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Oh, hell come [Pv Thomas]
Sam 25 Avr - 16:18
Tu as été mise au courant de la venu d'un nouvel armurier depuis quelques jours déjà, tu as donc géré l'attribution d'une salle. Tu avais fais le tour des salles disponibles pour trouver la plus adéquat, le meilleur en placement et après réflexion tu avais proposé à Sinistros qui était le recruteur du petit nouveau, une salle assez spacieuse au dernier étage. Il était impératif que cette zone soit difficile d'accès pour d'éventuelle attaquant et plutôt sécurisé pour les membres qui aurait besoin d'arme ou de munition pour la défendre, le dernier étage était donc tout indiqué. L'endroit avait nettoyé et tu avais fais installer un bureau, un ordinateur et de quoi ranger le matériel, tu ignorais en réalité de quoi il avait vraiment besoin tu avais fait donc fait le plus basique et le plus logique qui soit selon toi, une fois que tu aurais rencontré l'individu qui occuperait le poste tu lui demanderais ce qui lui manque. En attendant tu fermais la porte de la nouvelle armurerie et repartait répondre au téléphone ainsi que bidouiller des pseudos notes de services…
Le lendemain tu te tenais à la porte de la casa pour accueillir votre nouvel ami un bloc note à la main, dans ton sempiternel tailleur et tes talons. Sur le passage les membres te dévisageait toujours à cause de ta tenue bien trop guindé pour une simple secrétaire de gang. Ils ne disaient rien mais leurs regards tu le sentais et tu savais le décrypter tu n’avais pas besoin de mot. Avec le temps tu avais appris à les ignorer, tu n’avais aucune envie de leur ressembler ils étaient à ton sens bien plus ridicule que toi. Cinq ans déjà que tu fais partie de leur effectif tu as l’impression de toujours être l’outsider… Au moins depuis quelques temps avec Ellone dans ton entourage tu ressens moins le vide. Ta tête te hurles de ne t’attacher à personne, que c’est un gang qu’ils soient bon avec toi n’en fait pas de bonne personne, mais ton coeur à besoin d’interaction le privé finirait par détracter ta psyché déjà limite…
Tu dansais d’un pied à l’autre rester debout en talons peu agréable surtout sans bouger. Et il n’y avait pas que ça d’embêtant tu te mettais à trop réfléchir, pour désamorcer la crise et occuper ton esprit tu te mis à chanter de façon presque inaudible une chanson en espagnol au sujet de la Llorona … après de longue minutes tu croisas finalement le regard de l’oeil que tu cherchais. On pouvait difficilement manquer un borgne dont l’unique oeil était rouge tu ne fis guère attention au cicatrice sur son visage il y avait tant de personne marqué à vie à Decay que cet homme était pour toi d’une normalité complète. Tu lui offris ton plus beau sourire de vendeuse :
- Bonjour, monsieur Aleksandrov je suppose. Suzi Moore, je suis là pour vous montrer votre lieu de travail, vous faire découvrir le reste de la casa et vous amener dans le bureau de monsieur Sin. Si vous voulez bien me suivre.
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Re: Oh, hell come [Pv Thomas]
Dim 26 Avr - 11:43
« Fais-toi beau pour demain »… Va te faire foutre, Lucius. Sérieusement. Si tu crois qu’avec l’avance que tu me file, je vais faire en sorte d’être plaisant pour tes petits yeux d’enculés, tu te mets un doigt dans l’œil. Et pas que là. Même si j’ai accepté de signer ce putain d’contrat, j’vais quand même pas me mettre au cou un collier d’chien en or avec ton nom dessus.
Bon… en faisant les cent pas dans son appartement ce matin, j’ai quand même fait face à la réalité, avec mon reflet dans la glace. Le miroir ne ment pas, les racines blanches de la couleur originale de mes cheveux me vieillissent beaucoup plus que ce que je suis, et je parle même pas de ces cernes noirs qui arbore mon œil rouge, écœuré de la vie.
Tsk…Fuck you.
La défaite me laisse un goût amer dans la bouche, j’ai envie de me défouler sur ce pauvre miroir qui a rien demandé, mais si j’fais ça, j’suis certain de finir avec un bandage à la main. J’suis quand même pas si con, pour plus pouvoir tenir quoi que ce soit entre ma main. Un soupire s’extorque de mes poumons accompagnés d’un roulement d’œil. La rencontre est encore dans quelques heures, je SUPPOSE que j’ai le temps. Je fais un tour sur internet pour consulter des tutoriaux beauté sur comment masquer ses cernes, puis à la pharmacie. J’y achète ce que j’ai besoin, incluant le colorant noir à cheveux.
Jusqu’à la dernière minute, j’ai souffert à cacher toute cette merde. Et je parle pas seulement de mes cernes et de mes cheveux blancs. Ma chemise noire tenue en laisse par une cravate rouge est recouverte d’un gilet jais classique renforcé de l’intérieur, me servant de protection au cas où quelqu’un déciderait de m’enfoncer une lame ou une balle dans le corps. C’en est de même pour mes gants qui servent de poing américain. C’est pas confortable, mais c’est pratique. Dans la discrétion la plus totale, je me suis préparé à me faire trahir par ces enculés. C’pas que je fais pas confiance à Lucius, au contraire. C’est à ces vautours en dessous, que je me prépare. On sait jamais ce que ces animaux dénués de cervelle complotent.
Mes pas me mènent jusqu’à l’adresse de la casa entrée dans mon GPS, pourtant, je reste un instant fixé au beau milieu du trottoir, à regarder le bâtiment en face de moi. Ça a l’air de tout, sauf d’un QG… Mon regard retourne lire le lieu inscrit dans mon téléphone, puis les briques empilées. Uuuhg…
Une voix féminine appelant mon nom d’origine Russe me tire finalement de ma confusion, me confirmant que je me trouve bel et bien au bon endroit. Je relève mon regard pour observer l’inconnue appartenant au Cartel avant d’entreprendre de la rejoindre. Ce Lucius, il m’a envoyé une femme pour m’accueillir. C’est si attentionné, hah. Si elle était pas aussi jeune, avec son petit visage rond et son sourire adorable, j’aurais cru que c’est une grand-mère venant de mon pays natal. Quoi… Ses cheveux gris mentent pas et sa coupe de cheveux en blob non plus. Je teint pas ma chevelure blanche en noir pour rien, j’veux pas qu’on m’appelle papy.
Un petit sourire amusé se dessine sur mon visage, je pourrais lui faire toute sorte de remarque désagréable, pourtant je ne le fais pas. Je préfère me taire, pour ne pas me la mettre à dos. De ce que j’ai observé, ces bestioles sont plus propices à nous trahir quand on ne les flatte pas dans le sens du poil. Mieux vaut bien commencer, ici.
« Bonjour, mademoiselle Moore, c’est en effet mon nom. Je vous remercie pour cet accueil, soyez assurée qu’il est apprécié. Je ne crois pas que j’aurais trouvé cet endroit sans votre aide, haha. »
Faux. J’aurais spammé Lucius de memes jusqu’à ce qu’il s’écœure et vienne lui-même me chercher en bas. Mais bon, la vue d’une femme est toujours plus agréable que lui. En plus, elle a l’air polie et bien habillée, le bon combo. C’est pas tous les jours qu’on a le droit de rencontrer des gens qui veulent pas nous exploser une grenade à la figure. J’aurais eu la honte de m’être présenté en simple chandail de deux jours…
« Je vous en prie, faites-moi visiter l’endroit pour que j’y sois familier. Vous devez le connaître comme le fond de votre poche. »
C’est bien, être un gentleman, mais c’est pas pour ça que je lui tiens si aimablement la porte pour qu’elle entre avant moi dans le bâtiment auquel elle travaille. Non seulement elle aura un bon souvenir de moi, mais en plus, ça m’évitera de me faire backstab par elle. Ah oui, elle est mignonne, mais elle doit bien savoir tenir une lame. Si l’envie lui prend, elle pourrait faire ce qu’elle veut sans que je la voie par en arrière. C’pas vrai que je vais la laisser prendre l’avantage comme ça, j’suis pas si con pour laisser cette parfaite inconnue dans mon angle mort. C’est peut-être un loup déguisé en mouton, qui sait.
« Dites-moi, le café est bon, ici ? » Dis-je casuellement, sans lien, n’aimant pas les silences malaisants trop longs. Les femmes, ça aime parler de toute façon, non ? Et puis si le café est dégueulasse, ça risque d'être difficile de travailler, c'est toujours bon à savoir.
Nous rentrons à l’intérieur, j’arbore toujours ce petit sourire aimable, mais réellement, il est plus nerveux qu’autre chose. Je me sens comme une souris prise au piège, entre quatre murs. Mon cœur pompe rapidement, j’aime pas ça.
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Re: Oh, hell come [Pv Thomas]
Lun 27 Avr - 19:44
Ta blanche chevelure te vieillissait un peu en effet elle était pour toi ce qui s’approche le plus de la blessure de guerre, la trace indélébile du cauchemar qu’est Decay pour toi. Contrairement à beaucoup de gens ici tu n’es pas balafrée juste psychologiquement marqué à vie. Même si tu avais un peu en horreur cette couleur tu l’affichais, tu l’accentuais, ainsi tout le monde pensait que tu es étais juste un peu excentrique et personnes ne posent question. Puis s’ils le font tu dis que ça te fait kiffer et ça s’arrête là en générale. Tu lis dans le sourire de ton nouveau collègue un certaine amusement, tu ne sais pas que ce qui l’amuse dans ta personne mais clairement tu n’apprécie pas. Mais tu ne le montre en rien, tu ne le fais pas avec les autres abrutis tu ne commenceras pas avec lui. Tu attends que la réflexion vienne, mais il te répond cordialement. Bon point : pour lui il est poli, mauvais point : c’est un hypocrite. Tu préfères qu’on te dise qu’on ne t’aime pas au moins ainsi tu sais à quoi t’en tenir. Certes tu es susceptible ça va te faire bien chier, mais tu n’as pas envie de perdre ton temps. Puis toi tu as la décence de ne pas juger les gens sur leur physique… Cette pensée te donne une sensation de bien être et de supériorité, tu as la maturité, tu es bien au-dessus de lui.
Il te tient la porte et d’une démarche élégante et aérien de la danseuse que tu es au fond de toi tu entres sans un mot. Il est sur tes talons tu t’arrêtes un instant. Vous êtes dans donc le hall réaménagé tu observes rapidement autour de toi il va falloir commencer. Il te demande alors si le café est bon, ton sourire de vendeuse toujours sur les lèvres tu lui réponds franchement.
- Je n’en sais rien, je ne bois pas de café monsieur Aleksandrov. Et tu enchaînas sans attendre. Alors ici au rez-de-chaussée il y a le secrétariat générale, et quelques petits bureaux d’administratif mineur. Rien qui ne vous intéresse vraiment, passons à la suite.
Tu te dirigeais sans attendre en pivotant sur tes talons comme si tu glissais sur le sol. Tu avais fait cinq mètre quand un mec t’interpella en levant la main.
- Suzi !
- Pas le temps pas Pablo, plus tard.
Il était un peu perplexe et alors que son regarde celui du brun derrière toi il fulmine.
- C’est qui ça ?
- Il est avec Sin, cabrón, maintenant tu te casses j’ai autre chose à foutre.
Le mec bien plus gros que toi tiqua avant de partir, il n’était pas question de violence physique entre vous après tout tu connais Pablo depuis son arrivait y a trois ans. Sans doute qu’un autre t’en aurais collé une qui sait en tout cas tu ne parles pas comme ça avec tes supérieurs. Tu t’éclaircissais la voix.
- Pablo n’est pas méchant, mais assez méfiant de nature. Un des gorilles que vous devrait armer. Désolée pour ce petit cinéma.
Tu supposais qu’il n’en avait rien à faire, néanmoins tu t’excusas pour la scène avant de reprendre d’un pas souple et rapide ta marche en direction de l'escalier pour monter au premier étage. Tu pousses la porte de la cage d’escalier sans attendre qu’il ne le fasse, car tu sais qu’il ne sait où tu vas.
- Je prends les escaliers. Je n’aimes pas les machines comme les ascenseurs, je trouves qu’elle pousse à la paresse et à l'empattement physique. J’espère que vous avez un bon cardio.
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Re: Oh, hell come [Pv Thomas]
Lun 27 Avr - 21:30
Comme je m’y attendais, la secrétaire bien dressée n’en a que faire de mon bavardage sans intérêt. Elle balaie la conversation que je lui propose d’un coup de main élégant avec une réponse claire, franche et sans ouverture. Ça fait étrange, j’ai l’habitude de me prendre à la gueule les insultes des p’ti cons malpolis qui se pensent roi du monde. On se croirait presque dans la compagnie de mon père à Neo-Atlantis avec le professionnalisme sans égal de Moore et c’est pas plus mal que ça.
« Pas de soucis pour le café. »
Elle continue en me présentant le secrétariat, je l’écoute bien que j’observe minutieusement mon environnement et le moindre bruit de claquement de métal anormal qui pourrait m’indiquer la présence d’un quelconque danger. Un coup d’œil discret par-ci, un autre par-là, suivi d’un par derrière qui l’est beaucoup moins. On pourrait presque croire que je m’intéresse au bâtiment dans lequel je vais travailler alors que j’en ai rien à foutre. J’veux juste pas me faire prendre par surprise.
La voix qui intercepte le prénom de celle de mon guide me force à regarder en avant. Il ne me prête pas attention jusqu’à ce qu’elle lui réponde sauvagement de voir ailleurs.
Ohh. Le petit chaton blanc sait gronder. Je me serais presque laissé amadouer par elle, en croyant que tout le monde est aussi bien habillé et poli qu’elle. L’autre singe m’a prouvé que j’ai raison d’être sur mes aguets. S’il n’avait pas su ses limites, le connard aurait probablement tenter de jouer au plus fort et de m’attaquer. Il aurait certainement mordu la poussière, mais bon. Je préfère ça, mieux vaut ne pas attirer l’attention dès le premier jour. C’est jamais bon pour la suite, surtout s’ils sont au courant de la relation que j’ai avec le baron.
Sans dire un mot, je laisse l’autre faire. Je le fixe cependant d’un air menaçant qu’on pourrait qualifier de celui d’un clébard de garde, question de lui faire comprendre qu’il ne m’intimide pas. Elle a mentionné que je suis avec « Sin », mais la confusion règne sur mon visage.
« Sin ? Qui est-ce ? »
La visite continue, elle s’excuse pour le comportement des « gorilles » qui rodent dans les environs. J’comprends pas pourquoi elle met ça sur elle, c’pas comme si elle avait le contrôle là-dessus.
« Lucius en décidera. Je n’ai pas envie de perdre mon temps à armer ces pauvres connards, mon talent vaut bien plus que ça. Ne t’excuse pas pour eux, ça ne vaut rien. »
Le ton de ma voix rauque est plus sévère que tout à l’heure, partiellement dû au fait que je ne me sens pas bien d’être entouré de sauvages. Si la petite croit que je vais me contenter de suivre une recette déjà faite pour construire des armes banales, elle se met un doigt dans l’œil. Je préfère franchement mieux travailler sur les blueprints et créer des prototypes que d’en suivre un qui est déjà fait. C’est à mes subordonnés que je donne le travail de recréer des dizaines de répliques, quand tout est parfait, pas à moi. J’ai mieux à faire de ma vie.
Suzi nous amène à une porte qui révèle une cage d’escalier qui monte de plusieurs étages. Ah shit… C’est pas plus mal que ça, même si je me sens un peu lâche en ce moment. Ça me sera bénéfique quand je devrai reprendre mon entrainement intensif. J’ai déjà la larme à l’œeeil…
« Mh. Ça ne devrait pas être un souci. Je suis bien d’accord, malgré que c’est quand même plus efficace sur le temps, les ascenseurs. Mais bon. Tu dois avoir un sacré bon cardio si tu montes ça plusieurs fois par jour. »
Et oui, le vouvoiement s’est vite fait jeter par la fenêtre de mon côté, même si elle continue de le faire par souci de professionnalisme. Ça commençait à me saouler, mais bon. Vu l’autre, elle doit être habituée.
En bon toutou, je suis son rythme jusqu’à ce que nous arrivions à destination. C’est pas vraiment fatiguant en soi, c’est juste l’effort mental que ça prend pour se dire qu’on pourrait soit prendre l’escalier, soit gagner du temps de sa vie à prendre l’ascenseur. Je doute un peu de son efficacité, si elle doit monter dix fois en haut dans la journée… Ça doit bouffer son temps.
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Re: Oh, hell come [Pv Thomas]
Jeu 30 Avr - 19:50
Pour ce qui est du café tu te garde bien de lui dire que tu en fait du pas trop mauvais car ce n'était pas la question qu'on te pose. Il t'a demandé si le café était bon et de fait tu n'en as jamais bu surtout ici. Et puis tu n'as pas envie de passer ta vie à faire le café pour la casa entière, car tu as vu passer les bons de commande pour le café et clairement c'était une aberration à ton sens… Bref ! Tu enchaînas sur le tacle d'un mastodonte puis sur la réponse à qui est Sin.
- Dans les gangs beaucoup de gens ont des surnoms, Angelo alias Gelo, par exemple et Sin est un diminutif de Sinistros le surnom de monsieur Ray.
Tu fis un parallèle idiot dans ta tête, entre le Rouge et le Noir de stendhal et les deux surnom des barons du Cartel. L'homme enchaîna sur de petites remontrances au sujet de Pablo qui est clairement un basique point de l'organisation… mais doit-on pour autant être mauvais avec les gens qui n’ont pas le talent ou l’intelligence pour sortir du lot ? Tu ajoutes en haussant les épaules.
- Sinitros aura de tout façon le dernier mot.
On a beau dire : je veux pas, si le patron t’a demandé de le sucer… ben se sera surement fait. En tout cas si on tient un minimum à la vie dans le coin ça fonctionne à peu près comme ça. Puis Sinistros n’est pas vraiment le genre conciliant. Bien entendu tout individu est différent. Il te confirme qu’il est un homme qui s’entretient, tu ne départis pas de ton sourire et acquiesça avant de répondre.
- Le plus souvent possible, si je n’ai pas trop d’étage à monter ou que je suis pas pressée par le temps.
Une fois que le bleu a passé la porte de la cage d’escalier tu repasse devant lui pour le guider. Tu te défais de tes chaussures à talons, laissant deviner tes collants couleurs chairs. Tu n’avais pas envie de te faire mal à la pointe du pied en montant les quinze étages. Et tu commences ainsi ton ascension à un bon rythme, danser pendant des heures ça muscles les jambes et ça entretient l’endurance. On dirait presque que tu sautilles à chaque marche. Arrivé au premier palier tu t’arrêtes un instant pour qu’il te rejoignes pas qu’il soit lent au contraire juste que c’était plus polie et tu expliques une fois qu’il est en face de toi à quoi sert le premier étage.
- Ici et au deuxième étage vous avez de l’administratif mais plus poussé, tous les comptable et autre qui planque au mieux l’iceberg sous la surface.
Tu enchaînas ainsi les différents étages en gardant le rythme et côté sautillant presque enfantin de la démarche, par contre ton souffle s’est accentués arrivé au derniers étages. Tu as les jambes qui te tire un peu aussi, mais tu es assez contente de toi.
- Votre étage !
- Dans les gangs beaucoup de gens ont des surnoms, Angelo alias Gelo, par exemple et Sin est un diminutif de Sinistros le surnom de monsieur Ray.
Tu fis un parallèle idiot dans ta tête, entre le Rouge et le Noir de stendhal et les deux surnom des barons du Cartel. L'homme enchaîna sur de petites remontrances au sujet de Pablo qui est clairement un basique point de l'organisation… mais doit-on pour autant être mauvais avec les gens qui n’ont pas le talent ou l’intelligence pour sortir du lot ? Tu ajoutes en haussant les épaules.
- Sinitros aura de tout façon le dernier mot.
On a beau dire : je veux pas, si le patron t’a demandé de le sucer… ben se sera surement fait. En tout cas si on tient un minimum à la vie dans le coin ça fonctionne à peu près comme ça. Puis Sinistros n’est pas vraiment le genre conciliant. Bien entendu tout individu est différent. Il te confirme qu’il est un homme qui s’entretient, tu ne départis pas de ton sourire et acquiesça avant de répondre.
- Le plus souvent possible, si je n’ai pas trop d’étage à monter ou que je suis pas pressée par le temps.
Une fois que le bleu a passé la porte de la cage d’escalier tu repasse devant lui pour le guider. Tu te défais de tes chaussures à talons, laissant deviner tes collants couleurs chairs. Tu n’avais pas envie de te faire mal à la pointe du pied en montant les quinze étages. Et tu commences ainsi ton ascension à un bon rythme, danser pendant des heures ça muscles les jambes et ça entretient l’endurance. On dirait presque que tu sautilles à chaque marche. Arrivé au premier palier tu t’arrêtes un instant pour qu’il te rejoignes pas qu’il soit lent au contraire juste que c’était plus polie et tu expliques une fois qu’il est en face de toi à quoi sert le premier étage.
- Ici et au deuxième étage vous avez de l’administratif mais plus poussé, tous les comptable et autre qui planque au mieux l’iceberg sous la surface.
Tu enchaînas ainsi les différents étages en gardant le rythme et côté sautillant presque enfantin de la démarche, par contre ton souffle s’est accentués arrivé au derniers étages. Tu as les jambes qui te tire un peu aussi, mais tu es assez contente de toi.
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Re: Oh, hell come [Pv Thomas]
Mar 5 Mai - 6:23
Ah. Sinistros est donc le « surnom » de Lucius. C’est marrant, cette histoire de pseudonymes. Il a dû me le dire à un moment ou un autre, mais ça m’est, de nouveau, passé dix mètres au-dessus de la tête. Comme tout ce qu’il me dit, d’ailleurs. Nos conversations sont à sens unique et c’est bien comme ça. Mais bon. Disons qu’à cause de ça j’ai encore beaucoup à rattraper, sur les gangs et tout ça. Surtout le cartel. Donc c’pas si cool que ça au final.
Un soufflement s’échappe de mon nez à l’idée d’avoir un surnom tel que « The train », comme mon compte twitter pour troller les gens. C’marrant quelques secondes, mais les gens me prendraient pas au sérieux. Et puis, c’est chiant changer de nom. J’en vois pas l’intérêt. Jamais j’appellerais ce con de Lucius « Sinistros »
« Je vois, merci de m’en avoir informé. »
Si son professionnalisme continue d’avancer dans cette direction, j’vais vraiment me sentir comme à Neo-Atlantis. Bonne ou mauvaise chose ? Mauvaise chose, putain de merde. J’aime la normalité, si casuelle, cette vie normale, avec cette touche de respect pour ceux en haut de la hiérarchie. Ça me manque plus que je croyais. C’est calme et on te fait pas chier, encore. Le seul tic, c’est que je suis pas encore en haut de la montagne, comme avant.
« En effet… »
Un dernier coup d’œil derrière avant que la porte se referme, pour s’assurer que personne ne s’y glisse avec nous sans qu’on le sache. J’acquiesce cette fois-ci en silence.
Je… La meuf s’arrête devant moi pour enlever ses chaussures à talon haut. La confusion règne dans mon regard, pourquoi elle fait ça ? Le sol doit être répugnant dû aux nombreux passages durant la journée, en plus. Et ça doit pas être lavé souvent non plus. Je sais que ça doit être compliqué de monter un étage ou deux avec, mais on va quand même pas en monter dix …si ?
…
Quinze. Quinze putain d’étages avant d’arriver à mon bureau ??? J’ai eu le droit à un exposé oral digne d’un de mes cours privés lors de mon enfance à chaque niveau. Bordel. C’était. Long. J’ai la mort dans l’âme, épuisé plus mentalement que physiquement. J’veux pas croire que ça a été choisi au hasard, quelqu’un veut me faire souffrir, c’est pas possible. Et elle, elle est contente. Même plus ravie que lorsque nous étions au premier étage.
Je soupire à mon arrivée, puis replace mon gilet. Ma patience s’est fait démolir à coup de barre de fer, j’explorerai le local qui m’est attribué plus tard et j’enverrai une fiche de ce qui me manque. Tant que je sois seul et que ce soit suffisamment grand, j’suis pas compliqué. Certes j’aurai sûrement pas tout ce que j’avais à Neo-Atlantis, mais c’est déjà ça. Je m’attends pas à grand-chose.
« Est-ce possible de terminer la visite plus tôt ? Je regarderai mon bureau plus tard et j’enverrai les détails, ce n’est pas très important pour l’instant. J’aimerais m’entretenir avec ‘’ Sinistros’’. »
Y’a un goût amer qui est resté après que j’aie prononcé son surnom. C’probablement la seule fois que je vais l’utiliser, ça fait bizarre.
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Re: Oh, hell come [Pv Thomas]
Ven 8 Mai - 23:28
Tu te moquais de l’avoir peut-être un peu choqué par cet acte sans nul doute peu commun, mais il n’est hiérarchiquement pas ton supérieur alors bon on s’en fout un peu.Tu remettais tes chaussures, le sol en vrai n’était pas réellement sale ou en tout cas pas plus que cela, il y avait même quelques “agents d’entretiens” il était juste très vieux certaine marques étaient donc devenus indélébiles un peu comme la peau d’une personne âgée qui se tâche…. et qui se ride. Tu t’étire légèrement avant de pousser la porte pour sortir de la cage d’escalier. Quand il te demandes d’écourter la visite pour aller à la rencontre de Sinistros, tu souris.
- Il est justement à cet étage ! Mais malheureusement il est en réunion pour encore quinze petites minutes. Juste le temps de vous montrer votre local.
Tu te place devant la porte pour la maintenir ouverte en lui indiquant la direction en tendant le bras devant lui. Le sourire cordiale toujours sur tes lèvres une hôtesse digne d’une multinationale, bien droite dans tes chaussure et posture presque digne d’un mannequin de défilé. Quand il passe devant toi tu le rejoins faisant résonner tes talons dans le couloir peu décoré dont quelques dalles du faux plafond n’était pas à leur place. Le vieille chose on besoin d’être souvent réparé et ou entretenu sans doute qu’un électricien avait un truc à faire ici. Mais Sinistros aimait les belles choses et le luxe alors ce couloir n’était pas ce qui se faisait de pire dans la Casa. Après cinq mètres dans ce dernier tu t’arrête à côté d’une porte rouge.
- Nous y sommes, à étage il y a vous, la vidéo surveillance de tout le bâtiment et le bureau de Sinistros au bout du couloir.
Tu lui fis un signe pour qu’il ouvre la porte de lui-même et tu le laissas entrer en premier. Il y avait bien entendu pas grand chose comme meuble car tu ignorais ce dont il avait besoin à part des rangement et un bureau plus un ordinateur. Il y a néanmoins pas mal d’espace encore pour placer d’autre chose. Tu te plaçais au centre de la pièce et lui laissant le temps d’observer l’endroit.
- Si vous avez besoin de quelque chose demandez, je me chargerais de trouver ce dont vous avez besoin.
Ton bloc-note était prêt à être dégainé.
Une fois l’heure arrivée tu l’invitas cordialement à sortir de la pièce pour vous rendre au bureau de Sin un peu plus loin. Tu ne le lâcherais qu’à ce moment, enfin plus exactement quand le baron te dirait de partir.
- Il est justement à cet étage ! Mais malheureusement il est en réunion pour encore quinze petites minutes. Juste le temps de vous montrer votre local.
Tu te place devant la porte pour la maintenir ouverte en lui indiquant la direction en tendant le bras devant lui. Le sourire cordiale toujours sur tes lèvres une hôtesse digne d’une multinationale, bien droite dans tes chaussure et posture presque digne d’un mannequin de défilé. Quand il passe devant toi tu le rejoins faisant résonner tes talons dans le couloir peu décoré dont quelques dalles du faux plafond n’était pas à leur place. Le vieille chose on besoin d’être souvent réparé et ou entretenu sans doute qu’un électricien avait un truc à faire ici. Mais Sinistros aimait les belles choses et le luxe alors ce couloir n’était pas ce qui se faisait de pire dans la Casa. Après cinq mètres dans ce dernier tu t’arrête à côté d’une porte rouge.
- Nous y sommes, à étage il y a vous, la vidéo surveillance de tout le bâtiment et le bureau de Sinistros au bout du couloir.
Tu lui fis un signe pour qu’il ouvre la porte de lui-même et tu le laissas entrer en premier. Il y avait bien entendu pas grand chose comme meuble car tu ignorais ce dont il avait besoin à part des rangement et un bureau plus un ordinateur. Il y a néanmoins pas mal d’espace encore pour placer d’autre chose. Tu te plaçais au centre de la pièce et lui laissant le temps d’observer l’endroit.
- Si vous avez besoin de quelque chose demandez, je me chargerais de trouver ce dont vous avez besoin.
Ton bloc-note était prêt à être dégainé.
Une fois l’heure arrivée tu l’invitas cordialement à sortir de la pièce pour vous rendre au bureau de Sin un peu plus loin. Tu ne le lâcherais qu’à ce moment, enfin plus exactement quand le baron te dirait de partir.
Betty-Lou Bettner
Should I run away, and change my name ?
151 Civile (Fidèle Lombardi) Bookmaker Je suis le rp, aucun soucis
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Je suis le rp, aucun soucis
Re: Oh, hell come [Pv Thomas]
Dim 10 Mai - 4:27
Pendant ce temps à Chicago...
C'était Ellone, devant un vendeur...
Elle était là pour faire une course pour Suzi...
La petite secrétaire lui avait demandé si gentiment...
Ou plutôt elle avait su l’appâter habilement pour la faire obéir sagement...
C'était Ellone, devant un vendeur...
Elle était là pour faire une course pour Suzi...
La petite secrétaire lui avait demandé si gentiment...
Ou plutôt elle avait su l’appâter habilement pour la faire obéir sagement...
9:41 AM
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27 Neutre Ingénieur / Trafiquant d'armes à feu Possiblement
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Re: Oh, hell come [Pv Thomas]
Lun 1 Juin - 22:49
Son sourire dégoulinant de satisfaction s’accompagne à une remarque qui me contamine de joie à mon tour. Un « oh ? » surpris s’échappe de ma bouche tandis que les coins de mes lèvres s’étirent narquoisement. Tantôt irrité, tantôt joyeux, j’ai jamais été doué pour cacher les émotions qui s’affichent sur mon visage comme un livre grand ouvert que l’on peut lire. La neutralité revient lorsque je m’en aperçois, préférant le cacher plutôt que d’en révéler davantage. C’est loin d’être un atout, je dirais même que c’est l’inverse. Dans ce milieu impitoyable, les sales cons en face de moi savent lorsque je suis teinté d’une certaine nervosité et tentent d’en profiter pour prendre le dessus.
Je n’aurais pas pu mieux demander que d’être au même étage que ce connard qu’est Lucius. Ça peut sonner comme du sarcasme aux oreilles d’une personne qui m’connais pas, mais ce n’est pas le cas. Ça me rassure un peu, et puis j’aurai pas à me faire chier à me déplacer pour aller l’envoyer chier quand ça me tente. AH HA. Quel monde parfait… En réalité, j’en suis même étonné. J’me demande si c’est pas lui qui a fait la demande, ou bien si c’est la secrétaire qui a jugé juste de me placer pas trop loin. Note à moi-même : poser la question plus tard. En tout cas, chapeau.
Ça me fait étrange qu’une femme me tienne la porte, mais je ne le note pas et lance un petit remerciement. Je traverse le cadre de la porte en jetant un regard derrière moi pour m’assurer qu’elle sorte pas un fusil de sa poche entre temps. On sait jamais… Elle a peut-être des motifs ultérieurs.
Le corridor est pas si mal que ça, je sens que je vais m’y plaire ici. De même pour la porte rouge, j’aime bien. En plus, c’est bien sécurisé, y’a plus de risques qu’une conne débarque avec des grenades, c’est rassurant. Ça fait différent de l’environnement insalubre et petit dans lequel je vivais ET travaillais. J’veux dire, c’est quand même difficile d’avoir pire que l’endroit dans lequel j’étais. Après, j’ai pas connu mieux depuis au moins dix ans alors c’était normal pour moi. Je sens que ça va être impossible de revenir en arrière, maintenant. Une fois que tu prend goût au luxe, te veux plus lâcher… Haaa.. et merde.
J’entre dans la pièce comme elle me l’indique et j’examine l’espace un instant avant de sortir mon téléphone de ma poche et prendre des photo. C’est vide… ou presque. Faudra que je réfléchisse à tout ça. J’en profite pour regarder mes notifications puis le range.
« Hmm, déjà, enlève cet ordinateur, j’amènerai le mien. On peut laisser le bureau, mais j’en ai besoin de deux autres en plus dont un qui a un rangement et l’autre, sans rangement mais qui peut s’ajuster en hauteur. J’enverrai une liste par courriel de ce que j’ai de besoin pour tout ce qui est machinerie ou matériel. On risque d’y passer la journée, et on a tous les deux mieux à faire je pense. »
Et surtout qu’elle risque d’oublier des trucs importants, j’sais pas moi. J’ai pas envie d’être dans un élan de travail et de réaliser qu’il me manque un type de vis ou bien une soudeuse à précision.
« Ça devrait être tout pour maintenant, j’ai vu ce que j’avais à voir. »
Sur ces mots, je me dirige à l’extérieur de mon futur lieu de travail pour l’attendre et me guider vers le reste. Y’a rien d’intéressant de plus à noter, donc bon. Ça me fait chier d’y passer plus de temps que ça.
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