avoir du boulot sur la planche. Il cracha un rond de fumée, attrapant de sa dextre la lucky strike qui se consumait seule jusqu'à présent.

    Il était seul, attablé devant un café à l'irlandaise -c'est à dire coupé de Whisky bas de gamme, seulement un caleçon sur les fesses. Il se gratta les parties avec beaucoup de conviction. Déjà, depuis le début de toute cette histoire, on était venu le voir pour résoudre l'affaire. Mais malgré tout ses efforts, il n'avait pas pût en voir le bout. Attention, il était un enquêteur de premier ordre, mais simplement qu'il n'avait rien à se mettre sous la dent, il manquait de "matière" pour travailler efficacement.

    Ses sources à la milice n'étaient plus légion, et il devait bien admettre que son sens de l'observation s'était émoussé a force de s'occuper du linge sale de Decay. Cela faisait longtemps que les crimes de cet acabit ne devaient absolument pas être résolus, et qu'on le tenait écarté de toutes informations sensibles sur ce genre de dossier.

    On savait de notoriété publique qu'il était un fouille merde de premier ordre. Il se leva et enfila un costume en vitesse, et se rasa de près : Le seul effort qu'il concéderait à lui faire, après toutes ses années sans nouvelles. Après tout, il n’appelait pas pour raviver des souvenirs, mais pour proposer un deal gagnant-gagnant entre elle et lui.

    Elle, c'était Roxanne Reed, secrétaire et informatrice officielle de la pègre de Decay. Enfin, à ce qu'on lui a dit. Ca fait longtemps qu'elle passait sous le radar des différentes enquêtes sur une taupe dans la milice. Elle était maligne. Ou bien on avait pas vraiment envie de remuer la merdre dans la milice de Néo Atlantis.

    Va savoir.

    Il composa le numéro d'une main assurées, tirant sur sa clope. Il avait une chemise maintenant, il avait un peu de contenance pour ce qui allait suivre.

    - Roxie ? C'est Joseph ... Joseph McCanon, du département Investigation, tu te souviens de ma vieille trogne ? Qu'il fit avec un ton enjoué et un mouvement du bras qui ponctua sa phrase.
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Prenant une grande inspiration sur sa vogue, Roxanne s’étouffe en entendant la phrase de son interlocuteur. Qu'est-ce que ?! Déjà peu de gens l'appellent "Roxie", elle déteste ce surnom dégueulasse. Les seules personne qui l'appellent ainsi sont les filles qui faisaient semblant d'être son amie durant ses études, son oncle qui est tout le temps bourré et les mec relou qui se croient drôle en donnant un surnom.
Bordel de merde, c'est quoi ça ?! Joseph McCanon qui l'appelle ?! Le gars dont elle ne voulait pas revoir ni l'entendre ni...Bref elle veut pas penser à lui. Pourquoi ? Eh bien parcequ'il réveille des souvenirs douloureux de quand elle a commencer son job de secrétaire à la milice. Ce moment ou elle était encore toute fraîche et naïve et qu'il lui a écraser tout ses espoirs de jeune fille.
Oui, Roxanne en veut toujours à Joseph. Et l’appeler au beau milieu de sa fin de journée épuisante, rajoute une bûche en plus dans son feu interne de vengeance.

"- Tiens tien tiens ! Ce grand connard de Joseph McCanon ose encore m’appeler après tout ce qu'il m'a fait."

Dans sa voix à travers le combiné, elle exprime une certaine colère.

"- Qu'est-ce que tu veux ? Je n'ai pas de temps à te consacrer et je ne fais plus dans le bénévolat."

Reprenant une inspiration dans sa clope, elle s'avance vers sa voiture pour la déverrouiller. S'attendant au pire scénario, elle en devient plutôt préoccupé. Pourquoi revient-il vers elle ? Il sait bien qu'il n'a plus aucune chance. En plus ça va faire 5 ans ! Il a du tourner la page ! En plus à Decay il doit en trouver des putes blondes qu'il en raffole tant ! Après tout elle est au courant qu'il a quitté la milice pour vivre à Decay, Roxanne ne comprend toujours pas ce choix. Pourquoi vivre dans la ville qui est associé à une déchetterie et aux millions de psychopathes ?
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Ça fumait des deux côtés. Et pas qu'au sens littéral, disons qu'il y'avait de l'eau dans le gaz entre ses deux là. Au début, ça avait fort bien commencé pourtant ; peut être un peu trop bien d'ailleurs. Une histoire qui se voulait sans véritable lendemain, du fun surtout. C'était un appel des corps plus que des esprits. Enfin, pour lui en tout cas. Puis il avait déconné, encore une fois, malgré tout les bons sentiments qu'il avait voulu y mettre, il n'avait pas sut résister.

Eh, pas sa faute s'il était irésistible.

Enfin, c'était ce qu'il pensait. Et il n'avait peut être pas tord, ce n'était juste pas l'objet de l'appel. C'était du sérieux, et pas une histoire d'amourette qui avait mal tourné. Comment ça vous voulez savoir ? Je vous la fais courte. Au tout départ où elle avait commencé sa carrière, elle rencontra un fort beau brigadier, du département investigation, du nom de McCanon. Aveuglée par son talent -malgré une attitude déplorable, elle s'était entichée du brigadier, qui en profita pour la séduire ; S'en suivit ce qui s'en suit toujours dans ces cas, une nuit d'amour endiablée.

Puis le lendemain matin, dans son propre bureau, elle l'avait retrouvé au cou de la nouvelle secrétaire du service, une jolie blonde à forte poitrine.

Cruelle désillusion, fierté bafouée, ses sentiment à l'égard du détective furent brisés. Elle ne le respecta plus jamais, et ne lui adressa plus jamais la parole de toute sa vie. Jusqu'à aujourd'hui. Il souffla une nouvelle bouffée de cigarette.

- Tout ce que je t'ai fais ? C'était y'a 5 ans, Roxie, tu pourrais arrêter de m'en vouloir pour une connerie que j'ai faites à une époque sombre de ma vie ? Mensonge éhonté, c'était maintenant la période sombre de sa vie. A Decay, sans le sous, avec pour seul femme sa paluche droite. Leur rencontre s'était passée à son âge d'or, mais il ne voulait pas l'admettre. Josesph McCanon savait rebondir comme personne. Il ferait de sa situation délétère un nouveau souffle pour sa carrière.

- Justement, si je t'appelais c'était pour te proposer un marché, mais c'est pas le genre de truc que l'on dit au téléphone... Petite pause de quelques secondes, tandis qu'il remettait en place ses cheveux en bataille, et réajustais le col de sa cravate. Alors si tu veux bien te retourner, et faire signe au bonhomme qui tient un journal dans la main, juste à l'angle Sud de ta position ... Il t'en serait reconnaissant ? Fit-il en souriant, car même le sourire se sentait au téléphone.

Lui, il pouvait dire rien qu'à son silence qu'elle n'en croyait pas ses yeux. Joseph Mc Canon, en chaire et en os, poupée. Il avait voyagé clandestinement depuis Decay pour la rencontrer elle, Roxanne Reed. Si c'était pas important comme histoire, cela ne le serait jamais, non ? Il allait au devant des ennuis en se rendant à Néo Atlantis, si on l'attrapait, il finirait surement au bout d'une corde, avec du goudron et des plumes ur le cul.

Il approchait. Chacun de ses pas le menait vers elle, elle pouvait sentir le parfum bon marché qu'il avait choisit, et on pouvait compter les poils de barbe sur son menton lorsqu'il s'arrêta près de la milicienne. Il avait changé.

On avait presque l'impression qu'il était présentable.

Seul son imper taché et sa chemise froissée faisait tâche avec le personnage. Il fallait pas y regarder de trop près, mais Joseph avait fait un effort. Pour lui, c'était comme se mettre sur son trente et un.
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Arrivant enfin au niveau de sa voiture, elle n'en revenait pas de ce qu'elle venait d'entendre. Il essaye de la rabaisser en minimisant les faits et de se prendre pour la victime dans cette histoire ! Mais c'est n'importe quoi !

"- Une époque sombre de ta vie ?! C'est ça ! Tu vas dire que tu regrette de t'avoir taper presque toutes les secrétaire de la milice ! Tu as raison je ne devrai plus t'en vouloir,  je devrai même te raccrocher et continuer de ne pas te parler comme j'ai fais durant 5 ans !"

Bordel, elle déteste Joseph pour ne pas avoir à se détester elle même, de ne pas avoir vu clair dans son jeux et de s'être laissé faire comme une bleue. Mais cette époque est révolue, maintenant elle sort avec des hommes qui ont minimum 5 chiffre au dessus de la virgule dans leur compte en banque, les autres c'est directement poubelle comme ce cher Joseph.

Alors qu'il ne lui laisse pas le temps de lui raccrocher au nez, il continue la discutions en lui parlant d'un marché. Mais de quoi il parle ?! Alors qu'il lui dit de se retourner, c'est ce qu'elle fait et ce qu'elle vit lui fait tomber sa clope de sa bouche. Elle était complément choquée, raccrochant au téléphone, elle attend qu'il s'approche pour lui parler, enfin plutôt l'engueuler.

"- Bordel Joseph mais qu'est-ce que tu fais là ? Tu n'as pas le droit de revenir ici tu le sais bien ! Si on nous vois ensemble tu sais bien que tu vas être plus que mort et moi je vais être viré de suite ! Monte à l'arrière de ma voiture."

Ordonne t-elle à son ex-collègue. Parlons de sa voiture, un beau cadeau d'un de ses derniers prétendant: une belle Mercedes hors de prix. Toutes les options comprises, siège en cuir et vitre teinté. S'installant au siège passager de sa voiture, elle met sa ceinture, clef dans le contact et continue de l'engueuler.

"-J'ai fais beaucoup d'effort pour devenir secrétaire à la sécurité, je refuse de me faire virer à cause d'un connard comme toi. Je vais te ramener à Decay et tu reviendra plus jamais me revoir, compris Joseph ?!"

Le regardant à travers le rétroviseur, elle a bien remarquer qu'il -avec ses efforts de présentation- a bien changé depuis le temps. Auparavant il était très bien mignon lorsqu'il se sont connus, maintenant on voit que Decay lui donné un coup de vieux. Mais il a toujours cet air, ce petit pourquoi elle avait eut de sentiment pour lui.
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    Il portait un chapeau et des lunettes. Des précautions de rigueur pour l'individus qu'était Joseph. Mais oui, malgré les années, et malgré son train de vie "particulier", il n'avait pas vraiment perdu de sa superbe. Il y'avait gagné un charme de baroudeur, qui en faisait quelqu'un de couru dans son quartier. Il faisait déjà des cocus un peu de partout, comme à son habitude après tout, pourquoi les changer quand on ne voit pas le mal ? Toi, tu le vois le mal. Tu es obnubilé par celui qu'il t'as fait, il y'a de ça des années. Tu n'as pas perdu le nord entre temps, tuant le temps à coup de carte bleu, et de chèque de banque.

    Putain, ce qu'elle était belle en colère.

    - Calme toi, Roxie, personne sait que je suis ici. Puis à cette heure là on va pas croiser un chat, tu le sais bien. Fit-il en haussant les épaules, tandis qu'elle se dirigeait vers un bolide qui en disait long sur ses fréquentations actuelles. Une merco, rien que ça poupée ? Décidément, elle n'arrêterait pas de le surprendre, à tout point de vue. Oui, oui, je monte c'est bon. Elle avait bien vieilli, la petite ; Il remettrait bien le couvert, se dit-il en montant à l'arrière, tout sourire tandis qu'elle le sermonnait. S'il avait prit autant de risque, c'était que le jeu en valait la chandelle non ? Il avait toujours été le malin de la troupe, celui qui avait le plus d'enquêtes résolus à son actif en tout cas.

    Il arrêtait les méchants entre le fromage et le donut's.

    - On peut fumer dans ta caisse ? Fit-il en lui montrant sa lucky strike, qu'il met à sa bouche, attrapant son briquet zippo dans la poche de son imper, et continuant en disant, comme s'il le savait déjà ... Je suppose oui, hein. Qu'il fit en allumant sa clope d'un geste habile. Si tu veux, on ne se reverra plus jamais. J'ai une proposition à te faire, une seule. A toi de décider si elle t'intéresse, car elle n'émane pas de moi, elle vient d'un groupe assez friqué et puissant à Decay pour me faire flipper ... Qu'il continua, tandis qu'elle démarrait la voiture, s'engageant sur la voie publique après quelques manœuvres parfaitement maîtrisées.

    Il venait au nom de L'Organizatsiya, avec lequel il avait signé un genre de pacte de non agression, grâce à l'appuie d'une grande dame de la ville des pêchés. Dans son imper, une enveloppe avec une somme rondelette était là pour appâter la secrétaire, et lui donner envie de vendre des informations au gang, comme l'indiquait les rumeurs.

    - Je connais un type, qui s'est dit que tu serais intéressé par ça ... Fit-il en tapotant l'enveloppe dans son manteau ... Dix mille, juste pour se présenter à toi avec patte blanche et tout. Je suis là pour pas t'effrayer, mais mes employeurs du moment, ils veulent t'engager. Et si tu veux un conseil, c'est pas le genre à qui on dit simplement "non". Il tourna la tête pour voir une dernière fois Néo Atlantis, son ancien foyer, disparaître au fur et à mesure qu'il prenait la route pour Decay. Le deal, c'est des informations, et un gros paiement à chaque fin de mois. Et je suis l’intermédiaire, pas la peine de chercher à les joindre autrement. Ça, c'était sa clause à lui. Comme ça il pourrait en profiter pour recevoir des informations à la fraîche.

    Mais là, il parlait beaucoup trop. C'était à son tour de s'exprimer, et de lui dire clairement si l'offre tenait debout, ou s'il faisait fausse route. En attendant il sortit l'enveloppe, et la posa sur sa cuisse, laissant quelques billets visibles depuis la position de Roxanne.
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Alors qu'il lui disait de se calmer, elle n'y arrivait pas. La présence de Joseph la perturbe à haut point. Juste le fait qu'il est ici à Néo Atlantis et qu'il peut faire capoter sa carrière, le fait qu'elle est toujours en colère d'avoir bafoué sa confiance et le fait qu'elle ressent encore quelque chose envers lui.
Roxanne reprend toi putain !
Mettant le mode conduite sportive à sa voiture automatique, elle sort du parking.

"- Peut-être que personne nous à vus, mais il ya des nouvelles caméra ici. Ça a changé depuis que tu es parti. L'histoire de la semaine rouge, le serial killer à néo Atlantis, l'avancé de l'armement à la milice...Les chefs de la milice sont vachement tendu en ce moment, ils ne sont plus aussi tendre que avant."

Conduisant dans les rue de Néo Atlantis à toute vitesse, elle va vers un endroit qu'elle connait particulièrement. Alors qu'il lui pose la question de fumer dans sa clope, elle le fixe dans le rétroviseur interne d'un air blasé. Sa voiture pue le tabac froid, c'est pas pour rien. Mais au moins elle essaye d'ouvrir les fenetre, mais à cet instant ce n'est pas possible, Joseph ce fera surement remarqué.

Puis à la suite de ses paroles elle tique. Un groupe assez puissant qui fait flipper MacCanon ? Mais dans quel bordel il c'est foutu ce gros con ?! Parlant d'un type qui lui raconter ses actions illégal de revente d'information, elle repense à ce foutu journaliste. Qui ne doit surement pas être journaliste pour aller dire à tout le monde ce qu'elle vend. Bordel, elle c'est bien fait avoir. Serrant fortement son volant dans ses mains, elle était coincé. Des gens puissants qui savent sa positon et qui semblent carrément dangereux, Joseph qui se mêle à tout ça... Roxanne souffle un bon coup et regarde à travers le rétroviseur, la belle enveloppe sur sa cuisse.

Bordel dans tout les cas elle était piégée. Si elle refuserai, ce groupe "puissant" de Decay pourrait venir à elle ou à ses parents pour insister à qu'elle prennent la "bonne décision". Il pourrait aussi informer son chef ou les autres grandes pompes de ce qu'elle fait avec les dossiers, et ça, elle n'a pas envie que ça se sache et ni d'être virée. Bordel bordel bordel de merde !

Bon calme toi Roxanne, souffle un bon coup et informe toi. Il doit toujours avoir une solution.

"- Quel groupe de Decay ?"

Demande t-elle expressément. En lisant les infos, les rumeurs et les dossiers du bureau, Roxanne est à peu près au courant de tout les gang et groupe de Decay. Qu'importe ce qu'il nomme, elle devra surement le savoir.

"- Et combien de fric ? Quel genre d'information, à quel débit ? Si j'en fais trop je vais être captée. Mon cul est aussi en jeux dans cette histoire, tu le sais bien Joseph !"

A vrai dire la belle somme d'argent lui tente, combien de bijoux et autres vêtement pourrait-elle s'acheter avec ceci ? Ayant en tête sa prochaine liste d'achat chez Gucci, son prochain salaire ne suffirai pas. En soit ce deal vient au bon moment.

Finissant sa conduite dans la ville, ils finirent sur l'une des côtes de Néo Atlantis, sur un parking vide. Mettant le frein à main et enlevant la clef du contact, elle détache sa ceinture et se tourne vers lui.

"- Putain Joseph, dans quel bordel tu t'es mis ! Trainer avec des groupes de Decay, tu es fou !"

Sacrément fou pour s'impliquer et vendre son cul à ce genre de gens.
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    Elle voulait en savoir plus, quoi de plus normal après tout. Elle allait s'engager, comme on le fait pour un mariage, à respecter un contrat et des obligations journalières, et c'était le genre de mariage dont le divorse n'était prononcé qu'une fois le corps de l'une des deux partie complètement refroidie. Autant dire que pour une organisation tentaculaire, dont les  membres repoussaient si tôt coupé par la milice, c'était perdu d'avance.

    Je tire une barre sur ma cigarette, avant de poser la liasse de billet sur ses genoux.

    - Plus t'en sais, plus t'es en danger ... Mais après tout, pourquoi s'en préoccuper ? Et puis il devait bien montrer qu'il ne bluffait pas, que tout ceci n'était pas une habile manipulation de l'ex brigadier McCanon. Quelque part, il aurait presque préféré que toute cette histoire ne fut qu'une invention bien ficelé pour faire tomber dans le panneau une créature naïve et vénale. Mais s'en était autrement, tout ceci n'était que la pure et stricte vérité, il était coincé entre le marteau communiste, et l'enclume de la justice.

    Il y'avait plus qu'à essayer de pas finir écraser comme une vulgaire patate.

    Remarquez, c'est bon les patates. La peau est pleine de vitamine. Y'a pas que ça chez Joseph qui était plein de vitamine, mais on va pas disserter dessus. L'Organazatsiya. Fit-il naturellement, comme s'il ne s'était pas entraîner plusieurs fois devant la glace à prononcer ce nom, pour ne pas avoir l'air idiot devant la secrétaire.

    - Pour ce qui en est du numéraire, dix mille à chaque informations ... Vérifiée l'info. Cinq à la livraison, cinq à la vérif' ! Qu'il fait en lui posant la liasse de billet sur les genoux et reprenant sa place, fit le tour de la question. Le genre d'information dont on a besoin, sur les effectifs ... Sur les livraisons d'armes, que sais-je. Plus tu ramènera d'infos, et plus elle seront juteuses, plus tu auras de l'argent. Il s'arrêta pour ponctuer sa phrase d'un petit geste de la main, mimant un gros machin invisible entre ses doigts.

    - Après on te fera des commandes, en cas de besoin. Il porta la main à sa poche intérieure, et en sortit un téléphone portable vétuste. Tiens, la ligne est programmée pour appeler un prépayé de l'autre côté. Je te téléphonerais ultérieurement pour te dire ce qu'il nous faudra plus spécifiquement. On te demande pas de te mouiller de trop, fais le maximum, comme tu le peux, on se contentera de ce que tu nous donneras... Il fallait pas trop lui faire subir la pression, à Roxanne, s'il se souvenait bien.

    Enfin à ses mots sur sa manière de vivre, il lui fit un clin d'oeil en écrasant sa clope dans le cendrier à l'avant. Il se coula une nouvelle fois à l'arrière du véhicule, maintenant qu'ils travaillaient ensemble, ils avaient des choses à cacher, des secrets à préserver, et un anonymat à respecter.

    - Il faut bien ce qu'il faut pour survivre, Roxie ... Il avait soif, terriblement. Je suis juste un type comme les autres maintenant, j'ai plus de quoi lutter contre les faits établis. Et le fait établis était que soit tu roulais avec, soit tu crevais prématurément.

    Et il aimait particulièrement la vie, Joseph McCanon.
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La main prenant la liasse de billet, ça semble plutôt lourd au poids et c'est plutôt bon signe. Ça la conforte dans le choix qu'elle pourrait potentiellement faire. Toujours tournée vers lui, elle le fixe d'un regards insistent lorsqu'il parle du danger à savoir ce qu'il trame dans ses gang de decay.

"- Il vaut mieux que je ne sache rien alors."

Tandis qu'elle sous-entend un refus, elle tourne la tête vers le pare-brise regardant le vue sur la mer sombre tout en se massant les tempes. Alors que jospeh execute un roullement de tambour silencieux avant de prononcer le nom du gang, Roxanne n'arrivait plus à attendre. Quel gang lui veut son cul et ses infos ? Puis il prononça un nom. Plutôt dur à prononcé et qui a une belle consonance russe...RUSSE ?! D'un coup toutes les infos sur l'organizatsiya lui viennent en tête: Vol de voitures, enlèvement, trafic d'organes, prostitution et surtout esclavagisme.

"- Oh bordel."

Sous le choc en s'imaginant tout les possibilité si elle refuse ou si elle fait potentiellement une faute, elle n'arrive plus à tenir. S'accoudant sur le siège passager, elle ouvre la boite à gant et y planque la liasse de billet pour troquer sur quelque chose de lourd et un verre: un bouteille de vin plutôt cher. Encore un autre cadeau de ses dernier prétendant. Se réinstallant bien sur son siège, elle ouvre le plastique et le bouchon de la bouteille, porte le goulot à sa bouche pour en boire une, deux, trois grosse gorgée à la suite.
Vous vous demandez surement pourquoi  garde t-elle une bouteille dans sa voiture ? Eh bien chacun à ses vices et quand on a pas envie de travailler et côtoyer des cons au boulot, eh bien on s'évade avec une bonne lippée d'alcool. Un simple plaisir avant de bosser !

Soufflant après avoir bien bût, elle sens un regard bien insistant dans son dos, celui de joseph. Elle lève les yeux au plafond et lui tend la bouteille de rouge. Le nombre de billets pour vendre une infos lui fait presque tourné la tête. Oh bon dieu. Combien de choses pourrait-elle s'acheter en dévoilant le nombre de policer en effectif ? Joseph lui prenant la bouteille, elle lui répond.

"- Okay ça me va."

Elle se tourne vers lui et replace une mèche de cheveux derrière son oreille tout en avalant sa salive.

"- Je fais le max' que je peux pour grappiller les infos, tu me donne le blé et tu me ramène rien d'autres. Hors de question que les russes viennent sonner à ma porte ou celles de mes parents, compris ? Et je veux que tu tues celui qui t'as dis que je vendais des infos. Vaut mieux pas que tout le monde le sache n'est-ce pas ?"

Pour l'instant on pose des conditions claires, il se pourrait qu'elle en ajoute d'autres dans le futur proche.

Puis Joseph parle de survie, elle aurait pus survivre facilement avec son job et avec un mari riche. Mais il a fallut qu'elle soit prise par l'avidité, excusez la dieu pour son grand péché. Enfin Rox' n'est pas une vrai religieuse, elle implore dieu sans vraiment y croire. C'est juste pour la forme. Après tout si dieu existait vraiment, il aurait déjà mit fin à la folie de Decay depuis fort longtemps.

Ouvrant sa portière, elle sort de sa voiture tout en humant la brise salée de la mer. Putain que ça lui fait du bien ! Puis sans tarder, elle ouvre la portière arrière pour s'engouffrer sur la banquette arrière et rejoindre son ancien collègue. S'installant à ses côtés, elle lui prend des main la bouteille pour encore s'enfiler quelques goulée, elle en a besoin pour ce qu'elle va faire. Finissant d'avaler, une goutte perle de sa bouche pour finir sur son beau chemisier en soie blanc. Dommage il est foutu, mais ce n'est pas ce qu'importe Roxanne pour l'instant. Posant la bouteille sur l'accoudoir, elle lui parle.

"- J'ai dis que j'allais t’emmener à Decay rapidement, mais j'ai changé d'avis. Ici c'est un parking tranquille sans caméras. C'est mon petit coin secret vois-tu ?"

Elle a bu pour inhiber sa fierté et pour attiser le désir qu'elle a en elle depuis qu'elle a revu cet homme. Mordillant sa lèvre en le regardant dans les yeux, elle passe une main sur le genou de Jospeh et remonte lentement vers sa cuisse. Puis de l'autre main, elle la passe sous son menton pour le guider langoureusement vers son visage. Touchant de ses lèvres douces celle de l'homme à ses côté, elle débute un échange langoureux entre leur deux langues. Le langoureux devenant bien plus sauvage, Roxanne ne s'attardant pas à la tache, le pousse de tout son poids sur lui pour le faire tomber sur la banquette et le surplomber. Brisant leur contact buccal en s'éloignant de son visage, elle lui souris narquoisement.

"- Maintenant que nous sommes partenaires autant bien s'entendre, pas vrai ?"

Dit-elle en passant sa main sur son torse et la faisant balader vers le bas de son ventre. Il ne pouvait pas refuser, elle le sait. Et même si c'est pour "approfondir" leur relation, Roxanne en voyait aussi un moyen de se venger de lui. La brune n'est plus la même qu'avant, elle fera craquer Joseph pour qu'il ne se passe plus d'elle. Ainsi profitant de lui comme il l'a fait pour elle.
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    Impitoyable bonne femme. Quand les mots tombèrent, il sût qu'elle n'avait pas changer, et qu'elle ne laissait aucune place aux sentiments dans ses décisions. A se demander si c'était vraiment lui qui l'avait manipulé ou plutôt l'inverse. Elle aussi avait gagné de cette relation, il était pas le seul à en avoir profité quand même, si ? Mais pour l'instant c'était pas sa préoccupation première, sa préoccupation première c'était cette bouteille qu'elle avait dans la main, et qui lui faisait de l’œil depuis taleur. Oui, c'était elle qui lui faisait de l'oeil, il aurait affirmer que lui n'y était pour rien dans tout ça, si on lui avait posé la question. Ca me va, tu ne me verras que de temps en temps d'ailleurs, sinon ce serait qu'il y'a un problème, comme ça tu seras tranquille...

    - Moi je tue personne, j'suis pas un meurtrier... Qu'il fit en haussant les épaules, soufflant la fumée de sa cigarette au loin d'une moue dubitative. Il ne précisait pas que l'homme en question devait déjà pourrir au fond d'un trou, qu'il avait sûrement creusé lui même, avec une pelle rouillée. Il s'imaginait la scène d'ici. Le mec qui pleurait et suppliait pour sa vie, en creusant, les pieds dans la boue. Puis viendrait les insultes et les malédictions, jusqu'à ce qu'il meurt et qu'on en parle plus. Par contre, les russes, eux, font ce qu'ils veulent. Petit clin d'oeil.

    Il la vit sortir de la voiture, sans doute pour prendre l'air maintenant qu'elle savait où elle allait et pourquoi il l'avait retrouvé. Il oubliait de dire qu'elle faisait partie d'un sombre pacte entre lui et l'Organisation russe, qui lui en voulait d'avoir fouillé dans leur linge sale. Sinon, elle aurait sans doute péter un câble et refuser malgré tout les arguments en sa faveur -et ils sont nombreux d'ailleurs ; Sa beauté légendaire en faisait partie. Donc, la suite ne l'interpella pas plus que cela, il trouva ça normal.

    Elle l'embrassa tout en le faisant basculer,et il se laissa faire. Qui aurait refusé à pareille créature l'accès à sa braguette? Il chercha ses lèvres, mais elle lui interdit de les retrouver en le plaquant contre le fauteuil.

    - On s'est toujours bien entendu à ce que je sache ... Fit-il en lui souriant en coin, son after-shave avait encore frappé, décidément il devrait se raser plus souvent, Royane avait raison.  Il aurait du l'écouter plus tôt, peut être que sa vie sexuelle y aurait gagné. En tout les cas, il passa une main dans son dos, et la fit descendre jusque tout en bas, près des hanches. Il imprima un petit mouvement de va et vient avec son bassin, histoire de recaler la dame sur le falzar, et non pas à côté. Il savait à quoi elle jouait. Toutes les femmes étaient pareille dans le coin, elles couchaient pour s'assurer fidélité, et sécurité. Pour gagner de l'argent parfois, pour y gagner du pouvoir,souvent. "Roxie" ne faisait pas exception à ce genre de créatures vénales, qui, dès qu'elle voyait des billets, se devait d’honorer son bienfaiteur. Juste pour être sûr qu'il reviendrait comme un petit toutou à ses pieds.

    Et c'était presque à la limite de marcher.

    Il commençait à être excité, alors il défit un bouton de son chemisier habilement, comme si c'était une habitude.

    - Alors qu'est-ce que tu as exactement en tête ..." A l'ancienne" ? Fit-il pour être sûr. Arrêtant son mouvement de ses doigts. Il cherchait confirmation dans son regard, de ses deux yeux verts émeraudes et tachetés de marron clair. De toute façon, on ne pouvait pas lui mentir bien longtemps.
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