34 Milice. Chef D'escouade du département cybercrime de la milice / Hackeuse. Non.
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Milice.
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Chef D'escouade du département cybercrime de la milice / Hackeuse.
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Wake me up when september ends [FT : Boobie Rockwell]
Lun 6 Juil - 23:35
Frey avait encore travaillé toute la nuit sur son projet informatique, des milliers de lignes de code pour sécuriser un serveur d'une petite entreprise, rien de bien difficile, cela lui faisait un peu d'argent de poche, enfin, on pouvait compter un bon millier. Le matin se levait déjà et la demoiselle savait bien qu'elle allait douillé toute la journée si elle ne dormait pas au moins une bonne heure. Mais bon, déjà, elle ne devait pas être en retard au boulot, ce qui risquait de se passer si elle ne s'habillait pas tout de suite et qu'elle ne file pas sur son scooter, en direction du commissariat. Ce que la suédoise fit, attrapant, au passage, un bout de pain, avec du beurre et de la confiture, son petit-déjeuner du matin, cela lui suffisait amplement, par habitude. La milicienne enfourcha son engin, casque sur la tête, pour aller à son lieu de travailler, y arrivant de justesse, elle n'allait pas se faire engueuler ou autre, elle pouvait souffler. Il fallait, maintenant, qu'elle lutte contre la fatigue, par chance, elle ne voyait quasi-personne, donc, il lui arrivait de somnoler devant son écran, mais elle se réveillait rapidement et essayait de boire beaucoup de café, ce qui faisait plus ou moins l'effet.
Après le déjeuner, ce fut encore pire, mais elle se disait que c'était l'occasion, pour elle, de piquer un somme dans son bureau, qui est assez isolé, avant de rebosser, d'ailleurs, elle se rappela qu'elle aura de la visite. Apparemment, une cadette devait venir, Frey était en charge pour une sorte d'immersion, lui montrer ce que la suédoise faisait, de quoi elle s'occupait, après tout, elle avait un poste assez important. Mais, pour le moment, dodo, il y avait, en plus, un divan dans sa pièce, parfait pour s'y allonger et piquer un bon somme, ne pas oublier un réveil également. Frey dormait donc bien profondément, ce n'était pas sûr qu'elle entende son réveil ou quelqu'un toquer à la porte, il aurait fallu la secouer pas mal afin de lui faire ouvrir les yeux et la sortir de son état de sommeil.
Après le déjeuner, ce fut encore pire, mais elle se disait que c'était l'occasion, pour elle, de piquer un somme dans son bureau, qui est assez isolé, avant de rebosser, d'ailleurs, elle se rappela qu'elle aura de la visite. Apparemment, une cadette devait venir, Frey était en charge pour une sorte d'immersion, lui montrer ce que la suédoise faisait, de quoi elle s'occupait, après tout, elle avait un poste assez important. Mais, pour le moment, dodo, il y avait, en plus, un divan dans sa pièce, parfait pour s'y allonger et piquer un bon somme, ne pas oublier un réveil également. Frey dormait donc bien profondément, ce n'était pas sûr qu'elle entende son réveil ou quelqu'un toquer à la porte, il aurait fallu la secouer pas mal afin de lui faire ouvrir les yeux et la sortir de son état de sommeil.
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Metier :
Cadette en cybercriminalité
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Not for moment
Re: Wake me up when september ends [FT : Boobie Rockwell]
Ven 10 Juil - 8:38
C'était donc ça "l'utopie" qu'il avait rejoint pour purger des crimes, qui ne sont que de simples corrections vis-à-vis de mauvais garçons. Pour certains en tout cas. Un trou à rat, bon... Largement plus grand, c'est carrément un village pour souris délinquantes, mais... Ça a le mérite d'être distrayant. Et ça... Rockwell, elle kiff. Son côté impulsif aura toujours besoin de quelques mâchoires à fracasser. Ouais... C'est con à dire, mais ici, c'est réellement l'endroit idéal bien que, réunir un maximum de personnes, avec de mauvais desseins, dans un même lieu... N'a jamais était, logiquement, une bonne idée. Heureusement, Rockwell est arrivée et ça va sûrement pulser un max, en tout cas. Elle n'en ratera pas une.
Son appartement est un gros bordel, pire qu'un chantier à l'abandon, même si dans tout ça. Elle arrive quand même à distinguer les vêtements propres, de ceux qui sont sales. Après, il ne faut pas non plus penser que c'est un dépotoir, des égouts en surface. Noooon. Ça sent les bougies, l'encens et les plantes, parce qu'elle aime ça. La cuisine est impeccable, car il serait dommage de tarder à déjeuner, surtout lorsque son estomac gronde. Son lit est dégagé, comme ça, elle peut se vautrer dedans en moins de deux. Simplement... Des fringues traîne, un peu partout, et parfois où on s'y attend pas. Les tiroirs sont rarement fermés, ou en tout cas, pas correctement. Mais au fond... Est-ce qu'on s'en bat pas un peu les ovaires ?
C'est ce qu'elle se dit tous les matins, en plus d'avoir la flemme. Alors, elle se lève sans trop se stresser, s'étire grandement devant sa fenêtre... C'est loin d'être calme dehors. Elle quitte le pire désordre, pour ce qui est intimement, sa pièce favorite. Histoire de manger et boire un petit quelque chose avant de commencer, une journée rarement comme une autre. En réalité, elle aimerait bien commander son petit-déjeuner, comme une pizza les soirs de grosses... Faim. Mais bon.
Finissant par filer telle une étoile, bah... Filante. Elle verrouille bien la porte de son taudis et se rend sur ce qui sera maintenant, son lieu de rédemption. En soi, elle a déjà pu faire un peu le tour, retrouver son frère en coup de vent. Personne n'a le temps de s'ennuyer, apparemment. Toutefois, en ce jour, elle va vraiment pouvoir attaquer le sujet en profondeur. Ses doigts vont faire des vagues sur le clavier, et bien assises sur une chaise, elle va trouver un maximum de petits filous à remettre au frais.
Attends... C'est le dortoir ici ? Songe-t-elle en ayant ouvert la porte de ce qui devrait être les bureaux, où elle devrait travailler. La jeune femme jette un coup d’œil sur l'écriteau posé sur la porte. Non. Bon !
Excuse me, miss ! Ne sachant pourquoi, elle se met à s'exclamer en anglais, espérant que les yeux de cette femme en pleine sieste... S"ouvrent. Holà ? Elle essaie même l'espagnol, en russe.. Priwétttt... Elle s'emmêle alors dans un câble en avançant dans la pièce. En une fraction de seconde, elle sent que son nez va s'éclater sur la table et pose donc une main devant. La deuxième arrive finalement à être plus rapide, tendue, elle frappe la table. La paume bien à plat, le bruit est sec, la douleur ? Ça vaaaaa. Elle est maintenant juste à côté de la dormeuse et nul doute que, le son ayant plus qu'effleuré ses oreilles, la réveille.
Son appartement est un gros bordel, pire qu'un chantier à l'abandon, même si dans tout ça. Elle arrive quand même à distinguer les vêtements propres, de ceux qui sont sales. Après, il ne faut pas non plus penser que c'est un dépotoir, des égouts en surface. Noooon. Ça sent les bougies, l'encens et les plantes, parce qu'elle aime ça. La cuisine est impeccable, car il serait dommage de tarder à déjeuner, surtout lorsque son estomac gronde. Son lit est dégagé, comme ça, elle peut se vautrer dedans en moins de deux. Simplement... Des fringues traîne, un peu partout, et parfois où on s'y attend pas. Les tiroirs sont rarement fermés, ou en tout cas, pas correctement. Mais au fond... Est-ce qu'on s'en bat pas un peu les ovaires ?
C'est ce qu'elle se dit tous les matins, en plus d'avoir la flemme. Alors, elle se lève sans trop se stresser, s'étire grandement devant sa fenêtre... C'est loin d'être calme dehors. Elle quitte le pire désordre, pour ce qui est intimement, sa pièce favorite. Histoire de manger et boire un petit quelque chose avant de commencer, une journée rarement comme une autre. En réalité, elle aimerait bien commander son petit-déjeuner, comme une pizza les soirs de grosses... Faim. Mais bon.
Finissant par filer telle une étoile, bah... Filante. Elle verrouille bien la porte de son taudis et se rend sur ce qui sera maintenant, son lieu de rédemption. En soi, elle a déjà pu faire un peu le tour, retrouver son frère en coup de vent. Personne n'a le temps de s'ennuyer, apparemment. Toutefois, en ce jour, elle va vraiment pouvoir attaquer le sujet en profondeur. Ses doigts vont faire des vagues sur le clavier, et bien assises sur une chaise, elle va trouver un maximum de petits filous à remettre au frais.
Attends... C'est le dortoir ici ? Songe-t-elle en ayant ouvert la porte de ce qui devrait être les bureaux, où elle devrait travailler. La jeune femme jette un coup d’œil sur l'écriteau posé sur la porte. Non. Bon !
Excuse me, miss ! Ne sachant pourquoi, elle se met à s'exclamer en anglais, espérant que les yeux de cette femme en pleine sieste... S"ouvrent. Holà ? Elle essaie même l'espagnol, en russe.. Priwétttt... Elle s'emmêle alors dans un câble en avançant dans la pièce. En une fraction de seconde, elle sent que son nez va s'éclater sur la table et pose donc une main devant. La deuxième arrive finalement à être plus rapide, tendue, elle frappe la table. La paume bien à plat, le bruit est sec, la douleur ? Ça vaaaaa. Elle est maintenant juste à côté de la dormeuse et nul doute que, le son ayant plus qu'effleuré ses oreilles, la réveille.
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