84 Dead Eyes | Alliance des Gangs Employé au Pawnshop ''404'' SVP pas tout de suite RIP.
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La solitude de 418 [RP SOLO]
Lun 5 Oct - 2:10
Ça faisait depuis la première annonce d’un nouvel ouragan que Stephan était à fleur de peau. Plus le temps passait, plus que les estimations de sa trajectoires se précisait et ça tombait directement sur l’île. C’était inévitable, c’était certain que ça allait passer par ici. Decay allait y passer ainsi que Neo-Atlantis. Pourtant le matin de la catastrophe, ça a eu l’effet d’une bombe: c’était comme si tous les habitants ressentaient la panique d’un seul coup.
Stephan était pas de ces gens-là, non... Il ne faisait pas non plus partie des gens les plus préparés non plus. Dans les faits, il n’avait jamais été aussi anxieux et paniqué: il ne voulait surtout pas que son pire cauchemar ai finalement lieu. Ce n’était pas une exagération: 418 avait et a toujours eu une peur bleue de l’eau. La plupart du temps calme et posée, l’eau pouvait être violente et mystérieuse à la fois. C’était ça, qui terrifiait le jeune gris: sa nature double-face et imprévisible.
Ce matin-là, il se trouvait encore au pawnshop 404, commerce dont il travaille depuis maintenant 10 ans. Il y avait passer la nuit entière à bidouiller des trucs inutiles dans le sous-sol pour essayer de s’occuper l’esprit. Toute la semaine précédente, ses nuits étaient courte ou parsemée de cauchemar… Bref c’était des nuits sans repos. Étrangement, il n’avait jamais eu l’air d’un Dead eyes typique autant que cette journée-là. Sa peau blême et ses cernes jusqu’aux coudes ressemblait bien à ce stéréotype que le gang avait hérité avec le temps.
Il avait peut-être réussi à faire un petit somme avant de monter les escaliers, car il n’avait pas entendu les grandes bourrasques de vent et la pluie torrentielle. Sans sortir dehors, il regardait par la vitrine de la boutique: c’était la cohue. Les gens couraient partout, armes à la vue. Le commerce en face avait été dévalisé visiblement, vu que toute les vitres étaient brisée et qu’il était maintenant vide.
- C’est pas vrai… Il est la…. Issac est la…
Tout en murmurant des ‘’non non non’’ interminable, Stephan prit une radio et une lampe de poche sur les étagères du magasin, quelques piles derrière le comptoir, puis retourna au sous-sol. Tant pis pour le reste, son état de panique était bien plus important que le contenu de la boutique.
L’électricité commençait déjà à flancher lorsqu’il s’installa dans le local le plus glauque, mais probablement le plus sécuritaire aux yeux de Stephan: la salle de la fournaise. Cette salle n’avait aucune vue sur l’extérieur: c’était parfait comme ça.
Stephan était pas de ces gens-là, non... Il ne faisait pas non plus partie des gens les plus préparés non plus. Dans les faits, il n’avait jamais été aussi anxieux et paniqué: il ne voulait surtout pas que son pire cauchemar ai finalement lieu. Ce n’était pas une exagération: 418 avait et a toujours eu une peur bleue de l’eau. La plupart du temps calme et posée, l’eau pouvait être violente et mystérieuse à la fois. C’était ça, qui terrifiait le jeune gris: sa nature double-face et imprévisible.
Ce matin-là, il se trouvait encore au pawnshop 404, commerce dont il travaille depuis maintenant 10 ans. Il y avait passer la nuit entière à bidouiller des trucs inutiles dans le sous-sol pour essayer de s’occuper l’esprit. Toute la semaine précédente, ses nuits étaient courte ou parsemée de cauchemar… Bref c’était des nuits sans repos. Étrangement, il n’avait jamais eu l’air d’un Dead eyes typique autant que cette journée-là. Sa peau blême et ses cernes jusqu’aux coudes ressemblait bien à ce stéréotype que le gang avait hérité avec le temps.
Il avait peut-être réussi à faire un petit somme avant de monter les escaliers, car il n’avait pas entendu les grandes bourrasques de vent et la pluie torrentielle. Sans sortir dehors, il regardait par la vitrine de la boutique: c’était la cohue. Les gens couraient partout, armes à la vue. Le commerce en face avait été dévalisé visiblement, vu que toute les vitres étaient brisée et qu’il était maintenant vide.
- C’est pas vrai… Il est la…. Issac est la…
Tout en murmurant des ‘’non non non’’ interminable, Stephan prit une radio et une lampe de poche sur les étagères du magasin, quelques piles derrière le comptoir, puis retourna au sous-sol. Tant pis pour le reste, son état de panique était bien plus important que le contenu de la boutique.
L’électricité commençait déjà à flancher lorsqu’il s’installa dans le local le plus glauque, mais probablement le plus sécuritaire aux yeux de Stephan: la salle de la fournaise. Cette salle n’avait aucune vue sur l’extérieur: c’était parfait comme ça.
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Re: La solitude de 418 [RP SOLO]
Mer 7 Oct - 1:46
- 1ère heure d’isolement -
Avant de fermer la porte derrière lui, Stephan s’assura de se faire une place pour s’y asseoir, mais c’était loin d’être fait dans la délicatesse. Un seau? Ça prend trop de place! La serpillère? Pas nécessaire! Tout était lancé à bout de bras. On avait pris cette pièce pour faire du rangement, pas étonnant que c’était la pagaille déjà avant qu’il passe en furie. Lorsqu’il eu assez de place à son goût, le jeune homme alluma l’ampoule qui éclairait la pièce pour ensuite claquer la porte violemment.
Le binoculars tassa un peu les différents objets tout en asseyant directement sur le sol en béton non fini. Même si c’était la fin de l’été, c’était froid comme surface, mais ça lui était égal: l’isolement étant la priorité. Plus rien entendre de ce désastre et l’oublier.
Enfin, c’était ce qu’il croyait que ça allait faire. Le plafond, étant pas très bien isolé des vibrations et du son, était la faille de son plan. On y entendait tous les bruits, tout les sons plus plus insignifiant venant du premier étage. Encore en étant de panique, il se mit en boule, tout en fermant ses oreilles avec ses mains.
- Va-t-en Issac! Va-t-en!
Il ne se rendit même pas compte qu’il criait à tue-tête. Ses mains, crispées par la peur, forçait contre sa tête, lui donna un de ses maux de crâne. Il se devait de se calmer un peu.
-2ème heure d’isolement-
Après une heure de respiration lente et posée, Stephan avait réussi à se calmer en regardant un peu n’importe quoi sur son cellulaire. La lumière qui reflétait sur les murs de la pièce se mit à clignoter. L’ampoule était clairement en fin de vie. Le gris se mit à chercher dans la pièce pour une ampoule neuve. Il n’eut point le temps d’en trouver une qu’il fut rapidement plongé dans l’obscurité. Bon, il avait encore son téléphone pour chercher. Au final, ce n’était pas bien loin, mais lorsqu’il changea l’ampoule, il réalisa que c’était le courant qui avait coupé vu les intempéries de l’extérieur. Il se remit en boule en fixant son téléphone.
- 3ème heure d’isolement -
Tout à coup, il eu un gros fracas au premier qui le fit sursauter. C’était quoi ça? La vitrine? une étagère? La porte? se questionna-t-il. Il y avait bien d’autres options, mais il n’arrivait à pas se convaincre d’aller voir de ses propres yeux. Il ne voulait être point témoin de la catastrophe qui le fit frissonner juste à y penser. Puis, ce qu’il pense être des bruits de pas se fit entendre. Ensuite, c’était des chuchotements dont les paroles claires étaient inaudibles puis encore des pas un peu partout. Ça ne peut pas être juste une personne, pensa-t-il.
Mais il eut un doute.
Et si c’était seulement le fruit de son imagination, le résultat de sa paranoïa qui l’avait atteint plus tôt. Peut-être que c’était complètement autre choses? Il ne pouvait pas savoir sans voir.
Et si c’était des alliés qui venait le chercher? Peut-être qu’il serait entre de meilleurs mains que les siennes qui lui donne des maux de crâne en serrant bien fort. Peut-être que c’était des petits malins qui profitait du moment pour se remplir les poches. Peu importe, il resta silencieux dans son isolement puis tomba endormi au bout de 40 minutes.
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Re: La solitude de 418 [RP SOLO]
Ven 9 Oct - 3:14
Ambiance 2
C’est avec des courbatures que Stephan se réveilla au bout de trois heures de sommeil. Ce ne fut tout de même pas très reposant: Il avait fait un cauchemar: des piranhas le mangeait bouchée après bouchée jusqu’à qu’il ne reste plus que la tête, vidée de ses yeux dans ses orbites. C’était une douleur longue et affreuse, mais il comprenait un peu pourquoi en se réveillant: Il était tout recroquevillé sur lui-même tout crispé par le stress, l’étroitesse de l’espace et la froideur du sol. Il regarda son téléphone portable: bien évidemment, il y avait plus de réseau. Bon, il n’avait plus que sa radio pour avoir des nouvelles de l’extérieur.
Putain de radio! Après avoir fait galère à essayer de seulement changer les piles dans l’obscurité presque totale, il réalisa qu’il n’aurait pas plus de nouvelles: c’était encore la pagaille à l’extérieur et ça se sentait par les ondes qui n’était toujours pas revenue à la normale… Ou c’était tout simplement les murs de béton qui interférait. Il n’en savait rien, le jeune homme n’osait toujours pas mettre le pied en dehors de la pièce.
Il avait abandonné le projet de la radio, voyant qu’il n’avait pas les outils pour travailler dessus. Pourtant, il y avait le juste nécessaire de l’autre côté, sur une table d’atelier. Mais ça, il ne le savais pas, il était toujours dans cette paranoïa de l’extérieur qui le grugeait jusqu’à dans les os. Il ne voulait pas constater le dégât causé par l’ouragan. C’était bien trop anxiogène pour notre cher Stephan. Au lieu de cela, il prit le temps d’essayer de se rendormir, malgré les probables mauvais rêves qu’il y aurait pour passer le temps.
-Midi, 6ème heure d’isolement volontaire -
C’est avec des courbatures que Stephan se réveilla au bout de trois heures de sommeil. Ce ne fut tout de même pas très reposant: Il avait fait un cauchemar: des piranhas le mangeait bouchée après bouchée jusqu’à qu’il ne reste plus que la tête, vidée de ses yeux dans ses orbites. C’était une douleur longue et affreuse, mais il comprenait un peu pourquoi en se réveillant: Il était tout recroquevillé sur lui-même tout crispé par le stress, l’étroitesse de l’espace et la froideur du sol. Il regarda son téléphone portable: bien évidemment, il y avait plus de réseau. Bon, il n’avait plus que sa radio pour avoir des nouvelles de l’extérieur.
- 8ème heure d’isolement volontaire -
Putain de radio! Après avoir fait galère à essayer de seulement changer les piles dans l’obscurité presque totale, il réalisa qu’il n’aurait pas plus de nouvelles: c’était encore la pagaille à l’extérieur et ça se sentait par les ondes qui n’était toujours pas revenue à la normale… Ou c’était tout simplement les murs de béton qui interférait. Il n’en savait rien, le jeune homme n’osait toujours pas mettre le pied en dehors de la pièce.
- 9ème heure d’isolement volontaire -
Il avait abandonné le projet de la radio, voyant qu’il n’avait pas les outils pour travailler dessus. Pourtant, il y avait le juste nécessaire de l’autre côté, sur une table d’atelier. Mais ça, il ne le savais pas, il était toujours dans cette paranoïa de l’extérieur qui le grugeait jusqu’à dans les os. Il ne voulait pas constater le dégât causé par l’ouragan. C’était bien trop anxiogène pour notre cher Stephan. Au lieu de cela, il prit le temps d’essayer de se rendormir, malgré les probables mauvais rêves qu’il y aurait pour passer le temps.
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Re: La solitude de 418 [RP SOLO]
Mer 14 Oct - 23:18
-Dans son sommeil-
Stephan rêvait souvent à ses collègues Dead Eyes. Cette fois-ci, pour la première fois dans sa vie, c’était Violeta qui prenait le premier rôle. Il y avait deux autres inconnus, un homme et une femme qui était présent dans ce rêves. Il n’arrivait pas à entendre leur conversation, mais c’était très clair qu’ils étaient tous en catastrophe. Comme s’il se cachait de quelque chose ou de quelqu’un. Le groupe était chamboulés et surtout trempés de la tête au pied. Stephan essayait de placer un mot, mais c’était en vain: aucun son ne sortait de sa bouche, le laissant seulement témoin de la discussion qui était déjà très vague en soi. Violeta, de son leadership naturel, savait quoi faire pour aider les deux autres. Elle trouvait tout ce qu’ils avaient de besoin, comme si elle connaissait l’endroit ou ils étaient. Tout à coup, il faisait noir et froid. Tous grelottait, mais personne ne se rapprochait pour trouver source de chaleur, au contraire. Le groupe s’isolait. Suite à cela, POUF, Stephan se retrouvait seul dans le noir complet. Il n’arrivait même pas à voir son propre corps.
-13 heure de confinement volontaire-
Le jeune homme ouvrit les yeux suite à un petit cri féminin. Il n’était pas seul dans le Pawnshop? Pourtant les ordres étaient bien clair, il ne fallait pas y entrer avant que les choses se calme. Bon, il avait été un peu rebelle la dessus, mais bon, Stephan n’avait pas toute sa tête non plus. D’où se cri venait-t-il? C’était qui? Il entendait de très loin marmonner des paroles pas trop clair. Ça ressemblait très étrangement à la voix de Violeta. Il pouvait reconnaître cet accent hispanique n’importe où, mais pourquoi Est-elle ici?
-14 heure de confinement volontaire -
Depuis son réveil, il avait horriblement faim, mais la, c’était insupportable. Cherchant une source de lumière afin de trouver peut-être un petit truc à boire ou à manger dans cette petitesse de salle de rangement, le gris constata que son téléphone n’avait plus de pile. Charmant. Il se mit alors à chercher en tâtant avec ses mains. Cela fût infructueux, c’était quand même d’un endroit digne d’une conciergerie. Il trouva plus de produit nettoyant et/ou du chimique quelconque. En reniflant l’odeur de l’un des produits, il eut un malaise et trébucha au sol: Il sentait étourdi et très en sueur. C’était le produit, la faim ou l’angoisse qui le rendait dans un tel état?
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