8 Triade du Serpent Tête de Dragon du Sud Yes mais a discuter
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Triade du Serpent
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Yes mais a discuter
La brute, le truand et personne de bon - [Cal Keran]
Dim 27 Sep - 13:55
Soirée pluvieuse, ville silencieuse. Le calme planait sur Decay et ses habitants, après tout ce qu’ils avaient traversés ils méritaient bien au moins une soirée de répit. Avançant à pas lourd la dernière tête restant des dragons marchait les mains toujours tendues le long de son corps massif afin de pouvoir réagir au plus vite en cas de danger, après tout son c’était son quotidien de devoir rester sur ses gardes, n’étant pas spécialement un ennemi des autres clans de la ville, Lei se méfiait toujours des autres, l'expérience lui ayant appris qu’il ne pouvait compter que sur lui-même s’il voulait garder tous ses membres en place.
Sa destination n’était connue que de lui, il n’avait pas de comptes à rendre et n’aimait de toute manière pas le faire. Ses escapades se faisant de plus en plus rares, il fallait en profiter autant que possible.
Arrivant à destination après plus d’une demi heure de marche, il poussa la porte du bar dans lequel il avait quelque peu perdu l’habitude d’y aller depuis un certain temps. Ne prétant absolument pas attention aux personnes présentes, Lei avança vers le comptoir en poussant un type ivre qui trébuchait vers sa direction. La gerbe et les problèmes d’alcoolique ne l'intéressait pas, tout ce que voulait le Dragon était revoir une vieille connaissance et obtenir des informations comme à son habitude.
Se craquent fortement le cou avant de se mettre à la recherche d’un siège pouvant supporter sa corpulence, Lei en tira un depuis une table sans même demander la permission aux personnes qui l'utilisent avant de le poser devant le comptoir, attendant le patron des lieux, il se retournait afin de voir combien d’oreilles indiscrètes pouvaient l’écouter ce soir, mais également dans le but de voir si des visages familiers se dessinaient dans cette sombre salle.
Lei savait qu'il ne s'était pas déplacé, restait à savoir s'il allait devoir traîner un ou deux abrutis dehors avec lui afin de leur changer la dentition en repartant.
Sa destination n’était connue que de lui, il n’avait pas de comptes à rendre et n’aimait de toute manière pas le faire. Ses escapades se faisant de plus en plus rares, il fallait en profiter autant que possible.
Arrivant à destination après plus d’une demi heure de marche, il poussa la porte du bar dans lequel il avait quelque peu perdu l’habitude d’y aller depuis un certain temps. Ne prétant absolument pas attention aux personnes présentes, Lei avança vers le comptoir en poussant un type ivre qui trébuchait vers sa direction. La gerbe et les problèmes d’alcoolique ne l'intéressait pas, tout ce que voulait le Dragon était revoir une vieille connaissance et obtenir des informations comme à son habitude.
Se craquent fortement le cou avant de se mettre à la recherche d’un siège pouvant supporter sa corpulence, Lei en tira un depuis une table sans même demander la permission aux personnes qui l'utilisent avant de le poser devant le comptoir, attendant le patron des lieux, il se retournait afin de voir combien d’oreilles indiscrètes pouvaient l’écouter ce soir, mais également dans le but de voir si des visages familiers se dessinaient dans cette sombre salle.
Lei savait qu'il ne s'était pas déplacé, restait à savoir s'il allait devoir traîner un ou deux abrutis dehors avec lui afin de leur changer la dentition en repartant.
13 La sienne Patron de Bar Oui, mais ça risque d'être difficile.
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Oui, mais ça risque d'être difficile.
Re: La brute, le truand et personne de bon - [Cal Keran]
Dim 27 Sep - 15:23
Dans le milieu, point de salut. Un homme avait toujours deux attitudes potentielles pour obtenir ce qu’il voulait : avec un flingue, ou en demandant poliment avec un flingue. Si la seconde option garantissait, à défaut d’un respect éternel, l’assurance d’une relative tranquillité, la première avait définitivement été le choix du chinois. Et tout le monde savait qu’un choix impliquait une conséquence.
Quand Lei avait fait le choix de pousser le sergent Lingell au sol, une barrique à vinasse notoire de l’intervention, puis de prendre par hasard sa chaise au nez et à la barbe de ses deux collègues, sans un mot, il avait aussi choisi un type de conséquences bien particulier.
« J’vous sers quelque chose… ? » D’abord, une petite voix féminine, venant d’une blonde à peine sortie de la puberté derrière le comptoir. La jeune femme semble tenter de percer à travers le masque, sans trop savoir où focaliser son regard.
« T’occupes pas de monsieur, je crois qu’il s’est trompé d’endroit. » Ensuite, une voix bien plus grave et masculine dans le dos de Lei. Tandis qu’un des deux miliciens redresse son collègue, le second, dans le dos du nouveau client, fais doucement craquer ses phalanges. « Il va sortir vite fait, l’épouvantail. Et s’il nous paie une tournée, on fera en sorte de pas trop l’abimer en passant. » Les deux autres hommes dans son dos semblent sortir une matraque chacun, équipement d’intervention standard D-01, bout ferré, non-customisé, respectueux des normes de non-létalité des armes d’intervention de degré 1, alinéa 42 de l’édition 2032 du règlement relatif à l’intervention aux milieux civils. Aussi connu sous le petit surnom du « Casse-Genou ». Non-létal, on vous dit. Mais vu la carrure du bestiau, il semblait bien que c’était nécessaire. Si aucun n’arrivait beaucoup plus haut que ses épaules, le nombre, le lieu, et le poids d’une arme de poing pendant à chacune de leurs cuisses droites, ainsi que la légère anesthésie de l’alcool les laissait évaluer leur chance d’une manière positive.
La blonde soulève un sourcil circonspect, avant de soupirer. « N’oubliez pas les garçons, ce qu’on casse, on paie. » Avant de se tourner vers d’autres clients susceptibles, eux, de payer. Dans le bas, les regards s’étaient tournés vers le début d’altercation, les conversations s’étouffant soudain dans la pièce, la musique elle-même semblant doucement s’apaiser. « T’es sourd connard ? »
Quand Lei avait fait le choix de pousser le sergent Lingell au sol, une barrique à vinasse notoire de l’intervention, puis de prendre par hasard sa chaise au nez et à la barbe de ses deux collègues, sans un mot, il avait aussi choisi un type de conséquences bien particulier.
« J’vous sers quelque chose… ? » D’abord, une petite voix féminine, venant d’une blonde à peine sortie de la puberté derrière le comptoir. La jeune femme semble tenter de percer à travers le masque, sans trop savoir où focaliser son regard.
« T’occupes pas de monsieur, je crois qu’il s’est trompé d’endroit. » Ensuite, une voix bien plus grave et masculine dans le dos de Lei. Tandis qu’un des deux miliciens redresse son collègue, le second, dans le dos du nouveau client, fais doucement craquer ses phalanges. « Il va sortir vite fait, l’épouvantail. Et s’il nous paie une tournée, on fera en sorte de pas trop l’abimer en passant. » Les deux autres hommes dans son dos semblent sortir une matraque chacun, équipement d’intervention standard D-01, bout ferré, non-customisé, respectueux des normes de non-létalité des armes d’intervention de degré 1, alinéa 42 de l’édition 2032 du règlement relatif à l’intervention aux milieux civils. Aussi connu sous le petit surnom du « Casse-Genou ». Non-létal, on vous dit. Mais vu la carrure du bestiau, il semblait bien que c’était nécessaire. Si aucun n’arrivait beaucoup plus haut que ses épaules, le nombre, le lieu, et le poids d’une arme de poing pendant à chacune de leurs cuisses droites, ainsi que la légère anesthésie de l’alcool les laissait évaluer leur chance d’une manière positive.
La blonde soulève un sourcil circonspect, avant de soupirer. « N’oubliez pas les garçons, ce qu’on casse, on paie. » Avant de se tourner vers d’autres clients susceptibles, eux, de payer. Dans le bas, les regards s’étaient tournés vers le début d’altercation, les conversations s’étouffant soudain dans la pièce, la musique elle-même semblant doucement s’apaiser. « T’es sourd connard ? »
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