Chapitre 2 : La Corporation
Decay
Decay, destination de tous les possibles, terre en friche où fourmillent les possibilités et l'argent facile, où chaque vice est accessible, chaque désir libre d'être comblé. L'île prospère, se vautre dans sa propre réussite, quand l'ouragan Isaac survint, balayant sur son passage les installations des gangs comme leurs prétentions. Et un nouveau groupe émerge des brisures laissées par la tempête, la Corporation. Forte de son budget, celle-ci s'invite en sauveuse, promet à tous une aide financière et humaine, des avancées conséquentes, pour une vie meilleure. Avides de pouvoir ou simples fantoches, qui sont vraiment les acteurs de cette entité inédite qui prétend étendre son influence à tout Decay.
11/10/2020 HRP
La Newsletter est sortie ! Beaucoup de changements au programme, par ici
11/10/2020 RP
Quelques semaines après la fin de l'ouragan, la Corporation dévoile son visage ! A lire par ici
12/09/2020 RP
L'ouragan Isaac s'abat sur l'île ! Pour en savoir plus, par ici
12/09/2020 HRP
L'event Hurricane est lancé ! Vous pouvez toujours le rejoindre par ici.
27/08/2020 HRP
Nouvelle newsletter ! La lire ici.
05/07/2020 HRP
Nouvelle newsletter et nombreux changements ! La lire ici.
30/05/2020 HRP
Nouvelle newsletter en cette fin de mai ! La lire ici.
30/05/2020 RP
Un nouveau système de réalité augmentée sort au Space Station Bar ! Participer ici
5/04/2020 RP
Le Carnaval de Napoli est lancé ! Extravaganza
8/04/2020 HRP
Nouvelle newsletter ! La lire ici.
18/03/2020 HRP
Ajout des missions et petite update de l'index !
28/02/2020 HRP
Deuxième newsletter ! La lire ici.
28/02/2020 RP
La Milice redouble de violence et est plus présente sur le territoire de Decay !
31/01/2020 HRP
Première Newsletter, bébé forum deviendra grand ! La lire ici.
31/01/2020 RP
L'intrigue "Paranoïa" a été lancée ! Par ici.
17/01/2020 HRP
Ouverture du forum ! N'hésitez pas à rejoindre le Discord !
Il parait qu'une jeune fille a été aperçue allant dans les égouts. Depuis, elle n'a plus donné aucune nouvelle d'elle. Une nouvelle victime des monstres vivant dans les égouts ?Une vingtaine de serpents en liberté auraient été aperçus sur les Docks. La Triade en sueur.On déplorerait trois morts suite au dernier barathon de la rue de la soif.À Kabukicho, des rumeurs sur l'affaiblissement des effectifs du clan Oni commencent à poindre. L'absence de Yokai se fait-elle enfin ressentir ou cela n'est-il que le fruit de l'imagination de quelques résidents ?Une certaine Shrimpette serait en train d'écrire une fan-fiction sur certains membres de Decay.On dit que l'ensemble du corps d'un certain mercenaire travaillant pour la Triade serait entièrement recouverts de ses nombreux crimes. Une dizaine de cadavres auraient été découverts, au cours du mois de Janvier, sur les Docks. Certains évoquent un règlement de comptes. Un tout nouveau malware parcourrait la toile, déguisé sous la forme d'un logiciel à première vue inoffensif. Il installerait une backdoor sur les machines infectées. Pour quelle raison ? Cela reste un mystère. Une femme vagabonde à la chevelure d'un noir profond et aux yeux écarlates prendrait en charge des malades et blessés au travers de Decay pour une misère, offrant une alternative médicale à celle dispensée par l'Église. Fin Janvier/Début Février, une course de rue, en pleine nuit, aurait conduit certains hommes hors des pistes. Plusieurs voitures seraient sorties de la route suite à un « conducteur fantôme ».
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Bang bang - my baby shot me down
Samuel Menna
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Il est parti sans un mot, comme si c’était une bêtise et depuis, l’histoire le hante. Assis dans son fauteuil, son regard est vide tandis que George lui parle affaires, son bras droit est d’une patience désarmante. Il a plusieurs demandé comment c’était passé sa soirée et devant son regard froissé/contrarié il se doute que son vieil ami ne lui dit pas tout. Car c’est ce qu’ils sont n’est-ce pas ? De vieux amis depuis le temps. Samuel c’était juré que le lien de son second avec Magnolia changerait quelque chose, mais ce n’est pas de la façon dont il le pensait que cela se produit.

Quand le téléphone de ce dernier bip, quand sa sonnerie retentit, il sent sa mâchoire se crispait. Quand George sourit en lisant, ou en répondant quand il ne sait pas qui derrière cet interlocuteur. Il a ce regard assassin, frustré et son acolyte le connaît parfaitement. Plusieurs fois il lui à posé la question et à chaque fois s’est heurté à un mur. Pas besoin de lui faire un dessin, il a vu la carte de cette femme trônant de bout en bout sur son bureau. Il la manipule plusieurs fois par jour visiblement, et le soir, quand il part, elle a disparu.

“ Je te laisse y aller en premier ? “
“ Où ça ? “  Marmonne l’homme de peu de foi le nez dans ses chiffres.
“Je t’ai dit six fois cette semaine que ce midi on avait un rendez-vous d’affaires. Concentre-toi un peu Tio ! “

Il rit, mais Samuel ne l’accompagne pas dans la gaieté, il s’agace encore et encore, il dort encore moins bien qu’avant depuis sa nuit correcte. Puis tous les matins, ce tablier rose accroché près de sa cafetière, amour de sa vie, ne l’aide pas tellement à commencer de bonne humeur. Pourtant si, ça devrait non ? Il grogne un “oui”, plus qu’il ne répond. Et George prend congé en rappelant qu’un petit cul l’attend.  Son boss reste circonspect, au moins il sait et se console que ce soit une pute qu’il part rencontrer. Depuis quand il envie son ami ? Depuis quand il ne prend pas ce qu’il veut et point final.

Depuis que ce n’est pas aussi simple que ça. George lui a laissé un dossier financier, une proposition commerciale sur un investissement dans les business. Il lui assure que la personne est sûre de confiance, qu’il va l’adorer.  Il a juste le nom d’un avocat et les coordonnées de ce dernier dans le dossier.  À juste titre, il s’attend à rencontrer ce dernier en se présentant dans son costume tiré à quatre épingles. Donne le nom de son complice comme lui a indiqué George pour rejoindre la table et s'installe visiblement en avance.

Las il déboutonne sa veste, prend appui sur le dossier de la chaise, commande à boire pour noyer un peu sa morosité. Souffle silencieusement en concentrant ses forces pour préparer les heures à suivre où il va faire son sourire de  charmeur, jouer son pipeau pour faire danser les serpents.

“ C’est ici. “ Glisse une voix féminine accompagnant des bruits de talon au sol.

Il lève la tête pour jeter un coup d’oeil un visage neutre, mais le regard perçant. Un qui ne le reste pas bien longtemps. L’homme se surprend, ses yeux s'écarquillent, il ne comprend pas c’est évident. Il se dit alors que la rencontre est fortuite, qu’elle ne durera que le temps de salutations, mais s’empresse malgré tout de se redresser, se lever, se rendre jusqu’à elle. Un sourire fendant toute la largeur de ses joues.

“ Vous ici ? Quelle agréable surprise. “

Il dévore la distance entre eux. Oui ça ne peut être décrit qu’ainsi tant son désir de venir prendre cette main dans la sienne est palpable. Gentleman, il relève sa prise, y dépose un baiser presque théâtral qui fait sourire la serveuse attendant après eux.

“J’aurais aimé t'inviter au moins pour un verre… de jus de fruits. “ Se reprendait-il amusé. “ Mais je suis en rendez-vous d’affaires. “ C’est presque triste le ton qu’il emploie. Un mot d’elle favorable et c’est sûr et certain il reporte son entrevue. “Et j’imagine que tu es toi-même attendu. “

Si tu savais par qui mon garçon… si tu savais. Au bar à l’autre bout de la salle,George observe la scène amusé. C’était bien comme il s’en doutait. Il se dit qu’il a bien fait de se moquer d’eux et leur offrir ce rendez-vous à leur insu. Même s’il est un peu inquiet pour ce que ça peut donner. Il connaît Sam’, une fois son dévolu jetait, c’est terminé. Il faut qu’il l’obtienne ou qu’elle le quitte pour qu’ils reviennent à la normale. Il ne peut pas se promener avec un partenaire dans la lune.
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- « S’il te plait Magnolia, juste pour cette fois… »
- « Combien de fois, je vais devoir te le répéter, je ne veux faire ce genre de choses ! »
- « Mais je te promets d’aligner les billets, je t’ai pas déçue la dernière fois non ? »
C’est pourtant pas compliqué à comprendre, non ? D’ordinaire, un simple « Non » suffit à le faire taire mais ce soir, George est particulièrement agité, particulièrement insistant. La dernière fois que tu as subi son entêtement, c’était pour l’anniversaire de Samuel. Aaaah, cette soirée… Tu en gardes encore le petit sourire conquis d’un baiser volé. Vraiment, si les débuts avaient vraiment été limite, tu t’es surprise à éprouver une sincère affection pour cet homme à la mine épuisée, seule le soir de son anniversaire… Tu avais aimé le découvre sous bien des facettes, et des angles de vues dont tu te serais bien passée – Quoiqu’il n’en reste pas un moins, un homme bien conservé de ces efforts de jeunesse. Oui, tu n’arrives pas à oublier la contradiction, l’agacement autant que le plaisir que tu as pu éprouver à partager cette soirée puis cette nuit agitée avec lui.

Mais surtout ? Tu te souviens de ce baiser…
Réveil pressé, il n’a même pas le temps d’un café, tu t’es dit qu’il ne pensait qu’à une chose s’échapper. Tu te souviens d’être dit, que tu n’aurais peut-être pas dû rester ? Tu te rappelles cette incompréhension devant tant d’agitation. Si vite habillé, mal boutonné, tu l’as accompagné à la porte, il t’a donné sa carte un homme d’affaire et il t’a pris un baiser… Un baiser chaste, un baiser léger, mais un baiser tout de même. De ceux qui laisse sans voix, de ceux qui font rougir le haut des joues, de ceux qui t’invite à porter tes doigts sur tes lèvres profanées pour espérer le garder. Oui, le conserver comme le point final à votre soirée, votre histoire ? Au début, tu hésitais… La carte entre les doigts, tu te demandais s’il avait ton numéro ? Garder ta carte et le tablier ? Puis à la fin de la première semaine, tu t’es sentie un peu trop naïve de continuer à effleurer tes lèvres pour emprisonner. La semaine d’après, tu as laissé s’envoler le baiser et l’espoir de le revoir commencer à s’atténuer. Pourquoi reviendrait-il ? Peut-être que tu n’étais pas le profil qu’il désirait pour ce contrat dont vous n’avez jamais parler ? La troisième semaine, ce baiser oublié ne devenait qu’un caprice à tes yeux.

Et voilà qu’un mois après, George recommence.
Il veut offrir ton temps à nouveau, il veut te faire sortir d’ici. Vraiment il n’est pas possible lui… Tu lui as pourtant dit de nombreuses fois que tu n’aimes vraiment pas sortir de l’hôtel. Même si tu lui fais confiance… Même s’il te fait la promesse de rester à ses côtés. Alors tu refuses avec de plus en plus de fermeté ! Est-ce-qu’il va comprendre à la fin que c’est bon ? L’air boudeur et farouche, tu n’en démordes pas ! Surtout que tu n’as pas vraiment d’informations, tu ne comprends pas pourquoi il est si mystérieux. C’est louche, tu t’es déjà fait avoir une fois, tu ne recommenceras pas ! Et puis, c’est quoi cette idée de te faire tourner comme à tout ses potes, hein ? Non vraiment, Tu ne veux plus rien entendre alors ce petit vicieux sort le dernier atout :

- « Je ne reviendrais pas sur ma décision George, j’ai déjà cédé une fois, là c’est non. »
- « Mais Magnolia, fais me confiance, tu ne risques rien… »
- « Il faut que tu arrêtes de vouloir me rencontrer tous tes amis… »
- « Et si, c’est le même ami, tu serais capable de réenvisager ma proposition ? »

Evidemment, ces mots te font baisser ta garde, tu plisses les yeux, décroisant les bras avant de venir relever le menton de George, ce soir encore tu vas lui dire combien il a été un vilain garçon mais il a réussi à avoir ton attention et ton intérêt. Et il n’a pas mis longtemps à te faire flancher. Tu as accepté, tu t’es laissé tenter avec comme raison évidente : C’est pour Samuel. La fin de soirée, George fut forcément puni avec une sévérité et une frustration toute particulière avant que tu laisses Sophia prendre la relève pour toute la partie récompense et plaisir charnel, hum ?

Tu t’observes dans le miroir plus qu’à ton habitude.
Le rouge sombre sur les lèvres, tu replaces une fois de plus tes boucles entre le gris et le mauve, tu t’assures que les plis de ta robe vert sombre sont droits. Tu es toujours nerveuse de devoir quitter l’Hôtel, surtout depuis l’histoire avec Phinéas, mais tu as dit oui à George il y a de cela, trois jours déjà. Tu ne peux pas revenir sur ta parole et dernière cette crainte, tu éprouves une sincère impatience de revoir Samuel, tu te persuades que c’est seulement pour pouvoir t’assurer que ce baiser n’était que caprice, mais tu espères aussi un peu qu’il soit à l’origine de cette demande, jouant de son ami pour ne pas avoir à assumer l’envie de te revoir ? Tu souris à cette pensée alors que tu entre dans la voiture prévue spécialement pour toi, douce attention de la part de George ? Non, il est là question de ton caprice pour assurer ta sécurité, il y aura une voiture pour te ramener à l’hôtel aussi. Tu arrives, personnes. On te demande d’attendre au bar, tu commences un verre de jus de fruits, oui c’est volontaire et ça te fait sourire.

C’est là que ton regard croise le sien…
Ton cœur retrouve le battement volé lors du baiser, tes lèvres tressaillent de ce souvenir envolé vite revenu les hanter Oui, tu avais oublié combien il était séduisant, Samuel. Ou alors est-ce là tout l’effet que te fais sa tenue avec son col légèrement ouvert ? Cet empressement pour te rejoindre, il ne semble vraiment pas savoir que tu es là pour lui. Pour venir te tenir à son bras pendant son repas d’affaire car la personne qu’il doit rencontrer est lui aussi accompagné de son épouse. George t’a donné toutes les explications à toi… Cette manière de te saluer tu réponds avec un sourire tendre, replaçant cette boucle toujours mal placée quand tu es gênée n’est-ce-pas ? Tu pinces les lèvres :

- « Oui, moi ici Samuel... »

Ton sourire, tu n’arrives pas à le perdre, il te parle de partager un jus de fruits et ce sourire devient un rire soufflé par le nez. Tu aimes la manière qu’il a de demander des informations, savoir pourquoi tu es là, qui tu attends… Tu aimes la manière dont il aimerait pouvoir te kidnapper encore quelques heures de ton temps sans savoir, que c’est lui, et seulement lui, la personne que tu attendais à ce comptoir. Alors tu ne le fais pas languir plus longtemps. Ta main remonte sur sa joue, tu la caresses doucement comme pour calmer toutes ses pensées qui semblent se bousculer derrières ses yeux : « En vérité, la personne que j’attendais… vient d’arriver… » Tu caresses de ton pouce sa joue, puis ta main se détache pour venir chercher sa main. Tu ne tiens que son index dans le tien et tu reprends ton explication car il ne doit pas avoir tout compris, tu t’es fait un peu joueuse de ton avantage, avouons-le : « J’ai été engagé aujourd’hui pour me tenir à ton bras lors d’un repas d’affaire… Ton client, est en compagnie de son épouse… Alors… » Tu as ce petit sourire au coin des lèvres, en remontant sa main à tes lèvres et lui rendre son baisemain enfin, sauf que toi, tu embrasses le bout de son index prisonnier :

- « J’espère que je ne t’ai pas trop fait attendre, mon amour… »

Et voilà, tes yeux pétillent d’une malice retrouvée, cette complicité que tu n’as pu oublier. Oui, ce nouveau jeu que vous allez devoir jouer. Composé entre réalité falsifiée, désirs secrets et contrat imposé. Tu te places à son bras, le serrant contre toi, tu te tiens bien droite dans ta robe ravissante, sur tes talons pas trop hauts. Tu le regardes du coin de l’œil, prête à le suivre dans la salle de représentation de votre petit manège, prête à le suivre où il voudra en vérité… Tu l’observes pour ne pas louper une seule de ses expressions. George a été traître de ne rien lui dire, non ? Et toi, tu ne peux t’empêcher d’être flattée de constater combien il semblait heureux de… te retrouver. Aussi heureux que toi ? Chut, on ne le dira pas.
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Elle sourit, il la suit, il veut même pousser cette vérité plus loin que ça, lui glissait un : allez on rentre ! Et ce rend compte que ça veut dire que séparer à nouveau. Définitivement il n’a  rien à faire là-bas et elle avec lui, pour la toute bonne raison qu’il ne peut se résoudre à obtenir un contrat auprès d’elle, mais ne peut définitivement pas prétendre à autre chose. Ça lui donne ce tic nerveux qui lui fait serrer les dents, ressortir toute l’ossature de sa mâchoire. Sa frustration, inexorablement quand elle sonne le glas de la fin : La personne qu’elle attend ici.

Malgré lui, il balayait la salle du regard, s’attarde sur tout ce qui s’approche et tout ce qui rentre aussi. Son inspection lui fait détecter la présence de George au bar,  celui-ci semble rire gaiement son attention sur son ami lui fait rater l’expression de son visage, quand elle lui caresse la joue pour dérober toute son attention.  Une qu’elle a du sentir s’éparpillait si ça se trouve. Même pas capable lui offrir sa concentration alors qu’ils n’ont que si peu de temps.  Son trouble augmente, il lui rend un sourire aussi doux que son geste, se concentre sur les mouvements de ses lèvres plus que sur le contenu de ses mots. Il a envie une nouvelle fois de dérober le parfum de la belle, devant public cette fois comme pour signifier qu’elle est prise. Même si ce n’est vrai que dans sa tête à lui, qu’à cet instant où il s’égare dans son désir fougueux.

“ Ô. Vraiment ? “

Il feint l'indifférence, mais joue mal le rôle qu’il veut se donner d’autant plus qu’il glisse le bout de ses doigts opportuniste quand elle capture le sien pour le ramener vers elle. Si concentrer sur les sensations que lui procure le geste, il met quelques instants à réaliser ce qu’elle vient de lui avouer.

“ Hm ?.. Quoi ? “

Questionne-t-il le regard froissé avant de brusquement tourner la tête vers son acolyte précédemment repéré. Depuis le bar, George n’a rien raté des retrouvailles qu’il a organisé, il le salue d’une main, avec cet air à la con. Son boss jure dans sa tête et peut-être même tout haut en italien après lui… l’envie d’avaler la distance entre eux et lui mettre son poing dans la tronche le tente bien, mais le doux baiser de son Hélène le garde loin de ses envies de guerre. Un long soupire s’égare lorsqu’il baisse la tête pour respirer un peu en encaissant une nouvelle fois la “surprise”.

“ Je suis désolé pour ça. “

Tient-il à dire en frottant l’arrête de son nez comme à chaque fois qu’il se trouve dans une impasse et ne peut qu’assumer la situation. D’un côté il est heureux de la retrouver, de pouvoir profiter de sa présence, d’avoir une excuse pour le faire. De l’autre c’est de cette situation sans avenir qu’il voulait les préserver tous les deux. Trop tard maintenant, alors il se reprend et n’a plus d’autre choix que de suivre le cheminement du plan dans lequel on l’à jeté.

“ Tu es donc complice de ça Trésor ? “

Il sait pas trop s’il doit s’en vexer ou s’en réjouir. Si c’était une autre femme, il lui aurait déjà explosé à la face. Pourtant là, il se rend à l’évidence que le coup foireux le rend heureux et le constat est pire qu’au départ. Il jette un regard mauvais vers son second, alors que c’est un frisson si doux qu’il le parcourt quand elle marche à ses côtés. Puis de sa main libre, fait signe à ce dernier de se ramener fisca à ses côtés. Le brun à bien des cordes à son arc. Même quand on le prend par surprise. Avant tout, il doit faire les choses dans l’ordre. Salut les clients arrivés à leur table, aide sa belle à prendre place en tirant sa chaise. Admire au passage les belles formes qu’elle a mise en valeur plus que le tissu lui-même dont il n’a rien à faire. Soyons francs…

“ Je vous présente ma douce. “

L'intègre-t-il simplement à l’homme d’affaire, posant son regard sur l'intéressée et attendant qu’elle finisse de se présenter elle-même plus en détail si le coeur lui en dit. Ainsi débute l’échange commercial ennuyeux à en mourir, ils ne vont faire que parler affaires et ça le désole déjà, mais fort heureusement, n’ayant pas trop eu le choix, George les a rejoint et se mêle aux festivités sous la pression de son supérieur même, finit par devoir en assumer tout le travail. Pendant ce temps, Sam’ glisse des regards peut intéressés sur la paperasse, essayant au mieux de donner le change, des œillades plus complices et attendris à la belle avec qui il ne peut pas parler ouvertement de tout et rien. Plus son impatience sur ces présences intruses le gagne, plus il vient chercher sa main qu’il glisse dans la sienne à la vue de tous sur la table.

On pourrait penser qu’il s’agit d’un jeu de crédibilité, mais le manège fait passer des mimiques complices entre les partenaires italiens et entre le client originel et la femme. George est de bonne humeur et de bonne foi pourtant, alors pourquoi la face de Samuel lui jure silencieusement de lui broyer la face. Les minutes passent, l’heure défile, d’un point de vue commercial, l’affaire est fort bien menée. Concentration saccadée ou pas, le requin n’oublie jamais comment nager dans son océan natal. Les papiers se signent, les poignées de main s’échangent. le champagne félicite les efforts, mais sa joie a du mal à avoir le dessus sur son anxiété. Si tôt que le couple en face partira, son contrat prendra fin pas vrai ? Il glisse alors son regard dans le sien, sourit aussi tendrement que tristement. Sa raison le rappelle à l’ordre encore et cette fois il a un témoin proche pour donner du crédit à sa bonne volonté.

“ Et si nous poursuivons cette soirée pour fêter ça ? “

Propose-t-il finalement sous la constatation amusé de son bras droit qui se réjouit d’avoir vu juste. L’italien a saisi l’excuse.

“ Enfin, si tu n’es pas trop fatiguée Magnolia… “ Il a cet air malicieux. “ Ou pressée de rentrer. “ Qu’il murmure si bas que dans l’échange fouillis elle sera probablement la seule à entendre ce bout là. C’est sa façon de l’inviter à l’offrir plus de son temps, de sa compagnie.
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Il s’est égaré quelques instants…
Tu peut-être étais un peu cruelle avec lui, ce n’est pas très gentil de lui jouer des tours comme ça, mais c’était trop tentant et puis le voir balayer la salle du regard comme ça, perdre sa concentration pour quelques mots lâchés à la volée, ça en disant long. Heureusement, tu as su le ramener sur terre, tu as su le ramener à tes yeux. Ou peut-être est-ce à tes lèvres ? Tu te demandes, s’il y repense lui aussi, à ce baiser. Enfin ce n’est pas réellement le sujet, vous avez un peu cette tendance à vous égarer, vous échapper dans ce monde de complicité bancale. Il te demande d’ailleurs si tu étais complice de ce manège, tu pouffes de rire en avouant simplement que c’était « Involontairement, je pensais que tu étais au courant en vérité… » Oui, vous vous êtes fait avoir tout les deux, pas de la même manière certes mais le résultat lui reste le même. George devrait vraiment songer à filer droit car Samuel ne le loupera, c’est assuré. Tu as pu voir, combien il était partagé entre mécontentement et plaisir de t’avoir à son bras.

Oui, tu t’es mise à son bras, comme une évidence.
C’est maintenant que votre jeu commence réellement. Faire semblant d’être la femme de sa vie, être crédible en amoureuse et réciproquement. Il te présente comme étant sa douce, le surnom t’offre un petit sourire conquis, tu t’inclines respectueusement en ajoutant ton prénom et une poignée de main à chaque participant. Il te tire la chaise, tu lui dis « Merci Amore Mio» C’est presque inaudible, il n’y a peut-être que lui qui peut l’entendre, ce surnom mielleux. Oui, tu as déjà commencé le jeu, n’est-ce-pas ? Celui devant les clients mais aussi celui qui ne s’offre qu’à vous deux… La conversation commence, elle s’habille d’un sérieux surprenant. La femme du client se fait parfois un peu bavarde, elle veut savoir depuis combien de temps vous êtes ensemble alors tu lui réponds en offrant un regard du coin de l’œil à ton Amore Mio en précisant : « En vérité, c’est relativement récent, un peu moins d’une année… Mais nous sommes vraiment inséparables… » Belle ironie pour deux personnes qui n’ont profité qu’une nuit, il y de cela un mois, non ? Mais tellement réaliste quand on voit la manière dont vous vous cherchez… Oui, forcément, ton interlocutrice est complètement sous le charme de ce petit jeu de séduction digne de votre « Jeunesse ». Elle admire, la douceur de tes sourires, l’amour de tes regards conquis pour l’homme qui lutte pour se concentrer sur les papiers plus que sur toi. Oui, elle a remarqué car certains regards ne trompent pas. Certains gestes non plus, tu aimes la manière dont il prend ta main, demande d’attention ou marque de possession pour rappeler à cette femme qui te raconte désormais sa vie que tu es à lui ? Qu’il est là lui aussi ? Vraiment, tu ne sais pas. Mais c’est plaisant, alors tu lui laisses ta main et un petit bout de ton cœur…

Le repas s’éternise, mais les signatures s’apposent enfin…
Tu sens que la fin est proche. C’était étrange de passer ainsi le repas à ses côtés sans réellement avoir le plaisir de pouvoir lui parler. Ensemble et pourtant, si distant. Vous ne pouvez pas réellement prendre du temps pour vous. Rien de plus que ces regards, ces sourires, la petite boucle que tu replaces derrière ton oreille quand il te fixait un peu trop. Pour le coup, la crédibilité résidait certainement aussi dans ta complicité avec George, car lui aussi, il t’offrait des regards que tu gratifies d’un air bien plus pétillant et taquin, comme celui qu’on offre à un bon ami, n’est-ce-pas ? La flûte de champagne se vide, les dernières politesses d’usages, la femme mature qui prends tes mains dans les siennes, complètement sous le charme de ta personnalité et qui te souhaite d’être heureuse, en assurant à Samuel qu’il doit tout faire pour te garder. L’équilibre de cette conversation était vraiment particulier, entre les conversations légères qui servaient certainement de couverture, les grands accords et contrats étaient signés… Tu es contente d’en voir le bout, tout de même… Enfin, tu sais aussi que ça voudra dire que votre temps ensemble touche à sa fin ?

Étrangement, ça te donne encore plus le temps de le regarder…
Tu égares tes yeux sur les lignes de son visage, tu l’admires avec intérêt et douceur, tu n’es pas réellement discrète. Mais qu’importe, non ? Ce n’est que le départ du client dont la femme a déjà béni votre relation et puis, Samuel aussi, il te regarde. Oui, vous avez peut-être oublié quelques secondes le monde qui vous entoure… Il te propose de poursuivre avec une soirée, et même si tu es épuisée, ton sourire s’agrandit un peu plus. Oui, après ce midi d’affaire à ses côtés, alors que la nuit commence à s’inviter, tu demandes qu’à rester un peu plus avec lui… Puis il te taquine, il te parle de ta fatigue comme de ton envie de rentrer, oh vraiment ? Tu réponds donc : « Hum hum… » Puis tu viens tendre la main pour caresser sa joue et répondre avec cet éclat pétillant et taquin : « Mais enfin comment pourrais-je envisager de rentrer sans toi, Amore Mio ? » Et oui, tu t’amuses de ce rôle qui te colle un peu trop bien à la peau. Mais ce coup-ci, il te fait vraiment pouffer de rire, rentrant ta tête dans les épaules très légèrement. Preuve que tu es en forme mais surtout très heureuse. Et avec plus de sérieux tu réponds :

- « Plus sérieusement, si tu me fais la promesse de garantir mon trajet de retour jusqu’à l’hôtel, je serais ravie de rester avec toi ce soir… Je n’ai aucun autre impératif aujourd’hui. »

Car tu aurais pu avoir un autre client qui t’attends, tu aurais pu avoir de la visite ou juste une sortie entre amis ?  Mais tu n’as rien, tu es plus ou moins tout à lui. Encore un regard complice, presque entendu sur le fait qu’il n’est pas question d’une nouvelle prestation… George profite de cette diversion pour s’avancer vers toi et te féliciter : « Magnoooooo, Je le savais ! Tu as été PARFAITE ! » Tu penches la tête avec un air mécontent et un peu dépité, puis tu lui pinces le nez : « Et toi fourbe comme toujours, tu aurais pu prévenir Samuel de ma venue… » Il fait l’innocent mais son regard rusé ne trompe personne. Le salaud. Il relève les mains, tenant les papiers fraîchement signés en guise de bouclier. Puis il annonce que pour se faire pardonner, il s’occupe du reste et qu’il part devant. Vous laissant donc, juste tous les deux. Vraiment trop rusé ce George. Ton regard revient chercher celui de Samuel et le rose s’empare de tes joues alors que tu rougies un peu, tu pinces les lèvres et avoue :

- « Je crois que… Je suis un peu nerveuse maintenant… »

C’est que vous n’avez jamais été plus qu’un contrat, non ? Enfin si un peu… Mais cela s’était fait si naturellement. Alors que là, vous ressemblez presque à un couple en rendez-vous galant, le premier rendez-vous-même. Tu glisses alors doucement ta main autour de son bras, comme pour lui indiquer que tu comptes bien le suivre qu’importe l’endroit quand tu précises : « Alors, que désires-tu que nous fassions ? Car je te préviens… j’ai bien trop manger pour accepter un verre de jus de fruits. » Comme il a pu te le proposer en arrivant n’est-ce-pas ? Et ça te fait pouffer de rire, joie de vivre qui n’a plus besoin d’être cachée derrière le masque de la parfaite petit-ami mature, aussi douce que calme.
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Samuel Menna
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Il vacille entre douceur et coup de sang. Son regard plisse sous la vue de son partenaire qui fanfaronne en plus, tout en l’évitant pourtant avec une capacité plutôt impressionnante. Il se sert de Magnolia comme bouclier, se fait complice de la belle pour chasser l’ancrage de l’attention de son ami sur lui. Oui, il sait comme l’italien est du genre jaloux, un brin possessif ? Forcément, il va guetter et s’attarder sur les réactions de sa douce durant ses échanges avec George et finalement, le petit malin s’en sort ainsi en le tournant en bourrique et se jouant de ses petites faiblesses.

“ George. Demain 8h dans mon bureau.”

Mais c’était trop crédule de croire qu’il pourrait lui échapper indéfiniment. Ce n’est pas un savon qu’il lui passera, plus une droite dans la face et le compteur sera remis à zéro. Son acolyte le sait et il aime autant éviter cela pas vrai ? Alors il joue sa dernière carte, préférant de loin la punition de Magnolia, à celle de Samuel. D’autant plus, que leurs petites séances privées, son boss ne les connaît pas. Heureusement pour la survit de la virilité de George !

“ Mais je voulais juste rendre service à Magnolia !”

Là dessus, il s’esquive, promet de gérer ça et les laisse eux, en amoureux, se démerder avec “ça”. Et il a fait mouche le bougre. Le brun laisse alors un regard surpris à sa douce, mais le petit sourire en coin sur sa face ne ment pas. Il est content ? Non, plus que ça. Finalement il tente de reprendre son sérieux en ricanant tout en regardant ailleurs. Franchement Sam’, belle preuve de maturité !

“ Je ne sais pas si je peux te l’assurer. Je viens de promettre de tout faire pour te garder auprès de moi. Voudrais-tu me faire mentir à cette pauvre dame ? “

Il plaisante bien sûr, évidemment qu’il la ramènera jusque devant sa porte comme le chevalier servant d’une reine se devrait de le faire. Mais pour le moment, il n’a pas du tout, mais alors pas du tout envie d’y penser. Puis alors qu’elle lui fait part de sa nervosité, son regard se fixe sur elle, il la trouve à la fois si charmante, si pure, mais aussi terriblement attirante. Il se demande alors quel genre de sale type il peut être, alors qu’elle parle et qu’il ne fixe que ses lèvres, ses doigts jouant avec ceux que la femme a posés sur son bras. Ce n’est que quand elle rit, qu’il se détache de son désir charnel et du relucage discret de son décolleté. Ce goujat. Enfin, peut-on lui jeter la pierre devant pareille belle vue de ne pas arriver à être sage. Il avait alors son sourire de canaille, pas vu, pas pris. Qui pensait-il tromper.

“ Je m’en voudrais de te saouler, après j’aurais du scrupule à agir ainsi… “

Il accompagne ses mots d’un geste, l’action a des airs de déjà vu, il en a eu envie toute la soirée et la dernière fois, cela ne s’était pas si mal passé, elle avait même répondu à ce baiser, puis il avait pris peur et fuit. Cet imbécile. Cette fois, il était bien décidé à ne pas faire la même erreur, faut dire que le vin et autre du repas l’ont aidé à se vider la tête, arrêter de trop réfléchir et se rendre plus idiot qu’il ne l’est. Il la garde accrochée à son bras et se penche sur son flanc pour glisser sa bouche contre la sienne. D’abord doux et sage, comme pour retrouver la sensation, puis plus intrusif, il compte bien lui transmettre une partie de l’effet qu’elle provoque en lui. Sans abuser toutefois. L’homme se retire aussi vite qu’il n’est venu. Glisse ses yeux verts dans le reflet de son océan et s’y noie en espérant que sa sirène le bercera de sa douce voix.

“ À toi de voir, mais si nous sommes trop isolés, je ne resterais pas très sage. “

Il relève sa main, vieux jeu, mais tendre, y dépose un baiser sans la quitter du regard. À quoi bon de le cacher ou de faire comme si de rien, le jeu de rôle n’en était pas vraiment un pour lui ? Même si l’homme est mauvais perdant, il sait reconnaître ses défaites et face à cette femme qu’il s’était juré de garder à distance, il est évident qu’il a perdu toute volonté. D’ailleurs, il tire sur sa chance, montre son côté quelque peu impatient ainsi.

“ J’habite à deux pas d’ici. “ Il rit, ce n’est pas ça qui va aider sa douce à réguler sa nervosité, cette histoire n’a plus aucun air de contrat et d'ailleurs il s’en fiche, il n’a rien demandé à George, préfère se dire qu’elle avait l’occasion de repartir tout de suite avec son client, mais l’a pas fait. Cela ne peut pas vouloir ne rien dire…

“ Ceci est une invitation si jamais. “ Il précise plus pour inciter sur son envie de l’y emmener qu’autre chose, puis se reprend en se faisant moins oppressant. “ Si tu n’avais pas de talons, je t’aurais bien proposé une petite marche en amoureux pour digérer. “

Il voudrait bien lui promettre de la porter si elle fatigue, mais se sait malheureusement incapable d’honorer une telle promesse. Déjà parce qu’il a des problèmes de dos avec toutes ces conneries de jeunesse… entre autres.

“ Mais si l’idée te tente, je peux toujours faire un détour pour te permettre de te changer. “ Et là il va lui faire un aveu qu’il espère ne la vexera pas. “ Tu es vraiment belle ce soir, mais plus encore sans tout ça, donc... “

C’est son “naturel” qui lui l’a mis à terre au final. Il avait eu du mal à la voir autrement que comme une poupée au début, ce n’était que quand elle était revenue dans ses ballerines, son top et son leggings qu’il avait compris qu’au final, ils n’étaient pas si différents. Tirés à quatre épingles pour donner le change. Encore que, il ne se priverait pas de lui ôter la robe… Mais d’un autre côté, il n’est pas pressé d’arriver à cette étape, si tentait qu’un jour il l’atteigne. Étrangement, l’idée de s’en priver ne le frustre pas tant que ça. Plus rien ne va dans la tête du Casanova, quel genre de sorcellerie a-t-elle utilisé sur lui. Il est certain qu’il ne veut pas être désenvouté en tout cas.

Il ne finira pas sa phrase se demandant s’il n’a pas “encore” fait preuve de maladresse avec sa franchise…
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Magnolia H. Jenkins
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Demain, George risque de recevoir une punition…
Certainement bien différente de ce qu’il peut recevoir avec toi. L’espace d’un instant, les yeux rivés sur leurs échanges, tu te demande si Samuel est au courant des jeux que tu as avec son ami – bras droit. Ce n’est tout de même pas commun de se passer une escorte, non ? Bien que ce soit, ton métier – Enfin avec Samuel, tu n’es plus certaine que ce soit réellement dans le cadre d’un contrat, ça n’en reste pas moins étrange quand les deux personnes se connaissent, peut-être qu’il te faudra faire un choix. Peut-être qu’il te faudra arrêter ton contrat avec George, aussi plaisant et rentable puisse-t-il être… Songeuse, tu le regardes s’éloigner avant que ton esprit se fasse à nouveau kidnapper par le bel italien. Il te parle d’honorer ses engagements face à la femme de son client et cela t’arrache forcément un petit rire et un nouveau « Hum Hum » qu’il ne connait que trop bien… Tu sais qu’il prendra très à cœur la mission de te ramener en seul morceau… C’est étrange car tu pourrais douter de lui sur bien des points mais à ce sujet, tu as une confiance aveugle, presque innocente. Ou alors, est-ce simplement ton filet de sécurité, George, qui te permet d’oser un peu plus qu’à ton habitude ?

Quoiqu’il en soit, tu le laisses tenter de te charmer…
Un mois, c’est tout de même trop long, sans l’être assez pour oublier. Ton cœur lui, commence déjà à se presser. Vous avez ce regard assez complice, presque secret, celui qui parle à la place de vos lèvres. Celui qui finit par glisser sur ton décolleté, oui ce soir, tu t’es mise « toute en beauté » pour bien paraître à son bras, une idée de George, encore une fois. Tu aurais aimé être plus simplement vêtue mais c’est lui qui a payé pour la robe – très belle et sombre, moulant ton buste et ta taille, cachant tes hanches sous ses plis. Tu ne pouvais pas lui refuser… Samuel te murmure alors une phrase qui te fait redresser le nez. De ces phrases qui savent captiver l’esprit et attirer l’attention. Il te parle de ce qu’il va faire… Il se penche pour prendre tes lèvres. Chastement, dans un premier temps. Ton cœur cogne un peu plus fort. Puis ce baiser devient plus pressant, plus envieux. Il ne s’invite rien qu’un instant entre tes lèvres, tu pinces la sienne entre tes dents comme pour le retenir. Ce baiser, au gout certain de « pas assez » te fait rougir légèrement mais ce sont ces mots qui t’achèvent la raison.

Ton cœur s’affole, il frappe et cogne sous l’émotion.
Mais que vient-il de te confier ? Vous ne pourriez rester sage si les regards indiscrets disparaissaient ? Que c’est tentant, que c’est plaisant. Que cela peut en dire long… Est-ce donc plus pour le corps que pour l’esprit qu’il te convoite ? Est-ce le désir de cette impossible possession que ton boulot impose qui lui offre un fantasme ? Tu ne serais pas en mesure de répondre tout de suite, autrement que par ce petit sourire. Entre la surprise, le plaisir conquis et cette méfiance trop polie. Tu lui laisses ta main pour recevoir un nouveau baiser… Puis il te précise à nouveau que la chambre est à portée de main. Enfin, peut-être ne faisait-il référence qu’à son appartement pour y partager un verre et quelques paroles mais après ce baiser, ce sous-entendu sur la sagesse de ses pensées, tu es en droit d’en douter, non ? Gênée, tu te contentes d’un petit rire, replaçant tes cheveux derrière ton oreille et le voilà qui insiste. Tu es vraiment de plus en plus gênée… Tu n’as toujours pas trouvé les mots pour répondre, car tu ne sais pas quoi choisir, quoi répondre…. Tu sens seulement cette crainte monter en toi… Était-ce une erreur de ta part d’accepter son invitation de quelques heures ? Pourtant, tu étais si heureuse de le revoir… Cela te trouve et lui ? Il te parle d’une ballade en amoureux sans talons...

Beaucoup trop d’informations, beaucoup trop de réflexions…
Si peu de temps pour en trouver les réponses. Egarée, un peu troublée, tu n’as pas décroché un mot, tu n’as pas décroché de ses yeux… Toujours plus bavard comme pour casser le silence, caché sa gêne ou arrondir les angles devant tant d’empressement, il te parle de rentrer chez toi pour te changer, non ? Pour le coup, il te surprend à t’en faire hausser les sourcils. Vraiment ? Allez jusqu’à chez toi juste pour une marche ? Vue le temps de trajets, vous aurez largement avoir le temps de digérer… Puis, il te parle de ta tenue... C’est donc ça, le nœud du problème… Cela ne lui plait pas, tu reçois le compliment mais pour le coup, tu te recules légèrement. Tu sais l’accueillir avec politesse dans un sourire, mais ça te blesse un petit peu tout de même. Tu te trouvais jolie toi, tu voulais être jolie à ses yeux. Peut-être était-ce juste trop pour une fille « Comme toi ». Ce ne serait pas la première fois qu’on t’en fait la remarque. Tu viens doucement retirer ta main de son bras. Première fuite, puis tu détournes le regard. Deuxième tentative. Ton petit rire nerveux, ta main qui replace tes cheveux. Cette hésitation dans la voix… Pas de doute,  ta gêne est à nouveau à son paroxysme :

- « Je suis désolée si la robe n’est pas à ton goût… C’est un choix de George, mais je la trouvais vraiment très belle moi… Elle ne doit pas être adapté pour mon physique à tes yeux… » Premier coup, tu reviens chercher ses yeux, tu pinces lèvres pour reprendre sans lui laisser le temps d’enchaîner « J’suis désolée, je n’ai pas prévu de tenue pour me changer… Et si nous commençons à prendre la route pour l’hôtel… Nous perdrions énormément de temps juste pour une balade digestive, autant simplement me faire raccompagner… »

Deuxième coup, comme celui qui frappe dans ton cœur, mais ce n’est pas fini, ton regard le fuit encore : « Je ne pensais pas que cela te dérangerait à ce point… » C’est le coup fatal. Fin de la partie pour toi, tu baisses légèrement les épaules pour enfin avouer : « En vérité, cela me peine un petit peu, je voulais vraiment que tu puisses me trouver jolie ainsi... » Tu refermes tes bras sur toi-même, tu t’es entièrement refermée en vérité, tu n’oses même plus le regarder. Tu as le cœur au bord des lèvres, les yeux au bord des larmes. Cela te fait mal, venant de lui, après tant d’efforts. Tu murmures :

- « Samuel, Est-ce-que je ne suis qu’une curiosité d’un soir pour toi ? »

Car tu sais que pour toi, ce n’est pas le cas… Et voilà, une première larme qui s’échappe de ta joue, tu t’étais pourtant promis de ne plus te laisser avoir… Tu la caches de ta main, prête à t’excuser pour t’échapper dans les toilettes, cacher cette sensibilité qui te fait tellement honte.
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