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Boris
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58 Babushka et les Babushka boyz Slav à tout faire Boris ne meurt jamais, Boris quicksave toujours avant.
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Boris ne meurt jamais, Boris quicksave toujours avant.
Blyatman et Roblin
Ven 10 Juil - 23:44
La nuit était tombé sur Decay, le silence est présent sur toute la ville et surtout ! Babushka dort ! Tremblez mécréant de Decay, Blyatman est là !
Bon, j'ai quand même dû sortir la blyatmobile sans trop faire de bruit, sinon je réveille Babushka et oh blin que je vais avoir mal. Mais sortir du quartier Oooopa, plein gaz et musique à fond !
Bon, ce soir, qu'est-ce que je vais faire et où est-ce que je vais le faire ? Manger au Orochi ? mmmmh niet, c'est très très bon, mais ça m'a coûté très très cher aussi et puis je n'ai pas envie de revoir les videur du Kabukicho, trop énervant ceux-là. Mmmmmh, et si j'allais à Medillin, medé, med ... raaaah Cyka, chez les pépito !
Voilà ils m'ont énervé alors je vais chez eux. Je monte encore un peu le son parce que c'est ma musique préférée qui passe et je ne peux pas m'empêcher de danser dans la voiture en même temps. Cagoule, Ushanka et lunette, je sors mon carnet rempli avec soin par Natasha et je regarde les coins intéressant dans me ... Pépito city voilà, se sera Pépito city maintenant.
Mmmh je vois qu'il y a un petit coin où il y a un peu de transaction d'argent, des gens qui ont déjà beaucoup d'argent. Et je suis un peu comme Robin des bois moi, je prends au riche pour donner au pauvre et ça tombe bien, Babushka est pauvre. Arrivé dans le bon quartier, je ralentis petit à petit, puis je baisse aussi petit à petit le son en arrivant devant, regardant le petit magasin tel un rapace dans une blyatmobile passant à 10 à l'heure.
Je me gare quelques metres plus loin, puis, j'accroche Kakadu dans mon dos avant de sortir. Là j'ouvre mon coffre et Aaaaaaah la meilleure arme du monde. Non pas toi Kalachnikov ! toi tu es juste deuxième, devant il y a la vodka. J'ouvre la bouteille, puis je bois une bonne grosse gorgée au travail de ma balaclava tout en prenant une inspiration de " courage "
" ah Blyat ! C'est parti pour travailler."
Mais juste avant, je profite du moment, je regarde un peu les étoiles, le ciel magnifique de Decay et je bois de nouvelle gorgée, me demandant, qu'est ce que l'homme dans cette immensité infini qu'est l'univers.
Bon, j'ai quand même dû sortir la blyatmobile sans trop faire de bruit, sinon je réveille Babushka et oh blin que je vais avoir mal. Mais sortir du quartier Oooopa, plein gaz et musique à fond !
Bon, ce soir, qu'est-ce que je vais faire et où est-ce que je vais le faire ? Manger au Orochi ? mmmmh niet, c'est très très bon, mais ça m'a coûté très très cher aussi et puis je n'ai pas envie de revoir les videur du Kabukicho, trop énervant ceux-là. Mmmmmh, et si j'allais à Medillin, medé, med ... raaaah Cyka, chez les pépito !
Voilà ils m'ont énervé alors je vais chez eux. Je monte encore un peu le son parce que c'est ma musique préférée qui passe et je ne peux pas m'empêcher de danser dans la voiture en même temps. Cagoule, Ushanka et lunette, je sors mon carnet rempli avec soin par Natasha et je regarde les coins intéressant dans me ... Pépito city voilà, se sera Pépito city maintenant.
Mmmh je vois qu'il y a un petit coin où il y a un peu de transaction d'argent, des gens qui ont déjà beaucoup d'argent. Et je suis un peu comme Robin des bois moi, je prends au riche pour donner au pauvre et ça tombe bien, Babushka est pauvre. Arrivé dans le bon quartier, je ralentis petit à petit, puis je baisse aussi petit à petit le son en arrivant devant, regardant le petit magasin tel un rapace dans une blyatmobile passant à 10 à l'heure.
Je me gare quelques metres plus loin, puis, j'accroche Kakadu dans mon dos avant de sortir. Là j'ouvre mon coffre et Aaaaaaah la meilleure arme du monde. Non pas toi Kalachnikov ! toi tu es juste deuxième, devant il y a la vodka. J'ouvre la bouteille, puis je bois une bonne grosse gorgée au travail de ma balaclava tout en prenant une inspiration de " courage "
" ah Blyat ! C'est parti pour travailler."
Mais juste avant, je profite du moment, je regarde un peu les étoiles, le ciel magnifique de Decay et je bois de nouvelle gorgée, me demandant, qu'est ce que l'homme dans cette immensité infini qu'est l'univers.
Bruce Holyman
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Re: Blyatman et Roblin
Sam 11 Juil - 0:05
Il faisait maintenant nuit à Decay, un silence apaisant régner dans ce coin tranquille, enfin « tranquille », peut-être plus pour très longtemps.
« - Mais putain de bon dieu de merde ! Je me suis encore perdu !»
Hurla un homme avec une mèche blanche tout aussi séduisante que sa personne. Il regarda à gauche et à droite, cherchant quelques choses.
« - Pour trouver le poing G d’une femme, j’ai aucun problème, par contre, quand il faut que j’retrouve mon chemin pour retrouver ma piaule là, même en suivant les panneaux, c’est mission impossible.»
Il soupira un grand coup avant de lever son majeur vers le ciel.
« - Écoute, je sais que tu m’aimes pas mais franchement, fait moi un signe, ouvre moi une porte, m’enfin, tout le tralala habituelle dont on en a rien à foutre.»
Il resta immobile quelques instants, son majeur toujours en l’air attendant une réponse qui ne vint jamais. Il rebaissa alors son doigt et chercha une cigarette dans son blouson.
« - Oh puis va t’faire enculer, j’vais me débrouiller comme je le fais d’habitude..»
Il pesta un petit moment avant d’allumer sa clope en marchant d’une manière hasardeuse. Après tout, Bruce était une personne de nature chanceuse, il allait bien retrouver son chemin ou même mieux, finir dans le lit d’une bombasse qu’il aura rencontrer totalement au hasard. Vous m’direz, dans l’pire des cas, il peut toujours défoncer la porte d’une maison et taper l’incruste devant pour une nuit… Sauf si elle lui plaît, il restera sans doute plus longtemps.
Sa marche dura une vingtaine de minutes, il venait d’arriver dans le coin d’une rue et remarqua ce qui semblait être un « homme » prêt de sa voiture. Il jeta sa cigarette sur la route et s’approcha de lui. A bonne distance, Bruce ouvrit sa grande gueule.
« - Hey mon pote, désolé de te faire chier, mais tu pourrais m’indiquer où j’peux trouver...»
Il s’arrêta quelques instants, son regard était maintenant dirigé vers l’accoutrement de l’homme, il l’examina de haut en bas. « Et merde, un putain de soviétique » pensa notre héros, « espérons que ses confrères ne lui ont pas parlé de moi . ». Toutefois, monsieur Holyman s’arrêta plus en détail sur un élément détenu par le représentant de Staline en face de lui, sa bouteille de Vodka.
« - Bordel de bonsoir d’putain, une bouteille de Vodka. Mon frère, t’en aurais pas une pour moi aussi ? J’en ai pas bu depuis genre 10 heures, j’ai l’impression que j’vais tomber raid sur le sol si j’ai pas mon eau de vie.»
Boris
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Re: Blyatman et Roblin
Sam 11 Juil - 0:26
Mais alors que je réfléchissais à la place de l'homme dans l'univers, j’entends une voix venir d'à côté de moi. Un monsieur très très musclé et assez beau gosse comme certains dise, se trouvait là et se présentait devant moi me demandant si je connaissais le chemin, mais il s'arrêta net avant de devenir fou devant ma bouteille de vodka.
Aaah je ne peux pas lui en vouloir, je réagirais pareil si j'avais été coupé d'une bouteille pendant dix heures et il avait de la chance que de tomber sur moi à une heure pareil. Certes ce monsieur ici présent n'arrange pas mes affaires, mais qui suis-je pour ne pas aider quelqu'un dans le besoin ?
Sur cela je commence d'abord par lui répondre poliment
" Bonsoir Vodkamarade, ne tu en fais pas B...... Blyatman est là pour te sauver de ta soif ."
Je ne peux m’empêcher de rire après avoir dit Vodkamarade Blyat, ah ah, sacré arobascrazybitch. Je me place ensuite derrière le coffre et j'attrape une deuxième bouteille avant de me relever du coffre, le fermant derrière moi pour que personne ne vois la famille nikov caché à l'intérieur. J'ai vite appris que les gens sont souvent tendus, ou mal à l'aise en leur présence, mais je n'ai jamais compris pourquoi. Mon berceau était une caisse de munitions de nikov, on se sert toujours de leur chargeur pour tenir nos papiers et elle ne m'ont jamais rien fait de mal. En vrai, c'est comme les chiens, ce n'est pas la kalachnikov qui veut te faire du mal, mais la personne qui l'a dressé.
Une fois le coffre fermé je m'approche amicalement de lui en lui tendant sa bouteille, coinçant un instant la mienne sous mon bras pour la dévisser pour lui, puis je lui dis
" tien mon ami, ce serait bête que tu t’évanouisses maintenant et je ne laisserais pas cela arriver. Mais dit moi ou est-ce que tu souhaitais aller ? Je peux peut-être t'aider à retrouver ton chemin dans cette magnifique nuit étoilée."
Aaah je ne peux pas lui en vouloir, je réagirais pareil si j'avais été coupé d'une bouteille pendant dix heures et il avait de la chance que de tomber sur moi à une heure pareil. Certes ce monsieur ici présent n'arrange pas mes affaires, mais qui suis-je pour ne pas aider quelqu'un dans le besoin ?
Sur cela je commence d'abord par lui répondre poliment
" Bonsoir Vodkamarade, ne tu en fais pas B...... Blyatman est là pour te sauver de ta soif ."
Je ne peux m’empêcher de rire après avoir dit Vodkamarade Blyat, ah ah, sacré arobascrazybitch. Je me place ensuite derrière le coffre et j'attrape une deuxième bouteille avant de me relever du coffre, le fermant derrière moi pour que personne ne vois la famille nikov caché à l'intérieur. J'ai vite appris que les gens sont souvent tendus, ou mal à l'aise en leur présence, mais je n'ai jamais compris pourquoi. Mon berceau était une caisse de munitions de nikov, on se sert toujours de leur chargeur pour tenir nos papiers et elle ne m'ont jamais rien fait de mal. En vrai, c'est comme les chiens, ce n'est pas la kalachnikov qui veut te faire du mal, mais la personne qui l'a dressé.
Une fois le coffre fermé je m'approche amicalement de lui en lui tendant sa bouteille, coinçant un instant la mienne sous mon bras pour la dévisser pour lui, puis je lui dis
" tien mon ami, ce serait bête que tu t’évanouisses maintenant et je ne laisserais pas cela arriver. Mais dit moi ou est-ce que tu souhaitais aller ? Je peux peut-être t'aider à retrouver ton chemin dans cette magnifique nuit étoilée."
Bruce Holyman
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Re: Blyatman et Roblin
Sam 11 Juil - 13:23
C’est un sourire aux lèvres qu’il prit la bouteille de main droite avant de la pointer en direction de son nouveau frère sans la même mère pour mieux trinquer avec lui. Une fois ce moment de partage fait, il entamera ses premières gorgées de ce divin liquide. Il retira la bouteille de sa bouche, un sourire de satisfaction encore plus présent sur son visage.
« - Putain de bordel de la sainte Marie de merde, tu m’avais manqué mon bébé, tu le sais ça ? Tu sais que je pourrai pas passer une seule journée de ma putain de misérable vie sans toi ?»
Il s'arrêta ensuite un petit moment, réfléchissant en passant sa main libre dans ses cheveux.
« - Alors ? Où j’habite… Merde, c’est où déjà.»
Puis, de cette même main, il commença à se frotter l’arrère du crane.
« - Y’a pas mal de clodos où j’habite… Pire que les immigrés ces merdes, chaque jour, ils me font chier pour avoir de la thune. Tu te rends compte ? j’dois leur présenter Jacqueline pour qu’ils me foutent la paix…Putain, c’est quoi déjà le nom de là où j'habite… Merde Alain… Metz de Lin… Medellin, j’crois ? Ouais, j’crois que c’est ça !»
Il reprit sa bouteille et pencha sa tête en arrière pour mieux avaler cette eau de vie qui lui servait de carburant. Il venait en quelques secondes de vider la moitié de la bouteille. Il rebaissa ensuite sa bouteille avant de frotter son bras gauche contre sa bouche. Il rejeta un rapide coup d’œil à son camarade, puis tourna son regard vers la voiture.
« - Ma foi, c’est une jolie bagnolle, plutôt sympathique. J’peux savoir ce qu’un confrère d’alcool fait ici ? Seul à se bourrer la gueule ? Franchement, une bibine de cette qualité, faut la partager avec des potes, ou bien la sortir pour une grande occasion ! Allez, t’as prévu de faire quoi ce soir ? Tu peux tout m’dire, « confiance » est mon quatrième prénom, le premier étant Bruce, le deuxième étant « Sale con » et le troisième, c’est « Improvisation ».»
Boris
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Re: Blyatman et Roblin
Sam 11 Juil - 14:49
Encore une fois la sainte vodka avait sauvé quelqu'un. Qu'est-ce que serait le monde sans elle ? Pas grand-chose, parole de Boris. Je le laissais tranquillement se remettre de ce traversé du désert qu'il avait dû subir, puis je l'entendis me dire qu'il venait de là où l'on se trouve
" bah ça va alors ! tu n'es pas très loin de chez toi. Tu es même dans ce que j'appele maintenant ... Pepito City !"
Je faisais des grands gestes comme pour ouvrir une banderole, comme pour montrer la majestuosité de ce nom bien plus facile à retenir et à dire que méd ... Medi ... Rah blyat ! Mais il y avait un autre point qui était resté dans le coin de mon Ushanka. Ce monsieur musclé ici présent devait lui aussi présenter quelqu'un pour calmer tout le monde. Pour moi c'était Babushka, mais pour lui c'était quelqu'un du nom de Jacqueline. Cela me permettait de voir que, nous avions quelque point en commun à par la sainte vodka et cela ne me met toujours un peu de baume au cœur que de ressentir ça.
Ce n'est ensuite que, comme beaucoup de gens, il se met à admirer ma magnifique blyatmobile, entièrement customisé par nul autre que votre serviteur, Boris. Il se met à me poser des questions sur ma présence ici, ce que je peux comprendre, surtout en présence d'une beauté telle que la blyatmobile. C''est sure que, ce n'est pas les Pépito qui serait capable d’apprécier un tel véhicule, eux préférant des voitures toutes plates et qui saute dans tous les sens, sans pouvoir tenir la route.
" Tu vois mon ami Bruce, les bonnes occasions, c'est comme la chance, ça ses creer et donc, quel que soit le moment dans ta vie, cela peut devenir une très bonne occasion de boire une bonne vodka."
Je me mis ensuite en slav squat pour lui parler du reste, faisant un petit mouvement de tete pour indiquer le magasin en face de nous.
" Et j'étais de sortie, me disant, Blyatman, qu'est-ce que tu pourrais faire ce soir pour t'amuser et rendre le monde meilleur. C'est à ce moment que j'ai remarqué ce magasin. Tu vois, le dedans se trouve des gens avec beaucoup d'argent caché. Quand tu regardes autour de toi et comme tu me l'as dit, il y a beaucoup de gens pauvres ici, alors et ce juste que ces gens aient autant d'argent dans leur main ? Blyatman pense que non et Blyatman va donc faire en sorte de réparer cette injustice en aidant ces gens à devenir plus ... humanitaire."
Je tourne ensuite ma tête vers lui, pour reprendre
"Serais-tu donc partant pour m’aider dans cette magnifique entreprise qu’est l’humanitaire ? "
" bah ça va alors ! tu n'es pas très loin de chez toi. Tu es même dans ce que j'appele maintenant ... Pepito City !"
Je faisais des grands gestes comme pour ouvrir une banderole, comme pour montrer la majestuosité de ce nom bien plus facile à retenir et à dire que méd ... Medi ... Rah blyat ! Mais il y avait un autre point qui était resté dans le coin de mon Ushanka. Ce monsieur musclé ici présent devait lui aussi présenter quelqu'un pour calmer tout le monde. Pour moi c'était Babushka, mais pour lui c'était quelqu'un du nom de Jacqueline. Cela me permettait de voir que, nous avions quelque point en commun à par la sainte vodka et cela ne me met toujours un peu de baume au cœur que de ressentir ça.
Ce n'est ensuite que, comme beaucoup de gens, il se met à admirer ma magnifique blyatmobile, entièrement customisé par nul autre que votre serviteur, Boris. Il se met à me poser des questions sur ma présence ici, ce que je peux comprendre, surtout en présence d'une beauté telle que la blyatmobile. C''est sure que, ce n'est pas les Pépito qui serait capable d’apprécier un tel véhicule, eux préférant des voitures toutes plates et qui saute dans tous les sens, sans pouvoir tenir la route.
" Tu vois mon ami Bruce, les bonnes occasions, c'est comme la chance, ça ses creer et donc, quel que soit le moment dans ta vie, cela peut devenir une très bonne occasion de boire une bonne vodka."
Je me mis ensuite en slav squat pour lui parler du reste, faisant un petit mouvement de tete pour indiquer le magasin en face de nous.
" Et j'étais de sortie, me disant, Blyatman, qu'est-ce que tu pourrais faire ce soir pour t'amuser et rendre le monde meilleur. C'est à ce moment que j'ai remarqué ce magasin. Tu vois, le dedans se trouve des gens avec beaucoup d'argent caché. Quand tu regardes autour de toi et comme tu me l'as dit, il y a beaucoup de gens pauvres ici, alors et ce juste que ces gens aient autant d'argent dans leur main ? Blyatman pense que non et Blyatman va donc faire en sorte de réparer cette injustice en aidant ces gens à devenir plus ... humanitaire."
Je tourne ensuite ma tête vers lui, pour reprendre
"Serais-tu donc partant pour m’aider dans cette magnifique entreprise qu’est l’humanitaire ? "
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Re: Blyatman et Roblin
Sam 11 Juil - 16:13
Il haussa la tête de bas en haut aux rythmes des paroles et des gestes de « Blyatman », l’écoutant attentivement, après tout, il était rare de voir un frère prêt à partager sa vodka avec un inconnu.
« - Je suis entièrement d’accord avec toi mon Blyat ! C’est de la foutaise ces histoires de destins, destiné, faut être un homme, un vrai, un mec couillu, un mec qui a des ballzs énormes et qui est surtout prêt à les porter et à les assumer ! Les opportunités, tu les créés, quitte à forcer le passage que ce soit avec un putain de shootgun, des grenades ou bien à la sueur de tes poings et au sangs des connards qui ont osé te faire chier !»
Il rapporta une nouvelle fois la bouteille jusqu’à ses lèvres avant de la vider d’une traite. Il jeta ensuite le cadavre de son eau de vie contre le mur le plus proche de toute ses forces. Il écarta ses bras et repris la parole.
« - Tu sais quoi ?! T’AS ENTIÈREMENT RAISON MON BRAT ! C’est pas normal que les bednykh viennent me faire chier moi et mon fric alors que les bogatyy ont tellement de thunes qu’ils peuvent se torcher le derche avec ! »
Il se rapprocha du mur vers lequel il avait jeter une bouteille avant d’y foutre une droite, aussi étrange que ça peut paraître, la marque de son poing y apparut. Il se retourna ensuite vers son nouveau ami.
« - C’est pour ça qu’il faut un super-héro dans cette putain de ville ! Un putain de super-héro pour baiser les veuves et sauver les orphelins ! Tous le monde en à ras le cul des corporations qui détiennent quatre-vingts dix huit pourcents de la fortune mondiale ! Allez, j’t’accompagne, on va aller les enculer ces connards de riches. Ils vont rien comprendre quand on va exploser, défoncer puis réduire leurs putains de fortunes en cendre. »
Il frappa sa paume gauche avec son poing droit avant de faire craquer sa nuque.
« - Ça tombe bien, j’ai toujours voulu bosser dans l’humanitaire, c’est là où on trouve les plus grosses bonasses et salopes du monde. T’as un plan d’action ou bien...»
Il releva sa veste, laissant paraître un jolie fusil à pompe et une ceinture de grenades.
« - On défonce des portes puis des mecs avant de tout faire sauter ?»
Boris
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Re: Blyatman et Roblin
Sam 11 Juil - 17:08
J'avais un peu l'impression d'entendre Babushka dans ses paroles. Bon, une babushka qui dit beaucoup de gros mot, mais une babushka quand même. Je sentais que ce monsieur avait de l'avenir dans tout ça, long où court, ça je n'en savais rien, mais un avenir quand même.
Je secoue lentement de gauche à droite pendant ses paroles, plaçant un petit
" Ce n'est pas bien de se torcher avec de l'argent."
Buvant le reste de nos bouteilles, je vois tout l’enthousiasme de ce monsieur, jetant la bouteille contre un mur et frappant celui-ci. Mmmmh, beaucoup trop d'énergie à revendre, il faudrait qu'il prenne quelques vacances, ça lui ferait surement du bien. Il partit ensuite dans une histoire de super héros, ce qui allait plutôt bien avec tout ça et parlant des méchants groupe qui ne partage pas. Babushka m'avait raconté que, dans sa jeunesse, dans notre pays d'origine, tout le monde partagé tout avec tout le monde. Ça devait être beau à voir, mais je me demande toujours pourquoi ça n'a pas continué.
Je pouvais voir aussi que ma nouvelle amie parlait beaucoup de femmes et là je me suis dit, pmmh, je pense que je vais éviter de lui presenter mes soeurs, mais bon, au final, je pense qu'il regretterait.
Il me demanda ensuite quoi faire, proposant une entrée en la matière assez intéressante, mais non sans risque pour Boris.
" Niet niet. J'ai une idée plus amicale. Vois-tu, les gens qui travaillent là ne sont pas forcément des gens riches, mais sont surtout des gens forcés à travailler pour des riches? Être méchant ou violent avec eux, ce n'est pas très gentil et si tu veux être un super héros il faut éviter de faire du mal aux pauvres gens."
Je fais quelque petit saut de grenouille pour me rapprochait de lui et d'un geste de la main, je lui indique de s'approcher pour qu'il m'écoute mieux.
" Alors, le plan, je vais rentrer par-devant et je vais les occuper, pendant ce temps, toi tu passes derrière le magasin, tu t'occupes des gens qui gardent l’arrière et tu rentre pour les prendre en sandwich."
Je hausse ensuite les épaules, puis je lui ajoute quand même
" Bon, s'il y en a un qui fait le héros tu peux bien sûr lui latter les Semechki. Je ne sais pas si tu connais, mais il faut être comme Batman, il faut éviter de tuer des gens, mais ne pas hésiter à leur faire comprendre que c'est une mauvaise idée que de faire les malins."
Et comme ça Babushka ne me transformera pas en descente de lit.
Je secoue lentement de gauche à droite pendant ses paroles, plaçant un petit
" Ce n'est pas bien de se torcher avec de l'argent."
Buvant le reste de nos bouteilles, je vois tout l’enthousiasme de ce monsieur, jetant la bouteille contre un mur et frappant celui-ci. Mmmmh, beaucoup trop d'énergie à revendre, il faudrait qu'il prenne quelques vacances, ça lui ferait surement du bien. Il partit ensuite dans une histoire de super héros, ce qui allait plutôt bien avec tout ça et parlant des méchants groupe qui ne partage pas. Babushka m'avait raconté que, dans sa jeunesse, dans notre pays d'origine, tout le monde partagé tout avec tout le monde. Ça devait être beau à voir, mais je me demande toujours pourquoi ça n'a pas continué.
Je pouvais voir aussi que ma nouvelle amie parlait beaucoup de femmes et là je me suis dit, pmmh, je pense que je vais éviter de lui presenter mes soeurs, mais bon, au final, je pense qu'il regretterait.
Il me demanda ensuite quoi faire, proposant une entrée en la matière assez intéressante, mais non sans risque pour Boris.
" Niet niet. J'ai une idée plus amicale. Vois-tu, les gens qui travaillent là ne sont pas forcément des gens riches, mais sont surtout des gens forcés à travailler pour des riches? Être méchant ou violent avec eux, ce n'est pas très gentil et si tu veux être un super héros il faut éviter de faire du mal aux pauvres gens."
Je fais quelque petit saut de grenouille pour me rapprochait de lui et d'un geste de la main, je lui indique de s'approcher pour qu'il m'écoute mieux.
" Alors, le plan, je vais rentrer par-devant et je vais les occuper, pendant ce temps, toi tu passes derrière le magasin, tu t'occupes des gens qui gardent l’arrière et tu rentre pour les prendre en sandwich."
Je hausse ensuite les épaules, puis je lui ajoute quand même
" Bon, s'il y en a un qui fait le héros tu peux bien sûr lui latter les Semechki. Je ne sais pas si tu connais, mais il faut être comme Batman, il faut éviter de tuer des gens, mais ne pas hésiter à leur faire comprendre que c'est une mauvaise idée que de faire les malins."
Et comme ça Babushka ne me transformera pas en descente de lit.
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Re: Blyatman et Roblin
Sam 11 Juil - 22:27
Il croisa les bras en écoutant les paroles de son brat. Il ne semblait pas chaud pour une entrée spectaculaire, pourtant, c’est bien comme ça que fonctionne les films, comics et animes de Super-héros ? Qu’importe, en plus, il instaure des règles, ne pas tuer, soit.
« - Mec, tu peux pas demander à un mercenaire comme moi de pas tuer, j’ai moins de mal à tuer quelqu’un qu’à respirer… M’enfin, j’peux peut-être faire un effort pour le frère qui m’a offert mon eau de vie, par contre, j’te préviens, y’en a un seul qui me fait chier ou qui veut me prendre ma place de « héros », j’fais en sorte qu’il termine sa vie au rayon légumes du super-marché à côté !»
Notre héro en herbe prit ensuite Jacqueline dans les mains, vérifiant si elle était bien chargée avant de frapper sa paume gauche comme si son fusil à pompe était en réalité une matraque.
« - T’inquiètes, comme Batman, j’vais « tuer » personne, enfin, tenter, j’vais juste l’utiliser comme une arme contondante ou bien pour faire peur, rien de bien méchant.»
Il s’arrêta quelques instants, regardant son confrère soviétique.
« - Mec, t’as rien besoin de dire, suis un mec de confiance et d’action, tout va bien se passer dans le meilleur des mondes. On va apparaître triomphalement, on va prendre un max de ressources et on ira les donner aux SDFs qui font chier les honnêtes travailleurs. On va être des putains de geroy ce soir mon pote !»
Sans attendre, il se mit en route vers l’arrière du magasin avant de se tourner vers Blyatman et lui adresser quelques mots.
« - Si les choses tournent mal, hésite pas à gueuler un gros «CYKA BLYAK », j’hésiterai pas à défoncer un ou deux murs pour te sauver, comme un héros, n’est-ce pas ? Allez, à tantôt Moy drug, bon courage et veille bien sur ton cul.»
Il lui fit ensuite son fameux signe de l’index et du majeur de sa main droite vers son front comme pour souhaiter un bon courage à son partenaire de jeu avant de continuer sa route. Une fois dans la ruelle donnant vers l’entrée arrière, il se mit à sauter sur place et à s’étirer.
« - J’espère que vous êtes prêt, « Batman » arrive pour le meilleur et pour le pire, bande de salopes. »
Boris
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Re: Blyatman et Roblin
Sam 11 Juil - 23:10
Je voyais bien que le fait de pas pouvoir tirer le démangeait beaucoup, mais bon, ce n'est pas en faisant du mal à tout le monde que l'ont deviens amis avec tout le monde alors il fallait se retenir.
Je comprenais facilement les réticences qu'il me donnait et j'en apprenais un peu plus sur lui en même temps, me permettant de savoir que ce monsieur ici présent était donc un mercenaire. Bien, ça veut dire qu'il n'ait pas avec l'Organizatsiya et donc que je n'avais pas à me méfier de lui, ce qui m'aurait un peu embêté. Il était donc pret et il se mit à me donner un signal et je n'ai pas pu m’empêcher de rire aux éclats à cet instant
" ce n'est pas une bonne idée ! Mais va pour ça quand même."
À dire cela tout le temps, je sentais que sur ce coup, cette phrase allait me jouer des tours.
Il se mit ensuite à me souhaitait bonne chance et donc, comme toute personne polie, je lui renvoie cela.
" Toi aussi et surtout, reste cheeky breeky !"
Sur ses mots je le voyais partir en direction de l’arrière du dispensaire. Pendant ce temps-là, Kakadu et moi, nous prenions mon fusil à canon scié caché dans la boîte à gant, avant de le lui confier dans mon dos, caché du regard des gens que j'aurais en face de moi et une grosse poignée de cartouches dans mes poches.
Une grande inspiration pour prendre un coup de vapeur de vodka de ma cagoule et Oooopa c'est parti !Je marchais donc joyeusement vers le magasin, jetant ma bouteille vide dans une poubelle comme le gentil Boris que je suis et j'entrais à l’intérieur quand je vis que j'interrompais les mouvements des personnes se trouvant devant. J'ouvre alors grand mes bras et mon coeur et je commence donc à faire mon travail.
Je regroupe alors mes mains près de mon torse, les tenants l'une dans l'autre, puis je continue
" voyez vous, j'ai un petit souci. Je m'ennuie beaucoup c'est dernier temps, alors je me suis dit que je pouvais me rendre utile pour la communauté, quelle qu'elle soit. Je suis donc venu parmi vous pour vous demander votre aide, ou plutôt, tout l'argent que vous entreposez ici, voulant en faire profiter mon patron de Dvoret."
He he, Boris n'est pas bete, je prévois toujours une petite couverture pour envoyer les ennuie sur d'autre, mais ok, ça tombe souvent sur eux. Bon à cet instant je vois que ces messieurs dame ne sont pas très coopérative et se mette même à rire de moi. Bon, pas grave, c'est le jeu.
" Je suis désolé de devoir redemander cela, mais je pré-fererais bien sûr que tout ça se passe dans l'amitié et la sympathie la plus totale, malheureusement, si vous ne me laissez pas le choix, je devrais malheureusement le prendre par moi-même."
C'est alors que je les vois sortir des armes de derrière leur petit comptoir. Ayyy blyat pourquoi ça doit toujours se passer ainsi hein ? Je saute donc me réfugier derrière les rayons du dispensaire pendant que cette personne peu coopérative se mette à me tirer dessus. Pizdec que le sol est dur à l’atterrissage !
" IDI NAHUI CYKA BLYAT !"
J'avais plein de bonnes chips partout sur moi maintenant et Babushka m'avait dit de pas me salir. Ah ils vont devoir me le payer ! Je prends donc mon fusil en main et je vérifie bien sûr qu'il soit chargé, au cas où Vadim aurait fait joujou avec sans le recharger. Puis, en slav squat, je saute sur le côté pour glisser à l'opposer de là où je suis arrivé et boom le coup de douze pour le vendeur qui m'a fait me salir. C'est Cheeky breeky time ! Petite roulade pour me mettre à couvert, je me mets à écouter ce qui se passe le dedans pour savoir où tirer ensuite.
Je comprenais facilement les réticences qu'il me donnait et j'en apprenais un peu plus sur lui en même temps, me permettant de savoir que ce monsieur ici présent était donc un mercenaire. Bien, ça veut dire qu'il n'ait pas avec l'Organizatsiya et donc que je n'avais pas à me méfier de lui, ce qui m'aurait un peu embêté. Il était donc pret et il se mit à me donner un signal et je n'ai pas pu m’empêcher de rire aux éclats à cet instant
" ce n'est pas une bonne idée ! Mais va pour ça quand même."
À dire cela tout le temps, je sentais que sur ce coup, cette phrase allait me jouer des tours.
Il se mit ensuite à me souhaitait bonne chance et donc, comme toute personne polie, je lui renvoie cela.
" Toi aussi et surtout, reste cheeky breeky !"
Sur ses mots je le voyais partir en direction de l’arrière du dispensaire. Pendant ce temps-là, Kakadu et moi, nous prenions mon fusil à canon scié caché dans la boîte à gant, avant de le lui confier dans mon dos, caché du regard des gens que j'aurais en face de moi et une grosse poignée de cartouches dans mes poches.
Une grande inspiration pour prendre un coup de vapeur de vodka de ma cagoule et Oooopa c'est parti !Je marchais donc joyeusement vers le magasin, jetant ma bouteille vide dans une poubelle comme le gentil Boris que je suis et j'entrais à l’intérieur quand je vis que j'interrompais les mouvements des personnes se trouvant devant. J'ouvre alors grand mes bras et mon coeur et je commence donc à faire mon travail.
- musique de négociation:
Je regroupe alors mes mains près de mon torse, les tenants l'une dans l'autre, puis je continue
" voyez vous, j'ai un petit souci. Je m'ennuie beaucoup c'est dernier temps, alors je me suis dit que je pouvais me rendre utile pour la communauté, quelle qu'elle soit. Je suis donc venu parmi vous pour vous demander votre aide, ou plutôt, tout l'argent que vous entreposez ici, voulant en faire profiter mon patron de Dvoret."
He he, Boris n'est pas bete, je prévois toujours une petite couverture pour envoyer les ennuie sur d'autre, mais ok, ça tombe souvent sur eux. Bon à cet instant je vois que ces messieurs dame ne sont pas très coopérative et se mette même à rire de moi. Bon, pas grave, c'est le jeu.
" Je suis désolé de devoir redemander cela, mais je pré-fererais bien sûr que tout ça se passe dans l'amitié et la sympathie la plus totale, malheureusement, si vous ne me laissez pas le choix, je devrais malheureusement le prendre par moi-même."
C'est alors que je les vois sortir des armes de derrière leur petit comptoir. Ayyy blyat pourquoi ça doit toujours se passer ainsi hein ? Je saute donc me réfugier derrière les rayons du dispensaire pendant que cette personne peu coopérative se mette à me tirer dessus. Pizdec que le sol est dur à l’atterrissage !
" IDI NAHUI CYKA BLYAT !"
J'avais plein de bonnes chips partout sur moi maintenant et Babushka m'avait dit de pas me salir. Ah ils vont devoir me le payer ! Je prends donc mon fusil en main et je vérifie bien sûr qu'il soit chargé, au cas où Vadim aurait fait joujou avec sans le recharger. Puis, en slav squat, je saute sur le côté pour glisser à l'opposer de là où je suis arrivé et boom le coup de douze pour le vendeur qui m'a fait me salir. C'est Cheeky breeky time ! Petite roulade pour me mettre à couvert, je me mets à écouter ce qui se passe le dedans pour savoir où tirer ensuite.
Bruce Holyman
Should I run away, and change my name ?
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Re: Blyatman et Roblin
Dim 12 Juil - 18:21
Notre Holyman national était toujours dans la ruelle, regardant une certaine application de musique sur son téléphone.
« - Bon Bruce, laquelle va t’accompagner pour ta danse aujourd’hui ? Allez mon gars, t’en trouves une bonne qui va bien te motiver à fracasser des gueules en l’écoutant. « Barbie-Girl » d’Aqua ? Nan, ça va rendre mal pour un fight. Du Barry White ? Autant le garder pour le futur soir que j’vais passer avec la Rouquine ou Bleu-Azur... »
Il se gratta le nez, continuant à chercher.
« - Mais Bordel de cul de jatte, t’es qu’un con Bruce, la réponse était en face de toi depuis le début.»
Il mit le volume de son téléphone au maximum avant de lancer sa musique
Il avança ensuite vers l’arrière du bâtiment en claquant des doigts au rythme de sa musique et avec un sourire aux lèvres. Une fois à l’arrière, toujours avec Kongos pour l’accompagner, il y trouva deux gars, un gros barbue chauve fumant un produit qui ne semblait pas légal contre un mur et un mécheux de sa taille tenant une canette de bière dans les mains et adossé contre une porte. Les deux regardaient d’un mauvais œil le grand gigoto qui arrivait avec sa musique à fond. C’est toujours son sourire aux lèvres et Jacqueline caché derrière son dos qu’il entama un « dialogue d’amitié ».
« - Hola amigos como están in the casa ?»
Les deux hommes ne semblaient pas apprécié la venu d’un inconnu avec sa musique, le plus gros des deux s’approcha de Bruce et lui fit comprendre qu’il avait quelques secondes pour dégager mais qui était-il pour donner des ordres à monsieur Holyman ? Après tout, n’était-il pas le futur Batman de la ville ?
« - Amigos, amigos, amigos ! Pas besoin de me dire ça, j’viens en paix, j’viens vous sau...»
Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase qu’il se fit attraper par le col et soulever par monsieur grassouillet.
« - Okay, j’ai compris, on va parler la langue des signes alors.»
Il sortit son arme secrète et frappa le gros lard à la tête avec la crosse de Jacqueline, sous le choc, monsieur patate lacha notre héros en herbe et se teint la tête. Malheureusement pour lui, il n’eut pas le temps de reprendre ses esprits qu’il reçu un deuxième coup de Jacqueline sur la tête, puis un troisième et c’est au quatrième qu’il tomba au sol. Voyant son partenaire tomber au sol, le mécheux se mit à taper à la porte à toute vitesse. Bruce se rapprocha de lui, calmement.
« - Mec, on est tout les deux témoins et d’accord, c’est lui qui m’a aggressé en premier, j’étais venu en paix»
La seule réponse que le mécheux lui apporta fut de taper plus fort à la porte. Sérieusement, Bruce était venu en paix pour faire de l’humanitaire et voilà comment ils réagissent ?
« - Oh puis, allez vous faire foutre.»
A bonne distance, il attrapa l’arrière du crane du dernier homme debout, puis l’explosa contre le mur, il tomba raid sur sol, KO ou peut-être mort. Il se cacha ensuite derrière la porte, attendant la personne que monsieur chevelu attendait. Celui-ci ne mit pas longtemps à arriver et à remarquer le bain de sang dans lequel baigné ses deux confrères, il se mit alors à crier. Manque de chance pour lui, ce ne sont pas ses partenaires qui sont arrivé en premier mais une autre personne. Bruce lui mit directement un coup violent au visage avec Jacqueline. Le troisième tomba comme une mouche et Holyman pouvait continuer son aventure non pas sans lancer une de ses fameuses « punchlines » charismatique du personnage.
« - Allez, faites de beaux rêves les enfants.»
C’est d’un pas discret qu’il fit le premier pas dans l’arrière-boutique, examinant les lieux. Il n’y avait qu’une seule personne, un autre homme qui se mit à regarder Bruce avec des gros yeux. Dix secondes plus tard, lui aussi était dans les bras de Morphée pour une bonne nuit de sommeil. Bruce rangea sa fidèle Jacqueline puis partit à l’exploration de la pièce tout en ouvrant les oreilles. Cette pièce semblait bien calme contrairement à celle à côté. Le boucan était-il provoqué par le nouveau frère de Bruce ? Qu’importe Holyman leva les épaules en l’air, il le découvrira bien assez tôt et il n’interviendra pas tant qu’il n’entendra pas le code secret.
Il se mit joyeusement à explorer la pièce, regardant chaque coin des bureaux et n’hésitant pas à défoncer les armoires. Des papiers, des relevés de comptes, des stylos… Rien de bien intéressant… Ah si, enfin quelque chose! Des gâteaux… Il prit le paquet dans ses mains et commença à grignoter en continuant son exploration.
« - Mais putain, c’est un centre d’impôts ? Y’a que des papiers dans cette merde. »
Sous la colère de ne rien trouver d’intéressant, il se rapprocha d’une bibliothèque où était situé plusieurs classeurs. Il prit ensuite Jacqueline telle une batte de baseball et commença à défoncer le meuble pour se défouler. Une fois fait, un nouveau sourire lui apparu sur le visage.
« - Jackpot ! »
En effet, un coffre était caché derrière des classeurs, vous voyez, les fameux coffres où il n’y avait en général pas mal de bouillasse ? Il haussa la tête de haut en bas en signe de satisfaction, ça va être les SDFs qui vont être content.
Sa joie fut de courte durée, c’est toujours l’oreille attentive qu’il entendit son « ami » crier le code secret, ni une, ni deux, il se rapprocha à toute vitesse de l’avant de la boutique et ouvrit doucement la porte.
Celle-ci se mit à grincher puis… Plus rien… Une… Deux… Trois… Quatre… Cinq… Six… Sept… Huit… Neuf… Dix… A la onzième seconde, une grenade roula jusque le devant de la porte et commença à enfumer la pièce d’un gaz gris. Les spectateurs présents dans cette salle purent entendre quelqu’un tousse avant qu’une ombre n’apparaissent dans cette épaisse fumée et se mette à parler.
« - I'll be ba...»
Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase qu’une première balle lui frôla la joue, par réflexe, il se jeta derrière un comptoir et prit Jacqueline dans ses mains.
« - Mais putain ! Laissez moi terminer ma réplique avant de me tirer dessus ! Vous connaissez pas le respect bordel de merde ?! MOY BRAT, TU VAS BIEN ? J’AI ENTENDU LE SIGNAL !»
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